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Bonjour, N'oubliez surtout pas que si l'accouchement a lieu à l'extérieur du Canada, l'enfant devra être obligatoirement déclaré au Service d'immigration du Québec afin d'obtenir un CSQ pour le bébé et aussi à l'Ambassade afin qu'il passe une visite médicale et obtienne son visa. Tout cela doit obligatoirement être fait avant l'arrivée de la famille au Canada à titre d'immigrant. Bonne chance Tourelou
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Bonjour, Voici une très bonne source d'info sur le métier : http://membres.lycos.fr/ambulanciers/ Tourelou
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Bonjour, À ma connaissance, chaque Service d'immigration du Québec (SIQ) à l'étranger possède sa propre base de données afin de créer les no de dossiers des candidats relevant de son territoire. Les numéros commencant par P relèvent du SIQ Paris; M, c'est le SIQ Mexico; H, c'est le SIQ Hong-Kong, etc. Les listes d'attente pour convocation relèvent de chaque SIQ. Il n'existe pas de liste d'attente universelle. Tourelou
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Bonjour, Pour trouver toute l'information professionnelle sur les pompiers au Québec, je recommande surtout le site suivant : http://www.incendie.com/ Tourelou
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Bonjour, Oui en effet, est-on obligé de rester au Québec comme immigrant lorsque l'on a été sélectionné par le Québec ? Eh bien non, on peut, dès son arrivée, s'établir partout au Canada et vice-versa, cad qu'une personne sélectionnée par le Canada peut s'établir aussi au Québec. Maintenant pourquoi est-ce possible ? Tout simplement parce que la Charte des droits et libertés du Canada permet la libre circulation des personnes (Citoyens et résidents permanents) à travers le Canada. Ceci implique le droit de s'établir et travailler où bon leur semble. Maintenant la vrai question serait la suivante : Ne devrait-on pas obliger les immigrants à rester dans la province où ils se sont engagés à immigrer ? Pour ma part, je suis contre cette idée pour deux raisons : - elle va à l'encontre des droits fondamentaux des personnes vivant au Canada; - la seule façon de garder et d'attirer des personnes (citoyennes ou immigrantes) au Québec est d'offrir un environnement social compétitif par rapport au reste du Canada (emploi, services, éducation,qualité de la vie, etc.). Sur ce dernier point, pour la première fois depuis des années le Québec a un solde migratoire intérieur positif. Cela veut dire que plus de canadiens de l'extérieur du Québec sont venus s'établir au Québec que de québécois sont partis pour les autres provinces. Les raisons de révolution sont trop multiples pour en parler ici mais je crois fermement que ce n'est pas par des obligations et des contraintes que l'on pourra obliger les gens à vivre au Québec mais bien par notre différence. Tourelou
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Bonjour, En réponse à la question : Pourquoi un CSQ avec ou sans entrevue ? La raison est fort simple. En vertu de la Loi sur la sélection des ressortissants étrangers, un certain nombre de points sont accordés en vertu de différents critères (langue. études, âge, etc., etc.). Pour être accepté à l'étape initiale, le candidat doit d'abord obtenir une note de passage minimale (50 pts); S'il atteint plus de 60 pts il peut recevoir son CSQ sans entrevue. S'il atteint seulement le seuil de passage, il est convoqué à une entrevue. À l'entrevue, le candidat peut aller chercher 10 pts supplémentaires en fonction de ses qualitées personnelles, motivation et connaissance du Québec. Un candidat qui obtient 53 pts par exemple sur dossier a donc besoin de 7 pts à l'entrevue pour être accepté. Pour un couple, les notes de passage sont de 58 pts et 68 pts respectivement. Un couple peut obtenir plus de pts en fonction du profil du conjoint et la présence d'enfants. En général, seules les personnes qui ont accompli et terminé des études en français pourront se voir accorder les points à connaissance du français sans entrevue; les autres devront être rencontré afin d'évaluer le français. Tourelou
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Bonjour, Pour votre info, le 11 novembre est jour férié seulement au niveau de la fonction publique fédérale (Gouvernement du Canada). Tous les autres paliers de gouvernement (Provincial et municipalités) travaillent normalement ainsi que le secteur privé. Par ailleurs, j'aimerai mentionner une différence importante entre le jour du Souvenir en France et au Canada. Pour la France, il s'agit toujours et encore du 11 novembre 1918 étant donné l'hécatombe monstrueuse de cette guerre et son impact sur toute une société. En France, tous les reportages du 11 novembre ne parlent que de la première guerre mondiale et on passe sous silence, les vétérans de la deuxième guerre mondiale, de la guerre d'Indochine, de celle d'Algérie, etc. Au Canada, le jour du souvenir à la même origine mais englobe depuis fort longtemps tous les vétérans (soldats, aviateurs, marins) de toutes les guerres, y compris de celle de Corée. De plus, les 50 ans de missions de paix du Canada à l'étranger sont aussi comprises dans les cérémonies du 11 novembre et, au yeux de nombreux canadiens, les vétérans qui ont participé à ces missions de paix sont des héros autant que ceux qui sont partis à la guerre.
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Bonjour, J'aimerai vous citer l'origine du coquelicot, symbole des vétérans au Canada : ¨ In Flanders fields the poppies blow Between the crosses, row on row That mark our place, and in the sky The larks still bravely singing, fly Scarce heard amid the guns below ¨ ¨ Au champ d'honneur, les coquelicots Sont parsemés de lot en lot Auprès des croix et dans l'espace Les alouettes devenues lasses Mêlent leur chants au sifflement Des obusiers ¨ John Mcrae 1872-1918- Officier canadien qui a écrit ce poème au champ d'horreur et y est mort quelques semaines après l'avoir envoyé à sa famille. Vous le retrouverez sur tous les billets de banque de 5 $. Les coquelicots (en carton) sont vendus par l'association des vétérans afin de ramasser des fonds destinés aux vétérans. J'en porte un.
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Mon dieu que vous êtes conservateur ! Comment peut-on juger aussi rapidement un tel ensemble architectural sans l'avoir examiné dans son tout. Je suis assez vieux pour me rappeller la construction d'Habitat 67 lors de l'exposition universelle de 1967 (j'avais 12 ans). C'était impressionnant de voir ces cubes être assemblés les uns sur les autres, d'y voir les passerelles reliant les différentes structures d'habitation. Chaque propriétaire possède un espace unique avec un balcon ne donnant pas sur celui du voisin, chaque bloc possède sa propre identité, son âme unique. Je vous rappelle la vision de Moishe Safdie, inventer un concept d'habitation où les gens ne vivent pas dans des clapiers à lapins; un endroit où chaque espace d'habitation est unique dans sa situation spatiale au sein d'une même structure d'habitation. Vous préférez peut-être les grandes tours d'habitations anonymes où nous avons tous le même appartement pu alors les quartiers avec des dizaines de maisons absolument similaires ? Pour votre info, cet ensemble est construit sur une jettée reliée au vieux-port de Montréalà l'époque il n'y avait que des hangars désaffectés. Ces appartements sont très recherchés et valent très cher sur la marché immobilier; la vue sur le port et la ville de Montréal est incroyable. J'adore cet endroit, je suis fier de ce qu'il représente et chaque fois que j'y vais, j'envie mes amis qui y habitent Tourelou
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Bonjour, Pour ceux que cela intéresse voici l'adresse pour obtenir l'étude dans son intégralité : http://www.oecd.org/document/2/0,2340,en_2...1_37455,00.html Par ailleurs, mon prof de math avait deux dictons au sujet des statistiques : - Il y a les mensonges, les maudits mensonges et finalement les statistiques. - Les statistiques, c'est comme un bikini; ce que ça montre c'est très bien, ce que ça cache est encore mieux ! Tourelou
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Perte de vitesse du français à Montréal ? Mon Dieu que je suis en désaccord avec cette affirmation. J'ai été élevé à Montréal, y ait vécu 40 ans et aussi habité à l'étranger (Damas, Hong-Kong et Paris) de nombreuses années. Chaque fois que je reviens chez moi, je suis fasciné, étonné, émerveillé par le progrès que fait le français à Montréal. Je crois que les gens ont oublié d'où nous sommes partis : une ville divisé en deux sur le plan linguistique et en réalité peu bilingue sauf pour une certaine élite canadienne-française (déjà ce terme me semble préhistorique !). Aujourd'hui, il est impossible, et je dis bien impossible pour quiconque de se trouver un emploi correct sans parler le français. Mon épouse enseigne le français langue seconde aux immigrants, et le discours de tous les immigrants allophones (espagnols, russes, pakistanais, etc.) est le même : si tu veux avoir un bon emploi, il faut parler français. Par contre, ce qui se passe maintenant à Montréal est à un autre niveau de l'histoire et c'est le manque de recul et de reflexion qui ammène des reflexions comme celle de ton amie. En premier lieu, Montréal est maintenant bilingue et ceci autant chez les francophones que chez les anglophones. Les québécois anglophones ont compris qu'être au Québec voulait dire pouvoir communiquer et travailler en français; ceux qui ne l'ont pas compris ne sont plus ici depuis belle lurette. Deuxièmement, Montréal s'est internationalisé. Que ce soit les organismes inetrnationaux, les sièges sociaux, les grandes entreprises mondiales, tout ces gens vivent et travaillent à Montréal. Soyons francs, ces personnes vivent et travaillent en anglais car elles sont ici sur une base temporaire. Il ne faut pas non plus passer sous silence la présence de l'Université MCGill situé en plein centre ville de Montréal et qui attire des milliers d'étudiants anglophones du reste du Canada et des États-Unis. Cette présence massive d'étudiants étrangers au coeur de Montréal peut donner une idée fausse de la réalité permanente. Je finirai par rajouter que les américains sont nos premiers touristes étrangers. Tout cela peut donner l'impression à une personne qui vivait parmi l'une des deux solitudes il y a 20 ou 30 ans que Montréal s'est anglicisé. je sais que ce n'est pas le cas car c'est une mauvaise perception des choses. Montréal a changé, oui, plus de gens y parlent l'anglais, oui mais pour y vivre il faut parler le français.
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Bonjour Frenchpeg, En premier lieu, je ne suis pas du tout choqué par le fait que tu me tutoie car nous sommes d'égaux à égaux dans ce forum. De plus, je ne suis pas en désaccord avec ce que tu dis mais j'ai bien sûr une opinion, ou plutôt une vision différente de la tienne. Je voulais surtout affirmer qu'apprendre le vouvoiement donne aux enfants un outil dans leurs capacités de communiquer. Malheureusement, et contrairement à ce que tu affirmes, nous n'apprenons pas le vouvoiement en lisant car pour cela il faut lire. Tu le sais sans doute, le déficit de lecture chez les jeunes est important sinon catastrophique. De plus, le jeune qui ne lit pas vient bien souvent d'une famille qui, pour plusieurs raisons, ne lit pas non plus et donc n'utilise pas de façon courante le vouvoiement dans la plupart des cas. Je ne sais pas si toi, ou tes enfants si tu en as, avez fréquenté l'école au Québec mais pour moi qui ait fait l'expérience du Québec et de la France il s'agit de deux mondes différents. C'est exact qu'en France le vouvoiement n'apporte pas (ou plus) une obligation de respect vis-à-vis l'enseignant mais j'ai pû constater que la France en tant que société a une autre vision de l'enseignement que la nôtre (elle n'est ni meilleure, ni pire mais différente). Je peux parler de fameuse lutte des classes que j'ai souvent rencontré dans mes rapports quotidiens en France, aux hussards la République, aussi aux problèmes d'intégration types ZEP. Encore une fois, je ne veux pas comparer car nous avons nos propres problèmes d'éducation ici et qui sont, ou ne sont pas, ceux de la France. Par contre, je trouve un peu insultant de me faire dire que c'est par snobisme intellectuel que nous introduisons le vouvoiement à l'école. Crois-moi, tout ce que nous voulons faire c'est protéger, défendre et développer cette langue qui fait ce que nous sommes. En toute amitié et sans aucune rancune, juste le plaisir de discuter entre amis.
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Bonjour, Le monde est petit car mes enfants vont justement à l'école St-Joseph et Notre-Dame de Laprairie et qui vient d'introduire le vouvoiement à l'école. Mes enfants ont connu le système français quelques années. Je peux donc, peut-être partager ma vision des choses. Premier point: contrairement à ce que plusieurs pensent, le tutoiement au Québec ne vient pas de l'anglais, c'est un argument réducteur qui ignore tout de l'histoire du Québec. Le tutoiement général existait bien avant l'arrivée massive de l'immigration anglophone (1790 et 1840). En effet, jusqu'à ces date, début de l'arrivée au Québec des Loyalistes et des immigrants irlandais, les québécois se tutoyaient déjà. L'explication en fort simple; lors de la défaite de 1759, toute l'administration française, la plupart de la noblesse et les grands bourgeois ont quitté la Nouvelle-France. Il n'est resté au Québec qu'une population de fermiers (paysans), artisans et petits ouvriers. Nous sommes devenus une société relativement égalitaire. Les seules personnes vouvoyés étaient le curé et les petits notables (notaire, maire, avocat, etc.). Je rappelerai qu'en France cette tradition du tutoiement entre inconnus existe toujours, pensez aux paysans au marché (idem en patois) ou alors aux compagnons. Il est certain que l'anglais et le you a renforcé cette habitude du tutoiement en ne donnant pas l'exemple de rapports verbaux à deux niveaux mais ce n'est pas ce qui nous a fait tutoyer au départ. Pour la petite histoire, je vous rappele que le vouvoiement existe toujours en anglais mais c'est Dieu que l'on vouvoie dans les textes religieux(thou, thee), Ce vouvoiement était courante au moyen-âge en Anglettere dans les rapports quotidiens mais est tombé en désuétude. Deuxième point : l'apprentissage du vouvoiement est un acquis pour tout enfant dans notre société actuelle. Contrairement à certaines opinions précédentes sur le sujet, il ne s'agit pas d'un rapport de force entre l'enseignant et l'élève (par contre on voit bien là le reflet du système français, donc ne pas faire de projection svp). Pour moi, l'apprentissage du vouvoiement élargit le répertoire langagier de l'enfant et lui permet de relativiser ses schèmes de communication. Le tutoiement universel est un leurre car certains croient y voir une communication égalitaire alors que c'est faux. Vous n'avez qu'à regarder l'anglais ! En conclusion, je suis heureux que la société québécoise évolue et remette les choses à leur place, cad se préoccupe du futur de nos enfants et leur donne les outils nécessaires pour faire des choix en toute connaissance de cause, et non pas par ignorance.
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On demande ce qu'un québécois "pur-laine¨pense de la place de l'homo kébécis dans la sociéte québécoise féministe. Je m'exprime en tant qu'époux (marié à une française du sud, Albi la rose) ayant vécu trois ans en France et père de famille de trois enfants dont un garçon de dix ans. Je rajoute que j'ai quatre soeurs et pas de frère. Je dirai tout simplement que j'ai parfois (souvent) l'impression de me retrouver 30 ans en arrière face à l'incompréhension totale des femmes que je cotoie quotidiennement (collègues, épouse, soeurs, filles) lorsque je réclame un traitement équitable pour les hommes québécois dans le contexte social, familial et professionnel. En effet, lorsque je m'insurge face à certaines publicités franchement anti-male, lorsque je fais remarquer que des commentaires féminins (et non pas féministes) sont choquants sur le rôle de l'homme en général et sa place dans notre société, enfin lorsque je m'oppose à un discour réducteur et caricatural de ce que nous sommes, je ne rencontre au mieux qu'incompréhension et au pire mépris de mes revendications. La femme québécoise a peut-être gagné sa guerre (et tant mieux pour elle) mais elle ne sait peut-être pas gérer sa victoire et semble oublier le chemin qu'elle a fait. Osez parler des problèmes que vivent les hommes dans nos sociétés: angoisse, stress, santé mentale, gestion de la frustration, violence familiale à l'encontre d'hommes fragiles psychologiquements. J'entends déjà les rires fuser d'ici ! Attendez d'avoir un fils à élever et vous comprendrez peut-être pourquoi je tire de mon enfance les enseignements que ma mère et mes soeurs m'ont donné pour réclamer au nom de mon fils non pas l'égalité, mais le respect de ce qu'il est, un homme. Je suis extrêmement fier de ce que les femmes ont accompli au Québec et je sais qu'il reste encore du chemin à faire mais j'ai parfois l'impression que votre vision de l'homme est la même que celle que votre mère ou votre grand-mère avait il y a 30 ou 40 ans. N'avez vous pas su apprendre de nos erreurs ? Parce que si vous ne changez pas avec nous, nous changerons sans vous. Je finirai en citant Sacha Guitry ¨ je suis contre les femmes... tout contre ! Tourelou
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Petit cours constitutionnel Juste une précision au sujet de la Reine, du Canada et des provinces: Le Canada est une monarchie constitutionnelle, comme le sont la plupart des pays européens (Belgique, Suède, Danemark, Pays-Bas, Norvège, Espagne, etc.). La reine d'Angleterre n'est pas la reine du Canada. En effet, c'est Elizabeth II qui est la reine du Canada et de chacune des provinces. Le Canada n'a absolument aucun lien quelconque avec l'Angleterre sauf le fait que nous partageons la même famille royale, celle de la dynastie des Windsors. Les accords de Westminster de 1932 ont coupé les derniers liens avec l'Angleterre ( déterminant entre autres que la Cour suprème du Canada est l'autorité finale en matière de justice et non la Chambre des Lords). La reine Élizabeth II porte plusieurs couronnes différentes avec autant d'identités juridiques spécifiques; reine d'Australie, du Canada, d'Écosse, d'Irlande, d'Angleterre, du Commonwealth, etc. Il est donc erroné de parler de la reine d'Angleterre comme étant la reine du Canada (sport favori de nos immigrants français qui ne connaissent qu'une seule identité d'Élizabeth II, celle de la perfide Albion). De plus, en vertu de l'Acte constitutionnel de 1867, chaque province possède des pouvoirs exclusifs (et non délégués par le fédéral) ce qui signifie que ces provinces ont aussi la reine comme chef constitutionnel. Cela explique pourquoi nous avons comme représentant de la reine un gouverneur-général pour le Canada et des lieutenants-gouverneurs pour chaque province. Veuillez relire le serment de citoyenneté, on parle d'Élizabeth II, reine du Canada. Ceci n'est pas une défense de la monarchie en soi, juste une précision. Tourelou
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Bonjour, Pour les codes CNP je suggère plutôt l'adresse suivante qui est beauoup plus conviviale d'utilisation : http://www23.hrdc-drhc.gc.ca/2001/f/generi...nocsearch.shtml
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Bonjour, Étant donné la grande confusionqui semble régner dans les réponses des intervenants, je vous conseille d'aller à l'adresse suivante et où vous trouverez toutes les réponses officielles à vos questions. http://www.meq.gouv.qc.ca/rens/banque/Fich...ches/F95.htm#02 En général, seules les personnes qui ont étudié en anglais au Canada ou dont les parents (père, mère, frère, soeur) ont étudié en anglais au Canada peuvent intégrer le réseau scolaire anglais au Québec. Ceci veut donc dire qu'un immigrant anglophone venant de l'Angleterre par exemple devra envoyer ses enfants à l'école française. Un québécois qui a étudié dans le système francophone ne pourra pas envoyer ses enfants à l'école anglaise au Québec. Il y a des exceptions bien sur à ces règles et vous le retrouverez dans le document du Ministère de l'éducation. Par exemple, les travailleurs temporaires peuvent envoyer les enfants à l'école anglaise pendant 5 ans; mais s'ils devienent résidents permanents ils n'ont plus droit à cette exemption. Par ailleurs, je vous rappelle que vous pouvez inscrire les enfants dans des écoles privées anglophones mais uniquement celles qui ne recoivent aucune subvention du gouvernement québécois. Ces écoles non subventionné sont peu nombreuses et ont des frais de scolarité deux à trois fois plus élevé que les écoles privées subventionné . Je vous rappelle que ces dispositions s'appliquent uniquement pour l'école primaire et secondaire. À partir du collège (cégep) l'on peut fréquenter un cégep anglophone à son choix. En dernier lieu, cette obligation de fréquentation scolaire francophone s'applique aussi bien aux citoyens canadiens qu'aux résidents permanents, il n'y a donc pas de discrimination à cet égard. Tourelou





