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Zekikop

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    Zekikop a donné une réputation à franck.s pour un billet, L'hiver et la voiture   
    Beaucoup se posent des questions sur les conditions de circulation, les équipements et les conséquences du froid et de la neige sur les voitures.

    La question qui revient le plus souvent est celle de la traction intégrale, autrement appelée 4X4 ou AWD selon le système choisi. La réponse est oui si vous habitez en campagne ou si vous devez faire de la route. Si vous habitez dans un grand centre urbain et que vous n’en sortez que pour vos loisirs, la traction intégrale devient un confort qui a un prix. En effet, pour un même modèle le choix d’une traction intégrale peut faire monter la facture de plusieurs milliers de dollars. Il faut savoir que les grands centres urbains possèdent toute l’infrastructure nécessaire au déneigement et que les rues ne restent pas longtemps impraticables. Il vous faut donc calculer si les 2000 ou 3000 dollars que vous devrez débourser pour une traction intégrale se justifie par rapport à vos besoins.

    Le choix des pneus d’hiver est également très important. Du 15 décembre au 15 mars les pneus d’hiver sont obligatoires quel que soit votre véhicule. Les contrôles sont fréquents et en cas d’accident votre assurance ne vous couvrira pas.
    De manière générale, nous montons les pneus d’hiver début novembre et les enlevons fin Avril.
    Vous trouverez de nombreuses marques de pneus plus ou moins efficaces. Je vous recommande des pneus de marques japonaises, américaines ou européennes. Vous trouverez de nombreuses marques de pneus chinois sur le marché québécois. En général, leur efficacité est très moyenne voire mauvaise.

    Certains concessionnaires ou commerces vous proposent des forfaits montage/entreposage des pneus. A étudier en fonction de vos besoins.

    Le traitement anti corrosion. Un produit peu connu en Europe et qui pourtant trouve toute son utilité ici au Québec. Le traitement des routes enneigées se fait à l’aide de calcium et de sel. Il est donc utile voire indispensable de faire traiter sa voiture sans quoi celle-ci rouillera en quelques années.

    Vous trouverez plusieurs sortes de traitements.

    A l’huile, le moins cher, à refaire tous les ans voire deux fois dans l’hiver si celui-ci se prolonge. Comptez un peu moins de 100$.

    A la paraffine, efficace et durable, dure plusieurs années. Entre 300 et 500$.

    Électronique, qui empêche le calcium de se coller aux parties métalliques. Sans commentaires…

    Le démarreur à distance, très utile, il vous permet de démarrer votre voiture en étant éloignés de telle sorte que celle-ci est chaude lorsque vous montez dedans.
    Attention, car son utilisation est limitée par les municipalités.

    Au niveau équipement, je vous recommande de toujours avoir dans votre voiture un bidon de lave glace rempli, une balayette a neige, une petite pelle et un sac de gravier ou de sel pour vous sortir de la neige, des gants de rechange.
    Il peut également être utile de s’équiper d’une sangle de remorquage et d’un booster pack.

    Pour préserver l’intérieur de votre voiture, pensez aux tapis caoutchouc afin de ne pas souiller les moquettes avec le calcium présent sous vos chaussures. Celui-ci est très compliqué à enlever.
    Le code routier québécois n’impose aucun équipement, seul le bon sens est de rigueur.
    Je vous recommande de ne pas trop nettoyer votre voiture l’hiver car le gel pourrait bloquer serrures, portes ou provoquer des éclats de peintures dus aux micros fissures.


    Et puis si vous n’êtes pas sûr de votre voiture, mieux vaut rester au chaud chez vous si vous n’avez aucune obligation de sortir. Tomber en panne par -20 ou rester bloquer dans la neige la nuit, cela n’a rien de drôle.
  2. J'aime
    Zekikop a donné une réputation à Jefke pour un billet, Astuce #11 - acheter sa voiture : un experience pour booster son projet d'immigration   
    A peine arrive au Canada, il faut penser a un moyen de transport. Et tant qu'a faire, il est possible d'acheter un vehicule des la sortie de l'aeroport. Pourquoi pas. Mais est-ce vraiment judicieux ? 
     
    Mes voisins achetent leurs voitures sur facebook
    Certains de mes voisins achetent/vendent leurs voitures sur les reseaux sociaux. Au printemps dernier, l'un d'eux roulait dans une serie 4 convertible. A l'automne, il l'a revendue. Et pour cet ete il s'est offert une Mustang. C'est assez surprenant de decouvrir tout ce qu'on peut trouver sur des plate-formes comme facebook, craiglist ou kijiji. Mais pour un nouvel arrivant, il y a sans doute une autre approche a envisager...
     
     
    Acheter un voiture et construire sa cote de credit
    L'achat d'une voiture represente habituellement le budget le plus important a l'arrivee au Canada. Il est tentant d'acheter une voiture des la sortie de l'aeroport. Parfois en payant comptant. Mais pourquoi ne pas profiter de cette opportunite pour faire d'une pierre deux coups ? Par exemple : profiter de cet achat pour investir dans la construction de son historique de credit.
     
     
    Ma premiere experience d'achat automobile
    Chaque achat est motive par des attentes differentes. Certaines personnes privilegient le prix, d'autres la rapidite de la transaction, la proximite, une marque, etc. Certaines personnes preferent tout gerer sur internet. Particulierement au Canada ou le service client est generalement exceptionnel, ca peut pourtant valoir la peine de regler de nombreuses affaires au telephone ou en face a face. A titre d'illustration, voici mon experience personnelle :
    Plusieurs semaines avant mon depart pour le Canada, j'ai commence par dresser une premiere liste de vendeurs automobiles susceptibles de m'interesser. Une dizaine de jours avant mon arrivee, j'ai eu de longs echanges avec eux pour discuter des modeles qui correspondraient a mes criteres (budget, kilometrage, options...) et fixer des rendez-vous. Utiliser un numero de telephone local, pouvait donner l'impression que je me trouvais a proximite d'eux. Cela a sans doute contribue a faciliter les discussions. En tout cas, j'imagine que c'est plus engageant pour un commercial de jaser 30 minutes au telephone avec un client local plutot qu'avec un inconnu a l'autre bout du monde. Au cours des discussions, j'ai fait monter les encheres avec une exigence supplementaire : commencer par 2 semaines de location      pour me donner le temps d'obtenir un NAS, d'activer mon compte bancaire, recevoir ma carte de credit canadienne, m'assurer des conditions de financement, etc.     pour tester le vehicule tranquillement avant de me decider a l'acheter ou non. Ce qui revient en fait a negocier une location avec une option d'achat. Parmi les interlocuteurs qui ont repondu positivement a mes exigences, 2 se sont spontanement proposes pour amener directement leur vehicule a l'aeroport. Geste commercial tres appreciable. Enfin, un fois arrive en ville, avant de signer un contrat d'achat, j'ai pris le soin de refaire le tour des vendeurs. Histoire de comparer sur le terrain le deal apprement discute.  
     
    Les avantages obtenus
    Comme pour de nombreux produits, il est judicieux de magasiner son vendeur automobile et developper avec lui une relation de confiance. Miser sur le contact humain est souvent payant. Lorsque le courant passe bien entre les personnes, il peut y avoir des surprises. Pour ce qui me concerne : 
    pour une somme negligeable, j'ai eu a disposition un camion, le temps d'une fin de semaine, pour recuperer mes affaires en Ontario. via mon concessionnaire, j'ai fait d'autres superbes rencontres, trouve des cours de patinage pour mes enfants, des billets pour les Canadians... par la suite, je savais naturellement qui contacter pour toutes les questions de mobilite : une 2ieme voiture, un camion de demenagement, une voiture+chauffeur, etc. et bien sur : cette transaction m'a permis d'etre rapidement en mesure de presenter un excellent dossier de credit.  
    Ce que je veux illustrer dans ce billet: dans un immigration, chaque detail peut faire la difference. L'achat d'une voiture est ainsi une excellente opportunite pour reseauter et booster son projet d'immigration.
  3. J'aime
    Zekikop a donné une réputation à Jefke pour un billet, Pas simple d'immigrer en couple...   
    Adieu été indien. Adieu paysages de carte postale. Place à la grisaille et au spleen automnal.
    Les feuilles se raccrochent désespérément à leur branche. Mais pour combien de temps encore? Elles finiront par manquer de chlorophylle et dépérir au pied des arbres. Ou elles se laisseront emporter par le vent. Épuisées. Comme tous ces immigrants qui finissent eux aussi par lâcher prise.
    C’est déprimant de voir autant de connaissances quitter les Cantons de l’Est.
    Mes amis liégeois
    Nous étions arrivés dans la région à la même période. Le courant est passé tout de suite.
    Lui: était venu pour un postdoctorat à l’université de Sherbrooke.
    Elle: a cumulé une job dans un callcenter et un quart de nuit dans un fastfood. Ce n’était pas à ça qu’elle aspirait en immigrant. Mais il fallait bien payer les factures. En septembre, ils sont partis poursuivre leur aventure sur Québec. En espérant y trouver mieux.
     
    Mes maudits français
    Au début c’était intéressant d’écouter leurs commentaires critiques. Puis c’était devenu tellement systématique et méchant que je me demandais ce qu’ils faisaient encore ici.
    Elle: recrutée aux Journées Québec.
    Lui: est sorti d’une grande école française, l’une des meilleures paraît-il. En fait, je n’en sais rien. Et beaucoup d’employeurs québécois non plus, apparemment. Ça l’a vexé pas mal.
    Une fois leur Résidence Permanente acquise, et après avoir râlé contre tous ces gens incapables de reconnaître la valeur de son prestigieux diplôme, il a convaincu sa blonde de déménager à Montréal. Revenir dans sa zone de confort. Travailler pour une grande entreprise bien française.
     
    Nos partenaires de tennis
    L’accès aux courts de tennis extérieurs est gratuit. A la belle saison, c’est excellente opportunité pour se maintenir en forme et de faire des rencontres.
    Elle: ex-architecte, s’occupait de sa garderie familiale.
    Lui: auditeur financier, avec un permis temporaire.
    Ils se voyaient s’installer ici, construire une fermette au milieu des bois, chasser l’orignal, etc. Et puis bardaf : l’entreprise l’a mis à pied. Tout a basculé. Cela fait présentement plusieurs mois qu’il peine à rebondir. Le bassin d’emplois est restreint en région. Grosse remise en question de leur projet d’immigration. Le Canada n’est peut-être pas l’Eldorado imaginé.
     
    Nos voisins boliviens
    Ils étaient arrivés au Canada sans parler un mot de français et avec presque rien. Présentement, ils ont l’une des plus jolies maisons du voisinage.
    Lui: a quitté la Bolivie il y plusieurs années. Depuis, il s’est fait une place à Sherbrooke.
    Elle: après plusieurs années a finalement trouvé une job à la hauteur de ses attentes. A 2 heures de route. Fatiguée de faire la navette, elle a fini par prendre un appartement en ville. Ça semblait plus pratique. Vraiment? Il paraît qu’un couple de nouveaux arrivants sur 2 finit par se séparer.
     
     
    Même avec la plus grande motivation, les motifs sont nombreux pour refaire ses valises,immigrer un peu plus loin ou rentrer dans son pays d’origine : insatisfaction professionnelle, choc culturel, éloignement familial, hiver trop long, difficultés financières, intégration difficile, chicanes de couple, déception globale…. Une idée noire qui tourne, tourne et tourne en rond dans un petit appartement peut vite faire remonter à la surface beaucoup de ressentiments.
     
    Une job stimulante et une rémunération confortable aident beaucoup à apprécier la qualité de vie au Canada. Clairement, l’épanouissement professionnel est l’une des meilleures clés pour réussir son immigration. Pourtant je vois beaucoup de personnes autour de moi qui ont mis leurs ambitions professionnelles entre parenthèses pour suivre leur conjoint(e). Elles se disent (ou se font dire) : tout est possible au Canada, quand on veut on peut, il suffit de, on s’adaptera, on cherchera sur place… Mais, et si on ne trouvait rien de satisfaisant? Comment être heureux dans son couple si on doit se contenter d’un poste d’agent d’accueil alors qu’on a été conseillère RH avec 10 années d’expériences hors Canada? Comment rester optimiste quand cela fait 3 ans qu’on est coincé dans une job de mécanicien au salaire minimum à Chicoutimi après avoir été ingénieur chez Airbus? Est-ce vraiment cela immigrer? Un mélange d’égoïsme et de sacrifice naïf? Pour un couple qui réussit son pari, combien souffrent en silence?
     
    Ce n’est pas évident d’immigrer en famille. La barre est placée très haut.
     
    Pendant ce temps, le vent continue d’arracher les feuilles jaunies.
    Et ces amitiés auxquelles je m’étais habitué.
  4. J'aime
    Zekikop a donné une réputation à Jefke pour un billet, Astuce #13 - démissionner pour mieux immigrer   
    Il vient un moment où la personne qui veut immigrer doit sortir de sa zone de confort. C’est un moment charnière où il faut lever le nez de ses dossiers d’immigration pour effectuer des gestes concrets. Résilier des abonnements. Clôturer des comptes… et déposer sa démission. Justement, quel est le meilleur moment pour annoncer à son gestionnaire ou à ses clients son intention de partir à l’autre bout du monde ? Comment s’y prendre ?     Démissionner ou se faire remercier ?
    A une époque, je voulais suggérer à mon employeur de me licencier pour une quelconque faute grave. J’y voyais deux bénéfices potentiels :
    des indemnités de départ conséquentes
    un préavis très court
    Seulement, à bien y réfléchir, il est sans doute préférable de rester professionnel jusqu’au bout et quitter son emploi dans les meilleurs termes. Lorsqu’un recruteur (canadien) mène une vérification des références, comment réagira-t’il en découvrant que son candidat a été viré pour retards répétitifs, critique excessive sur les réseaux sociaux ou juste pour immigrer ?
        Les délais de préavis
    Au Canada, j’ai souvent vu des personnes poser leur démission et quitter l’entreprise sur le champ, ou dans la quinzaine. En Belgique, en cas de démission, j’avais plus de 3 mois de préavis à prester. Obligatoirement. Je ne sais pas si c’est toujours le cas présentement mais ce délai est un vrai handicap pour immigrer. J’ai d’ailleurs pu constater que souvent les contrats proposés aux Journées Québec ou Destination Canada incluent une clause comme :
     
    “Ce contrat de travail prendra effet dans les dix (10) jours ouvrables suivant la date où vous obtiendrez toutes les autorisations nécessaires vous permettant de travailler légalement au Canada, ou, après entente mutuelle sur une date ultérieure.”

    Un employeur Nord-Américain veut pouvoir recruter sans perdre de temps. A profils équivalents, entre un candidat disponible sous 10 jours et un candidat qui a plusieurs mois de préavis à effectuer après sa démission, vers qui se portera l’attention d’un recruteur ?
        Soigner sa sortie
    Démissionner c’est l’occasion d’organiser une pot de départ. Mais c’est surtout l’opportunité de recueillir un maximum de recommandations (linkedin & co) et de briefer l’une ou l’autre personne clé sur ce que vous souhaitez qu’elles disent de vous à vos futurs recruteurs. Et c’est l’ultime chance de marquer les mémoires. Avec par exemple une vidéo comme Marina Shifrin ou Phil ou François Hollande ou encore le gagnant du loto.
        Mon expérience
    Pour ce qui me concerne, j’ai donné ma démission approximativement 9 mois avant d’immigrer au Canada. Pour plusieurs raisons :
    1- me retrouver dos au mur
    Quand on fait ses cartons, on se garde encore la possibilité de les défaire. Mais une fois qu’on met fin à son emploi, difficile de faire machine arrière. Les choses sont claires. Il n’y a pas d’autre choix que d’aller de l’avant. Il faut tout donner. Consacrer tous ses efforts à la réalisation de son projet.
     
    2- réduire ma période de préavis
    Quitter mon emploi pour une job “temporaire” m’a permis de gagner en flexibilité. Avec une durée de préavis réduite à moins de deux semaines, mon profil a beaucoup gagné en intérêt pour les recruteurs canadiens.
     
    3- acquérir plus d'expérience pertinente
    Démissionner suffisamment tôt m’a permis d'enchaîner tranquillement avec un emploi le plus proche possible de ce que je me prévoyais faire au Canada. Ça a ainsi été l’occasion de cumuler une expérience plus pertinente : secteur d’activité, méthodes de travail, outils similaires, bilinguisme, etc. Une façon de préparer mon rebond professionnel en douceur.
     
    4- maîtriser mon calendrier
    D’un côté, c’est compliqué d’être pris au sérieux par un recruteur canadien lorsqu’il faut lui annoncer que “OK. J'attends que tous les détails (contrat, permis de travail, billets d'avion, logement, etc.) soient réglés avant de lâcher mon emploi. Et à ce moment-là j’aurai encore 3 mois de préavis. Mais,by the way, je suis vraiment impatient de travailler avec vous”. De l’autre côté, c’est difficile de dire à son employeur : “patron, une entreprise canadienne m’a proposé un contrat de travail. Je commence dans 10 jours au plus tard. Il faudrait qu’on discute du délai de mon préavis...”
    Une fois ma démission posée, j’avais donc 3 mois de préavis à prester. Puis dans mon nouvel emploi, je pouvais me libérer sous 2 semaines. J’ai pu prendre le temps tranquillement de peaufiner les détails de mon immigration. Le lendemain de mon dernier jour de travail, j'étais dans l’avion. Et le surlendemain, mon nouvel employeur canadien m'accueillait à l'aéroport. Un échéancier parfait.
     
    5- financer mon immigration
    Immigrer demande un budget conséquent. Quand on a l’opportunité de travailler, ne fusse que quelques mois, pour un meilleur salaire net, pourquoi hésiter ?
     
    6- sortir de sa zone de confort
    Quand on a travaillé de nombreuses années dans la même entreprise on finit par se sentir bien dans ses pantoufles.  Vouloir changer de job a réveillé mes sens de chercheur d'opportunités : mieux sentir les tendances sur le marché, améliorer mes techniques de réseautage, décrypter les exigences, enchaîner des dizaines d’entrevues en français/anglais, améliorer ma présentation, identifier mes lacunes, travailler mes réponses, etc.
       
    Démissionner plusieurs mois avant ma date supposée de départ au Canada, m’a permis d’être particulièrement efficace pour mener mon projet d’immigration. Et vous, à quel moment avez-vous (ou prévoyez-vous) de démissionner ? Au tout dernier moment ou suffisamment tôt pour permettre une période de transition ?
     
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