Aller au contenu

carol94

Membres
  • Compteur de contenus

    14
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages posté(e)s par carol94

  1. Il y a 11 heures, JenRem a dit :

    C'est curieux comme cela me rappelle ma propre expérience. Arrivée depuis 1an et demi aussi mais à Quebec, j'avais envoyé avant de partir tous les documents au MELS, qui les a perdus puis les a finalement retrouvés. Suite à ça, j'ai du aller passer un test de français et enfin en décembre, on me délivrait mon précieux permis temporaire, valide 5 ans et soumis à conditions: repasser 12 crédits à l'université et faire après ça un stage. Je précise que j'ai été prof d'anglais pdt 10 ans en France et que j'adorais mon métier.

     

    Bonjour JenRem,

    Est-ce que ton capes a été reconnu? Car mon cape ne l'est pas et ils se basent sur mon deug et ma licence de Lettres-Modernes, et j'ai peur qu'avec cela je n'obtienne jamais l'autorisation d'enseigner. Tu as obtenu ton autorisation rapidement !

     

    Il y a 11 heures, JenRem a dit :

    Arrivée ici je savais que cela allait être dur mais je ne pensais pas que ce serait impossible. Je me suis faite refusée à la commission scolaire pour, je cite "manque d'expérience québécoise, revenez plus tard, merci ". Et là, j'ai pris une gifle...j'ai postulé pour des tas d'annonces, écoles, garderies, cégep, cours privés, rien !!! Même si j'avais été recrutée par la commission scolaire cela dit, je n'aurais fait que des remplacements et n'aurais été payée qu'au remplacement, donc temporairement, ici prof débutant = emploi précaire ?Ne pouvant pas rester sans travailler , j'ai postulé ailleurs (secrétariat pdt 4 mois, mcdo 1 mois) et je travaille maintenant ds une entreprise de facturation médicale, rien à voir avec l'enseignement

     

    Tu n'as pas essayé les CEGEP car quand tu as été prof de collège ou lycée, tu n'as pas besoin de permis d'enseigner. Et tu peux postuler directement.

    Est-ce que ton poste t'intéresse ou tu comptes trouver autre chose?

    Il y a 11 heures, JenRem a dit :

    . En mm temps, c'est dur de se dire que je n'enseignerai peut-être plus mais je prends ça aussi comme un tremplin de ma nouvelle vie québécoise. Alors je te souhaite à toi aussi de pouvoir t'épanouir dans autre chose, de pouvoir trouver un job ds lequel tu as du temps pour ta famille et surtout de ne pas te décourager, l'aventure en vaut la peine!

    Oui c'est ce que je me suis dit aussi, et c'est vrai que 15 années d'enseignement laissent des traces même si au départ je me disais c'est une bonne chose de voir d'autres métiers, finalement l'enseignement te rattrape et on se rend compte que c'était finalement un beau métier :)

    Mais les moments de découragements ne durent pas, car même si trouver un emploi n'est pas facile, on a trouvé ce qu'on était venu chercher ici.

  2. Il y a 4 heures, carigou a dit :

    Bonjour JenRem, Carol et tous les autres !

     

    Merci pour ce retour d'expérience car il signifie peut-être que même si on pas le DEC ou le BAC qui va bien, on peut travailler dans le domaine des ressources humaines, de la comptabilité, du social, du secrétariat. Je n'évoque pas ici les postes d'experts ou de directeurs mais les postes d'assistant évidemment ou les compétences demandées sont moins pointues.

     

    Ma question est la suivante : le marché du travail québecois est-il cloisonné comme il l'est en France ou il faut le bon diplôme, la bonne expérience pour entrer dans le moule (on aime bien, les moules, ici) ou est-il relativement ouvert et le CV, les différentes expériences, la personnalité permettent de passer outre l'absence de formation dans certains domaines et de postuler à des postes de commis, secrétaire, assistant, technicien etc.  ?

     

    Je vous remercie

     

    Manneke (seuls les flahutes comprendront)

    Vis-à-vis de mon expérience, tu peux occuper un poste même si tu n'as pas eu les diplômes s'y référant, cependant le premier poste que j'ai eu, je l'ai obtenu grâce au réseautage, sans cela je ne l'aurais jamais eu.

    En ce moment malgré mon expérience dans l'administratif, des postes me sont refusés car je n'ai pas les diplômes demandés.

    Il n'y a rien d'acquis ici, la première chose avant de venir est de cibler les entreprises qui t'intéressent, de bien préparer ton CV et de faire ressortir les compétences que tu as acquises pour faire oublier que les diplômes que tu n'as pas et de te faire aider par des associations et ensuite d'en vouloir !

    Le conseil que l'on m'a donné ici est d' appeler les entreprises qui t'intéressent sous couvert de connaître leur fonctionnement, et ainsi de te faire petit à petit un réseau.

    Ma conseillère m'avait dit que 70 % des offres d'emploi étaient cachées !

     

  3. il y a 1 minute, carigou a dit :

    Merci Carol; ceci dit, j'aurais juste un PTO mais certains organismes comme le CITIM ou autres offrent leurs services pour pas trop cher.

     

    Es-tu en disponibilité au fait ? Peux-tu retrouvet ton boulot en France ?

     

    A PLUS

    Oui je suis en disponibilité en droit pour suivi de conjoint et grâce à cela je peux redevenir enseignante si je rentre.

    Et toi ? Tu vas te mettre en dispo ?

    Tu ne peux pas avoir des passerelles avec les collèges français ici du côté de l'administratif?

  4. il y a une heure, carigou a dit :

    Vous avez raison d'autant plus que je suis déjà sur LinkedIn depuis 3 ans

     

    Pour le CV, il y'a effectivement suffisamment de ressources sur le net

     

    Et puis si tu obtiens la résidence permanente ou si tu viens en PVT, il y a plein d'organisations ici pour t'aider: tu peux avoir de l'aide de rédaction de CV, de l'aide pour la préparation de l'entrevue, ou même un stage de trois semaines pour te permettre de découvrir les entreprises qui pourraient t'intéresser et aussi pour les appeler. Tu peux aller voir sur internet: L'hirondelle ou la CITIM pour ne citer qu'elles.

    Bonne continuation !

  5. Il y a 5 heures, JACK ISLAND a dit :

    Bonjour Carol94, je vous encourage à suivre les conseils de Cherrybee (surtout pour votre avenir au QUEBEC). Je sais aussi que venant d'un autre pays cela peut paraître difficile de reprendre les études mais c'est pas impossible sur tout si ces études sont prévues pour tout le monde et pour tout les ages sans exception, vous y découvrirez une nouvelle culture éducative, une nouvelle approche pédagogique, de nouvelle connaissance, tout cela vaut la peine. Cherrybee mentionne les mesures d'accompagnement, prenez le temps de les parcourir et pausez lui/ au forum des questions si vous avez des appréhensions.

     

    La reprise d'étude ne me fait pas peur, au contraire, ne serait-ce que pour avoir une chance d'obtenir un travail un peu plus intéressant et en relation avec mon ancien travail et mon ancienne expérience.

    Le problème est que personne à l'université de Montréal n'a pu me renseigner sur ma possibilité de reprendre les études et surtout si je pouvais commencer directement par la maîtrise ou s'il fallait que je reprenne un BAC.

    Il y a 5 heures, JACK ISLAND a dit :

    Tenez bon, soyez patiente et beaucoup de courage.

    Oui on essaye :), merci !

  6. Il y a 13 heures, trefle a dit :

    Pourtant ce n'est un mystère pour personne qu'enseigner ce n'est pas du jour au lendemain. J'ai lu quelques témoignages d'enseignantes venues vivre au Qc et qui ont galéré pour se faire embaucher déjà dans la Commission scolaire, que ça commençait toujours par des remplacements à droite et à gauche et ce durant des années avant d'obtenir un poste permanent.

    J'étais au courant que cela serait difficile, mais pas qu'on me demande sans arrêt des nouveaux papiers et des papiers que j'ai déjà envoyés et surtout changer sans arrêt de personne en charge de mon dossier et n'avoir aucune information relatif à celui-ci.

    Et ce ne sont pas les remplacements qui me font peur, j'ai commencé comme cela dans ma carrière, et j'étais préparé à le refaire.

     

     

    Il y a 13 heures, trefle a dit :

    Comme le dit Cherrybee tournez-vous vers le privé, vous aurez plus de chance.

    Je me suis tournée vers le privé qui m'a répondu qu'il fallait que j'ai l'autorisation d'enseigner pour aller dans leurs établissements.

     

    Il y a 13 heures, trefle a dit :

     

    Vous avez la bonne technique car vous avez déjà fait plusieurs emplois et acquis la fameuse expérience, ça viendra je n'en doute pas.

    Bon courage.

     

     

    Merci :)

  7. Il y a 14 heures, Cherrybee a dit :

     

    La validation des acquis de compétence, ici, ça s'appelle la RAC. C'est payant, souvent pas cher, mais vous saurez combien de temps ça vous prendra uniquement après avoir envoyé le dossier et après avoir été évaluée. 

    Je doute que vous ayez des équivalences sans reprendre quelques cours ici. 

    Evidemment, vous ne serez pas rémunérée pour faire cette formation. 

    http://reconnaissancedesacquis.ca/rac-en-bref/a-propos/

    Si vous voulez repartir aux études, vous avez le système de prêts et bourses. Vous serez rémunérée tout en faisant vos études. 

    http://www.afe.gouv.qc.ca/prets-et-boursesetudes-a-temps-plein/programme-de-prets-et-bourses/

     

     

    Je ne savais pas du tout qu'on pouvait faire une reconnaissance des acquis, je vous remercie ! 

    Pour les études, ça ne me gène pas d'en reprendre mais je table sur 2 ans maximum car si je n'ai pas de bourses, le côté financier va devenir difficile.

     

    Il y a 14 heures, Cherrybee a dit :

    Enfin, avec vos diplômes français, personne ne vous empêche de postuler dans le privé. Bonne chance. 

     

    Malheureusement non, j'ai été en contact avec la fédération des établissements du privé qui m'a expliqué que même pour leurs établissements, l'autorisation ou le permis d'enseigner était indispensable...

     

    Merci en tous les cas pour ces précieux conseils 

  8. Bonjour à tous,

     

    Voici mon récit de mes un an et demi à la fois pour raconter mon expérience mais aussi pour avoir un vécu des personnes qui ont été dans mon cas, et peut-être avoir un peu d'espoir.

     

    Tout d'abord, je me présente, Carole ancienne professeur des écoles dans mon pays qui est/était la France, arrivée à Montréal en été dernier.

    Venue ici grâce au suivi de conjoint, l'esprit ouvert et pleine d'espoir comme la majorité des immigrés.

     

    Après les premiers jours et les deux premiers mois de découverte, je me mets à la recherche d'un travail, et c'est là que les difficultés commencent. Je n'avais aucun problème pour démarrer au bas de l'échelle car j'avais lu beaucoup de récits auparavant et je savais que cela n'était pas simple au démarrage, et puis j'avais lancé ma demande de reconnaissance des diplômes et bien sûr la fameuse demande pour obtenir l'autorisation d'enseigner.

    J'ai suivi pour cela, les réunions d'informations des nouveaux immigrants, je me suis inscrite sur la liste de l'OFII qui d'ailleurs m'a clairement fait comprendre que le prochain rendez-vous avec un conseiller en recherche d'emploi sera pour l'année prochaine car ils étaient trop surchargés de demande à cause des PVT !

    J'ai pris rendez-vous avec une conseillère d'emploi pour m'aider dans la rédaction de mon CV et voir avec elle vers quels postes je pouvais me tourner avec mon expérience d'enseignante et mes diplômes français.

    Pour faire bref, j'ai pratiquement tout tenté excepté les emplois de vendeuse car je voulais profiter de ma fille les week-end durant l'année de transition France-Québec. J'ai postulé pour des postes de commis aux livres dans les associations, de réceptionniste.... aucune réponse parmi toutes les offres postulées, on m'expliquait qu'il me manquait une expérience de travail canadienne.

     

    J'ai eu finalement la chance grâce à ce fameux réseautage, d'être embauchée en temporaire dans une grande banque au niveau des ressources humaines, et là on arrêtait pas de me dire, une fois que tu y es, tu y restes !

    Après 7 mois de bons et loyaux services, mon contrat a finalement pris fin car ils n'avaient pas le budget pour me garder, ce qui s'est confirmé ensuite avec 600 licenciements.

     

    Mais bon, je me suis dit, ce n'est pas grave, c'était une expérience gratifiante et puis cela m'a permis d'obtenir cette fameuse expérience canadienne.

    Je me suis donc remise à la recherche d'emploi un peu plus enjouée qu'auparavant.

     

    Entre temps, j'ai dû encore faire des démarches pour obtenir des papiers en France pour la fameuse autorisation d'enseigner, et leur envoyer de nouveau que des papiers que je leur avais déjà envoyés, je vous passe les détails, voilà un an et demi que j'essaye d'obtenir cette autorisation.

     

    Bref, je refais mon CV en ajoutant mon expérience d'adjointe aux ressources humaines de cette grande banque, et je me mets à postuler dans les divers emplois au sein des ressources humaines ou des poste administratifs.

    Voilà maintenant trois mois que je postule sans succès.

    Sur toutes mes demandes, je n'ai obtenu que deux réponses!

    Je me suis alors tournée vers la reprise des études, en me disant naïvement, avec mon expérience et mes diplômes (BAC ici) je pourrais avoir des équivalences dans l'éducation.

    Cela aurait été trop simple, après une visite aux portes ouvertes de l'université de Montréal, j'en ressors encore plus dépitée car personne n'a pu me faire une réponse concrète sur les validations d'acquis ou les cursus à suivre.

    Et je ne me vois pas reprendre 4 ans d'études sans être rémunérée.

     

    Voilà ma tranche de vie, qui malgré les déceptions, les échecs, ne me rend pas amère sur ma décision de vivre ici, je continue à garder espoir que mon horizon finira par s'éclairer :)

     

    Si jamais des personnes ont été dans mon cas, anciens professeur des écoles, ou expériences de travail différentes de celles de votre pays, j'aimerais bien avoir vos témoignages pour savoir comment vous avez pu sortir de cette spirale infernale et enfin vous faire une place dans cette région du Québec.

     

    Merci à tous !

     

    Carole

  9. Bonjour Carol94,

    Il peut être intéressant pour vous de rencontrer un conseiller en emploi.

    Il y en a dans tous les centres locaux d'emploi de votre quartier.

    Il peut vous aider dans la rédaction de votre CV par exemple.

    Sinon, il existe de nombreux organismes qui aident les nouveaux immigrants dans la recherche d'emploi (rédaction de CV, marché caché de l'emploi...).

    Je vous cite par exemple: CREMCV, Objectif emploi...

    Bon courage Carol94, ne baissez pas les bras.

    Cenvint

     

    Bonjour centvint,

    Je suis actuellement avec un conseiller à l'emploi dans une association, j'ai fait d'ailleurs les deux formations dispensées par l'immigration pour l'aide à l'intégration et à l'emploi

    Et je reviens à l'instant de l'ofii (office français de l'immigration et de l'intégration) pour prendre rendez vous avec un conseiller à l'emploi mais à moins d'un désistement je n'aurais pas de rendez vous avant un an car ils ont une arrivée massive de pvt...

    Je ne me décourage pas, mais c'est vraiment pas évident de savoir où aller et où mettre son énergie.

    Merci en tous les cas pour votre aide

     

    Carole

     

  10. Bonjour à vous tous,

    Je me présente, je m'appelle Carole et je suis résidente permanente depuis juillet de cette année, arrivée il y a 3 mois sur Montréal. En France j'étais professeur des écoles avec 15 ans d'expérience après une licence de Lettre-Modernes.

    Je fais appel à vos connaissances car malheureusement mes début dans la recherche d'emploi sont assez difficiles.

    J'ai fais une demande du permis d'enseigner dont j'attends la réponse, et j'avais effectué une demande d'équivalence qui malheureusement s'est avérée inutile, mon diplôme n'étant pas reconnu.

    J'ai donc essayé de me diriger vers la petite enfance mais là c'est la même réponse, je n'ai aucune équivalence et ma formation n'est pas reconnue.

    J'ai alors postulé pour divers emplois qui demandaient des compétences ressemblant aux miennes tel que commis au rangement de livres ou aide secrétaire, mais je n'ai pas eu un seul entretien,

    Je n'ai aucune expérience québécoise et je me demande si ce n'est pas ça qui coince, mais comment acquérir une expérience si vos diplômes ne vous permettent pas de vous faire embaucher ou si le manque d'expérience ne vous donne pas la chance de débuter autre chose,

    J'ai l'impression de revenir sans cesse au point de départ et je commence à me poser des questions sur mon immigration. J'ai 40 ans et je ne me vois pas reprendre 5 ans d'études, même si cela me plaît, je dois ramener un salaire pour ma famille.

    Je pensais que mes compétences auraient pu me valoir quelques reconnaissances, mais je n'en vois pas le bout et je ne sais plus où postuler.

    J'aurais voulu connaître le parcours des personnes qui ont eu des débuts difficiles et vos démarches pour pouvoir vous faire reconnaître vos équivalences ou vos compétences.

    Merci d'avoir pris le temps de me lire

×
×
  • Créer...
Ouvrir un compte bancaire avant mon départ
© 2024 immigrer.com

Advertisement