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Tout ce qui a été posté par Laurence Nadeau
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Bonjour à tous, Sujet fort intéressant mais bien compliqué également. Juste pour vous expliquer, l'immigration au Québec ou en France ce n'est pas du tout la même chose. L'immigration France est faite de regroupement famillial (parrainage principalement) et aussi de réfugiés. Il n'y a aucun dossier à remplir pour immigrer en France comme indépendant comme c'est le cas au Québec, Canada ou en Australie. Par exemple, un Québécois qui veut "immigrer" en France a deux options : 1 ) marier sa française 2) trouver un travail qui lui permettra d'obtenir un permis de travail. Dans le premier cas, c'est à vie. Dans le deuxième, cela va dépendre de son embauche. Malheureusement je ne pense pas que nous pourrons ici régler la question de l'immigration en France, d'autant plus que ce n'est pas le but premier du forum. Merci de revenir vers des sujets qui nous touchent tous ici. Laurence
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Bonjour Chapiro, Long time no see ! Oui, en effet, tu peux maintenant revenir au Québec sans problème car il ne faut plus justifier 6 mois de présence au Canada pour garder sa résidence. La nouvelle loi de juin 2002 a modifié cela, tu peux voir les détails de cette loi, section Immigrer. Et toi, tu es revenu au pays et finalement tu reviens au Québec. Peux-tu nous en dire plus ? Laurence
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Super ! bravo Nina ! Eh bien, on aime bien avoir de bonnes nouvelles comme cela. Laurence
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Bonjour, Juste une précision, oui Montréal a des bouchons mais pas de l'ampleur de Paris tout de même. Lors de longs we cela ne prend pas des heures pour sortir de la ville et à l'heure de pointe ce n'est une question d'heures pour rentrer à la maison. Ceci dit la circulation à Montréal pourrait être plus fluide tout de même. Pour ce qui est des banlieues, y'a aucun problème dans les banlieues québécoises, c'est même des endroits paisibles où les enfants et les jeunes peuvent se promener en toute sécurité. Pas de voiture brûlée, de lieux de non-droit, de train de banlieue qui craignent. La plus grande préoccupation des banlieusards est de s'occuper de leur pelouse verte et de leur BBQ Les quartiers plus criminallisés sont plutôt sur l'île de Montréal mais jamais dans des proportions avec des lieux de non-droit. La plupart des femmes que je connaisse, comme moi-même, n'ont pas peur de prendre le métro de Montréal tard le soir. Laurence
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Bonjour, Merci encore pour tes commentaires. Tout le monde participe d'une façon constructive ici. A+ laurence
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Bonjour, Cette semaine FlyingAntoine nous parle du réseautage version Amérique du Nord. À lire en page d'accueil. Laurence
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La langue française progresse en Floride
Laurence Nadeau a répondu à un(e) sujet de Petit-Prince dans Québec
Bonjour, Merci à tous pour vos commentaires. Kroston, je pense que tu fais les choses en connaissance de cause et que tu travailles finalement pour la francophonie en Amérique. En tout cas, bonne suite de tes aventures franco-yukonnaises ! Je sais en effet dans quel état d'esprit tu es toi et ta blonde. Bonne suite... Pieralinea, tes exemples sont très éloquents, je pourrais t'en donner aussi pendant des kilomètres. C'est pour cela que l'assimilation est un danger que je veux souligner car MEME des québécois francophones n'en sont pas toujours conscients. Non seulement certains francophones du Québec ou d'ailleurs, ne vont pas transmettre leur langue maternelle mais en plus, ce n'est pas le meilleur cadeau lorsqu'on est francophone de s'exprimer en anglais à son fils. On suggère pour qu'un enfant puisse apprendre parfaitement les deux langues, que chacun des parents doit s'exprimer avec l'enfant dans sa langue maternelle. Autrement, on en fait un JEAN CHRÉTIEN ! Ton neveu n'est pas en train de se s'assimiler. À 10 ans, il est déjà assimilé. Jamais sa progéniture ne parlera le français selon moi à moins d'un évènement incroyable. Il faut comprendre qu'en dehors du Québec, un francophone a près de 100 % des chances de s'unir avec quelqu'un qui ne parle pas sa langue maternelle. Ainsi il ne pourra compter que sur lui-même pour la transmettre. Et puisqu'il s'agit souvent d'une goutte dans l'océan où tout le reste se passe en anglais, l'enfant aura une tendance à penser qu'il est plus pratique de parler l'anglais et lorsque lui-même aura des enfants, il aura tendance à délaisser son enseignement. Carmen, merci pour ton commentaire. En fait, je sais que cette loi préoccupe de nombreux immigrants. Mais je pense qu'elle est encore d'actualité, et plus que jamais. Avec des miliers d'immigrants tous les ans, le Québec a besoin d'envoyer un message clair aux nouveaux venus. Pendant 300 ans les Québécois francophones ont vécu dans une bulle entre la terre, la religion et la langue française. L'ignorance et cette fermeture les protégeait de l'assimilation. Aujourd'hui le Québec est ouvert, des gens de partout viennent s'y installer, les Québécois n'ont jamais autant parler anglais et français. Je comprends aussi lorsqu'on a l'impression de laisser derrière soi une partie de sa culture, qu'il est difficile d'être dévoué d'en défendre une autre. Je sais que de nombreux immigrants sont préoccupés par le bilinguisme et l'apprentissage de l'anglais pour leurs enfants. Les Québécois des régions sont rarement très bilingues mais les Montréalais francophones parlent souvent assez bien l'anglais. Je ne crois pas que le bilinguisme parfait est très répandu en fait. Habituellement on maîtrise sa langue maternelle ou la langue apprise à l'école et à ceci peut s'ajouter d'autres langues, parlées à la maison ou ailleurs. Je ne m'inquiète pas du tout pour le bilinguisme de mes enfants (ou même le trilinguisme), vivre au Québec c'est cotoyer tous les jours la langue anglaise et aussi d'autres cultures, surtout à Montréal, il suffit de faire un effort et le tour est joué. Ici on n'a qu'à ouvrir la télé ou acheter des cassettes en anglais pour familiariser son enfant. On peut envoyer ses enfants à des camps d'été en anglais justement. Certains enfants apprennent l'anglais dans leur entourage. Les quartiers de Montréal ne sont plus aussi divisés par la langue que par le passé. On peut très bien avec des voisins anglophones qui permettront à ces enfants d'acquérir cette langue. Si ce n'est pas le cas, déménager dans l'ouest de l'île, vous aurez plus de chance d'avoir des voisins anglophones. Aussi, juste par l'environnement, les enfants ont très facilement le bon accent. Jean Charest, premier ministre du Québec en est un bonne exemple de parfait bilingue, mère anglophone, père francophone. Il maîtrise bien les deux langues mais tout le monde n'a pas cette chance. En effet, le danger du bilinguisme, autre l'assimilation à long terme, est de maîtrise aucune des langues parfaitement. J'ai été élevé dans un quartier anglophone de Montréal et un voisin qui avait pourtant une mère française et un père d'Europe de l'est n'a jamais pu maîtriser parfaitement les deux langues. En français, il y a toujours quelque chose qui cloche, idem en anglais. Un autre exemple connu de tous est notre Jean Chrétien national, premier ministre du Canada, qui ne maîtrise bien AUCUNE de ces deux langues. Le seul Canadien avec deux langues secondes que je connaisse. Tout le monde n'a pas la facilité et l'habitlité avec les langues, il faut être conscient de cela. J'aimerais bien qu'on parle tous comme Jean Charest dans les deux langues mais j'ai rencontré dans ma vie trop de Jean Chrétien Mais pour finir sur une note incroyable que j'ai lu hier dans La Presse de Montréal. Si vraiment vous voulez que vos enfants apprennent l'anglais, vous pouvez faire comme cette mère d'Asie, de Corée du sud je crois, qui a décidé de passer par une intervention chirurgicale afin d'enlever une partie de la langue de son fils de 6 ans afin qu'il puisse avoir un meilleur accent en anglais. Laurence -
La langue française progresse en Floride
Laurence Nadeau a répondu à un(e) sujet de Petit-Prince dans Québec
Bonjour, J'ajoute à mon tour mon grain de sel à nouveau. Kroston, je voulais te dire que je pense que c'est super ce que tu fais au Yukon et les francophones de la région. Ils ont besoin de ton aide, ton travail est justifié en effet mais je dois te dire que je vois ton travail comme celui de David contre Goliath. J'ai fait un peu ma part à ce niveau et je dois dire que cela m'a un peu découragé mais toi tu as une autre perspective et tant mieux si tu as la pêche. Il faut continuer le travail. Je ne percois pas la situation des francophones hors-Québec de la même façon que toi. J'ai jamais mis les pieds au Yukon comme tu sais, et je ne peux pas parler de la situation là-bas. J'ai vécu un an à Winnipeg au Manitoba, un an à Edmonton en Alberta et un an à Ottawa (en Ontario), capitale de notre cher pays. Mon mandat de journaliste m'amenait à traiter presque quotidiennement des activités des francophones, ainsi je crois que j'ai dépassé le statut des statistiques. En fait, j'ai travaillé et vécu avec eux. J'ai partagé leurs craintes, leurs réussites et leurs joies et je peux dire que jamais un responsable d'organisme d'aide aux francophones n'avait une vision très rose de l'avenir des francophones de sa province. Toujours sur le qui vive des subventions fédérales. Oui, il y a quelques services de base où le nombre va le justifier mais entre la théorie sur papier et dans les faits, y'a une grande marge. Certains services sont bien là en effet mais pour combien de temps ? Théoriquement par exemple, tu peux avoir un procès équitalbe au Manitoba, comme théoriquement lorsque tu appuies sur la touche 2 sur mon téléphone pour parler à un francophone aux services gouvernementaux. Mais dans la réalité, tu risques de ne pas avoir du tout de service en français on encore d'attendre très longtemps. Chaque année la commissaire aux langues officielles du Canada remets un rapport plutôt négatif sur l'état des services du gouvernement canadien pour les minorités linguistiques. Je te crois Kroston lorsque tu dis que tu es entouré de francophones. Mais la proportion des francophones dans les provinces hors-Québec ne dépasse jamais rarement 5 % de la population. Ce que je veux dire par cela, c'est qu'il ne faut pas que les immigrants s'imaginent qu'en débarquant à Vancouver ou Saskatoon, qu'ils n'auront pas à utiliser l'anglais. J'ai vu quelques poches de population très dynamiques comme à Saint-Boniface (quartier de Winnipeg) au Manitoba ou dans le nord de l'Alberta, il est vrai que dans ces endroits on peut vivre en français mais dès qu'on sort de l'enclos, c'est en anglais que ça se passe. Je me souviens d'avoir été dans une école francophone du nord de l'Alberta et d'avoir été témoin de quelque chose qui m'avait vraiment touché. Je faisais un reportage sur place et j'attendais de parler à un professeur. Dans mon attente, j'ai vu les élèves échangés entre eux en anglais. Des élèves supposément francophones qui échangeaient en anglais. Ce n'était pas qu'un ou deux cas isolés mais les élèves, même les échanges privés en classe se faisaient en anglais. Il fallait même que les professeurs fassent un rappel à l'ordre pour qu'ils se parlent en français, "En français, SVP !". Je peux te dire que j'étais vraiment attristée par ce phénomène. Ce n'était pas pour pratiquer leur anglais qu'ils utilisaient cette langue mais parce que c'était la langue de leur "réelle" expression. Ils étaient certainement de langue français maternelle mais ils s'exprimaient en anglais par choix. Je suis persuadée que certaine école francophone sont réellement francophones mais ce n'était pas le cas de celle-ci. J'avais l'impression d'assister directement à l'assimilation. J'ai rencontré et travaillé avec de nombreux francophones qui assuraient que le fait de travailler dans un milieu francophone au Canada anglais était un bon moyen de "ne pas perdre leur français". Je me faisais un devoir de leur parler en français, même ceux qui avaient des difficultés avec qu'avec moi ils puissent un peu se pratiquer. L'assimiliation se fait très rapidement. En Nouvelle-Angleterre aux Stats, on peut compter autour de 6 miliions de descendants des Québecois francophones qui sont allées dans le Maine, le Vermont...au début du siècle dernier lors de la révolution industrielle afin de travailler dans les usines. En deux générations, ils sont assimilés. Ils marient un anglophone unilingue et ne transmettent pas à leur enfant leur langue maternelle. Des "assimiliés" j'en ai rencontré un peu partout, au Manitoba, en Alberta et ailleurs. On ne peut pas s'imaginer l'attraction et la vitesse a laquelle on peut perdre une langue ou qu'elle peut se perdre d'une génération à une autre. J'ai connu aux États-Unis, une américaine dont le père est un francophone de deuxième génération du Vermont. Aujourd'hui, cette fille de 30 ans ne parle que quelques mots de français, alors que son père était parfaitement bilingue. Une autre connaissance à Toronto m'étonnait car son père "Français de France" ne lui a jamais transmis un traître mot de français. Pour moi le drame des francophones hors-Québec se résume bien par cette phrase. Un jour un franco-manotibain m'a dit : "Si j'étais Québécois je serais indépendantiste mais comme je suis un francophone à l'extérieur du Québec, je veux que le Québec reste au sein du pays. Sans le Québec, nous existons plus." Laurence -
Bonjour, Quand et où a-t-il lieu ? Laurence
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La langue française progresse en Floride
Laurence Nadeau a répondu à un(e) sujet de Petit-Prince dans Québec
Bonjour, Oui, tout à fait d'accord avec Épervier. Je ne vais pas entrer dans le vif du sujet, ça risque d'être long et très émotif en effet...Mais disons que le "deux poids, deux mesures" serait plutôt mieux collé aux francophones hors-Québec. Si ils avaient la moitié des privilèges des anglophones du Québec ils seraient bien heureux (santé, éducation, justice, administration, emplois...). Et en passant les plus tolérants des anglophones du Canada sont nos anglophones ici au Québec. Moi je les trouve bien cools en comparaison à certains commentaires que j'ai pu entendre dans l'ouest canadien. C'est en général à l'extérieur du Québec qu'on retrouve les plus récalcitrants à la cause du français. Laurence -
La langue française progresse en Floride
Laurence Nadeau a répondu à un(e) sujet de Petit-Prince dans Québec
Bonjour, Ça me fait plaisir de parler de ce sujet et j'aime bien remettre les pendules à l'heure J'ai vécu plus trois ans au Canada anglophone et je peux te dire que la minorité francophone, même dans certaines régions où elle est bien présente, a toujours bien moins de service que les anglophones du Québec. J'espère qu'il y a bien quelques panneaux en français dans le nord de l'Ontario car c'est un des lieux de prédilection des franco-ontariens. Qu'est-ce que cela dérange ? J'ai même entendu des commentaires de certains anglophones (des extrêmistes évidement) qui se plaignaient d'avoir un côté francophone de leur boîte de céréales le matin....Faut pas charier non plus ! Demandes à un franco-ontarien la facilité qu'il aura de se faire soigner en français ou encore d'avoir un procès équitable en français... Mais comme je disais même dans la ville d'Ottawa, capitale de notre pays "bilingue", il n'y a pas de panneaux en français pour orienter les visiteurs francophones. Je parle ici des panneaux provinciaux des gouvernements mais si on veut parler des panneaux des municipalités alors là on ouvre un autre chapitre. Juste à Westmount, en plein coeur de l'île de Montréal, on peut retrouver des nombreux panneaux en anglais. Laurence -
Bonjour, En passant le PVT sera remplacé par des nouveaux programmes selon une entente qui vient d'être signé entre le Canada et la France. Je vous invite à voir les détails, section FAQ, rubrique Programme Vacances-Travail. Laurence
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Bonjour, Elle a donné des nouvelles il y a quelques semaines sur le forum. Tu peux chercher dans le moteur de recherche du forum en bas pour trouver ces messages. Bonne chance pour la suite ! A+ Laurence
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Bonjour Triskelle76 Ah tu peux le dire j'ai un peu "foiré" avec ton deuxième pseudo Mais là tout est ok ! Laurence
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La langue française progresse en Floride
Laurence Nadeau a répondu à un(e) sujet de Petit-Prince dans Québec
Bonjour, En fait, Sigognac ta dernière affirmation est fause. Il y a des panneaux adaptés aux anglophones à certains endroits stratégiques au Québec comme des panneaux en français en Nouvelle-Angleterre. Lorsque je donnais l'exemple de la Nouvelle-Angleterre, il ne faut pas s'imaginer qu'on retrouve des panneaux en français partout, à certains endroits stratégiques comme à l'entrée du Maine ou autres. Même chose au Québec, lorsqu'on arrive dans la Belle province des aux États-Unis ou de l'Ontario, des panneaux font des rappels EN ANGLAIS aux conducteurs sur divers points, comme par exemple l'interdiction de tourner à droite au feu rouge sur l'île de Montréal. En Ontario, niet pour les conducteurs francophones. Laurence -
Bonjour, Eh bien FrenchPeg s'inspire cette semaine de Shagrine. À lire en page d'accueil du site. laurence
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La langue française progresse en Floride
Laurence Nadeau a répondu à un(e) sujet de Petit-Prince dans Québec
Bonjour, Juste pour ajouter à cette discussion. Je suis toujours étonnée lorsque je vais aux États-Unis en Nouvelle-Angleterre, dans les états limitrophes du Québec, de voir des panneaux en français adoptés aux visiteurs du Québec, alors que ces mêmes indications sont absentes en Ontario. On peut voir afficher des "Ceintures de sécurité obligatoire" avec les accents et tout. Assez étonnant ! Même sur une facture dans des restaurants très fréquentés par les Québécois dans le Maine on peut voir des messages en français comme "le pourboire n'est pas inclus". Pourtant les Québécois sont aussi des visiteurs de l'Ontario, leur voisine, et un demi million de francophones environ (selon les chiffres officiels du gouvernement) habitent aussi dans cette province. Pieralinea, je pense qu'il y a une certaine conscience à Ottawa, surtout dans les milieux privilégiés qu'il est important d'apprendre le français. Puis à Ottawa, lorsqu'on est fonctionnaire ou diplomate, ça ouvre les portes de ne pas rester unilingue anglophone. Il est souvent demander aux candidats aux affaires étrangères du Canada de maîtriser deux, trois langues, même plus. Laurence -
Bonjour, Si ça te dérange tant que cela, tu peux ajouter une p'tite note en signature. Alors alors nous donner des preuves...comme ton résulat au test de maudit français ! Laurence
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Bonjour, Bon...discussion, discussion. Ça discute là dedans ! Eh bien, oui comme a dit Jean-Philippe j'étais absente en fin de semaine donc j'ai pas vraiment suivi le forum. Passemots, tu nous parleras de religion un autre jour comme je te disais, désolé mais ton message a été effacé par erreur (ni par moi ou Jean-Philippe). Alors, si nous revenions à nos moutons.. Laurence
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Bonjour, Le profil que tu peux lire est celui avec le message. Laurence
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Bonjour, Ah je croyais que le Barouf appartenait a un Belge. En effet, un endroit de ressemblement. A+ Laurence
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Bonjour, Ceci est un copier-coller de mon message du haut Merci de votre comprehension a tous ! Laurence
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Bonjour tous et toutes, Si vous voulez bien nous allons revenir à des questions qui importent tous et toutes, l'immigration au Québec et au Canada. Merci de votre compréhension. Laurence
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Bonjour tous et toutes, Si vous voulez bien nous allons revenir à des questions qui importent tous et toutes, l'immigration au Québec et au Canada. Merci de votre compréhension. Laurence
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Bonjour TuT, En fait, dans les FAQ y'a déjà quelques rubriques orientsé vers cela. Certains rubriques sont par métier comme pour les ingénieurs, informaticiens, informières..d'autres dans la rubrique Divers métiers. Laurence





