Boris

Regarder les pitounes sur la main => regarder passer les belles filles.

Câler l?orignal à côté de la bolle => Vomir à côté de la cuvette

Faire la baboune => bouder

S?exciter le poil des jambes => s'énerver (pour celle du début: Frapper dans le beurre => rater son coup)

Frapper dans le beurre

Superbe message! Je suis content de voir que toi et ta petite famille vous vous plaisez bien à Sherbrooke. Pour ce qui est de travailler à + de 170 kms de son "home sweet home", il est vrai que cela doit être très contraignant. Surtout avec l'hiver du Québec! Je te souhaite bonne chance pour trouver une job qui te plaise sur Sherbrooke. (et gaffe aux chevreuils ) Et bonne chance également pour ton mari!

Ton témoignage reflète bien la mentalité des entreprises nord-américaines. Effectivement, du coté de l'employé cela permet d'être libre comme l'air lorsqu'on l'on veut changer de job et donc d'évoluer plus rapidement dans sa carrière professionnelle. Je te souhaite plein de bonnes choses dans ton proche avenir Redflag! Je croise les doigts pour toi.

Il suffit de demander Merci pour les infos sur les prix pratiqués c'est super intéressant d'avoir des infos pour se faire une idée.

Merci pour ce témoignage. Il est vrai que l'ouverture d'esprit et l'aspect multiculturel au Canada est bien développé et c'est l'avenir de l'humanité je crois. Contrairement à la France, par exemple, où la peur de l'inconnu frappe la plupart des français.

En ce qui me concerne, j'ai décidé de me lancer dans l'aventure car je suis beaucoup plus proche dans ma tête de la mentalité nord américaine que de celle de bon nombre de français. Je suis conscient que c'est un nouveau départ et surtout un départ depuis zéro mais je sens bien que mon avenir est de l'autre coté de l'Atlantique. Voilà pour faire court car comme beaucoup d'entre vous je pense, je pourrais écrire des pages et des pages sur ce sujet. J'en profite pour bien dire à ceux qui ont une vision paradisiaque du Québec, que le paradis n'existe pas sur terre et que l'eldorado n'existe pas (ou plus). D'où l'utilité de se mettre dans le bain en lisant la presse québecoise par exemple ou encore en regardant les journaux télévisées grace à Internet afin de mieux cerner où on va mettre les pieds.