mima
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Bonne chance Toursette pour "BON" plan "B" Tu as l'air d'être une femme bien forte toi ! Je ne doute pas que le plan "B" marchera...avec ton talent ! M
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Pour moi c'est simple cette année : je rentre en France ce jour là.... Christophe. ← Donc son cadeau ça sera toi ?!!! c'est très mignon ← Oui, je trouve ça mignon aussi ! Il semble que mon immagination est très fertile ...là je te vois déjà Christophe avec ce ruban rouge.... Tout à fait d'accord avec JayJay ...et si en plus il y a un immense bouquet de fleurs qui arrive avec, c'est royal ! Je pense que chaque maman aime les fleurs ? C'est qui peut les toucher, c'est le fait que vous êtes "loin" de chez elles et les fleurs arrivent de ta part à leur porte....(achetées par internet et envoyées), croyez-moi, ça marche ! (même si fait avec ma belle-mère, car ma maman n'est plus là.......) M
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Oui Monsieur, c'est bien clair ! Toutefois, si tu as le temps va jeter un coup d'oeil sur mon message "immigrer en 2 temps...." tu comprendras peut-être mieux mes questions. Merci à tous de vos répones A+ M
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Merci pussy, ta réponse est précise et claire. Merci loutre, là, ta réponse est claire. Donc, je présume que ceux qui pour différentes raisons n'ont pas demandé le fameux formulaire SE....bis, ils n'ont pas prévenu la secu de leur départ de la France ??? M
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Techniques de reconversion 101 par O'Hana
mima a répondu à un(e) sujet de Laurence Nadeau dans Québec
oui oui oui, très constructif ! Merci O'Hana ! M -
moi aussi, comme je l'ai lu la semaine passée....
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Merci Zogu, En effet, j'ai bien lu toutes ces informations sur le site de RAMQ. C'est le réglement, par contre il semble que les gens les recoivent bien avant ce délai. Alors ma question est : MERCI M
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OM53, tout à fait d'accord avec toi ! Juste par une pure curiosité je pose la même question : Je me demande si je formule bien ma question, car j'ai comme sensation de ne pas être comprise... Merci quand-même de vos réponses M
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Zogu, cela me parait normal vu l'article ci-dessous : (soucre : ledevoir.com du 16-17 avril 2005) Ados au pays de la porno Marie-Andrée Chouinard Édition du samedi 16 et du dimanche 17 avril 2005 Des bambines à tresses qui distribuent les fellations dans l'autobus scolaire. Des garçons de 15 ans qui promettent des cadeaux aux petites de l'école primaire d'à côté en échange de faveurs sexuelles. Des adolescentes qui multiplient les «fuck friends». Des grands de secondaire 4 qui font des concours de masturbation en pleine classe. La bamboula du vendredi soir qui revêt des allures d'orgie. Vous en avez assez? Vous n'y croyez pas? Eux non plus n'y croyaient pas. Dans l'auditorium d'une école secondaire de Montréal, quelques dizaines de parents écarquillaient les yeux et retenaient mal leur ébahissement -- et leur souffle -- devant les propos de cette conférencière invitée par l'infirmière de l'école pour causer ados et éducation sexuelle. «Je ne veux pas vous alarmer, mais je crois que la situation que l'on vit actuellement dans les écoles est inquiétante», leur avait d'entrée de jeu lancé la sexologue Francine Duquet. «Les jeunes vivent des expériences sexuelles étonnantes de plus en plus jeunes, et la société hypersexuelle dans laquelle ils baignent banalise le phénomène.» Ces parents ont écouté la professionnelle pendant trois heures. Mal à l'aise au début, souvent consternés, parfois même dubitatifs, ils l'ont entendue brosser un portrait en effet inquiétant des pratiques et du discours sexuels de leurs enfants, qu'on dit de plus en plus précoces. Cela tourmente les spécialistes, qui évoquent maintenant avec assurance la «sexualisation de l'enfance». L'âge de la première relation sexuelle se situe toujours autour de 15 ans et demi, mais il pourrait bien s'agir d'un leurre puisque la vogue actuelle dans les écoles donne la cote à la fellation, et ce, même du côté des écoles primaires, où vestiaires et toilettes sont souvent sous haute surveillance. «En ce moment, le primaire est notre baromètre», explique Francine Duquet, professeure de sexologie à l'Université du Québec à Montréal (UQAM). «C'est de là qu'on saisit que ce qui se passe est inquiétant.» Et restez bien accrochés à vos sièges : dans les écoles, la mode est au fuck friend, et ce «copain de baise» n'a pas besoin d'être unique : on peut le multiplier sans engagement amoureux. Les jeunes filles confient pratiquer la fellation dans la pseudo-intimité des cabinets de toilette, en même temps qu'elles révèlent n'avoir jamais embrassé un garçon. Sans s'afficher comme lesbiennes, les demoiselles pratiquent allégrement les caresses entre elles pour émoustiller les garçons, qui en redemandent. Les trips à plusieurs dans l'obscurité des sous-sols sont monnaie courante, et il n'est pas rare que les garçons du secondaire reluquent dans la cour de l'école primaire d'à côté pour recruter une nouvelle élue... sexuelle. Dans une école secondaire de Montréal, la direction a même dû composer avec un drôle de phénomène : assis au dernier rang d'une salle de classe, les garçons se livraient à un concours de masturbation, coursant pour la première éjaculation, au vu et au su des copains et du prof, consterné et paralysé. Pendant ce temps, dans une école primaire, une fillette de neuf ans s'interroge candidement sur la pertinence d'envoyer à son nouveau petit copain une photo de... sa vulve. Sensationnalisme que tout cela, dramatisation et démesure, le tout livré à la sauce journalistique ? «Pas du tout», explique la sexologue Jocelyne Robert, qui vient tout juste d'exposer dans le livre Le Sexe en mal d'amour son ras-le-bol face à cette détérioration de la situation, qui se traduit par «une perte de sens et de signification liés au sexuel, un dérapage de cette société qui nage dans la pornographie et qui, en même temps, ferme les portes sur une véritable sexualité». «Nous n'avons évidemment pas de statistiques officielles sur le nombre de fellations dans les cours d'école, et ce ne sont pas toutes les petites filles de onze ans qui sombrent là-dedans, comprenons-nous bien», confie la sexologue. «Cela dit, ce n'est plus un phénomène anecdotique. Il faut réagir.» «On ne peut plus être naïfs», renchérit Francine Duquet. «On ne peut plus jouer seulement la carte du "Je vais lui faire confiance" ou "Ça s'peut pas ! Pas mon fils, pas ma fille !". On ne peut plus mettre la tête dans le sable.» Mme Duquet sillonne le Québec depuis une vingtaine d'années et rencontre parents, enseignants, professionnels et élèves pour les convaincre de l'importance d'une véritable éducation à la sexualité, «qui dépasserait le condom et les MTS pour entrer dans l'univers des valeurs». Les questions des jeunes l'étonnent. Quoi ? Désormais, on se demande si, lors de la première relation sexuelle, il faut «faire les trois trous» ? On s'interroge à huit ans sur ce qu'est une «bonne pipe» ? Les réactions de certains adultes l'inquiètent. Comment ? Des parents découvrent en catimini que leur princesse de 13 ans utilise comme nom de clavardage «la cochonne» mais n'osent pas intervenir, craignant qu'ensuite, elle ne leur parle plus ? Des intervenants scolaires ne savent pas quoi répondre à un garçon de 13 ans qui se demande si sa petite amie de 12 ans aimerait bien le fist fucking (pénétration avec le poing) ? «Comment se fait-il que le premier réflexe ne soit pas de dire : "Ça n'a pas de bon sens !" et de questionner le pourquoi de ces questions ?», tonne Mme Duquet, qui s'alarme du doublé dangereux que constituent à la fois le plongeon des très jeunes dans un bain sexuel acidulé mais aussi la réaction -- ou l'absence de réaction -- des adultes qui les entourent. À question étonnante, réponse étonnante Vu sur un site de référence destiné aux jeunes : un ado expose un problème qu'il vit avec sa cousine de 12 ans, dont il est amoureux. Lors de leur première relation sexuelle, il tente de la sodomiser et s'interroge sur le fait que la petite crie sans arrêt. «Pouvez-vous résoudre notre problème ?», demande-t-il candidement. Plutôt que de s'étonner de l'âge de l'enfant et du lien familial qui unit les deux cousins, plutôt que d'expliquer les cris tout simplement par la démonstration évidente que la sodomie ne plaisait pas du tout, les intervenants ont d'abord recommandé l'usage d'un lubrifiant, exposant à coups de détails anatomiques et scientifiques que la pénétration anale n'est pas aussi aisée que la pénétration vaginale, une réponse qui a dû être corrigée à la suite d'une intervention condamnant une réponse aussi réductrice. La sociologue Diane Pacom, elle, observe tout cela d'un oeil soucieux. «Dans quelle société pornographique est-on en train de les balancer pour qu'on en soit là ?», demande la professeure de l'Université d'Ottawa. «Il y a une pression constante qui vient de partout : la pub, l'industrie musicale, les vidéoclips, la mode, les magazines. Nous sommes en train de renvoyer aux petites filles, aux gamines, un discours qui les "adolescentise". Et la responsabilité ne revient pas à ces jeunes mais aux adultes !» Partout, en effet, le raz-de-marée sexuel nous submerge. Une publicité télévisuelle de lunettes qui évoque les trips à trois. Un magazine destiné aux ados qui vante les «99 trucs coquins pour amener votre mec au septième ciel». Des boutiques de lingerie féminine qui vantent aux 8-12 ans les mérites du G-string. Les idoles féminines de la chanson qui s'embrassent à pleine bouche lors des soirées de gala. La populaire émission Loft Story, diffusée bien avant le dodo des plus petits, qui renvoie l'image d'une concurrente confiant son appétit du jour : «J'ai envie de manger une grosse queue.» Société à saveur pornographique, jeunes consommateurs avides de sensations fortes, adultes eux-mêmes vaccinés et parfois hésitants à dénoncer l'inacceptable : un mélange explosif qui donne naissance à des situations inquiétantes devenues le pain quotidien de plusieurs jeunes. «Il faut faire ce qu'on peut, comme adultes, pour prendre nos responsabilités et protéger nos petits», explique Diane Pacom. «Ce sont des antidotes qu'il faut donner à nos jeunes, un esprit critique plutôt que de leur renvoyer une image coupable, des outils pour les délivrer de ce dérapage pornographique qui est le problème de la société adulte, pas le leur.» L'ampleur de la situation, nourrie par des rencontres, des courriels, des appels téléphoniques, a créé chez la sexologue Jocelyne Robert le besoin de déverser ce trop-plein dans son livre, qu'elle associe tant à un «cri du coeur» qu'à un «cri d'alarme». «Si j'avais à résumer en une phrase ce qui me frappe le plus dans tout ça, c'est le désarroi sexuel, la perte de sens et de signification liés au sexuel», explique-t-elle en entrevue. «Quand on me réplique que ce n'est pas pire aujourd'hui qu'avant, je dis : mon oeil !, ajoute-t-elle. Je pense qu'on vit une période qui est sans précédent, une période qui n'est portée par aucune valeur. Avant, on était en amour et on avait des pensées cochonnes. Maintenant, les jeunes baignent de façon extrême dans le sexe, le génital, et ils ont des fantasmes amoureux ! C'est le monde à l'envers !» C'est dans ce contexte inquiétant que le ministère de l'Éducation a choisi de donner le coup d'envoi à une autre forme d'éducation à la sexualité qui ne «relève plus maintenant d'une seule matière ou d'un seul intervenant mais qui devient la responsabilité d'un ensemble de partenaires», selon les voeux du MEQ. Exit le programme «Formation personnelle et sociale» (FPS), où un certain nombre d'heures étaient allouées à cette portion de l'éducation à la sexualité. «Plus que jamais, nos jeunes ont besoin d'entendre parler d'éducation à la sexualité», explique Geneviève Lalonde, l'une des rares sexologues au Québec à travailler directement dans une école secondaire. «C'est plus des farces ! On pense à faire des animations sur la pornographie au primaire alors qu'il n'y a pas si longtemps, c'est de menstruations et de poils qu'on leur parlait !» Embauchée par le CLSC du coin, Mme Lalonde passe désormais toute sa semaine à la polyvalente Montignac, située à Lac-Mégantic, et organise des formations spéciales destinées aux jeunes tout en les rencontrant individuellement. Elle confirme cette modification du paysage sexuel des jeunes et s'alarme de devoir désormais intervenir pour désamorcer des crises... au primaire. De nouveaux problèmes «On se retrouve maintenant avec des problèmes que nous n'avions pas il y a à peine trois ans», explique-t-elle, relatant qu'une enseignante d'une école primaire lui confiait récemment que la moitié des filles de sa classe de sixième année avaient déjà eu des relations sexuelles. «Les jeunes ont besoin de savoir si ce qui se passe chez eux est normal, et c'est un peu comme s'ils étaient toujours en manque de sensations fortes.» Quel sort attend ces jeunes qui consomment crûment la sexualité ? Jocelyne Robert croise de jeunes adultes désabusés et des ados dysfonctionnels, mais d'autres stoppent la machine, «écoeurés par cette surdose qui n'a pas été satisfaisante». «Je viens d'entendre parler de ce jeune garçon de 16 ans qui affirme être tellement dégoûté par cette abondance de sexe qu'il a décidé d'être seul et de s'adonner à la lecture», relate Francine Duquet, qui y décèle à la fois un signe encourageant et un symptôme désolant. «Il y a encore des jeunes romantiques qui sont critiques face à cette surenchère sexuelle. Mais il est triste de constater que ces mêmes jeunes sont déstabilisés et déçus... » Retour dans l'auditorium de cette école secondaire. Le flot d'anecdotes livrées par l'animatrice a laissé certains parents sous le choc; d'autres sont décidés à prendre le taureau par les cornes et à causer sexualité le lendemain au petit-déjeuner. «Vos jeunes veulent vous entendre parler de sexualité et d'amour, explique Mme Duquet. Sous des allures blasées, ils veulent savoir ce que vous en pensez. Si, comme parents, vous ne réagissez pas, si votre silence est le seul signal qu'ils ont, vous leur indiquez que tout cela est finalement très acceptable.» ***
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Loutre, Merci de ta réponse, mais je ne la comprends pas trop ? Avant que ce fameux formulaire SE.... soit obligatoire les Français partaient sans lui....alors comment la secu en Frence pouvait savoir si les gens sont en Frence ou pas ? Alors, les forumists, avez-vous prevenu la secu en France ou pas ? fend la bise et moi-même, nous vous remrcions de vos réponses ! A+ M
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Salut, j'ai posé la demande le 31 mars et on m'a dit que j'aurais la carte soleil le 1er Juin...ça fait moins de 3 mois (2 en fait !) ←
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Salut TLM Sorry...encore moi avec les questions... Le délai de carence afin d'obtenir la carte "soleil" est de 3 mois, ma question est : combien de temps avez-vous attendu ? MERCI ! M
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Salut TLM ! Quelques questions : Avez-vous informé la secu en France de votre départ ? Si oui, comment avez-vous procédé et à quoi ça sert ? Merci de vos réponses ! M
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Katy ! Quel plaisir de te lire et ouffffffff (...un petit mouchoir discretement), je ne suis pas la seule ! Merci, M
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completement perdue ma tête Merci Jean-Phi ! C'est rassurant ! Et je relance mes voeux à tous ! A bientôt ! M
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Bonjour Lacann, Navrée de répondre seulement aujourd'hui à ta question (vraiment pas le temps ces dernières semaines... ) Notre choix de banque = Caisse Desjardins, comme pas mal des gens qui arrivent au Québec. Je ne sais pas si c'est une "bonne" banque ou pas, il faut voir "en pratique", mais si elle s'avère pas "efficace" il y en a tant d'autres ! ET MERCI A VOUS TOUS pour vos compliments ! Cela me fait plaisir de savoir que mes informations puissent servire et aider d'autres personnes, c'était d'ailleurs le but ! Bonne continuation à toutes et tous ! M
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JOYEUX ANNIVERSAIRE KATY ! M
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Merci Shagrine, ce sont les détails bien imporatants ! M ← Shagrine ? (c'est maintenant que j'ai réalise) N'étais-tu pas à Québec ? J'ai du perdre quelques info en route ? M
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Hello à TLM ! Merci de vos réponses ! Meuledor, merci pour l'offre...j'ai déjà trouvé, par contre elle peut interesser d'autres personnes ? Jean-Phi, tu pars de Ahuntsic et moi j'arrive... J'espère que tu te plairas à Rosemont ! Merci Shagrine, ce sont les détails bien imporatants ! A TOUS ! Où que vous soyez, où que vous trouviez votre "home, sweet home", je vous souhaite que vous y soyez BIEN ! M
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MERCI A TOUS DE VOS REPONSES, et Mysteral pour le lien M
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Salut TLM ! Dans mon message d'il y a quelques jours, (titre : Immigrer en 2 temps + quelques nouvelles) lequel par ailleurs n'a pas eu tant d'intérêt que ça... ...mais bon la question n'est pas là... Donc je continue sur ma première idée : Ceux qui connaissent : pourriez-vous me donner quelques informations sur Ahuntsic "siuplééé" MERCI ! M
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Salut TLM J?ai suis allée voir dans FAQ?pas trouvé de réponse? Alors mes questions sont suivantes : 1. Quelle est la différence entre QWERTY « US » Et QWERTY « canadien français » ? 2. Lequel des deux on trouve dans le milieu professionnel (dans les bureaux) ? 3. Lequel des deux il faudrait choisir dans l?achat d?un PC portable (pour rester en accord avec le même clavier qu'au boulot) ? Merci de vos conseils M
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Salut ! C'est dans le but d'aider que j'ai écris ce message . J'espère qu'il sera utile. Aminet1, Marion a déjà répondu à ta question. A+ M
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Bonjour Ghislaine, Je t'envoie PM. Sinon, ton site est : SUPER !!! Magnifiques tes tableaux ! M





