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Boudebouchon

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Tout ce qui a été posté par Boudebouchon

  1. Bienvenue sur le forum Shadow ! ça me fait plaisir de te voir enfin D'ailleurs, je vote pour toi au concours de la plus belle forumiste finalement .... comment ça c'est pas le bon post ?!
  2. Super intéressant ce post ça met l'eau à la bouche. Merci à tous pour vos conseils, reste plus qu'à tester. Mais, s'il vous plait, pour les petits budgets, est-ce que ça serait posible de donner une fourchette de prix (à peu près, hein !) pour les restos que vous indiquez ? Merci
  3. C'est quelque chose que j'ai beaucoup de mal à saisir en France, tu l'exprimes bien d'ailleurs : c'est la contradiction qu'il y a entre le fait qu'on entende tout le temps que le niveau baisse mais si vous regardez de plus près,à mon avis, ce qu'on demande aux élèves est super dur. Je sais que beaucoup ne seront pas d'accord avec ça mais je trouve qu'on demande trop. En fait, j'ai du mal à l'expliquer mais on dirait que tout se complique. Pour apprendre à faire une division par exemple, c'est la méga-galère, on va passer par des chemins détournés au lieu d'expliquer les choses simplement. Et là, les enseignants doivent appliquer la règle et suivre le programme. D'un autre côté, on se retrouve avec des enfants qui ne suivent plus dès les petites classes, comme si ils étaient découragés à l'avance de réussir quelque chose. J'éxagère peut-être en disant ça mais on dirait qu'ils savent à l'avance qu'ils vont être dans la catégorie des "nuls" et que ça sert plus à rien de se battre. J'ai l'impression qu'au Québec, on a tendance à plus donner sa chance aux enfants, à les encourager, plus qu'à les enfoncer. Bien sûr, c'est une grosse généralité de dire ça et peut-être que je me trompe lourdement. Cet article m'a interpellé car je suis consternée de voir qu'aucun enfant français de mon entourage (et y'en a un paquet) n'aiment vraiment aller à l'école. Moi-même, je me suis bien retrouvée dans cet article. Je me rappelerai toujours d'une fille de ma classe en 5è (vers 12 ans) qui s'était fait ridiculisée devant toute la classe quand il est venu commenter le bulletin trimestriel de chacun d'entre nous (déjà, je trouve cette pratique horrible mais bon ...). Il lui a fait des remontrances sur ses notes (c'était pas si terrible pourtant) puis a ajouté : "Bah, toutes façons, pour aller vendre du poisson sur le marché, hein ! ....". Cet exemple reflète beaucoup de choses. D'abord, on met les élèves dans une catégorie et ils n'en sortent pas. Ensuite, on humilie. Enfin, on crache tout simplement sur certaines professions et ça, je ne le supporte pas.
  4. Justement, le problème c'est qu'en plus, ça dépend comment tu as obtenu le tître d'ingénieur. En sortant de certaines écoles, bah, oui, on t'ouvre les bras. C'est une sélection dans la sélection ; on aime bien l'élite par chez nous ....
  5. Le problème avec le tître d'ingénieur, c'est que ça n'a pas du tout la même signification en France et au Québec, à mon avis. Un ingénieur, en France, c'est un niveau d'étude avant tout (soit un Bac français+5). Je pense que tu as lu des messages là-dessus mais c'est un peu le diplôme qui fait "top" et c'est vraiment pas facile de l'obtenir puisqu'en général, il faut avoir fait une école pour ça et pour y rentrer, faut quand même être ben doué ! Je ne sais pas dans quel domaine tu travailles mais je pense que les CV que tu as lu ne reflètent pas la réalité en France. L'immense majorité des gens ne sont pas ingénieurs, y compris dans les domaines techniques. Par contre, c'est vrai qu'on peut avoir un titre d'ingénieur dans tous les domaines techniques. Ce qui est triste en France, c'est que si tu n'as pas ce fameux titre, tu es bien moins considéré. Après 20 ans d'expérience, on peut encore te reprocher de ne pas l'avoir alors que tu auras fait tes preuves .....
  6. Ben, je suis pas arrivée depuis longtemps mais j'ai adoré la fin du mois de février et le mois de mars que j'ai trouvé très ensoleillés ; la neige qui restait, c'était déjà joli pour moi Tu as l'air de détester le mois d'avril, Zogu ... je trouve que c'est un temps très fréquent en région parisienne humide, pas très chaud, gris. Donc, pour moi, pas trop de dépaysement Mais évite Paris l'hiver, ça va pas te plaire
  7. Boudebouchon

    New forumeur

    Bienvenue sur le forum Neit Et félicitation pour les visas
  8. ..........mais pas le français !http://www.nouvelobs.com/articles/p2109/a266102.html C?est en France que les élèves souffrent le plus ! 275 000 jeunes, 41 pays, plusieurs mois d?enquête, l?OCDE s?est livrée à un colossal audit de l?école à travers le monde, rendant enfin possibles des comparaisons internationales fiables et précises.Entretien avec son directeur adjoint de l?Education qui en détaille les leçons percutantes Le Nouvel Observateur. ? Pour la troisième fois, l?OCDE a évalué les compétences en lecture, en mathématiques et en sciences des jeunes de 15 ans dans 41 pays. Qui sont les «premiers de la classe»? Bernard Hugonnier.? Nous avons mis cette fois l?accent sur les mathématiques. En tête du palmarès, la Finlande, la Corée, le Canada, les Pays-Bas et le Japon. Certains pays sont tombés des nues. «Mais alors, qu?est-ce que ça doit être ailleurs!», nous ont-ils déclaré. La France, qui a une assez haute idée de son système éducatif ? même si elle ne cesse de s?en plaindre ?, n?obtient pourtant qu?une petite moyenne. En dépit d?une journée scolaire chargée et d?efforts financiers importants, elle figure au 13e rang pour les sciences, et au 17e rang pour la lecture et les mathématiques. L?école y est aussi plutôt moins juste qu?ailleurs, les écarts entre les bons élèves et les élèves en difficulté étant particulièrement importants. N. O. ? Et quelles sont les recettes des pays où l?école marche bien? B. Hugonnier. ? On peut simplement observer que, dans les pays les plus performants, les élèves ont plaisir à apprendre, les relations avec les professeurs sont très bonnes, le climat est moins à la répression qu?à l?autodiscipline. Les enseignants se situent dans une optique d?accompagnement. Une chose est frappante: ces pays, Finlande, Japon, sont souvent des sociétés traditionnelles, avec des populations homogènes. Les textes, la hiérarchie, les maîtres y sont très respectés et leur autorité reconnue. C?est loin d?être toujours le cas en France. Publicité Le rejet de l?autorité ou de l?école s?observe avant tout dans les pays où l?intégration des populations immigrées est mal faite. Ne se sentant pas acceptés, les jeunes issus de l?immigration rejettent la culture qui refuse de les intégrer. L?intégration des étrangers et de ces jeunes est d?ailleurs un point essentiel pour la bonne marche d?un système scolaire. C?est pourquoi, pour la première fois cette année, nous avons souhaité comparer dans chaque pays les performances scolaires de ces jeunes avec celles du reste de la population. Ainsi, au Canada, l?un des pays les mieux placés dans nos classements, ils réussissent très bien et même mieux que les Canadiens du cru. N. O. ? Mais le Canada est une exception, en général les jeunes immigrés ne sont-ils pas les moins bien lotis? B. Hugonnier. ? Certes, le Canada trie ses immigrés sur le volet. Il s?agit de personnes très qualifiées. Mais ce n?est pas la seule explication de leurs bonnes performances. D?une façon générale, les systèmes éducatifs les plus performants sont ceux qui font réussir tous leurs élèves, aussi bien les bons que ceux qui ont moins de facilités ou qui sont moins favorisés socialement. En éducation, on peut concilier qualité et équité, limiter efficacement l?influence du milieu social sur les résultats. Et en la matière, la France a fort à faire. N. O. ? Pourtant, beaucoup pensent qu?on ne peut pas enseigner la même chose à tout le monde. Certains peuvent réussir et d?autres non, du moins dans la voie générale. B. Hugonnier. ? C?est vrai, d?où les critiques en France contre le collège unique. Pourtant, un tronc commun, parfois même jusqu?au bac, comme dans les pays nordiques, produit les meilleurs résultats. Pourquoi? Croire qu?en «offrant» des voies différentes d?orientation, pour permettre à chaque élève de réussir selon ses moyens, est une illusion. De fait, ces systèmes de filières isolent les élèves faibles ou en difficulté. Résultat: les bons élèves progressent à peine plus, alors que les élèves moyens et les élèves plus faibles perdent beaucoup. Si bien qu?au final les performances de ces pays très sélectifs sont moyennes, et nettement moins bonnes que dans les pays où l?école est plus démocratique. Où l?on choisit de ne pas trier les élèves mais au contraire de favoriser au maximum la diversité dans les classes. C?est le cas par exemple en Finlande où, grâce à un suivi individualisé, l?hétérogénéité des classes est gérée au mieux. A contrario, l?Allemagne, qui trie plus tôt que nous encore et, dès le début du collège, oriente une partie de ses élèves vers des enseignements techniques et professionnels, obtient de mauvais scores. D?ailleurs, alarmées par les résultats de nos enquêtes, les autorités allemandes ont remis en chantier leur système éducatif. N. O. ? La France s?est elle aussi lancée dans une réforme. Avec notamment un socle commun pour tous les collégiens. Est-ce une méthode qui marche dans d?autres pays? B. Hugonnier. ? Le principe du socle commun de connaissances, qui impose aux professeurs de transmettre à tous leurs élèves un minimum de compétences dans différentes disciplines, est plutôt une bonne chose. Nous constatons une corrélation entre la mise en place de «standards» minimums dans chaque matière et les bonnes performances globales des élèves. L?objectif étant alors pour chaque enseignant de s?assurer qu?à la fin de l?année chaque élève maîtrise ces standards. Ce qui n?interdit pas aux meilleurs d?aller au-delà. Il ne s?agit pas d?un nivellement par le bas des élèves, mais d?une exigence de résultat pour les professeurs. N. O. ? Ce qui rend inutile le principe du redoublement? B. Hugonnier. ? La France est aujourd?hui un des rares pays à se poser encore cette question existentielle. Chez nous, si un élève est en difficulté, on lui dit assez rapidement qu?il va redoubler, et les enseignants cessent leurs efforts. Les pays où s?appliquent ces standards, Canada, Suède, Finlande, etc., ont une autre philosophie: si un élève peine à suivre, le professeur se sent responsable de cet échec, et met tout en ?uvre pour trouver une solution. C?est toute la collectivité qui manifeste davantage de solidarité, de tolérance. La coopération et l?entraide y sont plus développées. Autre particularité de ces pays qui marchent bien, on note peu de différences de niveau d?un établissement à l?autre. Même si, dans les classes les élèves sont, eux, de niveau très variable. Il n?y a pas de ghettos scolaires. N. O. ? Des milliers de lycéens sont descendus dans la rue pour signifier leur refus du «bac Henri IV» et du «bac Sarcelles». A leurs yeux, cet examen reste l?ultime rempart de l?égalité républicaine dans l?Education nationale. B. Hugonnier. ? Le système français doit évoluer car la situation actuelle est préoccupante. Entre ceux qui ont accès à une solide éducation et ceux qui, parce qu?ils habitent dans des quartiers en difficulté, n?ont pas les mêmes chances. Or nous constatons que l?égalité des chances passe par un vrai brassage social, y compris géographique. Le problème est comment l?organiser alors que les évolutions sociologiques poussent au contraire. Mais si on veut une éducation républicaine, on ne peut se satisfaire d?une situation où les résultats de nos enfants dépendent pour beaucoup de l?école où ils vont. N. O. ? Et s?il fallait retenir un seul critère pour caractériser une école qui marche? B. Hugonnier. ? Le plaisir d?être élève. C?est un des points auquel nous avons accordé le plus d?importance cette année, avec toute une série de questions sur l?image de soi, le degré d?anxiété, le sentiment d?appartenance, autrement dit, l?impression d?être à sa place. Sur ce dernier point, la France détient le record du mal-être à l?école avec 45% seulement des élèves se sentant à leur place en classe, contre 81% en moyenne dans les pays de l?OCDE. Un score qui en dit long sur le chemin qui reste à parcourir pour rendre notre école efficace, performante et plus juste. Caroline Brizard Véronique Radier Comment évaluer l?école? Pour juger de l?efficacité des systèmes éducatifs, l?Organisation de Coopération et de Développement économiques (OCDE) a lancé un vaste programme international d?évaluation auprès des jeunes de 15 ans, l?âge moyen de la fin de la scolarité obligatoire. La deuxième édition, Pisa (1) 2003, sort ces jours-ci en langue française: un outil unique qui permet de comparer le niveau moyen atteint par les élèves dans chaque pays. Mais pas seulement. Le rapport, un pavé de quelque 476 pages truffé de tableaux comparatifs très pointus, multiplie les entrées, depuis la longueur de la journée de classe ou l?importance des «petits cours» jusqu?au niveau d?intérêt et de plaisir pour les mathématiques, ou encore le sentiment d?être bien préparé pour l?avenir? Car l?OCDE s?est intéressée pour la première fois et de façon très approfondie aux éléments psychologiques de la réussite: la motivation des élèves, l?image qu?ils ont d?eux-mêmes ou encore les stratégies d?apprentissage. Pisa 2003 s?est même penché sur l?équité des différents systèmes éducatifs, en mesurant le degré de correction des inégalités sociales. Mais la France reste très discrète sur ce sujet. Nous avions justement cette année une question sur les écarts de niveau plus ou moins grands entre les écoles et c?est le seul pays qui n?a pas souhaité y répondre. Sur le plan pratique, les tests que passent les élèves sont élaborés en commun par un consortium de pays. Ils portent moins sur les connaissances acquises par les élèves ? puisque les programmes varient selon les pays ? que sur leurs capacités à les mettre en ?uvre. Ils sont conduits, pour chaque pays, sur une période de six mois, auprès d?élèves pris au hasard, dans 150 établissements scolaires, eux aussi tirés au sort. Résultats des courses? Les palmes académiques reviennent à la Finlande, championne toutes catégories, au Japon, au Canada et à la Corée. (1) Pisa: Program for International Student Assessment. Caroline Brizard Véronique Radier
  9. Boudebouchon

    chien et climat

    On se comprend ! La dernière promenait sa couverture et son oreiller partout pour se coucher ... la tête bien sur l'oreiller et pas une patte sur le carrelage (desfois qu'elle aurait attrapé un rhume) et ce, depuis toute petite
  10. Boudebouchon

    chien et climat

    Désolée pour la petite plaisanterie Marie-Laure mais ça me fait d'autant plus rire que le mien (de chien), quand il fait un peu froid, on lui ouvre la porte du garage, il laisse 3 pattes à l'intérieur et il lève la 4ème juste au dessus du seuil du garage ! Et c'est un labrador !!!!! Bon un vieux mais un labrador quand-même ! ← Bah ça, labrador, ça veut rien dire .... j'en ai eu deux exemplaires et toutes les deux, c'était le même cinéma quand il pleuvait ou qu'il faisait trop froid : fallait vraiment les pousser pour qu'elles aillent faire leur besoin dehors et une fois qu'elles y étaient, ça durait pas longtemps !!! Bref, la légendaire rusticité de ces chiens, j'y crois plus trop. Par contre, je pense qu'ils ont une remarquable capacité d'adaptation. Qu'ils soient en appartement avec des personnes âgées ou à coucher dehors dans une ferme, ils sont toujours contents tant qu'on s'occupe d'eux. Mais une fois qu'ils ont pris quelques habitudes ....
  11. Tu penses à qui là ?
  12. EXCELLENTE chronique ; je la trouve super, amusante et pleine d'émotions. C'est génial d'avoir demandé à ta jument de l'écrire à ta place .... elle se débrouille bien pour une jeune de 4 ans On ne peut que te souhaiter plein de courage. Accroche-toi : ça vaut le coup, je suis sûre que tu vas y arriver ! Gros bisous à Shadow
  13. Nous, on n'a pas eu de problème chez Desjardins, sans avoir le numéro de NAS. Sinon, j'ai commencé à travailler sans ; pas de problème mais ils sont cool Bienvenue à Montréal
  14. Boudebouchon

    chien et climat

    Ou alors, achète un canon à neige ......
  15. Salut ! Je vais en remettre une couche ! J'ai déjà vu une petite fille qui était dans le même cas que ta fille : la trisomie partielle n'a été diagnostiquée que lors de son entrée en CP car elle avait des difficultés d'apprentissage de lecture et un léger retard .... Mais vraiment, ça ne se voyait pas du tout ! Je ne sais pas comment cela a été découvert chez ta fille mais ce n'est pas du tout évident de poser ce genre de diagnostic : il faut déjà que le médecin pense à cette éventualité (et même un bon médecin peut passer à côté) et qu'il fasse établir un caryotype, seul examen pouvant confirmer la trisomie partielle, comme tu l'as précisé Par ailleurs, pour moi, ta fille n'est pas trisomique : surtout à 6%, on peut vraiment dire que c'est plus que partiel Du coup, je pense que tu as raison de ne pas en parler lors de la visite médicale mais bon, je peux avoir tort ! Est-ce qu'elle est suivie par un médecin avec qui tu pourrais en parler ?
  16. Personnellement, je suis de la fin de l'année et en plus, j'ai sauté une classe (contre l'avis de mes parents d'ailleurs ). Ce n'était pas une réussite et je dois dire que je me méfie beaucoup des "sauts" de classe ; effectivement, la maturité, c'est aussi par la suite qu'on voit la différence, surtout au moment de l'adolescence. Je ne suis vraiment pas pour pousser les enfants. Ceci-dit, dans le cas de Vansteph, il n'est pas question de sauter une classe, c'est à dire de gagner une année. Sa fille ne sera pas beaucoup plus jeune que les autres ; je ne pense pas qu'à 2 mois près, cela cause un préjudice à l'enfant. Si je n'avais pas sautée de classe, j'aurais quand même été dans les plus jeunes mais à peu de choses près et je ne pense pas que j'aurais eu de problèmes.
  17. Oh ben d'abord j'étais dans l'erreur. Je ne porte pas de trucs avec le séparateur entre les orteils, mes orteils n'aiment pas ça. Bah, je vois pas bien ce que c'est alors Une photo, please Et puis Boudebouchon, mes sandales à moi ne sont pas aussi euh... comment dire... quelle épithète s'approcherait le plus de ce que tu nous as montré... euh, laides, ça va? C'est vrai : entièrement d'accord avec toi ; c'était juste pour montrer un exemple et c'est la première photo que j'ai trouvée sur internet ! ←
  18. Ah pardon ! J'ai mal lu J'ai cru que c'était octobre et pas aôut !! Donc la fille de Vansteph a donc 3 mois de moins que ton fils ; si tu étais dans le même cas, tu ne ferais pas cette démarche ?
  19. Ben, j'ai pas dû tout comprendre, moi D'après ce que dit Vansteph, sa fille n'aura que 2 mois de moins que les enfants "limites" qui sont acceptés à la maternelle sans dérogation ; cette "limite" étant fixée au 1er Octobre, j'en conclue que la fille de Vansteph aura 5 ans fin novembre (me trompe-je ?). Ce qui veut dire que ton fils, X_Bunny_7 devrait avoir seulement 1 mois de plus qu'Alizéa et qu'il serait potentiellement obligé de passer également par une dérogation .... ou alors expliquez-moi car j'ai encore pas tout compris. Par ailleurs, je pense que ces dérogations ne s'appliquent pas qu'aux petits européens mais bien avant tout aux petits québecois. Je pense qu'on peut comprendre qu'un parent fasse cette demande quand son enfant est né le 2 octobre et qu'il ne pourra pas aller à l'école alors qu'un enfant né 3 jours avant, soit le 31 septembre, lui, le pourra. Je ne pense pas qu'il y ait plus de préjudice pour l'un ou l'autre de ces 2 enfants.
  20. AAAAAAAAAAAAAAAAAAh ! Mais alors ..... Logan a fait une erreur dans le lien qu'il a mentionné plus haut http://www.forum.immigrer.com/index.php?sh...pic=22612&st=25 Personne n'a rectifié et moi, depuis tout ce temps, je suis persuadée que gougounes et tongs, c'est différent, mais non ! GOUGOUNES = TONGS JayJay, J'ADORE les gougounes J'en ai une méga-collection !!! Quand j'étais au Vietnam, j'avais une petite élève adorable (qui m'écrit toujours d'ailleurs ) et sa mère avait un magasin de chaussure .... Là-bas, le prof, c'est sacré et il fût une période où elle m'offrait une paire de gougoune par leçon A raison de 3 leçons par semaines J'ai dû la supplier d'arrêter (j'avais plus de place dans mes valises) et après .... elle m'a rapportée 5 noix de coco à chaque fois C'est mon mari qui était content
  21. Désolée ! Erreur de manipulation !!! Gougoune : Moi, je dirais sandale, quoi !! C'est bien ça Jay Jay, hein ?
  22. Ah tu veux dire des tongs ? ← Bah, d'après ce que j'ai compris, c'est pas des tongs justement ! Tongs : Gougounes :
  23. Qu'est-ce que vous conseilleriez : de passer par la DGQ de New-York ou par Paris ? On m'a dit que si je voulais faire une demande d'immigration, c'était beaucoup plus rapide par Paris mais il me semble bien que ce n'est pas ce que les services d'immigration demandent ..... De plus, pour la VM et pour un éventuel entretien, on fait comment si notre dossier est à Paris ?
  24. Pour soutenir la grêve des étudiants ; carré rouge pour carrément rouge. C'est bien ça, les québecois ?
  25. Boudebouchon

    Loi 101

    J'ai pas tout compris là ; ils sont francophones ou allophones, ces parents ? ← C'est une bonne remarque Boudebouchon, selon ce que Cherry à écris, les parrents allophones doivent recevoir des services scolaires dans leur langue allophones. ← Ce n'était pas une remarque, c'était seulement une question sans arrière pensée parce que je ne connais pas toute l'histoire et que je cherche à bien saisir toutes les nuances de ce dossier épineux qui m'intéresse beaucoup. Pour ceux, qui, comme moi, n'ont pas tout suivi, je vous donne ce lien qui m'a bien aidé à mieux comprendre la situation. Si j'ai bien compris, dans ce cas précis, seule une famille est concernée et les parents sont allophones. D'autres familles francophones ont, elles, été déboutées auparavant. Pour bien saisir le problème de la brèche, je trouve que cette partie de l'article est intéressante : Voilà, désolée pour les québecois d'écrire tout ça car ça doit vous paraitre bien évident mais je pense que beaucoup d'immigrants s'y perdent. Ou alors je suis vraiment neuneu ... peut-être bien en fait !
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