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  1. Bonjour, J'ai volontairement mis un titre très précis car je n'arrive pas à trouver réponse à cette question : peut-on bénéficier de la RAMQ lorsque l'on vient de Nouvelle-Calédonie, lorsqu'on sait que c'est la cafat qui s'occupe de nous ici ? Il n'y a pas de problème pour bénéficier de la sécurité sociale lorsqu'un calédonien va en France, mais est-ce qu'il en est de même lorsqu'il va au Quebec ? Si des calédoniens passent par ici... Je prends la réponse Ce qui m'amène à une autre question : QMA me dit que je dois prévoir une assurance médicale, jusqu'au dépôt de ma demande RAMQ. J'imagine donc que c'est pour couvrir les éventuels frais de santé entre notre arrivée au Quebec et l'acceptation de notre dossier par la RAMQ. - A-t-on une idée très grossière du prix d'une telle assurance ? C'est juste pour savoir si je dois tabler sur plusieurs centaines ou plusieurs milliers de dollars... - Si je peux demander à bénéficier de la RAMQ, ce devra donc être une des premières choses que je devrai faire en arrivant. J'imagine que comme pour la sécu ou pour la cafat, il s'agira de poireauter pendant des heures avec un ticket, mais une fois le dossier complet déposé, est-ce que les délais de traitement sont longs ? J'ai peut-être dit des bêtises dans mes questions, toute correction est bienvenue. Merci d'avance de vos réponses.
  2. OK bien noté !?
  3. En fait, pour aller plus loin sur le sujet, les deux directrices avec qui elle a eu son entretien lui ont indiqué que la boîte était en pleine restructuration (ce qui est vrai), et qu'elle avaient bien compris le but de sa démarche (travailler pour une boîte bilingue mais avec une prédominance pour le Français, ceci afin de parfaire son vocabulaire technique en Anglais dans un premier temps). Elles lui ont dit qu'elle étaient très intéressée par son profil et qu'elles ne manqueraient pas de revenir vers elle si un poste lui correspondant venait à s'ouvrir/être disponible. La question : est-il de coutume au Canada de dire ce genre de chose, même si elles n'ont aucune intention de la rappeler, ou est-ce que cela pourrait être vrai ?
  4. Je suis tellement pris dans ces histoires de permis que je n'ai même pas songé qu'il n'y en avait peut-être pas besoin pour pouvoir la suivre sans travailler...? Je commence à y voir un peu plus clair grâce à vous. Imaginons maintenant qu'une fois que j'aurai commencé ma formation, elle souhaite changer d'employeur. Si j'ai à peu près suivi, elle pourra disposer (assez facilement) d'un PTO ?
  5. Les parcours de vie de chacun ne sont jamais les mêmes, tout comme les goûts et les couleurs... On peut déjà commencer par dire que l'Australie n'a pas DU TOUT la même politique migratoire que le Canada. On a autant de chances d'être accepté en Australie que d'être accepté pour des vacances sur la lune. Nous pourrions peut-être les intéresser si nous avions un patrimoine se chiffrant en centaines de milliers de dollars, mais ce n'est pas le cas. Nous adorons la Nouvelle-Zélande, mais là c'est encore pire... Ils ferment de plus en plus les frontières à tout le monde, depuis qu'ils se sont fait "envahir" par les chinois. En tout cas, si l'Australie, la Nouvelle-Zélande ou le Canada nous disaient "VENEZ, S'IL VOUS PLAIT, VENEZ !", nous choisirions le Canada. Ce serait comme de choisir entre de la raclette, du comté ou du brie : à un moment, faut trancher ? Mais déjà, sur le principe quitter un pays pour un autre uniquement parce qu'il est juste à côté... Je ne trouve pas que ça ait forcément de sens, surtout quand on n'a aucune intention de retourner dans son pays d'origine une fois parti. Au-delà de ça, le Canada nous fait rêver, tout simplement. Depuis longtemps. Et toutes les personnes que nous connaissons qui s'y sont installées ne nous font que nous donner plus envie d'y aller nous aussi, que ce soit au Quebec ou dans le reste du pays. J'avoue quand même que je "connais" mieux le Quebec que d'autre provinces par le nombre de reportages que j'ai vu. Autre point : nous serions plus proches de la famille de ma femme qui réside en France. Cela fait 10 ans maintenant qu'elle ne les voit que très peu car le prix du billet d'avion est exorbitant ici. Et je ne parle pas du voyage de plus de 30h que nous avons d'ailleurs fait il y a à peine 2 semaines... un calvaire !
  6. Alors, admettons que je me lance dans un permis d'études, disons pour mi-2023, et que finalement ma femme trouve un poste avant. Est-ce que je pourrais, par exemple, la suivre en demandant un permis de visiteur simple, qui me permettrait de patienter le temps que ma formation commence ?
  7. Merci beaucoup pour cette réponse ! Ca confirme ce que j'avais à peu près compris du programme Jeunes Professionnels. Je pensais qu'un permis de travail ouvert donnait également accès aux études. Effectivement, il semblerait donc que le plus simple soit de passer par mon permis d'études, qui lui ouvrirait donc automatiquement (?) le droit à un permis de travail ouvert. Je pense creuser cette piste là, mais j'ai une autre question qui me taraude. J'en fait un message plus bas.
  8. Merci pour votre réponse ! Oui, une autre province que le Quebec pourrait nous tenter car nous apprécions l'anglais, mais pour être honnêtes nous n'avons pas un niveau suffisant pour pouvoir nous y installer. L'entretien de ma femme dans son groupe s'est d'ailleurs passé intégralement en anglais, ce qui nous a bien surpris, alors que le poste qu'elle visait se trouvait sur Montréal. Peut-être que dans son groupe on ne parle qu'Anglais, même au Quebec... Bien qu'elle ait passé un an en Australie, plus jeune, elle a expliqué qu'elle souhaitait justement commencer par le Quebec car, normalement (!), on y parle plus Français qu'Anglais, et que ce pourrait être l'occasion pour elle d'apprendre le vocabulaire technique inhérent à sa profession en anglais. Les entretiens se sont bien passés mais... pas d'appel depuis, d'où son postulat dans d'autres entreprises. Notre idée est donc pour le moment de nous installer au Quebec, en se disant que nous aurons peut-être d'autres opportunités plus tard !
  9. Oui, solution annexe, le dossier est déposé depuis plusieurs mois, mais je me suis rendu compte après coup que le test de Français était obligatoire sinon, si j'ai bien compris, le dossier n'est pas étudié... Une session d'examen est prévue en fin d'année ici, nous allons nous y inscrire !
  10. Bonjour à tous ! En plein début d’aventure, nous nous trouvons déjà coincé dans des équations assez compliquées. En tout cas je trouve qu’il y a trop d’inconnues pour moi et j’ai besoin d’être un peu rassuré. Je vais essayer de faire le plus court possible, si des gens peuvent m’aider/m’approuver/me conseiller, ça sera très rapidement un gros plus pour nous ! La situation Nous : couple avec enfant vivant en Nouvelle-Calédonie, souhaitant depuis un moment retrouver un endroit où l’on puisse se sentir bien. Now is the time ! Quebec is the right place ! Ma femme : 34 ans en août 2022, courtier en assurance depuis plusieurs années. Possède déjà sa licence de l’Autorité des Marchés Financiers. En recherche d’emploi. Idéalement ce serait une mutation car elle travaille dans une boîte internationale, mais elle postule tout de même dans d’autres groupes. Moi : 41 ans, fonctionnaire. Projet : reconversion professionnelle en passant par Quebec Métiers d’Avenir, afin de faire une formation de 16 mois en usinage, métier que j’aurais dû faire depuis le début. Bébé : 2 ans, presque toutes ses dents (de lait) Nous n’arrivons pas à savoir dans quel ordre nous devrions envisager les choses. 1ère solution : Madame trouve un travail, elle fait une demande de permis Jeune Professionnel (envisageable ? cela existe toujours ?). Je peux donc demander un permis de travail ouvert, ce qui me donne également accès à ma formation. Est-ce que je dis une grosse bêtise ou cette solution est bien envisageable ? Avantage : on part en étant sûr d’avoir une source de revenu 2ème solution : Je m’inscris à ma formation, dans un délai raisonnable, disons pour mi-2023, ce qui donne la possibilité à ma femme de demander un permis de travail ouvert, en espérant qu’elle trouve rapidement une fois sur place. Inconvénient : on part un peu la fleur au fusil, il faut justifier d’un joli pactole, et on n’est même pas sûr que ma femme puisse trouver du travail. Etant de nature un peu prévoyant, cette solution me plaît moins mais bon, si c’est la seule pour pouvoir enfin vivre notre rêve… 3ème solution : Celle que les spécialistes de ce forum trouveront peut-être facilement, mais que je ne trouve pas car tout cela reste un peu nébuleux pour moi pour le moment. L’idée est que nous souhaiterions ne pas être séparés, ce qui, j’ai l’impression, complique beaucoup les choses… J’avoue avoir un peu l’impression de me trouver devant une montagne, alors que j’ai l’habitude de traiter beaucoup d’informations. La j’ai l’impression de ne rien maîtriser et j’ai besoin d’un petit coup de pouce ! Ajoutons à cela que le simple fait de faire tout cela depuis la Nouvelle-Calédonie rend certaines choses encore plus compliquées (ex : les empreintes biométriques, qui vont nous coûter un bras puisqu’il faudra aller en Australie juste pour ça…). Merci d’avance à tous ceux qui auront pris le temps de me lire et m’enverront une petite réponse ! Bonne journée. Manu
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