En 2007, dans l'un des mes albums, Comme un Papillon, j'écrivais :
" Je ne suis plus qu'à quelques heures du terme de mon voyage. Je vais pourtant finir la nuit ici, sur ce parking.
Une station-service, c'est une oasis de lumière, le seul îlot de vie, de chaleur au sein de l'obscurité.
Le simple "bonjour" échangé rapidement avec l'employé, première parole prononcée depuis des heures, est une sorte de retour à la civilisation, à la vie..."
C'était l'une de mes pages préférées de c
C'est marrant quand même... Quand j'habitais en France, j'étais très partisan de certains sports, les sports collectifs notamment. Foot, basket, handball, rugby... Je suivais les matchs en espérant que notre équipe paraisse le mieux possible, parce que j'aimais ces sports et que tant qu'à faire je voulais qu'on aille le plus loin possible dans ces compétitions. À l'inverse, dans beaucoup d'autres sports je m'en foutais comme de l'an 40. Le tennis, par exemple. Maudit qu'un gars comme Henri Lecon
C'est quand on l'attend le moins qu'elle vient vous rappeler que l'hiver n'est pas tout à fait fini. En ces jours où tout ou presque a fondu en ville, alors que les beaux jours arrivent, qu'on se lève le matin avec un beau soleil grâce à l'heure d'été, on aurait tellement envie de croire que ça y est, l'hiver est derrière nous. Dans un sens il l'est, les grosses tempêtes, les grands froids sont passés sauf exception, et il serait étonnant d'avoir à pelleter encore cette année. Mais comme le dit
On lit souvent sur le forum ou n'importe où en général des témoignages de gens déçus par leur situation. Que ce soit dans leur travail, au sein de leur famille, par rapport à leurs amis, leur vie de tous les jours. Beaucoup de frustrations s'accumulent et plus la personne est fragile, plus la situation va lui sembler inextricable.
Trop lourde à porter toute seule...
C'est donc encore plus difficile quand on est dans la position d'un immigré, loin de sa famille, de ses amis, de ses re
Allez, un peu d'optimisme, on raconte tellement à quel point les hivers peuvent être durs (et c'est vrai, même si j'adore ça), qu'il faut bien le dire aussi quand les saisons sont agréables. C'est vrai que l'été a pas été incroyable, mais bon, le timing a été bon pour moi. En mai et juin ça a été pas mal pluvieux mais j'avais beaucoup de travail, ça a été bin correct pendant le festival d'été (quelques soirées pluvieuses mais globalement c'était pas mal), juillet était pas idéal mais j'étais hor
Ça y est, les lumières de la scène se sont éteintes, nos oreilles sifflent encore de ces trois soirées de musique. NoFx, Pennywise, The Flatliners, Face to face et comme tous les ans des jeunes groupes de la relève. J'aime particulièrement ce festival, il nous permet tous les ans de profiter des dernières belles journées, même si on a souvent de la pluie, il retient encore un peu l'automne. L'été commence avec le festival d'été et finit avec Envol et Macadam. Deux festivals différents, pas forcé