Nicolas

On peut se marier partout dans le monde (genre chez les papous)... le seul problème après c'est de faire reconnaître son mariage là où on habite, donc ça suppose que les lois de célébration du mariage respectent les lois d'ordre public du lieu où vous vous voulez le faire reconnaître (pour éviter les fraudes). Et y'a pas de problèmes entre la France et le Canada... je sais que ma mairie avait automatiquement envoyé la paperasse à Montréal, la ville de naissance de mon épouse.

Super Si je te suis bien, les clubs de recherche d'emploi c'est un peu comme les weight watchers mais pour trouver un boulot C'est vrai que quand on essuie des refus on a tendance à trouver pleins d'excuses comme son accent, comme sa couleur... peut-être que des fois ça tient à ça (et finalement c'est mieux de ne pas travailler pour un patron comme ça), mais souvent, non

Une camarguaison de 51

Je sais pas trop à vrai dire... peut-être un coup de fil à la RAMQ ? C'est dur de les avoir au téléphone mais quand on les a ils sont bien sympas et pourront éclaircir ta situation au Québec

Ouh la... perso si le courant était pas passé entre le proprio et moi j'aurais laissé tomber, c'est important d'avoir un bon proprio, surtout si vous avez des merdes ultérieures avec l'appart. S'il faut aller à la régie du logement pour régler tous les litiges... J'ai déjà eu un proprio à la con en France ça m'a suffit

Les gôrs vous vous compliquez la vie... vous bouffez de la poutine tous les jours d'avril à novembre et de décembre à mars vous sortez plus de chez vous, vous vivez sur vos réserves

Y'a tellement de paramètres... puis on est pas là derrière tout le monde pour savoir s'ils cherchent efficacement du travail, si derrière leur diplôme ils sont réellement compétents, etc... puis il y a le facteur chance aussi... il faut donc en prendre et en laisser sur les témoignages à mon avis Au fait tu fais quoi dans l'Education nationale ?

En assurance-maladie je ne sais pas j'en ai pas... Mais tu n'as pas droit à la Caisse des français expatriés ?

Tu es résidente permanente ? Si oui y'a la ramq mais tu devrais le savoir donc je pense que ton cas est autres... si tu ne veux ou ne peux avoir quelque chose d'un service public il te reste les assurances privées... il me semble...

http://www.rireetchansons.fr/boite/sketch_...peuple_0&chem=1 S'cuse mais il passait et passe encore à la radio...

Bon, les crustacé(e)s vous arrêtez de polluer ce t o p i c sinon on fait venir Dodge

Pas de chance tu te serais appelée Austreberthe ou Aldegonde t'aurais été encore plus unique

Anatole et/ou Neigeausoleil, n'hésitez pas, si vous avez le temps, à faire un topo sur ce forum. Non pas que ça m'intéresse personnellement (aucune envie de me retaper mes 4 années d'études en droit ), mais il y a très peu si ce n'est aucun témoignage de juristes français ayant immigré, sans doute parce qu'ils sont peu nombreux. Merci d'avance Je dis ça parce que si vous vous dites tout au téléphone on pourra pas écouter

Ca me surprendrait que je rentre en France. Si je dois partir j'irai bien en Amérique du sud

Et moi qui croyais que c'étaient des voitures japonaises Bell était canadien ? C'est pour ça que la cie nationale s'appelle Bell alors ? Pfiou on en apprend sur ce forum

Ouais mais la vie en région où ?

Oui c'est vrai qu'après 4 ans de mariage avec une Québécoise (même passé en France), je n'avais pas vraiment de crainte. De plus on a même choisi Québec alors que c'était une Lavaloise, c'était un peu l'aventure de venir ici : le goût du risque de la région Sans m'avancer pour les autres je pense que la plus grosse crainte c'est l'emploi... et ça malheureusement y'a que sur place que ça se vérifie

Du copier-coller c'est pas de la rédaction Non moi Agent Secret ça me suffit Pour revenir au sujet moi j'avais un temps envisagé de mettre les enfants (que j'ai pas) à l'école privée... effectivement je pensais aux meilleurs résultats mais visiblement c'est le soutien extra-scolaire qui apporte un plus... cool ça me fera une économie de 3000 dollars par an

Je sais pas moi j'ai peur de rien Non j'avais pas de crainte vu que je ne perdais quasi rien en France, que je ne m'attendais à pas grand-chose ici et que s'il fallait revenir en France ben je serai revenu (ou je reviendrais ).

Le remède contre La Pogne, dans la version québécoise C'est ce que j'ai pris, formule à la carte, les moins cher pour les formules à carte, et ils utilisent le réseau de Bell Mobilité. Camarguais ? Pour info... quand un opérateur teste la couverture du réseau, c'est toujours OUTDOOR (en bon français). Moi ça m'a toujours fait rire les gens qui me téléphonaient (au service client), qui travaillaient dans un bunker et se plaignaient d'une mauvaise réception... c'est du sans-fil, plus tes murs sont épais moins ça passe hein

http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/a...728-053502.html Écoles privées Les inscriptions explosent 28/07/2005 05h35 La popularité des écoles privées ne se dément pas. Lors de la prochaine rentrée scolaire, elles fracasseront un autre record de fréquentation au détriment du réseau public. Les plus récentes données dévoilées par le ministère de lÉducation du Loisir et du Sport (MELS), et analysées par Le Journal de Montréal, révèlent que les établissements privés accueilleront 119 226 élèves en septembre prochain, ce qui représente une augmentation de 2 518 écoliers par rapport à 2004. Cette performance bat le record de fréquentation établi lan dernier par le réseau privé. Depuis 1998, ces collèges, qui facturent en moyenne 3 000 $ par année à chacun de leurs élèves, ont vu leurs classes gonfler de 15,9 %. Dénatalité Cette situation est pour le moins inusitée, compte tenu du faible taux de natalité chez les Québécoises qui plonge actuellement la province dans un important creux démographique. Les commissions scolaires en souffrent et voient dailleurs leurs effectifs diminuer constamment depuis 1998. Les prévisions du MELS laissent entrevoir que la baisse se poursuivra jusquen 2014. Dans cinq semaines, 945 451 élèves prendront le chemin de lécole publique, un plancher jamais atteint depuis le début des années 1950, selon Statistique Canada. Cette baisse de 12 509 enfants par rapport à lan dernier entraînera une diminution du financement des commissions scolaires denviron 7 M$, selon les calculs du Journal. Neût été dune légère croissance au secondaire, la saignée aurait été encore plus importante. Pendant ce temps, les écoles privées, qui sont financées par Québec à hauteur de 60 %, devraient voir leur financement bondir de 8,6 M$. Au cours des deux dernières années, cette situation a forcé la fermeture de plusieurs établissements du réseau public dans la grande région métropolitaine. À lextérieur de Montréal, les écoles de villages sont maintenues en vie grâce à des subventions particulières et les classes regroupant plusieurs niveaux scolaires y sont de plus en plus nombreuses. Un phénomène montréalais À Montréal, un écolier sur cinq fréquentera une école privée lors de la rentrée scolaire. Cest deux fois plus que la moyenne provinciale. Selon les statistiques émanant du ministère de lÉducation, du Loisir et du Sport (MELS), les écoles publiques de la métropole perdront 5 816 élèves en septembre prochain. En contrepartie, les établissements privés situés sur le territoire de Montréal accueilleront 7 173 enfants de plus que lan dernier. Cette augmentation phénoménale de 16,5 % est de loin la plus importante de la province. Cest dailleurs en grande partie grâce à Montréal que les écoles privées du Québec peuvent se targuer de voir leurs effectifs gonfler cette année. Dans la majorité des régions, les établissements privés connaissent plutôt une baisse de clientèle, au même titre que ceux des commissions scolaires. Outre la métropole, seuls le Bas-Saint-Laurent, le Saguenay Lac-Saint-Jean, les Laurentides et Lanaudière verront leurs écoles privées accueillir davantage délèves en 2005-2006. «De la pure fiction» le psychologue Robert Cadotte La différence entre les écoles publiques et les écoles privées, «cest de la pure fiction», selon le psychologue Robert Cadotte. «Toute la publicité que fait le magazine Lactualité avec son classement des écoles va dans le sens de dire quil y a une différence fondamentale entre les deux réseaux, alors que ce nest pas le cas», tranche M. Cadotte, qui dirige le Centre détudes sur léducation en milieux défavorisés de lUQAM. La faute du gouvernement? «Cette mauvaise perception-là est directement causée par le gouvernement», plaide-t-il. «En comparant et en publicisant les performances des écoles lors des examens, le ministère de lÉducation oublie de tenir compte du fait que les élèves qui vont à lécole privée viennent de milieux plus aisés et ont, naturellement, un meilleur encadrement à la maison. «Quand on compare les écoles publiques fréquentées par des élèves mieux nantis aux collèges privés, on voit rapidement quil ny a aucune différence entre les deux», dit-il. La faute du «Palmarès»? Selon Réjean Parent, le controversé «Palmarès des écoles secondaires» du magazine Lactualité est responsable de la popularité grandissante des établissements privés. «Ça contribue à nourrir les préjugés envers lécole publique, tonne-t-il, alors que toutes les études démontrent que lencadrement y est aussi bon, sinon de meilleure qualité que dans le réseau privé.» Jocelyne Cyr, qui représente les parents à la Commission scolaire de Montréal, est du même avis. «On nentend pas assez parler des belles choses qui se font dans nos écoles publiques, dit-elle. On en parle seulement quand ça va mal. «Pourtant, il y a aussi des problèmes dans les écoles privées, dit-elle. Des jeunes qui arrivent avec des contenants de plastique pleins dalcool ou qui prennent beaucoup de drogue parce quils en ont les moyens Mais ça, on nen parle pas», sindigne la commissaire. Les écoles publiques vont en souffrir Les classes régulières des écoles publiques souffriront grandement de la popularité des collèges privés, prévient le président de la Centrale des syndicats du Québec, Réjean Parent. «En accueillant de plus en plus délèves, les écoles privées appauvrissent le réseau public à tous les niveaux», dénonce M. Parent, dont le syndicat représente les 80 000 profs travaillant dans les commissions scolaires du Québec. «Je pense quil faudrait abolir les subventions aux écoles privées, comme en Ontario, lance-t-il, où seulement 5 % des enfants sont inscrits dans un collège privé. «Ça permettrait denrichir la clientèle du public, qui doit composer avec un nombre grandissant délèves éprouvant des troubles de comportement ou dapprentissage», dit-il.

Perso je ne critique pas que ce soit gratuit d'un fixe vers un mobile (voire un interurbain parce que le numéro de mobile est avant tout un numéro local). Par contre de mobile à mobile c'est plus discutable que les deux paient... De toute façon l'étude canadienne stigmatise l'absence de réelle concurrence au Canada et les prix qui en découlent

Ben si tu travailles pas SOUS TON NOM tu dois être immatriculé. Genre MFERA CONSTRUCTIONS n'est pas enregistré mais si tu choisis TOUTOUNE CONSTRUCTIONS tu dois le faire. Pour le fisc il faut bien étudier son cas... en créant une entreprise avec 1 seul actionnaire (toi) il y a des éxonérations d'impôts les 5 premières années (si ça a pas changé ). Par contre c'est plus lourd à créer et gérer, de plus, si j'ai bonne mémoire, le travailleur autonome non incorporé paie sur ses revenus, et quand on est célibataire ça peut être moins intéressant... http://www.entrepreneurship.qc.ca/fr/accueil/default.asp ils font des bons bouquins pour expliquer tout ça (j'en ai ).

Ouais enfin les produits Kraft c'est pas... euh... typiquement québécois... le problème, sans même vouloir être désagréable, c'est que je ne pense pas que quelqu'un ait l'idée de se faire de l'argent en exportant via internet des produits du genre KRAFT... c'est peut-être un marché à prendre

Bien vu Boris j'aurais accordé le cas échéant J'avoue que j'ai fait exprès de choisir un titre ambigü Mais Cherry est-elle la fille de Don ?