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Nicolas

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Tout ce qui a été posté par Nicolas

  1. "Carton rouge" Epervier ! Tu sors du terrain immédiatement et tu commences l'après-match, on va boire une bière ensemble
  2. Et ils se sont fait plumer la tête ? Tss, avec un nom pareil ils doivent se faire chambrer régulièrement Merci pour ton explication Peanut ! J'accroche pas trop au football... d'où qu'il soit... il n'y a que le catch dans la boue qui m'intéresse
  3. Nicolas

    Montréal sur mer

    Tu riras encore + quand tu entendras ma prochaine capsule audio
  4. Nicolas

    C'est le temps des fraises!

    Je viens de lire (je mets pas le lien pour pas troubler le repos dominical de certains ) que si les fraises américaines ont pas de goût c'est parce que dans les barquettes ils mettent un gaz pour qu'elles conservent leur belle apparence, mais en absorbant le gaz... plus de goût... Ah, j'adore les fraises Tu as un prix au kilo pour me donner un ordre d'idée ? edit : j'oubliais, en 2002 le Canadien a mangé 2.21 kg, en 1976 seulement 1.10
  5. Si tu peux, un quinté pour faire remonter les stats C'est parce que ton ti-bibi est pas assez attirant Toi tu as 1 enfant, moi j'en ai pas. 1 + 1 = 2 (toi et moi) 1 (ton enfant) / 2 (toi et moi) = 0.5 Donc il y a 0.5 enfant
  6. Tu n'as qu'à zapper ma cocotte.
  7. Fainéants Imprimez-le... Ca résume toutes les raisons qui poussent un immigrant à venir au Canada. Ca explique toute les difficultés qu'il trouve sur son chemin une fois là-bas (logement, travail, liens sociaux culturels). On résume pas un résumé
  8. On se rend compte que les immigrés (ce qui semble logique) prenne souvent au bout du compte les moeurs de leur pays d'adoption. C'est pour ça que dans un sens les personnes qui ont déjà pas mal d'enfants seront peut-être plus favorisés à l'avenir. Par contre ils ne parlent que des femmes immigrantes... on sait pas si le mâle étranger qui est avec une canadienne a plus d'enfants que la moyenne... je sous-entends pas par là qu'un étranger donne plus envie à une Québécoise d'avoir des enfants hein
  9. Juste pour Lizzie. Le canadien a consommé 1.97 kg de pois chiches, ça en fait combien ? Par contre, pour le coup, ça fait beaucoup, 2 kg de pois chiches
  10. Oui mais j'ai tendance à voir certains immigrants comme des rêveurs, et pour certains, comme la "dernière chance", et si ça se passe pas aussi bien que prévu, ça ne me semblerait pas anormal qu'il y ait plus de suicides chez les immigrants, devenus immigrés
  11. Un dernier pour la route. Un pavé Et j'ai coupé des bouts... http://www.statcan.ca/Daily/Francais/030904/q030904a.htm Enquête longitudinale auprès des immigrants du Canada 2001 Les nouveaux arrivants au pays ont déjà développé un fort attachement au Canada et, d'après les premières données de l'Enquête longitudinale auprès des immigrants du Canada (ELIC), 98 % d'entre eux ont avoué que c'était la seule destination qu'ils avaient demandée lorsqu'ils ont décidé de quitter leur pays d'origine. Plusieurs personnes ont immigré pour des raisons économiques. Certains immigrants sont venus au Canada pour rejoindre leur famille et d'autres ont quitté leur pays pour des raisons politiques ou d'autres motifs personnels. Toutefois, la plupart avaient la même intention, c'est-à-dire de faire du Canada leur nouvelle patrie. La vaste majorité des immigrants (91 %) ont déclaré qu'ils voulaient s'y établir en permanence et acquérir la citoyenneté canadienne. Dans cette enquête, on étudie comment les nouveaux immigrants arrivent à s'adapter à la vie canadienne. Selon les données, ils s'intègrent assez bien à leur nouvelle vie au Canada. Ainsi, 7 immigrants sur 10 ont dit être satisfaits de leur nouvelle vie au pays. La plupart (85 %) s'étaient fait des amis depuis leur arrivée, plus particulièrement avec des personnes ayant les mêmes antécédents culturels. En fait, 63 % ont déclaré que la totalité ou la majeure partie de leurs nouveaux amis appartenaient au même groupe ethnique. En outre, 47 % ont révélé qu'ils voulaient faire venir les membres de leur parenté au Canada et parrainer leur demande d'immigration. Cependant, il leur a fallu affronter des obstacles pour entreprendre une nouvelle vie en sol canadien. La recherche d'un emploi constitue l'activité pour laquelle les immigrants ont été les plus nombreux à rapporter des difficultés : 70 % de ceux qui ont tenté de décrocher un emploi ont signalé au moins un problème tel que la non-transférabilité des titres de compétences acquis à l'étranger, le manque de contacts ou la barrière des langues. Par comparaison, 38 % des immigrants qui ont essayé de trouver un logement convenable et 40 % de ceux qui ont tenté de poursuivre des études ou de la formation se sont heurtés à au moins une difficulté. Ainsi, selon les nouveaux arrivants qui ont été à la recherche d'un logement convenable, les coûts élevés du logement et l'absence de garants ou de cosignataires ont été les principaux problèmes cités. Pour ce qui est de l'accès à la formation, la langue et l'argent ont constitué des obstacles. C'est dans l'accès aux services de santé que le moins d'immigrants (23 % seulement) ont dit avoir connu des difficultés. Parmi les problèmes évoqués, mentionnons les longues listes d'attente, les coûts élevés des soins dentaires et des médicaments d'ordonnance et la barrière des langues. Le réseau de parents et d'amis joue un rôle essentiel dans le processus initial d'établissement Un grand nombre d'immigrants (87 %) avaient déjà un certain réseau d'entraide au pays à leur arrivée. Plus de la moitié (54 %) avaient déjà des parents et amis qui habitaient au Canada; un autre tiers (33 %) n'avaient que des amis. La plupart des nouveaux arrivants (78 %) se sont établis dans la région où demeuraient leurs parents et amis. Ils se sont fréquemment tournés vers ce réseau d'entraide lorsqu'ils ont éprouvé des difficultés à s'établir et ont eu besoin d'aide. D'octobre 2000 à septembre 2001, les trois principales régions métropolitaines de recensement (RMR) du pays, à savoir Toronto, Vancouver et Montréal, ont attiré les trois quarts des nouveaux arrivants. Ce mode d'établissement est conforme aux tendances à long terme que dégagent les données de recensement et autres données d'enquête. Les données de l'ELIC indiquent nettement que le réseau de parents et d'amis a influé au moins autant que les facteurs économiques sur le choix d'une destination par l'immigrant, mais les autres grandes raisons de ce choix (le climat, la langue, la présence d'une communauté ethnique, entre autres) variaient de ville en ville. On aurait pu s'attendre à ce que les immigrants de la composante économique évoquent des facteurs économiques comme principale raison du choix d'une destination, mais tel n'a pas été le cas. Dans les trois RMR, 44 % des demandeurs principaux admis dans la catégorie économique ont déclaré qu'ils ont choisi leur destination parce que leurs parents et amis habitaient déjà dans la ville choisie. Seulement 19 % ont dit s'être laissé influencer par les perspectives d'emploi. D'autres raisons mentionnées étaient le mode de vie (7 %), les possibilités d'études (6 %) et le prix du logement dans la ville de destination (6 %). La moitié des demandeurs principaux de cette catégorie ont choisi de s'établir à Toronto pour rejoindre des proches; moins du quart (23 %) l'ont fait à cause des perspectives d'emploi. D'autres facteurs importants dans le choix de Toronto ont été le mode de vie, le logement et la présence d'une communauté culturelle. À Vancouver, 41 % des demandeurs principaux de la composante économique ont dit avoir voulu s'y établir pour rejoindre leurs parents et amis. Les conditions climatiques suivaient en importance : elles ont été mentionnées par le cinquième des demandeurs principaux. Une faible proportion d'immigrants ont opté pour Vancouver à cause des perspectives d'emploi. À Montréal, la principale raison était aussi la présence de parents et d'amis. Ce facteur a été mentionné par 31 % des demandeurs principaux de la catégorie économique. Les facteurs qui suivaient en importance étaient la langue (19 %), les perspectives d'emploi (16 %) et les possibilités de formation (10 %). Environ le cinquième des nouveaux arrivants (21 %) se sont établis dans des RMR autres que celles de Toronto, de Vancouver et de Montréal et 4 % ont choisi de s'installer à l'extérieur d'une RMR. Presque la moitié des nouveaux arrivants avaient trouvé du travail six mois après leur arrivée En relativement peu de temps, 44 % (72 100) des nouveaux arrivants ont trouvé du travail. De ce nombre, 8 personnes sur 10 ont obtenu un emploi à temps plein et les autres, un emploi à temps partiel. Au moment de l'interview, environ 37 % (42 200) des nouveaux arrivants étaient toujours en quête d'un travail. Au total, 114 400 nouveaux immigrants appartenaient à la population active, ce qui représente un taux d'activité de 70 % pour l'ensemble des nouveaux arrivants. Le taux était encore plus élevé chez les nouveaux arrivants de 25 à 44 ans (78 %), mais demeurait légèrement inférieur à celui du groupe d'âge équivalent de toute la population canadienne selon les données de l'Enquête sur la population active (86 %). Le taux d'emploi était le plus élevé chez les immigrants du groupe d'âge de 25 à 44 ans. La moitié des membres de ce groupe d'âge travaillaient six mois après leur établissement, comparativement à 36 % des personnes de 15 à 24 ans et à 35 % de celles de 45 à 64 ans. De même, les nouveaux arrivants qui ont été admis comme demandeurs principaux de la composante économique présentaient un taux d'emploi plus élevé (59 %) que les immigrants de la catégorie de la famille (39 %) ou les conjoints et personnes à charge de la catégorie économique (34 %). La connaissance des langues officielles du pays avait aussi une incidence sur l'emploi chez les nouveaux arrivants. Plus de la moitié (52 %) des immigrants de 25 à 44 ans qui pouvaient parler en français ou en anglais avaient un emploi au moment de l'enquête. Par comparaison, le tiers seulement (33 %) de ceux qui ne connaissaient ni le français ni l'anglais avaient pu obtenir un emploi. Six nouveaux arrivants sur dix ont travaillé dans d'autres secteurs professionnels après l'immigration Sur dix nouveaux arrivants qui travaillaient au moment de l'enquête, six se trouvaient dans un secteur professionnel différent de celui qui avait précédé leur immigration. Les hommes et les femmes qui travaillaient environ six mois après leur arrivée se trouvaient en plus grand nombre dans le secteur de la vente et des services et dans celui de la transformation et de la fabrication. Il s'agit d'un important changement de répartition par rapport aux secteurs professionnels antérieurs à l'immigration. Avant l'arrivée en sol canadien, les deux groupes professionnels les plus fréquents chez les hommes étaient ceux des sciences naturelles et appliquées et de la gestion et, chez les femmes, ceux des affaires, des finances et de l'administration, des sciences sociales, de l'éducation, des services gouvernementaux et de l'activité religieuse. Pour beaucoup d'immigrants, l'emploi occupé les premiers mois ayant suivi l'immigration pourrait avoir été transitoire. Un certain nombre d'immigrants étaient toujours en quête d'un emploi dans la profession à laquelle ils étaient formés au départ. Sur le nombre de nouveaux arrivants qui avaient un emploi au moment de l'enquête, 42 % étaient à la recherche d'un nouvel emploi. Ceux qui travaillaient dans un groupe professionnel autre que celui qui avait précédé l'immigration étaient plus susceptibles de chercher un nouvel emploi (52 %) que les personnes dont le secteur professionnel n'avait pas changé à la suite de l'immigration (30 %). De grandes entraves pour décrocher un emploi étaient le manque d'expérience au Canada et les difficultés de transférabilité des titres de compétences acquis à l'étranger Un facteur clé de l'accès à l'emploi est d'avoir acquis dans le pays d'origine des titres de compétences ou un niveau de scolarité (diplôme ou grade) qui sont reconnus par le pays de destination. Dans des études antérieures, on a constaté que les immigrants ayant une formation professionnelle à leur arrivée dans les années 1990 avaient eu de la difficulté à faire reconnaître leurs titres de compétences acquis à l'étranger. Cette constatation valait particulièrement pour ceux qui avaient reçu leur formation dans un système éducatif différent du système canadien. D'après les données de l'enquête, 76 % (ou 124 700) des nouveaux arrivants avaient acquis au moins un titre de compétences à l'étranger. (Les titres de compétences désignent les titres plus élevés qu'un diplôme d'études secondaires, y compris les titres professionnels ou techniques ainsi que tous les autres grades, diplômes ou certificats décernés à l'étranger.) Pour ces immigrants, les plus grandes entraves pour décrocher un emploi étaient le manque d'expérience sur le marché du travail canadien et la difficulté de faire reconnaître leurs titres acquis dans le pays d'origine. Chacun de ces obstacles a été évoqué par 26 % des nouveaux arrivants qui avaient acquis des titres à l'étranger et signalaient au moins un problème pour ce qui est de décrocher un emploi. Une autre proportion de 22 % ont indiqué la barrière des langues et 9 %, le manque de postes comme première difficulté pour ce qui est de décrocher un emploi. Six mois environ après leur arrivée, 26 % des immigrants ayant une formation professionnelle avaient pu faire vérifier au moins un de leurs titres de compétences par un employeur, un établissement d'enseignement ou l'organisme de réglementation de leur profession au Canada. Une autre proportion de 13 % avaient fait vérifier leurs titres par des sources à l'étranger ou par des agents d'immigration et 61 % n'avaient pas encore entrepris de démarches en vue de faire reconnaître leurs titres. Sur dix nouveaux arrivants qui avaient fait reconnaître un de leurs titres par un employeur, un établissement d'enseignement ou un organisme professionnel au Canada, cinq ont dit qu'au moins un organisme d'agrément avait intégralement accepté leurs titres; 22 % des autres avaient eu droit à une reconnaissance partielle et environ 15 % attendaient toujours les résultats de l'évaluation de leurs titres par un tel organisme. Enfin, 13 % avaient vu au moins un de leurs titres refusé par un organisme d'agrément. La barrière des langues représente une difficulté importante en ce qui a trait à l'établissement À leur arrivée au Canada, 18 % des nouveaux arrivants ont dit être incapables de parler dans l'une ou l'autre des langues officielles du pays, ce qui s'explique par la forte proportion d'immigrants en provenance de pays qui ne sont ni francophones ni anglophones. Les immigrants incapables de s'exprimer dans une des langues officielles canadiennes à leur arrivée étaient généralement plus âgés et étaient le plus souvent admis dans la catégorie de la famille ou des réfugiés. De plus, les immigrantes étaient moins susceptibles que les immigrants de connaître le français ou l'anglais. Dans l'ensemble, 22 % des immigrants qui ont évoqué au moins un problème pour ce qui est de décrocher un emploi ont mentionné le manque de maîtrise de l'une ou l'autre des langues officielles comme le plus grand obstacle qu'ils aient dû affronter sur ce plan. Ceux qui ne pouvaient parler ni en français ni en anglais risquaient plus que ceux qui connaissaient au moins une langue officielle de mentionner la barrière des langues comme difficulté première pour ce qui est de décrocher un emploi (69 % contre 16 %). La langue était aussi un des obstacles les plus fréquemment déclarés par les nouveaux arrivants pour les autres aspects de l'établissement. Une proportion de 15 % des immigrants qui ont évoqué des problèmes d'accès aux services de santé ont dit que la langue avait représenté une barrière. De même, 27 % de ceux qui ont eu de la difficulté à compléter leur formation ont mentionné la langue comme principale difficulté. La plupart des nouveaux arrivants voulaient compléter leur formation Plusieurs nouveaux arrivants ont dit qu'il était important de poursuivre leur formation pour réussir au Canada. Bon nombre de nouveaux arrivants (67 %) avaient l'intention de s'inscrire à un programme de formation une fois arrivés au pays. Les études universitaires, auxquelles songeaient 40 % des nouveaux arrivants, étaient la formation la plus couramment visée. Même les immigrants ayant obtenu un diplôme universitaire avant leur arrivée comptaient parmi ceux qui prévoyaient poursuivre leurs études postsecondaires dans une université du pays. En fait, les deux tiers d'entre eux ont dit avoir l'intention de continuer leurs études dans une université canadienne. Environ six mois après avoir obtenu leur droit d'établissement, 45 % des nouveaux arrivants s'étaient déjà inscrits à des cours. Comme la langue constituait une préoccupation majeure pour un grand nombre d'immigrants, les cours de langue étaient la formation la plus recherchée dans les premiers mois qui suivaient l'arrivée. Du nombre d'immigrants qui avaient entrepris une certaine formation, 58 % avaient suivi au moins un cours d'anglais et 1 personne sur 10 avait reçu une certaine formation en français. La plupart des nouveaux arrivants qui ont suivi des cours d'anglais dans les premiers mois suivant leur arrivée habitaient à l'extérieur du Québec (93 %), et la majorité des gens qui avaient pris des cours de français demeuraient au Québec (95 %). De plus, 28 % des immigrants avaient suivi un ou plusieurs cours menant à un grade ou à un certificat et 12 % s'étaient inscrits à des cours, des ateliers ou des séminaires liés à l'emploi.
  12. C'est ce que ça l'air de dire l'étude, le suicide se rapproche plus du taux du pays d'où on vient, mais il semble quand même qu'un immigrant se suicide moins qu'un canadien, ce que je trouve positif !
  13. , z'aiment pas non plus les pommes quand on sait qu'une pomme fait en moyenne 200g, ca en fait 15 par an seulement!!!!! Franchement je mange pas 15 pommes par an Par contre je dois bien être à 8 kg de fraises par an Puis je tiens à souligner pour ceux qui n'iront pas voir les tableaux qu'on parle de FRUITS FRAIS, il y a aussi des stats pour les fruits mangées sous des formes conditionnées.
  14. Promis j'ai bientôt fini de saoûler avec les stats Mais j'écume le site de stat canada. http://www.statcan.ca/Daily/Francais/031222/q031222c.htm Décembre 2003. Situation démographique du Canada : la fécondité des immigrantes Selon une nouvelle étude qui paraît aujourd'hui dans la dernière édition du Rapport sur l'état de la population du Canada, la fécondité des immigrantes commence à diminuer peu après leur arrivée au Canada, puis rejoint éventuellement celle des femmes nées au Canada. Cette évolution de la fécondité peut se révéler un indice du niveau d'intégration des immigrantes à la société canadienne. En effet, plus elles vivent depuis longtemps au Canada, plus leur fécondité s'apparente à celle des femmes nées au Canada. Cette constatation est importante parce que le Canada s'appuie de plus en plus sur l'immigration pour assurer la croissance de sa population, étant donné la diminution de l'accroissement naturel - le nombre de naissances moins celui des décès. Depuis le milieu des années 1990, la migration internationale nette représente plus de la moitié de la croissance démographique totale. En 2001, le Canada a accueilli plus de 250 000 immigrants et près de 70 % de la croissance démographique au pays cette année-là découle de la migration internationale. La population née à l'étranger représente 18,4 % de la population canadienne en 2001, soit la proportion la plus élevée en 70 ans. À l'aide des données du recensement, l'étude permet de comparer la fécondité des immigrantes à celle des femmes nées au Canada au cours du dernier quart de siècle. La fécondité des immigrantes arrivées au pays entre 1996 et 2001 était de 3,1 enfants par femme. En comparaison, parmi les immigrantes arrivées au pays il y a 10 à 14 ans, cet indice était de 1,5 enfant par femme. (En 2000, le niveau de la fécondité était également de 1,5 enfant par femme, soit le niveau le plus faible jamais enregistré au Canada.) De plus, l'analyse montre que la propension de la fécondité des immigrantes à converger vers celle des femmes nées au Canada était particulièrement marquée chez celles qui ont immigré avant d'avoir 15 ans et qui, par conséquent, ont fait leurs études en partie au Canada. La fécondité varie selon la région de naissance des immigrantes. Au cours de la période de 25 ans à l'étude, la fécondité des immigrantes originaires de certaines régions, telles que l'Asie du Sud, le centre-ouest de l'Asie ainsi que le Moyen-Orient, est demeurée élevée. De plus, l'étude examine la fécondité des filles nées au Canada de mères immigrantes, soit les Canadiennes de deuxième génération. De 1996 à 2001, leur fécondité a été de 1,4 enfant par femme, un niveau inférieur à celui de 1,8 enfant par femme de l'ensemble des immigrantes de première génération. Fécondité à la baisse chez les immigrantes et les femmes nées au Canada Le Recensement de 2001 a permis de dénombrer 337 700 enfants de moins de cinq ans qui sont nés au Canada de mères immigrantes. Le fait que ces jeunes représentent 22 % de tous les enfants de ce groupe d'âge constitue un indicateur de la fécondité élevée des immigrantes. Cette proportion est quelque peu supérieure à celle des immigrants dans l'ensemble de la population (18,4 %). Au cours de la période à l'étude, la fécondité a diminué à la fois chez les femmes nées au Canada et chez les immigrantes. Chez les femmes nées au Canada, elle a chuté de 10 %, passant de 1,64 enfant par femme pour la période de 1976 à 1981 à 1,47 enfant par femme pour celle allant de 1996 à 2001. Au cours des mêmes périodes, la fécondité des immigrantes a également diminué de 10 %, passant de 2,03 enfants à 1,82 enfant par femme, respectivement. La diminution la plus rapide a eu lieu parmi les femmes originaires du sud de l'Europe, dont la fécondité est passé de 2,17 enfants à 1,62 enfant par femme, soit une diminution de 25 %. Malgré une forte diminution de 1996 à 2001, la fécondité des femmes nées en Asie est demeurée de 29 % supérieure à celle des femmes nées au Canada. Parmi les femmes nées en Asie, la fécondité a chuté, passant de 2,54 enfants par femme pour la période de 1976 à 1981 à 1,89 enfant par femme pour la période de 1996 à 2001. Les données du Recensement de 2001 montrent que, durant la période de 1996 à 2001, la fécondité des immigrantes de certaines régions a dépassé sensiblement le seuil de deux enfants. Les régions d'origine de ces immigrantes étaient l'Asie du Sud (2,5 enfants par femme), le centre-ouest de l'Asie et le Moyen-Orient (2,2 enfants par femme), ainsi que l'Afrique (2,4 enfants par femme). Conjoncture démographique : la fécondité au plus bas niveau jamais enregistré Le présent rapport fournit également un examen complet de l'état de la population au Canada, par la description des tendances récentes de la croissance démographique, de la nuptialité, du divorce, de la fécondité, de l'avortement, de la mortalité et de la migration. En 2000, la fécondité était de 1,49 enfant par femme, soit le niveau le plus bas jamais enregistré au Canada. La fécondité au Canada s'est rapprochée du niveau observé dans les pays européens (1,4 enfant par femme), mais est demeurée inférieure à celle des États-Unis (2,1 enfants par femme). Au pays, la fécondité variait, allant de 1,25 enfant par femme à Terre-Neuve-et-Labrador, à 1,79 enfant par femme en Saskatchewan. La diminution du taux de fécondité des femmes de 20 à 24 ans est particulièrement importante. En 2000, ce taux est passé sous le seuil de 60 pour mille pour la première fois. Au cours des 30 dernières années, ce taux a chuté de plus de la moitié. La fécondité dans les régions métropolitaines de recensement est inférieure à celle observée dans les régions non métropolitaines. La fécondité de l'ensemble des régions métropolitaines s'est établie à 1,48 enfant par femme, comparativement à 1,67 enfant par femme dans les régions non métropolitaines. La fécondité de toutes les régions métropolitaines de recensement situées à l'est d'Oshawa était située sous la moyenne nationale. La fécondité à St-John's s'est établie à 1,24 enfant par femme. C'est la région d'Oshawa (à 1,66 enfant par femme) qui a affiché la fécondité la plus élevée, tandis que la région de Victoria (à 1,23 enfant par femme) a affiché la fécondité la plus faible.
  15. http://www.statcan.ca/francais/freepub/21-...-XIF2003001.pdf Tu as des tableaux inbuvables là-dedans avec les fruits et légumes Genre (si je lis bien) : 7.8 kg de pommes en 2002 6.3 kg de bananes 111 grammes d'abricots (z'aiment pas les abricots ou quoi ) 38 kg de pommes de terre et le second plus consommé : la carotte, avec 5 kilos !
  16. http://www.statcan.ca/francais/freepub/21-...-XIF2003001.pdf Pour la deuxième année de suite, la consommation d?alcool a fléchi légèrement, chaque adulte au Canada ayant bu 101,6 litres de spiritueux. La bière reste la boisson de prédilection, comptant pour environ 80 % de tout l?alcool consommé. La consommation de lait a fléchi pour la troisième année d'affilée, chaque Canadien en ayant bu 63,1 litres en 2003, en baisse par rapport aux 66,5 litres enregistrés il y a 10 ans.
  17. Leur étude indique que la conso de boeuf a augmenté en 2003 malgré quelques scandales (embargo sur boeuf canadien suite ESB), apparemment pour des raisons de "patriotisme" (je simplifie ). Deux facteurs importants peuvent expliquer cette hausse de la consommation de boeuf. D'abord, le public canadien a épousé la cause des éleveurs de bovins catastrophés par l'apparition de l'ESB. Ensuite, les prix du boeuf ont baissé rapidement durant la seconde moitié de l'année. Je vais essayer de retrouver des stats pour la France !
  18. Ah bon je savais pas que le football canadien existait
  19. La conclusion est intéressante aussi : L?immigration continue de contribuer à la croissance de la main-d?oeuvre canadienne. En fait, environ 70 % de la croissance de la main d?oeuvre entre 1991 et 2001 est attribuable aux immigrants (Centre syndical et patronal du Canada, 2003). Beaucoup de régions rurales sont confrontées au défi de créer de l?emploi pour garder leurs jeunes ou attirer des immigrants. Cependant, certaines divisions de recensement attirent de nouveaux immigrants. Durant la période de 2000 à 2002, parmi les 30 premières divisions de recensement, 9 régions à prédominance rurale se distinguaient pour leur capacité d?attirer des immigrants. Ces divisions de recensement sont situées surtout en Colombie-Britannique, en Alberta et au Manitoba. Des études ont révélé que les immigrants choisissent d?abord leurs destinations en fonction des liens de parenté et des réseaux ethniques, puis des perspectives d?emploi (Statistique Canada, 2003). De nouveaux arrivants suivront si un groupe d?immigrants atteint la masse critique dans une région particulière. Cependant, leur décision de rester dépendra également de l?emploi, de l?existence des services sociaux nécessaires et de l?accueil reçu dans la collectivité. Les gains médians des nouveaux immigrants étaient inférieurs à ceux des immigrants de plus longue date et à ceux des personnes d?origine canadienne. Les régions rurales du Nord offrent aux immigrants une situation unique. Peu d?immigrants vont s?y établir, mais ceux qui jouissent à leur arrivée d?une plus grande mobilité et qui possèdent un bagage scolaire solide peuvent y dénicher de bons emplois, qui leur procurent une rémunération supérieure à celle qu?ils pourraient obtenir ailleurs au Canada.
  20. http://www.statcan.ca/Daily/Francais/040329/q040329a.htm Le suicide chez les immigrants au Canada 1995 à 1997 Les immigrants sont moins susceptibles de se suicider que les personnes nées au Canada, selon une nouvelle étude portant sur les données de l'état civil du Canada. En outre, le taux de suicide est plus faible chez les immigrants établis à Toronto, à Montréal et à Vancouver que chez ceux établis ailleurs au Canada. De 1995 à 1997, en moyenne, 3 863 personnes se sont enlevé la vie chaque année au Canada. Ce chiffre correspond à un taux brut d'environ 13 suicides pour 100 000 personnes pour l'ensemble de la population canadienne. Chez les immigrants, le taux comparatif (qui tient compte de la structure par âge particulière de la population d'immigrants) était de 7,9 suicides pour 100 000 personnes, comparativement à 13,3 pour 100 000 chez les personnes nées au Canada. L'étude montre que les taux de suicide chez les immigrants s'apparentent davantage à ceux observés dans les pays d'origine de ces immigrants qu'à ceux observés au Canada. Néanmoins, les taux variaient considérablement selon le lieu de naissance. Ils étaient assez élevés chez les personnes nées en Océanie et en Europe, tandis qu'ils étaient les plus faibles chez les personnes originaires d'Afrique et d'Asie. Écarts moins prononcés entre les hommes et les femmes chez les immigrants Parmi les personnes nées au Canada, le taux de suicide est plus élevé chez les hommes que chez les femmes. Il en est de même parmi les immigrants, mais l'écart est plus faible. Au cours de la période de trois ans allant de 1995 à 1997, les hommes nés au Canada étaient quatre fois plus susceptibles de se suicider que leurs homologues féminins, tandis que chez les immigrants, les hommes étaient trois fois plus susceptibles que les femmes de se donner la mort. De nouveau, le risque que des hommes ayant immigré au Canada se donnent la mort comparativement aux femmes immigrantes avait tendance à être plus près de celui observé dans les pays de naissance de ces personnes que de celui observé chez les personnes nées au Canada. Note aux lecteurs Le terme «immigrant» s'entend des personnes nées ailleurs qu'au Canada, que les parents soient Canadiens ou étrangers. Puisque certains suicides sont probablement déclarés comme étant des décès accidentels, les chiffres présentés ici pourraient être sous-estimés. Par ailleurs, le concept de «décès par traumatisme autoinfligé» de la Classification internationale des maladies, neuvième révision, pourrait donner lieu à une surestimation du nombre de suicides à cause du dénombrement de personnes qui se sont donné la mort accidentellement. Les comparaisons internationales des taux de suicide doivent être interprétées avec prudence à cause de différences entre les méthodes d'enregistrement des suicides, les populations couvertes et les chiffres de population utilisés comme dénominateurs pour calculer les taux. Le petit nombre de suicides commis par des immigrants (environ 500 par année) limite également l'analyse. L'âge est un autre facteur selon lequel se distinguent les taux de suicide chez les immigrants et chez les personnes nées au Canada. Chez ces dernières, le suicide est un phénomène «plus jeune». L'inverse s'observe toutefois dans la plupart des autres pays, comme en témoigne d'ailleurs le taux de suicide chez les immigrants du Canada qui tend à augmenter avec l'âge. Prévalence du suicide plus faible chez les immigrants établis à Toronto, à Montréal et à Vancouver Plus de 60 % des immigrants établis au Canada vivent dans trois régions métropolitaines de recensement, à savoir Toronto, Montréal et Vancouver. De 1995 à 1997, le taux de suicide chez les immigrants de ces trois villes regroupées était d'environ 6 pour 100 000, tandis que chez ceux vivant ailleurs au Canada, il était d'environ 10 pour 100 000. Le soutien social et émotionnel qu'offrent les collectivités ethnoculturelles établies dans ces villes pourrait peut-être expliquer en partie les taux de suicide relativement faibles associés aux immigrants.
  21. http://www.statcan.ca/francais/freepub/21-...-XIF2003004.pdf (recommandation : clic droit avec la souris et enregistrer le fichier sur le disque dur) Voici un résumé mais qui ne remplace l'étude qui est au complet : lien ci-dessus. Les immigrants au Canada rural : mise à jour 1981 à 2002 La mise à jour confirme les tendances signalées précédemment et ajoute des détails au sujet des municipalités ou des régions rurales où le plus grand nombre d'immigrants choisissent de s'installer. Au Canada, les régions rurales ont attiré environ 12 000 immigrants par année en 2001 et en 2002, en baisse par rapport au sommet de 23 000 atteint en 1993. Les régions rurales qui ont attiré le plus grand nombre d'immigrants y sont parvenues grâce à des réseaux culturels et à une bonne disponibilité d'emplois. Les nouveaux immigrants qui sont arrivés dans les régions rurales entre 1996 et 2001 étaient beaucoup plus susceptibles d'avoir terminé leurs études secondaires et d'avoir un diplôme universitaire. Néanmoins, ils étaient moins susceptibles d'avoir trouvé un emploi, comparativement à d'autres groupes d'immigrants et aux personnes nées au Canada. Les immigrants qui arrivaient au Canada avaient encore plus de mal à trouver un emploi dans les régions à prédominance rurale. Les nouveaux immigrants en région rurale étaient moins susceptibles d'occuper un emploi dans un service professionnel, un commerce ou une usine. Par ailleurs, ils étaient plus susceptibles d'en trouver un dans les secteurs de la vente et des services de même que dans le secteur primaire. Le plus grand écart entre le taux d'emploi des hommes et des femmes a été observé pour les nouvelles immigrantes, comparativement à tous les autres groupes d'immigrants et à la population née au Canada.
  22. Sans vouloir être pessimiste (outre le fait que j'aime pas ça ), le football américain aura bien du mal à prendre une part de marché chez nous... déjà ça fait trop "américain" (et quoi qu'on en dise ça joue sur l'attirance), de plus c'est comme du rugby, mais avec des tenues excentriques (rugby qui lui-même n'est pas au mieux). Bref, le football a encore de beaux jours devant lui
  23. En 2003 le canadien a mangé : 14,2 kg de boeuf (+ 5%) 13,6 kg de volaille (stable sur 1 an) (dont 10,8 kg de poulet) 10,9 kg de porc ( - 9.6 %) 5,7 kg de riz (stable sur 1 an) Plus de détails en cliquant sur le lien : http://www.statcan.ca/Daily/Francais/040526/q040526e.htm
  24. Nicolas

    Montréal sur mer

    Ah, des "rollers boys" tu as voulu dire ?! Tu sais moi et l'anglais
  25. Nicolas

    Montréal ou Québec ?!

    Tu sais les stats on leur dait dire ce qu'on veut. Si t'as moins de monde à Québec tu as moins de chômage dans un sens (tout comme on peut citer un village paumé où si y'a 100 habitants y'a peut-être aussi 100% de chômage). Méfiance des stats Tu dis être informaticien, je ne sais pas en quoi, mais peut-être que tu t'es déjà renseigné et que ce que tu fais est recherché. Québec est aussi plus francophone. Perso si je choisis Montréal c'est pour limiter les risques de toute sorte, je ne pars pas au Québec pour vivre mon rêve dès les premiers jours (si j'ai un rêve hein ), mais plutôt "assurer" et ensuite voir... on peut toujours déménager Et qui sait si on tombe pas amoureux de Montréal au bout du compte
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