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palmeto

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Messages posté(e)s par palmeto

  1. Entre tanto c'est payé... Revenu Canada étudie aussi le dossier.. on verra

    Ok donc les comptables ont pas eu l'air de se planter, c'est surement Revenu Canada qui a mal interprété certaines données (ca arrive malheureusement et pour retrouver l'argent c'est casse pied) peut etre que ca va prendre un peu de temps avant de voir ton remboursement et que Revenu Canada comprenne l'erreur.

    Je sais que moi ca m'était arrivé avec un client et j'avais dû appeler 3-4 fois pour savoir ou le dossier en était et finalement j'étais tombée sur une gentille madame qui m'a demandé tous les documents par fax et en 2 jours c'était réglé.

    C'est tout à fait ça Laureenfr .. aujourd'hui on a reçu un courrier.. voilà.. correction +chèque(montant que nous avait prévu le comptable)....

    comme quoi mon comptable a bien fait son travail. happy end :biggrin2:

  2. Disons Palmeto que tu m'as posé la question en privée. N'ayant pas tes déclarations sous les yeux c'est dur de dire ce qui a bien pu se passer te concernant.

    Ce que je comprends moins (et c'est la qu'on te dit d'aller voir un autre comptable), c'est que le comptable qui a la déclaration sous le nez et les avis de cotisation de Revenu Canada est pas capable de t'expliquer ce qui va pas et ou ça a merdé à un moment donné entre tes 243$ et ce que lui avait calculé (sauf s'il t'avait calculé de l'impot aussi a payer)

    Parce que la déclaration y'a le détail dessus et l'avis de cotisation aussi (tu compares les chiffres de ta déclaration avec les avis de cotisation et tu regardes ce qui merdouille)... il devrait être capable de te dire la ou ca va pas tout de meme.

    Le comptable et un deuxieme ont re-verifie la déclaration........ la même reponse ...... le logiciel donne que vouz devrez être remboursé $$

    Ok.. ça se peut que je suis tombé sur de comptables nuls

    Mais comment expliquer, (au téléphone) Revenu Canada après de demander des explications restent :shok:

    "ah oui, monsieur effectivement ce n'est pas normal" veuillez nous envoyer tel et tel document :dry:

    concernant le logiciel.. ..; si entre le comptable et les agents de Revenu Canada racontent que des :excl:

    :girl_devil:

    je ne me risquerai pas

    Entre tanto c'est payé... Revenu Canada étudie aussi le dossier.. on verra

    et pour l'année prochaine il faudra que je trouve le super comptable :sleep:

  3. @pigkiller: eh ben, tu casseeeeees toi comme dirais mon ptit neveu! mdr

    une bourse postdoc est un travail et laisse moi te dire que ca niaise pas! je peux te dire que travailler comme postdoc, avoir un enfant et travailler en plus, ben je vois pas comment faire ça à moins de me cloner (quoique je ne connaisse pas la loi au Quebec sur le clonage? peut-être est ce permis dans lequel cas, je te remercie de tes lumières).

    et bien tu feras comme les autres étudiants qui étudies à temps plein, travaillent pour se payer leurs études et se démènent avec un enfant... tu ne seras pas la première ni la dernière à le faire...

    disons que tu ne payes pas d'impôts (du moins ils te seront remboursés...) tu auras pratiquement ce que gagne un couple dont les 2 sont au salaire minimum!

    atention!

    étant étudiante étranger avec un enfant et "seulement" conjoint qui travaillait au salaire minimum, on a du payer des impôts pour revenu Canada.

    il y a aussi plusieurs comptable et fiscaliste sur le site qui t'ont dit que tu devrais changer de comptable!!

    un deuxième comptable est tombé sur le même avis que le premier... :crying:

    zutt :fool: .. je suis tombée que sur des mauvais professionnales... étant donné qu'on peut pas envisager autre chose.

    Revenu Canada est en train d'étudier mon dossier (même si j'ai déjà payé :mellow2: ).. affaire à suivre.... :unsure2: ....

  4. @pigkiller: eh ben, tu casseeeeees toi comme dirais mon ptit neveu! mdr

    une bourse postdoc est un travail et laisse moi te dire que ca niaise pas! je peux te dire que travailler comme postdoc, avoir un enfant et travailler en plus, ben je vois pas comment faire ça à moins de me cloner (quoique je ne connaisse pas la loi au Quebec sur le clonage? peut-être est ce permis dans lequel cas, je te remercie de tes lumières).

    et bien tu feras comme les autres étudiants qui étudies à temps plein, travaillent pour se payer leurs études et se démènent avec un enfant... tu ne seras pas la première ni la dernière à le faire...

    disons que tu ne payes pas d'impôts (du moins ils te seront remboursés...) tu auras pratiquement ce que gagne un couple dont les 2 sont au salaire minimum!

    atention!

    étant étudiante étranger avec un enfant et "seulement" conjoint qui travaillait au salaire minimum, on a du payer des impôts pour revenu Canada.

  5. les impôts :angry: ... On a jamais compris (comptable inclus) comment une personne avec conjoint(qui travaille pas-éudiant) plus bébé a charge, ayant declaré les deux dernière mois de 2010 au salaire minimun, a été imposé 243$ de la part de revenu Canada. :unsure: mystere

    Tu devrais sérieusement changer de comptable ...

    Le valeur que le comptable nous avait dit pour revenu Québec était exact.

    le comptable a refait _ et ça donné c'est qu'il nous avait dit la première fois(normalement droit à reemboursement)

    ça a étoné au comptable.. pourquoi revenu Canada avait nous avait télephoné quelques jours après d'avoir envoyer la déclaration.

    C'est juste étonnant qu'un comptable ne trouve pas d'explication

    la première chose qui nous a demandé le comptable, est ce que revenu Canada vous a téléphone?.. oui .. c'était quoi comment questions?.. il s'en douté de quelque chose.

    il dit, 1) à cause de cet appel, 2) pas assez de temps sur le territoire.

    on a interêt à nous acrocher : :girl_devil:

  6. dans la déclaration est belle et bien marqué.. monsieur.. marié... madame... bébé. <_<

    nous comprenons que dalle!

    dans l'avis dit:

    - Nous avons réfusé votre paiment net en trop d'assurance emploi.

    - - vous êtes admisible seulement à crédit d'impôt non reemboursable des cotisations payeés au régime de pension, des cotisations à l'assurance emploi(c'est drôle parce qu'on paien mais avec le status permis de travail ouvert on a pas droit), des frais de scolarité.par conséquence nous avons recalculé le total de vos crédits d'impôt non reemboursables.

    Pour eviter à payer des frais d'intérets vous devez verser le solde du..

    Pour ne pas avoir plus de surprise, on a payé.

    et un semaine après on reçoit un courrier, où il disait "nous sommes en train d'étudier votre demande" :angry2:

  7. les impôts :angry: ... On a jamais compris (comptable inclus) comment une personne avec conjoint(qui travaille pas-éudiant) plus bébé a charge, ayant declaré les deux dernière mois de 2010 au salaire minimun, a été imposé 243$ de la part de revenu Canada. :unsure: mystere

    !?

    As-tu vérifié les calculs chez Revenu Canada?

    Tu sais que tu peux aller en personne (dans le coin de René-Lévesque et Saint-Laurent) pour faire vérifier ta déclaration.

    Je l'ai fait en 2004 quand j'avais des doutes en faisant ma première déclaration.

    Bonne chance!

    Argentino, la declaration a été re-verifié pour le comptable.

    Revenu Canada, on les a eu au téléphone(etant donné que mon époux travaille, il peut pas aller en personne)et eux ils n'avaient pas pris en compte notre existence :crying: (ma fille et moi) et on a du envoyer (copies acte de mariage, extract de naissance...) quelques jours après, l'avis dise encore la même chose, 243$ .

    on se souci déjà, c'est que nous attends l'année prochaine, étant donné que cet année je travaille :vava:

  8. les impôts :angry: ... On a jamais compris (comptable inclus) comment une personne avec conjoint(qui travaille pas-éudiant) plus bébé a charge, ayant declaré les deux dernière mois de 2010 au salaire minimun, a été imposé 243$ de la part de revenu Canada. :unsure: mystere

    Tu devrais sérieusement changer de comptable ...

    Le valeur que le comptable nous avait dit pour revenu Québec était exact.

    le comptable a refait _ et ça donné c'est qu'il nous avait dit la première fois(normalement droit à reemboursement)

    ça a étoné au comptable.. pourquoi revenu Canada avait nous avait télephoné quelques jours après d'avoir envoyer la déclaration.

  9. les impôts :angry: ... On a jamais compris (comptable inclus) comment une personne avec conjoint(qui travaille pas-éudiant) plus bébé a charge, ayant declaré les deux dernière mois de 2010 au salaire minimun, a été imposé 243$ de la part de revenu Canada. :unsure: mystere

  10. je n'ai pas trouvé de beaux vêtements .. et la qualité <_<

    Les vêtements qu'on achete viennent d'Amérique Latine. ... un excellent rapport qualité - prix

    j'achete ici seulement les vetements d'hiver.

  11. Si cela peut vous aider. Nous sommes arrivés ici en juillet 2010 (mon époux, notre bébe et notre bulldog anglais) quelqu'un ici sur le forum nous avait suggéré ile des soeurs (pour ceux qui arrivent à Montréal) et aucun souci pour avoir des chiens.

    Concernant le voyage, nous avons voyagé avec corsair la chienne était incluse dans les k autorisés...elle dans la cage faisait 30 k, ensuite on a dû payer 40 dollars, ils sont vérifiés le certificat de vaccin contre la rage et c'est bon

  12. Le miroir amincissant des Canadiens

    Les données que nous possédons sur l'obésité sont-elles statistiquement exactes?

    Une étude menée par Statistique Canada met en doute les taux d'obésité morbide au pays en raison d'une fausse perception qu'ont les Canadiens de leur poids et de leur taille.

    En fait, les Canadiens sous-estiment leur poids et surestiment leur taille. Pire encore, les parents ont également tendance à ne pas bien évaluer ces données chez leurs enfants, et fournissent donc de mauvaises informations.

    Par conséquent, les statisticiens estiment que les chiffres utilisés dans les recherches sur l'obésité morbide sont inexacts. Il faut savoir que c'est le rapport entre la taille et le poids qui permet de déterminer si une personne souffre d'obésité morbide.

    Quelques précisions

    En moyenne, les parents sous-estiment le poids de leur enfant de 1,09 kg et leur taille, de 3,3 cm.

    Ainsi, dans plusieurs cas, les enfants dont le poids avait été sous-estimé sont obèses.

    Toutefois, à l'inverse, ceux dont la taille avait été sous-estimée avaient quant à eux été qualifiés à tort d'obèses.

  13. Plusieurs nouveautés dans les universités

    Montréal) La concurrence entre les universités est féroce pour développer des programmes et des services adaptés aux besoins des étudiants et des travailleurs. Voici quelques nouveautés.

    Agrandir

    HEC Montréal offre deux nouveaux programmes de formation intensifs pour les cadres.

    Photo David Boily, archives La Presse

    UQAM

    Maîtrise par cumul

    Prochainement à l'UQAM, on pourra obtenir une maîtrise en cumulant des programmes courts de deuxième cycle.

    «Quelqu'un pourra faire un programme court, puis prendre une pause de quelques années. Ensuite, il pourra faire un diplôme d'études supérieures spécialisées (DESS) et demander qu'on lui accorde le grade de maître», explique Sylvie Quéré, directrice adjointe par intérim du service de planification académique et de recherche institutionnelle de l'UQAM.

    Cette nouvelle possibilité entrera en vigueur dès que l'Université du Québec donnera son approbation et que les facultés auront élaboré leurs règles.

    En ce qui concerne les nouveautés, on retrouve le programme court de deuxième cycle en gestion du développement urbain, le DESS en systèmes embarqués et la maîtrise en enseignement des arts.

    Plusieurs certificats de premiers cycles se donnent de soir au centre-ville de Montréal, mais aussi ailleurs dans la région métropolitaine, comme à Laval et en Montérégie.

    «Nous offrons des programmes en région depuis plus de 30 ans pour faciliter la conciliation travail, famille et études», souligne Dominique Lapointe, directrice du service de la formation universitaire en région à l'UQAM.

    Sherbrooke

    Conseillance pédagogique et en éthique

    Un microprogramme de deuxième cycle en conseillance pédagogique ainsi qu'une formation en ligne en éthique sont deux nouveautés de l'Université de Sherbrooke (UdeS) cet automne.

    Le programme en conseillance pédagogique a été conçu à partir de situations professionnelles vécues.

    «Nous avons formé des groupes-pilotes pour connaître les besoins réels», explique Louise Royal, responsable du microprogramme au campus Longueuil.

    Aucune formation n'existait avant celle-ci pour les conseillers pédagogiques.

    «On recrute généralement de bons enseignants pour qu'ils deviennent des conseillers pédagogiques dans leur champ de spécification. Toutefois, ce n'est pas parce qu'ils sont bons auprès des adolescents qu'ils sauront du jour au lendemain comment composer avec des adultes dans un contexte de travail», affirme-t-elle.

    Le microprogramme de 12 crédits s'étalera sur deux ans pour permettre aux étudiants d'analyser des cas réels dans leur milieu de travail.

    La formation de 15 heures en éthique a été conçue à la demande de l'Ordre des comptables en management accrédités (CMA), mais elle sera adaptée pour d'autres corps de métiers.

    «Je songe aux gestionnaires, aux policiers, aux ingénieurs, aux médecins, aux fonctionnaires, etc. La formation leur donne des outils et des méthodes de réflexion pour qu'ils puissent prendre des décisions éclairées et les justifier», explique Richard Linteau, conseiller pédagogique au département de philosophie et d'éthique appliquée de l'UdeS.

    L'Université Laval

    Un campus à Montréal

    Dès la fin du mois de septembre, l'Université Laval aura son campus à Montréal, sur la rue Sherbrooke Ouest.

    «Presque toutes nos activités de formation continue y seront données. Nous avons 2000 étudiants dans la région métropolitaine. Nous avions auparavant accès à un bâtiment du boulevard Saint-Laurent, mais il a été vendu», explique Guy Mineau, directeur général de la formation continue à l'Université Laval.

    À Montréal, l'Université Laval offre des programmes crédités au premier et deuxième cycle et des programmes non crédités principalement dans les domaines de la gestion et du développement des organisations.

    «Dès cette année, on commencera à faire des versions hybrides des programmes en intégrant de la formation à distance pour limiter les contraintes de temps et de déplacement», indique M. Mineau.

    Concordia

    Nouveau certificat en pratiques d'affaires

    Depuis janvier dernier, l'École de formation continue de l'Université Concordia offre un certificat en pratiques d'affaires de 30 crédits.

    «C'est un programme très pratique conçu pour des gens sur le marché du travail ou qui veulent y accéder. Ils font beaucoup d'études de cas. Pour être admissibles, ils doivent avoir au moins 21 ans et avoir arrêté leurs études pendant au moins une année», indique Noel Burke, doyen de l'École de formation continue de l'Université Concordia.

    Le programme peut se faire à temps plein ou à temps partiel et il est très populaire.

    «Nous avons reçu plus de 500 inscriptions pour l'automne. Les gens qui veulent acquérir des qualifications pour occuper des postes de gestion intermédiaire peuvent étudier sans toutefois arrêter de travailler», ajoute M. Burke.

    McGill

    Stress post-traumatique, espagnol et ateliers d'un jour

    Le cours en ligne d'introduction au trouble de choc post-traumatique, donné en français et en anglais, s'adresse principalement aux professionnels de la santé susceptibles d'être en contact avec des personnes atteintes d'un trouble de stress post-traumatique. «C'est un trouble très fréquent avec les tremblements de terre, les guerres et les tsunamis, mais on ne l'aborde pas dans les formations de base», explique le Dr Alain Brunet, professeur au département de psychiatrie à l'Université McGill et instigateur du projet.

    Les étudiants peuvent suivre le cours de quelques heures à leur rythme. La formation est gratuite, mais payante s'ils veulent faire l'examen et recevoir une attestation.

    Pour s'inscrire au programme de deuxième cycle en communication en espagnol, il faut avoir atteint le niveau intermédiaire avancé.

    «Le programme de 18 crédits est spécialisé dans la communication en espagnol pour le monde des affaires», indique Heberto Fernandez, coordonnateur du programme.

    Les cours se donnent de soir, à temps plein ou à temps partiel.

    Enfin, McGill tente de plus en plus de développer des ateliers d'un ou quelques jours.

    «Ce n'est pas tout le monde qui est prêt à s'engager pour 13 ou 26 semaines de cours», affirme Inna Popova, directrice adjointe, perfectionnement professionnel et formation en entreprise à l'École d'éducation permanente de l'Université McGill.

    Ces ateliers sont non crédités, mais ils donnent des unités de formation continue. Une quarantaine d'ateliers seront donnés cet automne.

    Polytechnique

    Certificat d'intégration professionnelle pour les diplômés étrangers

    Polytechnique offre un certificat d'intégration professionnelle pour les diplômés étrangers depuis 2004. L'année dernière, les étudiants ont bénéficié en plus de l'accompagnement de l'organisme La Clé pour l'intégration au travail des immigrants grâce au soutien du ministère de l'Immigration et des Communautés culturelles. «Nous avons réussi à placer 25 des 26 étudiants qui ont suivi le programme. Nous espérons que la subvention sera reconduite», affirme Tuan Nguyen Dang, directeur du Centre de formation continue de Polytechnique.

    Le certificat prépare les étudiants à passer les examens de l'Ordre des ingénieurs du Québec.

    «Une personne qui fait l'examen sans avoir suivi notre programme le réussira du premier coup dans environ 67% des cas. Pour ceux qui ont fait notre programme, on monte à 87%. Toutefois, on a beau réussir l'examen, on n'est pas plus avancé si on n'arrive pas à se trouver un emploi. Le taux de chômage est de 30% chez les ingénieurs de certaines origines alors qu'il est globalement inférieur à 3%», affirme M. Nguyen Dang.

    École de technologie supérieure (ETS)

    Nouveau programme court en ingénierie financière

    Le programme court de premier cycle en ingénierie financière démarrera cet automne à l'ETS.

    «Il existe des programmes à HEC et à l'Université Laval dans le domaine, mais ils ont été créés pour les gens qui ont étudié en finance. Le nôtre est pour les ingénieurs, ou pour d'autres gens formés dans des domaines où ils sont habitués à faire des calculs avancés et de la modélisation. Avec ce programme, ces compétences sont mises au service de l'industrie financière», explique Éric Germain, responsable de CITÉ-ETS.

    Le programme de cinq cours se donne à temps partiel, les soirs et les fins de semaine pour accommoder les gens sur le marché du travail.

    «Le cours a été développé avec la Caisse de dépôt et placement du Québec. C'est vraiment un besoin de l'industrie», précise M. Germain.

    De plus, en janvier, l'ETS a lancé la maîtrise en projets internationaux et ingénierie globale.

    «Nous ciblons les gens qui oeuvrent dans des firmes qui font des affaires à l'étranger», indique Éric Germain.

    HEC Montréal

    Deux nouveaux programmes intensifs pour les cadres

    À l'automne, HEC Montréal donnera son premier séminaire intensif La Planification et le suivi d'un projet agile. Au printemps, le programme Comment intégrer sa stratégie de marketing électronique s'ajoutera à l'offre.

    «Nous avons commencé à créer des programmes intensifs il y a un peu plus d'un an et maintenant, nous voulons en développer davantage. Ça répond aux besoins d'une clientèle de cadres et de professionnels, ou encore, de jeunes cadres à haut potentiel», explique Serge Gagné, directeur de la formation des cadres et des dirigeants à HEC Montréal.

    Les formations se donnent en co-enseignement. «Il y a des professeurs bien au fait des dernières tendances et des dirigeants d'entreprise retraités qui viennent partager leur vécu», indique M. Gagné.

    Les programmes se donnent généralement en quelques jours étalés sur une session.

    «Les participants ne peuvent souvent pas s'absenter du travail trop de jours dans la même semaine», ajoute-t-il.

    L'expérience de travail pertinente est le seul préalable pour ces formations.

    Université de Montréal

    Employabilité et expertise en science de la santé

    Parmi les nouvelles formations créées récemment à l'UdeM, les professionnels de la santé peuvent suivre une formation pour devenir des experts-conseils.

    Pour aider les étudiants au doctorat et au postdoctorat à augmenter leur employabilité, l'École d'été se tiendra pour la première fois du 24 au 26 août à l'UdeM.

    «Le nombre de personnes qui font un doctorat et un postdoctorat augmente toujours alors que le nombre de postes offerts dans les universités diminue. Nos finissants sont de plus en plus appelés à faire carrière à l'extérieur des universités et il faut développer leurs compétences transversales», affirme Richard Patry, vice-doyen et secrétaire de la faculté des études supérieures et postdoctorales de l'UdeM.

    «Nous avons rempli nos 80 places la journée où nous avons annoncé le programme gratuit. Si tout va bien, nous le redonnerons à l'automne», affirme M. Patry.

    Le microprogramme de deuxième cycle en compétences professionnelles commencera également à l'automne, les soirs et les weekends.

    «Nous ciblons les jeunes détenteurs d'un baccalauréat dans les arts, la géographie, l'histoire, etc. Ce programme leur offre des cours en gestion de projet ou en ressources humaines et en communication pour améliorer leur performance sur le marché du travail», explique Johanne Côté, responsable du programme.

    Enfin, la faculté de médecine de l'UdeM offre un microprogramme en ligne méconnu de deuxième cycle ou un DESS en médecine d'assurance et expertise en sciences de la santé.

    «Il s'adresse aux professionnels de la santé qui souhaitent donner des opinions en tant qu'expert à la cour, dans des instances administratives gouvernementales, ou pour des compagnies d'assurance», explique la Dre Françoise Chagnon, directrice adjointe du programme.

    Le cours aborde entre autres les questions éthiques, la méthodologie, le langage, le contexte réglementaire et juridique.

    Pour le DESS, un travail dirigé de 13 crédits est ajouté.

  14. Lien

    Plafonner l'immigration africaine crée un « malaise », reconnaît la ministre de l'Immigration et des Communautés culturelles, Kathleen Weil. Assez pour qu'elle ait abandonné cette mesure controversée mercredi, dès la deuxième journée des consultations sur le plan d'immigration 2012-2015 du Québec.

    « L'acceptabilité sociale de cette orientation n'est pas là », a-t-elle avoué.

    Le printemps dernier, son ministère annonçait vouloir augmenter la diversité de l'immigration. Pour ce, une proportion maximale de 30% des immigrants pourrait provenir d'un même « bassin géographique ». En 2010, 36,8% des immigrants accueillis au Québec venaient de l'Afrique, surtout du Maghreb. En vertu des nouveaux critères, il aurait donc fallu accueillir moins de Maghrébins pour les trois prochaines années.

    Cette mesure a été « perçue comme étant discriminatoire», reconnaît la ministre. Elle a été critiquée par plusieurs intervenants, dont la Fédération des chambres de commerce du Québec, le Conseil du Patronat et divers groupes sociaux.

    « Je ne suis pas à l'aise avec le fait que les gens ne soient pas à l'aise avec ça », résume-t-elle.

    Elle cherche maintenant une « formulation plus positive » pour assurer la diversité de l'immigration.

    « Elle a écouté ses critiques, c'est tout à son honneur », a réagi Omar Kali, président de l'Association de la communauté algérienne de Québec. La ministre lui a annoncé son recul peu avant qu'il ne présente son mémoire hier après-midi.

    En 2010, Québec a accueilli environ 54 000 immigrants. On s'attend à en recevoir autant cette année. Le ministère voudrait diminuer légèrement ce nombre pour les trois prochaines années. Il propose de le « stabiliser » à 50 000.

    Chômage important

    En avril dernier, Mme Weil reconnaissait qu'il était «plus compliqué» d'intégrer les Maghrébins au marché du travail. Au Québec, le taux de chômage est présentement de 7,2%. Il est presque deux fois plus élevé chez les immigrants. Et depuis quelques années, il dépasse 20% chez les immigrants maghrébins.

    «Mais c'est trop facile de dire : on limite à 30% l'immigration qui vient d'Afrique. C'est traiter les humains comme s'il s'agissait de nombres», a réagi Conrad Ouellon, président du Conseil supérieur de la langue française (CSLF).

    Selon lui, il faut d'abord « examiner ce qui ne fonctionne pas». « Ils parlent français, ces gens-là. Le problème, c'est surtout qu'il y a des blocages sociaux à leur intégration. Pas partout, je ne veux pas généraliser. (...) Mais même si on réduisait à 30%, on aura le même problème.»

    Le chômage des immigrants diminue lentement. Il a reculé de 1,2% entre 2009 et 2010.

    Pour faciliter l'intégration, M. Ouellon suggère entre autres de collaborer davantage avec les groupes communautaires, comme celui de M. Kali.

    Les consultations sur le plan d'immigration se poursuivent jusqu'au 7 septembre.

  15. Ça aurait été bien que le titre de l'article ait rapport avec son contenu. Encore mieux s'il avait eu rapport à l'étude dont il est question. Je ne vois pas vraiment où est-ce écrit que les immigrants combleront les emplois laissés par les boomers lorsqu'ils prendront leur retraire. Ça dit juste que l'immigration va contribuer à l'augmentation du nombre de travailleurs. Ce ne sont pas là deux situations qui sont synonymes.

    En effet beaucoup d'emplois de retraités ne seront pas renouvelés, il y aura également une réorganisation des structures et organisations.

    Pour ce qui est de l'immigration qui va contribuer à l'augmentation du nombre de travailleurs. Cela est en contradiction avec Québec veut réduire l'immigration

    ce n'est plus le cas..; après cet article

    Kathleen Weil recule sur ses quotas dimmigrants

  16. Lien

    Le Québec ne prend pas tous les moyens requis pour intégrer ses immigrants, selon le Conseil supérieur de la langue française (CSLF).

    L'organisme-conseil demande donc au gouvernement de faire plus et mieux pour franciser les immigrants et faciliter leur accès au marché du travail, la clé pour assurer leur intégration.

    «Je ne pense pas qu'on a utilisé tous les moyens qu'il faut pour parvenir à une meilleure intégration», a commenté en point de presse, mercredi, le président de l'organisme, Conrad Ouellon, premier intervenant à témoigner devant la commission parlementaire chargée d'évaluer les seuils d'immigration planifiés pour la période 2012-2015.

    Selon lui, compte tenu de l'importance de l'enjeu, toute la société devrait mettre l'épaule à la roue de l'intégration des immigrants.

    Une quarantaine d'autres intervenants vont suivre d'ici la fin des travaux, le 7 septembre.

    En avril, Québec avait annoncé son intention de fixer à 50 000 le nombre d'immigrants à accueillir annuellement, en moyenne, au cours des trois prochaines années, en légère baisse par rapport aux dernières années.

    Dans l'ensemble, le Conseil a dit approuver les orientations privilégiées par Québec, quant aux seuils d'admissions. Il estime donc que le gouvernement a eu raison de chercher à stabiliser le nombre de nouveaux arrivants autour de 50 000 annuellement.

    En théorie, selon lui, si on accepte d'y consacrer les ressources requises, le Québec a la capacité d'intégrer en français 50 000 personnes supplémentaires chaque année.

    Il a cependant émis des réserves sur la volonté gouvernementale de limiter à 30 pour cent la proportion d'immigrants en provenance de chacun des bassins géographiques de la planète. Selon M. Ouellon, cette disposition peut paraître discriminatoire. Il y a lieu, selon lui, de se pencher sur les motifs à la source de ce choix.

    M. Ouellon dit aussi qu'il faut augmenter l'offre de cours de français en milieu de travail, particulièrement dans les petites et moyennes entreprises (PME), vers lesquelles convergent une portion importante d'immigrants souvent moins qualifiés et avec une faible connaissance du français.

    En sus des compétences linguistiques à acquérir, il estime que le gouvernement devrait porter une attention particulière au besoin des immigrants de mieux comprendre le fonctionnement de la société québécoise.

    «Ce n'est pas que du français. C'est aussi une connaissance sociale et une capacité d'intégration», a-t-il fait valoir. À ses yeux, francisation et intégration sont donc «indissociables». «Tu ne te francises pas, si tu ne réussis pas à t'intégrer, et inversement», selon lui.

    Dans un souci de cohérence, il est revenu à la charge pour réclamer un guichet unique de services aux immigrants, alors qu'actuellement la responsabilité est partagée principalement entre le ministère de l'Immigration et celui de l'Éducation, et les nouveaux arrivants peuvent facilement se perdre dans les dédales administratifs.

    Il faudrait surtout, de l'avis du Conseil, adopter une perspective plus large en matière de francisation et étendre l'offre de cours de français aux «migrants des autres provinces, aux autochtones, aux Québécois anglophones, aux cohortes d'immigrants plus anciennes, etc.».

    Il ne faudrait pas oublier non plus, soutient le CSLF dans son mémoire à la commission, les personnes âgées et les mères de famille à la maison, qui contribueront à enseigner le français à leurs enfants.

    La capacité du Québec d'intégrer ses immigrants en français reste à démontrer. En mai dernier, le vérificateur général du Québec, Renaud Lachance, avait semoncé le ministère de l'Immigration, parce qu'il n'avait mis au point aucun indicateur attestant la capacité réelle du Québec d'accueillir et d'intégrer au travail les immigrants.

    En 2007, prétextant des besoins de main-d'oeuvre, le gouvernement Charest avait augmenté de 20% le nombre d'immigrants souhaités, sans pour autant avoir évalué s'il pouvait supporter une telle hausse, selon le vérificateur.

    En 2010, le Québec a accueilli 54 000 immigrants. En 2001, seulement 35 500 nouveaux arrivants étaient admis au Québec.

  17. Lien

    La population active continuera à croître au Canada au cours des 20 prochaines années, mais à un rythme plus lent, en raison du départ à la retraite des baby-boomers. L'immigration contribuera à la progression du bassin de travailleurs, souligne Statistique Canada.

    Dans son étude, publiée mercredi, l'agence précise qu'il y aura environ 22,5 millions de travailleurs en 2031, tandis que ce nombre s'établissait à 18,5 millions l'an dernier.

    De 2006 à 2010, la population active a augmenté d'environ 1,4 % par année. D'ici 5 ans, ce taux de croissance devrait être inférieur à 1 % et il pourrait même fléchir à 0,2 % entre 2021 et 2026, selon les projections de Statistique Canada.

    Par ailleurs, le vieillissement de la population se confirme. S'il y avait six travailleurs au pays pour chacun des retraités en 1981, ce ratio devrait être de trois pour un en 2031.

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    Statistique Canada prévoit aussi que le taux global d'activité, c'est-à-dire le pourcentage de l'ensemble de la population de 15 ans et plus qui est dans la population active, diminuera pour atteindre un niveau semblable à celui des années 1970. Ainsi, entre 59,7 % et 62,6 % des Canadiens de 15 ans et plus seraient des travailleurs.

    En 2010, le taux d'activité se situait à 67,0 % au pays.

    En plus du vieillissement des travailleurs canadiens, la diversité ethnique de ceux-ci augmente. Statistique Canada estime qu'en 2031, environ une personne de la population active sur trois pourrait être née à l'étranger comparativement à 18,5 % en 1991.

  18. lien

    La santé des immigrants au Canada se dégrade au fil des années, selon une étude.

    Les risques de contracter une maladie cardiovasculaire augmentent chez les immigrants établis au Canada au fil des années, et ce problème frappe encore plus les Canadiens d'origine chinoise, laisse penser une étude.

    Les médecins savaient déjà que plus les immigrants résidaient longtemps dans un pays de l'Occident comme le Canada, plus leur santé se dégradait, a précisé la chercheuse principale de l'étude, Maria Chiu, docteure à l'Institut de recherche en services de santé, en Ontario. Mais les médecins ignoraient si cette détérioration variait selon les groupes ethniques vivant au Canada.

    En se basant sur des données concernant la population et la santé, Mme Chiu et les coauteurs de l'étude, publiée mardi dans le Journal canadien de cardiologie, ont examiné la prévalence de facteurs de risque associés à la cardiopathie et aux accidents vasculaires cérébraux chez des immigrants qui vivaient en Ontario depuis 15 ans et plus.

    Ces données ont ensuite été comparées à celles obtenues avec une analyse identique, mais menée chez des immigrants qui vivaient dans cette province depuis moins de 15 ans.

    Les chercheurs ont découvert que les résidents de plus longue date présentaient des facteurs de risque associés à une maladie cardiovasculaire (notamment le diabète de type 2, l'obésité, le tabagisme et l'hypertension artérielle) accrus comparativement aux immigrants établis au pays depuis moins longtemps.

    La professeure Chiu a précisé que cette tendance avait été observée pour tous les principaux groupes ethniques présents au Canada, qu'il s'agisse de Blancs, de Chinois, de Sud-Asiatiques ou de Noirs.

    C'est normal qu'au fur et à mesure qu'on vieillie, notre santé se dégrade... immigrant ou pas

    :blink:

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