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Je suis désolé d'entendre parler de la situation difficile que vous traversez. Concernant la reconnaissance du divorce entre Algériens au Québec, il est important de consulter un avocat spécialisé dans le droit de la famille ou un conseiller juridique pour obtenir des informations précises et adaptées à votre situation. En général, les divorces prononcés à l'étranger peuvent être reconnus au Québec, à condition que certaines conditions soient remplies. Il est possible que le divorce prononcé en Algérie puisse être reconnu au Québec, mais des démarches et des formalités supplémentaires pourraient être nécessaires pour valider ce divorce conformément aux lois locales. La question de savoir si le délai de séparation est un facteur à prendre en compte dépend des lois spécifiques de la province du Québec et des circonstances individuelles de votre situation. Par conséquent, il est recommandé de consulter un professionnel du droit pour obtenir des conseils juridiques appropriés. En attendant, je vous encourage à chercher des ressources de soutien, telles que des services juridiques communautaires ou des groupes de soutien, qui pourraient fournir une assistance et des informations additionnelles sur les implications d'un divorce en Algérie par rapport à la reconnaissance de ce divorce au Canada. Je vous souhaite bon courage dans cette épreuve et j'espère que vous trouverez les réponses dont vous avez besoin pour naviguer à travers cette période difficile.

Je comprends votre frustration concernant le retard dans le traitement de votre demande de CAQ (Certificat d'Acceptation du Québec). Malheureusement, les délais de traitement des demandes peuvent varier en fonction de nombreux facteurs, y compris le volume des demandes reçues, la complexité de la demande, et les ressources disponibles pour le traitement des demandes. Il est recommandé de vérifier le site officiel du ministère de l'Immigration, de la Francisation et de l'Intégration (MIFI) du Québec pour obtenir des informations sur les délais de traitement actuels des demandes de CAQ. Vous pouvez également essayer de contacter directement le MIFI pour obtenir des mises à jour sur l'état de votre demande. Si vous n'avez pas encore reçu de réponse à votre demande après un délai aussi long, il est possible que votre demande soit en cours de traitement ou qu'il y ait eu un problème avec la réception de votre demande. Dans ce cas, il pourrait être utile de contacter le MIFI pour obtenir des éclaircissements sur la situation et pour vous assurer que votre demande soit bien en cours de traitement. Je vous recommande également de vérifier régulièrement vos e-mails et votre compte en ligne pour toute communication ou mise à jour concernant votre demande de CAQ. Restez en contact avec le MIFI pour vous assurer que votre demande soit traitée de manière efficace et rapide. Je vous souhaite bonne chance dans le traitement de votre demande de CAQ et j'espère que vous recevrez bientôt une réponse satisfaisante. N'hésitez pas à contacter les autorités compétentes pour obtenir plus d'informations sur l'état de votre demande.

Je suis désolé d'apprendre que vous vivez une situation aussi difficile avec votre dossier de demande de citoyenneté. Malheureusement, de nombreux facteurs peuvent entraîner des délais prolongés dans le traitement des demandes de citoyenneté, et il est compréhensible que cette situation soit source d'anxiété pour vous. Il n'est pas rare que les enquêtes en cours retardent le processus de décision sur une demande de citoyenneté. Cependant, le fait que votre enquête dure depuis plus de 4 ans est effectivement inhabituel. Malheureusement, je n'ai pas de références spécifiques à vous donner concernant des personnes ayant vécu une situation identique, mais il est possible que d'autres personnes aient connu des délais similaires dans le traitement de leur demande. Si vous n'avez pas encore consulté un avocat, il pourrait être utile de parler à un professionnel du droit de l'immigration spécialisé dans les cas de citoyenneté pour obtenir des conseils personnalisés sur la meilleure façon de gérer cette situation. Vous pourriez envisager de contacter l'Association du Barreau du Québec ou l'Ordre des avocats du Québec pour obtenir des références d'avocats en droit de l'immigration. En plus de consulter un avocat, vous pourriez également envisager de contacter l'organisme de réglementation de l'immigration au Québec ou un organisme de défense des droits des immigrants pour obtenir des conseils supplémentaires sur la manière de faire avancer votre dossier. Il est important de rester persévérant et de rechercher toutes les options disponibles pour faire avancer votre demande de citoyenneté. N'hésitez pas à demander des mises à jour régulières à IRCC et à exprimer vos préoccupations concernant les délais de traitement prolongés. Je vous souhaite bonne chance dans la résolution de cette situation et j'espère que vous pourrez bientôt trouver une issue favorable à votre demande de citoyenneté.

Il est compréhensible que faire valider ses diplômes d'études étrangers puisse être une source de frustration en raison des longs délais et des complications administratives. Malheureusement, ce genre de situation peut être assez courant lorsqu'il s'agit de faire évaluer ses diplômes à l'étranger, en particulier si plusieurs organismes sont impliqués dans le processus. Il est difficile de dire si ces délais sont absolument "normaux", car cela dépend beaucoup du travail spécifique de chaque organisme d'évaluation des diplômes. Certaines personnes ont effectivement vécu des expériences similaires à la vôtre, avec des retards et des difficultés de communication avec les organismes d'évaluation. Il existe d'autres organismes d'évaluation des diplômes, tels que le Centre d'administration des admissions universitaires (CAQ) et Comparative Education Service (CES), qui pourraient être en mesure de vous aider. Cependant, il est essentiel de faire des recherches approfondies sur chaque organisme pour s'assurer qu'ils répondent à vos besoins spécifiques et qu'ils sont réputés pour leur professionnalisme et leur rapidité de traitement. Pour sortir de cette situation, vous pourriez envisager de demander des mises à jour régulières à WES et à Qualification Check, en insistant sur l'importance et l'urgence de votre demande. Vous pourriez également demander des informations plus précises sur les éventuels problèmes ou retards rencontrés dans votre processus d'évaluation. Enfin, si les délais deviennent excessifs, vous pourriez envisager de contacter un avocat ou un conseiller juridique pour obtenir des conseils sur la façon de faire avancer le processus ou pour envisager d'autres options. Il est crucial de conserver toutes les communications et documentations liées à votre processus d'évaluation des diplômes, car celles-ci pourraient être nécessaires si vous devez faire appel à une autorité supérieure ou à un service de médiation pour résoudre le problème. En fin de compte, il est important de rester persistant et de maintenir une communication proactive avec les organismes impliqués, tout en explorant d'autres options disponibles pour l'évaluation de vos diplômes d'études.

Il est tout à fait naturel que certaines personnes gardent leur accent d'origine même après s'être installées dans un nouveau pays, comme c'est souvent le cas pour les Français installés au Québec. Il y a plusieurs raisons à cela : Âge : Les individus qui s'installent dans un nouveau pays à un âge avancé ont généralement plus de difficulté à modifier leur accent natif, car la plasticité du cerveau diminue avec l'âge. En revanche, les enfants qui s'installent dans un nouveau pays à un jeune âge ont souvent plus de facilité à adopter un nouvel accent et peuvent perdre leur accent d'origine plus rapidement. Temps passé dans le pays : Le temps passé dans le pays d'accueil peut également jouer un rôle dans la façon dont un individu modifie son accent. Certaines personnes peuvent s'immerger complètement dans la culture et la langue locale, tandis que d'autres préfèrent maintenir des liens forts avec leur pays d'origine, ce qui peut influencer la façon dont ils parlent. Environnement social : L'environnement social dans lequel une personne évolue peut également avoir un impact sur son accent. Par exemple, si un Français s'installe dans une communauté francophone très unie au Québec, il est probable qu'il continue à parler avec un accent français, car il bénéficie d'un fort soutien linguistique dans son accent d'origine. Il est important de noter que l'accent est une partie intégrante de l'identité d'une personne et que certaines personnes peuvent choisir de conserver leur accent d'origine pour des raisons culturelles ou émotionnelles. Il n'y a pas de bonne ou de mauvaise façon de parler, et il est parfaitement acceptable de conserver son accent, peu importe où l'on vit.

Il est important de suivre les démarches nécessaires pour vous assurer que votre fils soit inscrit dans une école lors de votre retour au Canada. Voici quelques étapes à prendre en compte : Contactez le Centre de services scolaire de Montréal (CSSDM) pour obtenir des informations sur les procédures d'inscription et les évaluations linguistiques. Ils pourront vous indiquer quels documents sont nécessaires et comment procéder. Assurez-vous d'avoir tous les documents requis pour l'inscription de votre fils, tels que son certificat de naissance, ses dossiers scolaires précédents et tout autre document demandé par le CSSDM. Planifiez votre retour au Canada de manière à ce que vous ayez suffisamment de temps pour effectuer les démarches d'inscription avant la rentrée scolaire. En ce qui concerne l'évaluation linguistique, le CSSDM pourra évaluer le niveau linguistique de votre fils et recommander les mesures à prendre pour faciliter son intégration à l'école, notamment en proposant des cours de soutien en français si nécessaire. Il est toujours recommandé de contacter directement le CSSDM pour obtenir des conseils personnalisés et des informations à jour sur les démarches à suivre pour l'inscription de votre fils dans une école à Montréal. N'hésitez pas à poser toutes vos questions et à clarifier tout point d'interrogation que vous pourriez avoir. Bon retour au Canada et bonne intégration à votre fils dans son nouvel environnement scolaire !