lorenaeir
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Moi j'habite à Vancouver depuis 3 ans maintenant. C'est une très belle ville et la qualité de vie y est exceptionnelle. Le point noir pour moi c'est qu'on s'y ennuie bcp. Je ne suis pas la seule à penser ça. Ce n'est pas pour rien que Vancouver a le surnom de NO FUN CITY. Je trouve que les relations avec les gens sont superficielles et le politiquement correct ambiant commence vraiment à m'etouffer!
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Hello, Après 3 ans, nous quittons Vancouver fin juin. Et oui, toute les bonnes choses ont une fin. Alors on vend tout, tout, tout. Si vous êtes dans le coin ou si vous arrivez courant juin cela peut vous intéresser. Plutôt que d'aller chez Ikea, venez chez moi, j'ai un mini Ikea à la maison! Voilà la liste à laquelle j'ajoute des trucs tous les jours. N'hésitez pas à me contacter si vous avez des questions ou si vous voulez mettre une option. Dsl pour la pub, mais ça sert aussi à ça le forum, non? Pour des livres en francais à Vancouver, c'est ici.
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Ah desolee! Je n'avais pas suivi. Enfin ca ne peut pas faire de mal!
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Dans mes archives, j'ai retrouvé cet article du Monde qui peut intéresser ceux qui veulent s'installer dans le l'ouest canadien. L'article date de décembre 2005 L'Ouest canadien veut des immigrés, toujours plus d'immigrés Article paru dans l'édition du 11 Décembre 2005 Une chaîne de restauration rapide offrant un iPod et une bourse d'études pour attirer des serveurs ; des électriciens payés 170 000 dollars canadiens par an, des camionneurs gagnant autant que des ingénieurs... Dans l'Ouest canadien, on manque de main-d'oeuvre ! La liste des métiers en demande est longue, mais la situation va encore s'aggraver d'ici dix ans à la faveur du formidable développement que connaissent l'Alberta et la Colombie-Britannique. La première, province de l'or noir, est déjà en situation de plein emploi. Son PIB a triplé en trois ans et des investissements de 100 milliards de dollars canadiens sont prévus d'ici dix ans dans le secteur de l'énergie ! Le gouvernement songe à supprimer ses impôts et va offrir à chaque Albertain un chèque de 400 dollars canadiens en cadeau de Noël ! Dans la province voisine, l'économie est aussi prospère, avec une! croissance annuelle de plus de 3 %, un tourisme florissant et des ressources minières et forestières demandeuses de main-d'oeuvre. La rançon du succès ? Un gros problème de recrutement ! Ici comme ailleurs au Canada, avec une population vieillissante et un taux démographique insuffisant, on craint fort qu'une pénurie de personnel ne vienne freiner la croissance, alors même qu'elle devrait s'accélérer pour répondre à la demande des pays asiatiques ! « En 2016, nous aurons un taux de croissance de la main-d'oeuvre nul au Canada si nous ne forçons pas sur l'immigration », croit l'économiste Roger Sauvé. Il chiffre à 650 000 par an le nombre d' immigrants dont le Canada aurait besoin. On est loin du compte, avec 235 824 résidents permanents en 2004 et un objectif de 255 000 pour 2006. Pourtant, le ministre canadien de l'immigration, Joe Volpe, affirme que l'appel aux étrangers est « vital pour le développement économique et social du pays ». Partout au Canada, ma! is surtout dans l'Ouest, on cherche à attirer de nouveaux immi! grants. L'Alberta vient d'adopter sa première politique d'immigration, alors que la Colombie-Britannique lorgne du côté européen pour élargir son éventail d'immigrants. En Alberta, on cherche de tout, des serveurs, camionneurs, ingénieurs, plombiers, infirmiers, pharmaciens... Pour l'exploitation des sables bitumineux, 240 000 emplois canadiens devraient être créés d'ici à 2008, dont 60 % dans cette province. « Un défi et une inquiétude » pour Total Canada, revenu en Alberta pour se lancer dans la course au pétrole des sables bitumineux et qui aura « besoin de 5 000 personnes d'ici dix ans », dit son vice-président, Yves de Clippele. Les deux provinces ont des programmes pour choisir leurs propres immigrants. « On veut accélérer les procédures d'immigration pour ceux qui sont déjà sur place avec un permis de travail », explique Robert Vineberg, haut fonctionnaire du ministère canadien de l'immigration en Alberta. En Colombie-Britannique, le programme vise des « profes! sions stratégiques » ou des créateurs d'entreprise (à même d'investir au moins 800 000 dollars canadiens). Aurélien Cordonnier en a profité. Ce jeune ingénieur français, sans emploi pendant plusieurs mois au Canada, est devenu testeur de jeux vidéo. « En six mois dans l'entreprise, je suis devenu programmeur et ma demande d'immigrant «provincial a été acceptée en quinze jours ! » SERVICES D'AIDES À L'INTÉGRATION L'Ouest canadien peut sembler un eldorado pour immigrants, mais pas pour tous ! Certains connaissent de sérieuses déceptions car la reconnaissance des qualifications étrangères est loin d'être au point. Des ingénieurs livrent des pizzas, des médecins conduisent des taxis, des architectes ne peuvent pas signer leurs plans... Le gouvernement canadien a lancé en avril plusieurs programmes pour faciliter cette reconnaissance, dont un pour les professionnels de la santé formés à l'étranger. Malgré ces ratés, le modèle d'intégration des immigrants a ! largement fait ses preuves dans ce pays à majorité de « gens v! enus d'ailleurs ». Selon un sondage récent, les deux tiers des Canadiens voient l'immigration comme un « enrichissement » et le multiculturalisme comme « une protection contre les extrémismes ». La Colombie-Britannique est un bel exemple de réussite, avec plus du quart de sa population née à l'étranger ! Dans l'Ouest canadien, les services d'aide aux immigrants sont multiples. « Plus tôt on intervient auprès d'eux, plus on a de chances de réussir leur intégration », croit Dale Taylor, du Centre des nouveaux arrivants de Calgary. Alice Colak dirige un organisme similaire à Edmonton qui sert de « pont entre immigrants et société sur la route de l'intégration ». La plupart offrent des services d'information et de soutien à court et long terme (démarches administratives, logement, emploi...) et des cours d'anglais gratuits... car « le principal handicap à l'intégration est linguistique », affirment-ils en choeur. Certains vont plus loin. A Vancouver, on jumelle cha! que année un millier de bénévoles à autant d'immigrants. « L'idée, dit Alison Dudley, du ministère du multiculturalisme, est d'aider les nouveaux arrivants dans des démarches de base et d'encourager les échanges culturels ». Le gouvernement finance aussi un « programme d'antiracisme » pour que des villes mettent en oeuvre un « modèle de réponse à des incidents critiques ». A Edmonton, on mise sur l'adaptation à l'emploi, avec un programme de mise à niveau d'ingénieurs étrangers au prix de 20 000 $CAN par personne. « Ce que nous voulons, souligne le ministre du multiculturalisme de la province, Wally Oppal, c'est que les immigrants gardent leur identité mais qu'ils deviennent d'abord Canadiens. » Comment ? « En les intégrant dans l'économie, la société, les institutions et en leur donnant une vraie égalité de traitement. »
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Excellent Une autre Flash Mob a eu lieu samedi dernier a Vancouver. Cette fois le theme c'etait les bulles. A voir ici.
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Tiens c'est marrant, moi aussi j'étais en Irlande avant de débarquer à Vancouver!
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Tous deux non Canadien, moi française, lui irlandais avons eu une petite Molly l'année dernière. Les formalités pour le passeport canadien ont été plus rapides que pour le passeport français. Nous avons reçu le birth certificate par la poste assez rapidement. Ensuite nous sommes allés faire les démarches pour le passeport, que nous avons eu en qq jours si ma mémoire est bonne. Pour le passeport français, il a fallu attendre 3 semaines. Cela dépend des périodes, c'est plus long pendant l'été. J'ai eu besoin d'un passeport très vite car nous avons pris l'avion le jour de ses 2 mois. Comme tu ne peux plus mettre tes enfants sur ton passeport, il faut qu'ils aient leur propre passeport. Délire la photo à à peine 2 semaines!!!
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Hier Flash Mob à Vancouver. Une bataille de polochons spontanée de 15 minutes sous l'oeil ébahi de passants. C'etait tres sympa et bon enfant. Video: 142_4273.AVI Pour en savoir plus, direction mon Blog.
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A Québec tout est blanc et il fait zéro aujourd'hui, plein soleil. Le PARADIS! Il me nargue le monsieur là! Pas de neige downtown cette année. Pour le moment, anyway.
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Raté pour le record! Il s'est arreté de pleuvoir la veille du jour record pour reprendre de plus belle le lendemain. C'est balot, hein!!!
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Point Grey, sur MacDonald. Ca marche bien, meme le maire Larry Campbell repasse son permi la bas! Il vont prendre ton permi francais en otage le temps que tu passes le test. Moi ca ne me plait pas trop ca. Bon courage a toi.
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Ah non, tu me l'apprends! Ne me dis pas que tu habites l'une des splendides maisons de Shaughnessy! Moi je suis entre Heather et Ash.
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Shaughnessy, et bien on ne s'embête pas!!! C'est toi le voisin de Goldie? Cela dit je n'habite pas très loin, sur la West 16th!
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Plus chère que dans le reste du Canada, c'est sur. Mais moins chère selon moi qu'en Europe.
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Oups sorry, je n'avais pas mis l'alerte email. Je viens seulement d'apercevoir ton message. Ce que je pense de Vancouver: franchement, je trouve que c'est un petit paradis sur terre un peu asceptisé. Effectivement la ville est très belle et les alentours sont vraiment magnifiques. Par contre je trouve l'atmosphère un peu stérile. Il n'y a pas beaucoup d'interactions entre les gens sinon pour s'échanger des politesses politiquement correctes. On dit que Vancouver est un melting-pot culturel, certes mais dans certaines tranches de la population, les échanges sont limités. Vancouver by night: Nous quittons Vancouver, pour des raisons professionnelles, l'été prochain et je suis déjà nostalgique de certains endroits et activités que j'affectionne beaucoup et que je ne trouverai pas en Europe. Par exemple, le marché de Granville Island. Regardez cette photo prise jeudi dernier de Granville avec vue sur Yaletown. Après une journée de pluie, le soleil a fait son apparition. La photo a été réalisée sans trucage. D'autres questions?