marinette

Merci ! C'est encourageant. Je vais m'accrocher, on verra bien ! Marie

Bonjour Je vous poste ce petit message pour vous demander vos "lumières". Voilà, j'ai mis le mois dernier mon CV sur emloiquébec et j'ai eu un contact par mail d'une société intéressée. J'ai rappelé mon interlocutrice qui m'a dit qu'elle me rappellerait demain. Comme je suis en France je lui ai proposé de la rappeler moi-même . Elle sait que je suis en France pour terminer mon diplôme en déc 2006 et que j'ai le projet de m'installer au Canada l'année prochaine. Cela n'a pas l'air de lui poser de problème car ils ont un projet de développement sur 5 ans. Je souhaite savoir pour cet entretien téléphonique demain quelles sont les "gaffes" à ne pas faire, ou les choses à dire ou à faire que nous français ne savons pas, pour ne pas créer d'incompréhension ni heurter les sensibilités. Ce serait dommage ! Merci pour vos conseils, Marie

Bonjour Je tiens tout d'abord à vous remercier pour vos remarques et vos conseils, qui sont toujours très enrichissants. En fait, le PVT nous permettrait de vivre une expérience à la fois "entre parenthèses" et "tremplin" dans notre vie personnelle et professionnelle. Si on se plaît au bout des 2 ans, nous pourrons rester, mais le PVT permet de nous laisser la liberté psychologique de rentrer après ces 2 ans. Je crois que c'est important de se sentir libre de ses choix à tout moment. Pour répondre à canadadry, en fait mon mari a fait à peu près le même métier depuis 5 ans dans 2 entreprises différentes. Il est chargé d'affaires dans l'industrie, au niveau technique, il n'apprend plus rien car il maîtrise son domaine. Son sentiment de "construire quelque chose" c'est surtout au niveau des clients qu'il récupère et fidélise... Je ne pense pas qu'on s'accroche à son boulot pour des clients, car une fois parti, au bout de 1 mois, on les oublie complètement ! C'est le principe même de son métier, mais quand on a la tête dans le guidon, on s'accroche toujours à ce qu'on a réalisé... Je ne pense pas qu'il aie plus à perdre qu'à gagner aujourd'hui. Il a été contacté par 2 entreprises en janvier et a même accepté 1 offre.... Un problème de salaire l'a finalement fait refuser ce poste... Nous avons beaucoup réfléchi par la suite sur sa situation. Il veut évoluer, manager, gérer, ou se mettre à son compte, mais il n'a aucune évolution de poste possible dans son entreprise, c'est clairement établi. Même son supérieur lui demande de temps en temps pourquoi il passe un diplôme au CNAM et ce qu'il en fera par rapport à son poste aujourd'hui... J'en ai parlé avec lui hier soir (merci pour vos posts qui m'ont éclairée !). Il m'a dit que sa principale préoccupation c'est qu'il ne sait pas vers quoi s'orienter. Il a "fait le tour", quitter sa boîte au bout de 2 ans 1/2 ne lui pose pas vraiment de problème. Il a toujours voulu se mettre à son compte mais ne sait pas trop dans quel domaine. En même temps il pense de plus en plus faire "un grand tournant". Un break au Canada peut être l'opportunité pour prendre le large et réfléchir à son projet, et aussi de découvrir d'autres opportunités dans un contexte différent. Toujours est-il que je lui ai dit que le "projet Canada" devait avant tout être un projet d'accomplissement personnel (car si on mise sur une évolution professionnelle on risque d'être déçu) même si on fera tout pour avancer sur le plan professionnel. Il faut être bien dans sa tête pour prendre les bonnes décisions dans la bonne direction ! Merci encore pour votre gentillesse Marie

Merci à vous qui m'avez répondu. Nous réfléchissons beaucoup à ce projet et vous le faire partager nous aide dans notre démarche. C'est vrai que le fond du problème réside dans la situation professionnelle de mon mari, nous allons et nous devons prendre le temps de réfléchir à ses réels objectifs. Je pense intimement qu'une expérience probante au Canada ne peut qu'être positive car elle permet de mûrir et d'acquérir une autre vision dans l'entreprise. Dans tous les cas il faut faire le point sur sa situation professionnelle et ce qu'il envisage de faire, c'est le fond de la démarche. Merci encore pour votre attention et vos conseils. Marie

Bonjour à tous, Voilà, cela fait 10 mois que je suis avec avidité les informations circulant sur immigrer.com, et je remercie tous les forumistes de nous faire partager leur précieuse expérience. J'ai 27 ans et mon mari 30 ans. Après une maîtrise d'anglais et 3 ans d'expérience professionnelle, je termine un diplôme d'Ecole de Commerce en formation continue. Après un DUT de maintenance industrielle, mon mari travaille depuis 7 ans dans le négoce industriel, et il termine également en parallèle un diplôme en gestion (bac+4) au CNAM. Aujourd'hui, mon mari est dans une phase d'interrogation par rapport à ses choix professionnels. Il sent qu'il a fait "le tour de la question" dans son poste, il n'a pas d'évolution possible dans son entreprise et ne gagne pas très bien sa vie. Mais il a le sentiment de "construire des choses" avec ses clients depuis 1 an qu'il est dans l'entreprise. De mon côté je souhaite travailler dans le conseil en développement international des entreprises. Ce projet de carrière passe par une expérience à l'étranger incontournable. Passionnée par le Canada, je souhaite que nous venions en PVT + perf. l'année prochaine, une fois nos 2 diplômes en poche, pour une expérience de 2 ans environ. Je pense que cela nous permettrait de prendre du recul, de découvrir un pays magnifique, de vivre une expérience pas facile mais exceptionnelle, de faire le point, et de nous frotter à nos limites. Ensuite, soit on se plaît et on reste (RP), soit on rentre en France. Mon mari n'est pas opposé à ce projet en soi mais il me dit qu'il a besoin de temps pour "l'assimiler", pour "se faire à l'idée". Son principal "hic" c'est qu'il craint de larguer son boulot au bout de 2 ans, que les risques soient trop importants car il casserait ce qu'il construit tout juste dans son boulot, que si ensuite on rentre en France on ne trouve pas de boulot car on n'aura pas forcément travaillé dans notre branche au Canada... En fait ses objections sont essentiellement d'ordre professionnel. Sinon, à titre personnel, le projet de vivre au Canada lui plaît. Si je vous explique tout cela, c'est pour vous demander votre avis, si vous ressentez les mêmes doutes ? Si certains d'entre vous ont déjà vécu l'expérience, comment s'est passé votre retour en France pour ceux qui sont rentrés ? Nous envisageons de faire un petit voyage de reconnaissance pour voir et "sentir" le pays déjà, même si l'approche ne sera que touristique... Voilà, c'était un peu long, merci pour votre patience, mais CA ME FAIT DU BIEN DE VOUS EN PARLER ! Merci pour vos avis ! Marie

Bonjour à tous, Voilà, cela fait 10 mois que je suis avec avidité les informations circulant sur immigrer.com, et je remercie tous les forumistes de nous faire partager leur précieuse expérience. J'ai 27 ans et mon mari 30 ans. Après une maîtrise d'anglais et 3 ans d'expérience professionnelle, je termine un diplôme d'Ecole de Commerce en formation continue. Après un DUT de maintenance industrielle, mon mari travaille depuis 7 ans dans le négoce industriel, et il termine également en parallèle un diplôme en gestion (bac+4) au CNAM. Aujourd'hui, mon mari est dans une phase d'interrogation par rapport à ses choix professionnels. Il sent qu'il a fait "le tour de la question" dans son poste, il n'a pas d'évolution possible dans son entreprise et ne gagne pas très bien sa vie. Mais il a le sentiment de "construire des choses" avec ses clients depuis 1 an qu'il est dans l'entreprise. De mon côté je souhaite travailler dans le conseil en développement international des entreprises. Ce projet de carrière passe par une expérience à l'étranger incontournable. Passionnée par le Canada, je souhaite que nous venions en PVT + perf. l'année prochaine, une fois nos 2 diplômes en poche, pour une expérience de 2 ans environ. Je pense que cela nous permettrait de prendre du recul, de découvrir un pays magnifique, de vivre une expérience pas facile mais exceptionnelle, de faire le point, et de nous frotter à nos limites. Ensuite, soit on se plaît et on reste (RP), soit on rentre en France. Mon mari n'est pas opposé à ce projet en soi mais il me dit qu'il a besoin de temps pour "l'assimiler", pour "se faire à l'idée". Son principal "hic" c'est qu'il craint de larguer son boulot au bout de 2 ans, que les risques soient trop importants car il casserait ce qu'il construit tout juste dans son boulot, que si ensuite on rentre en France on ne trouve pas de boulot car on n'aura pas forcément travaillé dans notre branche au Canada... En fait ses objections sont essentiellement d'ordre professionnel. Sinon, à titre personnel, le projet de vivre au Canada lui plaît. Si je vous explique tout cela, c'est pour vous demander votre avis, si vous ressentez les mêmes doutes ? Si certains d'entre vous ont déjà vécu l'expérience, comment s'est passé votre retour en France pour ceux qui sont rentrés ? Nous envisageons de faire un petit voyage de reconnaissance pour voir et "sentir" le pays déjà, même si l'approche ne sera que touristique... Merci pour vos conseils ! Marie

Merci pourta rapide réponse ! Le coeur est plus léger ! Alors en été 2007.... une année à changements se profile !

Bonjour, J'ai 27 ans et mon mari 31 ans, nous habitons en France et sommes mariés depuis 5 ans (voilà pour la petite présentation). Nous souhaitons larguer nos boulots et venir courant 2007 pour 1 an en PVT (quitte à rallonger un peu ensuite si tout se passe bien), mais les âges requis ne sont pas très clairs: certains documents donnent un plafond à 35 ans et d'autres à 30 ans ! Ca change pas mal la donne pour mon mari ! Sinon, si le plafond est à 30 ans, est-ce que en tant que conjoint il peut m'accompagner ? Sous quel statut ? Merci de bien vouloir me renseigner, car je doute que mon cher et tendre accepte de ne connaître le Québec que par cartes postales ! :desole: Marie

"Les travailleurs français, sont avec les belges ceux qui ont le meilleur taux de productivité (travail produit par période de temps) au monde Temps de travail effectué est différent de Quantité de travail produit" Franchement, sans toutefois généraliser, avec le nombre effarant de "pauses café" ou "pauses clopes" dans la journée (sport national), la réduction du temps de travail et une mentalité plutôt syndicaliste, je vois mal comment la France peut battre les records de productivité... de la poudre aux yeux ! ou alors ça ne va pas durer car il n'y a pas de miracle: ceux qui bossent vont nous bouffer sur le dos !

Bonjour Vianney Je ne tiens pas à répéter ce que beaucoup ont déjà dit, mais concernant ton projet de départ au Canada, je crois réellement que tu peux tirer parti de ta rupture. En effet, la rupture avant ton départ t'oblige à réfléchir mille fois plus sur les réelles motivations de ton départ. La relation que tu avais avec elle t'amenait peut-être à assimiler (voire "oublier") les vraies raisons de ton départ avec la raison du coeur. Aujourd'hui, le choc est brutal, mais tu te retrouves face à toi-même et surtout avec tes vraies motivations. Comme ça, ta décision de partir sera prise en toute liberté, il est important de ne dépendre de PERSONNE. Car si la rupture avait eu lieu une fois là-bas, le spleen t'aurait peut-être fait regretter d'avoir immigrer et tu aurais certainement associé motivation de l'immigration = petite chérie, alors que ton projet a des racines plus profondes. Ce sont ces racines qui doivent te motiver pour que tu puisses un jour t'en souvenir fermement en cas de coup dur là-bas ! Bonne chance à toi, laisse passer l'orage et le soleil réapparaîtra avec ton beau projet ! Marie (qui aimerait bien vivre un jour au Québec !) NB: pour la petite traduction en anglais on dit aussi "to fall in love" et là ça peut faire mal ! :heu1: ouille !!!

Oups ! vous me faites peur !!! Cela fait 7 ans que mon mari travaille et moi 3 ans (bac + 4 tous les 2), et on s'est vraiment serré la ceinture au quotidien pour économiser... 15000 euros !! et sans folies, sans vacances ! (si si ! c'est vrai!) Alors notre projet d'immigrer devra-t-il attendre 10 ans de plus pour économiser plus de sous ??? PS: y'a pas à dire, en France c'est vraiment la crise !

Merci beaucoup Zelda et M Nice Guy ! je garde ce lien précieusement, il sera bien utile ! A bientôt Marie

Bonjour, nous avons le projet avec mon mari de passer une semaine au Québec en janvier ou février prochain. Ce sera la première fois. Ce court séjour (problème de vacances !) nous permettra d'avoir un tout petit aperçu, avec l'idée derrière la tête de venir y travailler dans quelques temps. Je m'adresse à vous pour avoir vos conseils, savoir ce qu'il y a à voir ou à faire en si peu de temps, histoire d'avoir envie de revenir plus longtemps une autre fois ! Merci à vous Marie

Tu as raison Laurent33, c'est quand même plus sympa de parler du Québec !

Bonjour Nous avons le projet avec mon mari de venir en Aout découvrir le Quebec, mais quand j'ai vu le prix des billets d'avion (minimum 1600 euros pour 2 personnes) et après le logement, le transport, les visites... le budget risque de taper les 3000 euros, ça va être très dur ! mais bon, si on découvre un site miracle avec des billets pas chers... On se tient au courant ! Marie

Oh non, gardons Sarko en France !!!!! Bonjour tout le monde ! Oui gardons Sarko en France, car excusez-moi de froisser certaines susceptibilités, mais pour une fois qu'un homme politique n'a pas peur de dire ce qu'il pense, et qu'il met un bon coup de pied dans cette fourmilière de pseudo "tolérance" (au non de quoi on accepte tout et surtout n'importe quoi), au moins il fait avancer les choses. Et certains propos crus qu'il a pu avoir ne font pas forcément de mal à entendre. Les français veulent du changement (traduire: des acquis sociaux, des congés, et deux fois plus de salaire des fonctionnaires sur le dos du privé qui s'essouffle !) mais SURTOUT PAS DE CONTRAINTE !!! Alors c'est sûr, son discours passe mal, mais d'une part il faut l'interpréter correctement sans le déformer par d'éventuels dérapages volontaires des medias, et il faut aussi changer de mentalité. On peut toujours reprocher des tas de choses aux hommes politiques (ça c'est un sport national), mais ils ne sont pas "tous à mettre dans le même panier" comme beaucoup disent (pour justifier leur passivité) et l'élection de tel ou tel parti a d'énormes conséquences sur la France, comme le prouve la déroute des années de socialisme (que peu veulent admettre d'ailleurs). Alors un peu de rationalisation et de fermeté, ça casse les oeufs des "acquis sociaux" mais ça ne fait pas de mal ! Cordialement Marie

Tout dépend du domaine d'activité ! Dans le marketing, le commercial ou la com, pas de problème a priori. Simplement ton diplome, même d'une grande école, fera beaucoup mois forte impression au Québec qu'en france. Mais il y a (comme en france) des métiers dont l'exercice est plus règlementé : médecins, comptables, ingénieurs. Tu peux trouver des infos dans les FAQ sur les ordres et les métiers à titre réservé. Merci Laurent, à priori, le marketing et le commerce (voire à l'international, l'import/export) sont les domaines qui m'intéressent. Même si l'école n'est pas forcément reconnue au Québec, ce qui compte, c'est de pouvoir trouver du travail assez rapidement !

Bonjour Je te donnerais volontiers un coup de main. Par contre je ne sais pas utiliser les PM... Envoie moi un mail de ton côté si tu peux. C'est à faire pour quand ? car je bosse aussi ce WE. Marie

Bonjour Je suis en Ecole de commerce (reconnue par la Conférence des Grandes Ecoles) en France. Quels sont les débouchés par rapport à cette formation au Québec ? Devrai-je reprendre des études ? (gloups...)

Bonjour à tous Comme je l'écrivais dans le message "délais", je découvre ce site formidable et vous remercie pour la qualité et la spontanéité de vos messages. Je suis très surprise de constater que le marché de l'emploi me paraît nettement plus ouvert au Québec qu'en France, où même après une Ecole de commerce et 3 ans d'expérience je me ronge les sangs pour savoir comment évoluer professionnellement et espérer passer la barrière des 1500 euros nets... Mes lectures de témoignages et forums me laissent l'impression qu'il est plus facile de trouver du travail (tout simplement) au Québec, même si ce n'est pas le métier de nos rêves au début, et qu'il est possible de débarquer sans même avoir de travail (j'en suis scotchée, en France, c'est du suicide !). Est-ce une erreur de ma part ? Merci pour vos éclaircissements

la moyenne francaise pour obtenir la residence permanante (RP) est de environ 1an +/- 4 mois... d'aprs les stats vu sur le site... a partir de ta date de visite medicale, tu a 1an pour valider ta RP en allant au canada.... a toi de jouer avec le calendrier maintenant Merci pour vos réponses si rapides !

Bonjour Je découvre ce formidable site, riche en informations et anecdotes. Merci à vous tous ! Nous envisageons (mon mari et moi-même) d'immigrer au Québec, et donc de faire une demande de résidents permanents. J'ai une question à ce sujet: Une fois que l'on a obtenu toutes les autorisations + visa, peut-on attendre quelques mois avant de partir définitivement (pour terminer une formation) ? Si nous faisons notre demande maintenant, et si nous l'obtenons en aout ou octobre 2006, je ne serai diplomée de ma formation qu'en décembre 2006. Nous pourrions partir le premier semestre 2007. Est-ce possible ou faut-il planifier des dates exactes pour le dossier ? Merci pour vos éclaircissements.