luc cuvier

En fait, c'est Enoch Powell (National front en GB) - bien avant - Le Pen qui avait dit -"let's put them on a boat" = idem et certainement d'autres avant lui Luc Ce propos s'adressait uniquement aux immigrants, puisque « rentrez chez vous », ça voulait vraisemblablement dire « quittez le pays ». Mais ça vient du Front national, donc c'est pas bien. La bonne réponse était : « Si vous n'aimez pas la France, restez-y et essayez de la faire changer à votre goût. Réclamez le droit à vos coutumes et à vos traditions. Ne vous inquiétez pas si ces coutumes sont illégales dans votre pays d'accueil ou choquent vos voisins français : ils sont probablement sympathisants du Front national. Et bien entendu, en attendant que la France s'adapte à vous, ne vous gênez pas pour manifester votre mécontentement. » C'est aussi ce que je pense... On me reproche parfois de cracher un peu sur la France, donc, de ne pas suffisemment l'aimer (en tout cas selon vous, parce que ce n'est pas la réalité). Par contre, si Sarkozy s'en prend à ceux qui crachent sur la France alors qu'ils y sont, c'est plus du tout correct... Moi j'aime le Québec et j'aime même le Canada ! Si un jour ce n'est plus le cas, je décrisse ! ... En tous cas, moi je suis d'abord venu ici par amour du Québec... ensuite, pour fuir la dictature des syndicats français. Comme quoi, ça dépend des points de vue !

Oui. Idem sur MacKay. Et, en plus, tu pourras rencontrer du monde et il y a parfois de bonnes annonces pour des piaules/apparts sur le Bulletin Board dans le Lobby (in English and in French) Bonne chance. Luc

Saluts, Pour qui connait la region: que conseillez-vous? - Saguenay - ou vers la Gaspesie - pousser jusqu'a Rimouski, Matane ... Gaspe Pour une petite semaine de vacances. Merci. Luc

Oui. Il y eu aussi quelques contributions interessantes au forum - je pense a un recent article du Devoir - combien d'immigrants restent, combien partent ?... les premiers mois - tu peux faire une recherche dans les archives et trouver tout cela. Je pense que la politique d'immigration du Canada et du Quebec est bonne - en principe - declarations, etc. style: " rien que pour les laurentides, ils prévoient plus de 50.000 emplois vacant d'ici 2010 ..." Ok, montrez moi sur une carte de l'emploi ces boulots de Ste Agathe a Val David ... les previsions coutent pas cher, les creations d'emploi - un peu plus. En pratique, ils ne font pas grand chose pour aider tous ces travailleurs(euses): infirmier(e)s, docteurs, profs, etc - dont ils ont besoin. Luc ======= "C?est l?économie. Qu?est-ce qui cloche avec l?économie québécoise? Elle est en panne. Même les provinces les plus pépères, comme la Saskatchewan et Terre-Neuve, coiffent haut la main le Québec sur tous les aspects de la vie économique. "

Excuse-nous mais on ne sait pas du tout de quoi tu parles ! Peux-tu donner des liens pour partager ta réflection. @+ voila, voila; je redonne l'info (cf vie aux EU - Forum Immigrer ) ======== Illegal Immigrant, Star Student The front page of today's Wall Street Journal has a long, fascinating article about an accomplished student at Princeton, who happens also to be an illegal immigrant. Here is a short excerpt: Dan-el Padilla Peralta, a 21-year-old classics major at Princeton University, has risen from a childhood in homeless shelters and blighted apartments to maintain a 3.9 grade-point average. He has won prize after prize, often taking twice the typical course load. One faculty member, writing a recommendation, predicted "he will be one of the best classicists to emerge in his generation." Mr. Padilla stands out at Princeton for another reason: He's an illegal immigrant. And two weeks ago, he did something few people in his shoes ever do. He turned himself in. Mr. Padilla recently won a two-year scholarship to Oxford University in the United Kingdom. But according to longstanding immigration law, if he leaves, he can't return to the U.S. -- his home since the age of 4 -- for at least 10 years.... On his Princeton application, Mr. Padilla checked a box declaring he wasn't a U.S. citizen. Seeing him as a foreign student, a university official said he needed to return to the Dominican Republic in order to apply for a student visa required of foreign students. To find out what the consequences of going back to his home country would be, Mr. Padilla spoke with a lawyer arranged by Prep for Prep, a New York program that helps minority kids who are college-bound. He told Princeton that if he went to the Dominican Republic he wouldn't be allowed back into the U.S. The university ultimately overlooked his immigration status and gave him a full scholarship, consisting of financial-aid grants that didn't include federally funded programs. Princeton "doesn't take documentation status into account when making admission decisions," says a spokeswoman for the university. She says Princeton has enrolled fewer than half a dozen illegal immigrants in the past four years. "He could have been from the moon and I would have admitted him," says Fred Hargadon, dean of admissions at Princeton at the time Mr. Padilla applied. posted by Greg Mankiw at 9:24 AM 4 comments Excuse-nous mais on ne sait pas du tout de quoi tu parles ! Peux-tu donner des liens pour partager ta réflection. @+

On verra bien ce qui lui arrive en attendant, il ne reste pas sans rien faire - 2 remarques: certaines institutions (universites) acceptent leurs etudiants en fonction de leur dossier et de leurs qualifications - pas de leur statut INS et des paperasses legales. il a pas mal de soutien - des avocats et 10 000 dollars cela peut aider. Luc ================== [samedi 16 avril] Illegal Immigrant, Star Student The front page of today's Wall Street Journal has a long, fascinating article about an accomplished student at Princeton, who happens also to be an illegal immigrant. Here is a short excerpt: Dan-el Padilla Peralta, a 21-year-old classics major at Princeton University, has risen from a childhood in homeless shelters and blighted apartments to maintain a 3.9 grade-point average. He has won prize after prize, often taking twice the typical course load. One faculty member, writing a recommendation, predicted "he will be one of the best classicists to emerge in his generation." Mr. Padilla stands out at Princeton for another reason: He's an illegal immigrant. And two weeks ago, he did something few people in his shoes ever do. He turned himself in. Mr. Padilla recently won a two-year scholarship to Oxford University in the United Kingdom. But according to longstanding immigration law, if he leaves, he can't return to the U.S. -- his home since the age of 4 -- for at least 10 years.... On his Princeton application, Mr. Padilla checked a box declaring he wasn't a U.S. citizen. Seeing him as a foreign student, a university official said he needed to return to the Dominican Republic in order to apply for a student visa required of foreign students. To find out what the consequences of going back to his home country would be, Mr. Padilla spoke with a lawyer arranged by Prep for Prep, a New York program that helps minority kids who are college-bound. He told Princeton that if he went to the Dominican Republic he wouldn't be allowed back into the U.S. The university ultimately overlooked his immigration status and gave him a full scholarship, consisting of financial-aid grants that didn't include federally funded programs. Princeton "doesn't take documentation status into account when making admission decisions," says a spokeswoman for the university. She says Princeton has enrolled fewer than half a dozen illegal immigrants in the past four years. "He could have been from the moon and I would have admitted him," says Fred Hargadon, dean of admissions at Princeton at the time Mr. Padilla applied. posted by Greg Mankiw at 9:24 AM 4 comments

Saluts. Je me permets de partager le compte-rendu du NYT (Sunday NYT) et c'est aussi dans le Wall Street journal. M. Padilla est etudiant a Princeton; son statut: illegal. cf vie aux EU pour de plus amples details. Cela fait reflechir - sur la vie et l'immigration ... Luc Cuvier

Mais, tu peux toujours aller faire un tour au Canada comme touriste? Parce que la question, c'est aussi: le Canada - pour quoi faire? Et demander les services d'un avocat, naturellement. Luc Cuvier

Plus importante est la realité la realité, c'est que le Quebec a besoin de traducteurs (rices) - comme l'ensemble du Canada. Luc

non, non, c'est pas pour l'accent c'est pour les pratiques medicales. + L'option est une prise de sang - pour l'autre question. (car, il y peut y avoir exemption pour raison perso, philosophique ou religieuse aux USA - dans certains Etats) Luc

Merci pour l'info. Il semble aussi que les réalités sont différentes: s'il y a possibilité d'exemption (ex. USA), cela ne semble pas le cas en France (tiens, tiens - Liberté, Liberté ...) Donc, l'usage ne peut que refleter cette realité et "titer" semble plus courant . C'est plus l'usage qui me fait tiquewr - plus que le terme, donc. Je recherche vraiment qqn qui habite en France - docteur, infirmier (e) ciao, Luc

Saluts, Pour une traduction medicale: le terme anglais est 'titer' l'equivalent - me dit le dico est: 'titre' Mais, si vous regardez l'original anglais*: y'a peu de chances pour qu'un Frenchie comprenne ce que je veux dire si je dis: "je veux un titre ..." (= je veux une prise de sang, en gros) Donc, ma question: y'a t-il un docteur, un(e) traducteur (rice) une infirmiere, qqn (au Canada, je pense qu'ils connnaissent mais la traduction est pour La France: donc, si vous vivez en France* - ce serait encore mieux) qui peut me confirmer comment on appelle la prise de sang -offerte en remplacement d'une vaccination ? ... Quel mot emploie-t-on dans un lab, un hosto, etc. Je sais bien que la reponse est certainement: cela n'existe pas - tu te fais piquer en France - sans objection Luc *" The 'titer' is an option, a substitute offered to people who decline/object to innoculations on the grounds of religious, philosophical concerns": in brief, it's a blood test

'hébriété "?* t'as raison: bourré(e) ou pas: une orthographe comme cela: c'est criminel un point c'est tout Luc * si tu peux trouver ton dico ... vérifie, btw. Rouler en état d'hébriété au Québec, c'est CRIMINEL un point c'est tout. Il faut choisir... boire ou conduire. Bonne chance quand même dans tes démarches. Passemots

On peut vivre et ne pas connaitre BHL (oui, le grand philosophe) on peut vivre et aimer les USA sans connaitre Garrison Keillor, Mais, si vous aimez Garrison Keillor vous apprecierez certainement l'article [extraits du blog d'Assouline] Luc ========== BHL pris de vertige américain Quand on est grillé chez soi, rien ne vaut d'aller voir ailleurs pour s'y refaire une virginité et rentrer au pays en vainqueur. Il y a un peu de cela dans la démarche de Bernard-Henri Lévy, lequel n'est pas vraiment ressorti à son avantage de la pluie de biographies qui s'est abattue sur lui en France ces deux dernières années. Le Tocqueville de La Démocratie en Amérique ayant urgemment besoin qu'un héritier et compatriote digne de lui mît ses pas dans ses traces, Lévy s'est présenté à la douane. Il faut dire qu'il y avait été fortement encouragé par l'accueil précédemment réservé à son enquête sur Daniel Pearl par les médias américains les moins regardants. Une icône était née : le philosophe médiatique français. Lorsqu'ils découvrirent que de surcroit, celui-là ne maudissait pas l'Amérique et que, tout au contraire, il se disait prêt à faire la guerre à l'anti-américanisme, on lança de vibrants allelujah. Bref, son reportage sur l'Amérique de Bush parût dans un premier temps dans les colonnes de The Atlantic Monthly qui le lui avait commandé, puis ces jours-ci en librairie par les soins du groupe Random House et en mars en français chez Grasset. ........... Le New York Times, lui, a consacré a ouvert son supplément littéraire avec le livre. C'est la seule chose positive que l'éditeur et l'auteur peuvent en retenir. Car pour le reste, c'est une exécution en règle mais, comme le précédent, sur le mode de l'humour et de la dérision. Comme si l'un et l'autre avaient du mal à prendre BHL au sérieux, en quoi ces médias souffriraient d'un tropisme bien français, ceux dont on ne saurait les blâmer. Garrison Keillor l'évoque d'emblée d'un ton moqueur comme un penseur à paillettes, une sorte d'illusionniste qui a fait de ses notes de voyage "a sort of book". Il a lu ces 300 pages à la loupe et outre, qu'il n'a reconnu personne, en a conclu que dans l'Amérique de BHL personne ne rit jamais, il n'y a que des obèses, nul ne travaille vraiment. Un livre pour les Français dont il se demande bien pourquoi il a été traduit en anglais. "Comme toujours avec les écrivains français, Lévy est un peu court sur les faits, et plutôt long dans ses conclusions" écrit-il, avant de conclure un papier drôle et argumenté :" Merci d'être venu. Faites attention à la porte en partant. Dans votre prochain livre, parlez-nous des émeutes de banlieue en France. Qu'est-ce qui s'est passé au juste? Des gros étaient-ils impliqués dans les événements ?" A les lire, The American vertigo n'est qu'une enfilade de lieux communs. Guettons les autres réactions au fur et à mesure de la tournée. On saura dans moins de deux mois si les échos flatteurs, car dûment sélectionnés, d'une coûteuse campagne de promotion au lointain suffiront à transmettre le vertige américain au public français. ===============

Je ne dirais pas qu'il y a " beaucoup de boulots" au Yukon mais, you should be ok si tu trouves/attends le prochain Jack London Festival - it should be cool Luc ps- vu le nombre de boulots: je rechercherais toutes les options enseignement, IT, etc. ================ Dawson City, Yukon, Canada - 18-21 September, 1997 The Jack London Festival commemorates the 100th anniversary of the world-famous writer's sojourn in the Klondike.