futurquébecois

... mais en faisant un écobilan, vous constateriez que vous auriez dans ce cas plus d'émissions de gaz à effet de serre...

Votre raisonnement ne tiens donc pas la...route !

Bonjour,

Le B.S. , qui n'est autre qu'une action de charité étatique, est dévalorisante à moyen et long terme pour le nouvel immigrant , et mal perçue par les Québecois car elle confère à son bénéficiaire ( du fait qu'il ne travaille pas ) les statuts réducteurs de fraudeur, raté et abuseur d'un système auquel il ne prend aucune part au développement, à contrariori de la population active.
Cependant, le B.S. est à deux facettes étant donné que d'autre part, il met en confiance le nouvel immigrant qui s'aventure à aller dans un pays éloigné en emmenant avec lui sa famille... il se dit alors que le minimum vital lui sera garanti et qu'il ne pourra pas tomber plus bas que cela...en tout cas pour les premiers mois, ceux de cette période de transition où l'immigrant découvre le Québec, fait sa réelle recherche d'emploi ( pas celle faite sur le net durant son processus d'immigration, sans entrevues... ) , ses formations afin de mieux intégrer la société Québecoise et d'y avoir une meilleure assise ( la majorité des diplômes étrangers n'étant pas reconnus au Québec ...).
Il est vrai que n'importe quelle ' jobine ' paierait mieux que le B.S, mais vivre de jobines dénote une absence de stratégie d'intégration à long terme et vise juste à palier des besoins immédiats.
Ma question est alors toute simple :
Le nouvel immigrant planifiant son intégration à moyen et long terme, et ne se ruant donc pas sur les jobines mais s'orientant vers des formations, peut - il se passer d'être au B.S. ?
Aux personnes averties, quelles solutions alternatives préconisez vous ?
Car il ne plairait à personne d'être considéré comme parasite d'un système...
Merci.

Bonjour,

Le B.S. , qui n'est autre qu'une action de charité étatique, est dévalorisante à moyen et long terme pour le nouvel immigrant , et mal perçue par les Québecois car elle confère à son bénéficiaire ( du fait qu'il ne travaille pas ) les statuts réducteurs de fraudeur, raté et abuseur d'un système auquel il ne prend aucune part au développement, à contrariori de la population active.
Cependant, le B.S. est à deux facettes étant donné que d'autre part, il met en confiance le nouvel immigrant qui s'aventure à aller dans un pays éloigné en emmenant avec lui sa famille... il se dit alors que le minimum vital lui sera garanti et qu'il ne pourra pas tomber plus bas que cela...en tout cas pour les premiers mois, ceux de cette période de transition où l'immigrant découvre le Québec, fait sa réelle recherche d'emploi ( pas celle faite sur le net durant son processus d'immigration, sans entrevues... ) , ses formations afin de mieux intégrer la société Québecoise et d'y avoir une meilleure assise ( la majorité des diplômes étrangers n'étant pas reconnus au Québec ...).
Il est vrai que n'importe quelle ' jobine ' paierait mieux que le B.S, mais vivre de jobines dénote une absence de stratégie d'intégration à long terme et vise juste à palier des besoins immédiats.
Ma question est alors toute simple :
Le nouvel immigrant planifiant son intégration à moyen et long terme, et ne se ruant donc pas sur les jobines mais s'orientant vers des formations, peut - il se passer d'être au B.S. ?
Aux personnes averties, quelles solutions alternatives préconisez vous ?
Car il ne plairait à personne d'être considéré comme parasite d'un système...
Merci.

Bonjour,

Le B.S. , qui n'est autre qu'une action de charité étatique, est dévalorisante à moyen et long terme pour le nouvel immigrant , et mal perçue par les Québecois car elle confère à son bénéficiaire ( du fait qu'il ne travaille pas ) les statuts réducteurs de fraudeur, raté et abuseur d'un système auquel il ne prend aucune part au développement, à contrariori de la population active.
Cependant, le B.S. est à deux facettes étant donné que d'autre part, il met en confiance le nouvel immigrant qui s'aventure à aller dans un pays éloigné en emmenant avec lui sa famille... il se dit alors que le minimum vital lui sera garanti et qu'il ne pourra pas tomber plus bas que cela...en tout cas pour les premiers mois, ceux de cette période de transition où l'immigrant découvre le Québec, fait sa réelle recherche d'emploi ( pas celle faite sur le net durant son processus d'immigration, sans entrevues... ) , ses formations afin de mieux intégrer la société Québecoise et d'y avoir une meilleure assise ( la majorité des diplômes étrangers n'étant pas reconnus au Québec ...).
Il est vrai que n'importe quelle ' jobine ' paierait mieux que le B.S, mais vivre de jobines dénote une absence de stratégie d'intégration à long terme et vise juste à palier des besoins immédiats.
Ma question est alors toute simple :
Le nouvel immigrant planifiant son intégration à moyen et long terme, et ne se ruant donc pas sur les jobines mais s'orientant vers des formations, peut - il se passer d'être au B.S. ?
Aux personnes averties, quelles solutions alternatives préconisez vous ?
Car il ne plairait à personne d'être considéré comme parasite d'un système...
Merci.

Je ne comprends vraiment pas ton obsession à vouloir décourager les futurs immigrants, le vécu des uns n'étant pas nécessairement celui des autres.
Je ne la comprends davantage pas car tu te plains d' un système dans lequel tu te complais à rester.
Le piège n'étant pas physique, tu peux très bien t'en échapper et revenir au bled, en liberté conditionnelle...

Là, je te comprendrais un peu mieux...

Je suis né en Europe , y ai grandi et vécu ( au total, séjours longs et alternés, 19 ans) , y ai obtenu mon doctorat , si ça peut servir...
Je suis revenu au bled pour des raisons familiales... rien que familiales...
Je ne suis pas motivé par le fait de quitter mon pays....
Je suis motivé par ce que je vais trouver chez les autres...
Sans te donner trop de détails...
A chacun ses raisons, à chacun son analyse, à chacun sa vie...

Chouette !
Aller dans un pays qui reconnait les compétences et la valeur du travail.
Plus besoin de leviers et de relais pour être recruté dans une entreprise nationale ( oups, j'allais dire familiale ! )... et encore moins pour y être maintenu...
C'est toi face à ... toi même !

L'argent étant encaissé, on en fera ce qu'on veut pour assurer une bonne couverture sanitaire à nos enfants !
On ne les laissera pas crever sous prétexte que c'est de l'argent publique...

Je répète que j'ai la faiblesse de croire en ces données, sachant qu'elles émanent du gouvernement Québecois dont je pense énormément de bien et auquel je fais une totale confiance.
Mes projections sont certes théoriques mais rationnelles car basées sur ces données que je suppose vraies.
Mais à vous entendre, il semblerait qu'il y ait décalage entre le discours officiel et la réalité du terrain.
Je tomberais effectivement des nues s'il en était ainsi...

Mais ce sujet aura quand même le mérite de nous permettre d'y voir plus clair , la lumière jaillissant de la discussion...

Il n'est pas question d'état providence, il est question de gestion rationnelle, et cela n'est nullement utopique ! cela d'une part.
D'autre part, je me base sur des données concrètes du gouvernement Québecois ; c'es vrai que je ne suis pas encore sur place, mais j'ai la faiblesse de croire en leur justesse , en connaissant l' origine.
Est ce croire en l'état providence que d'utiliser une fraction des allocations familiales allouées à nos enfants pour leur assurer une couverture sanitaire ?
Il n'y a aucune corrélation... en tout cas dans mon esprit.
Je parlerais plutôt de bonne gestion.

J'adhère totalement...
Mais à défaut, il faut savoir trouver des solutions.

bonjour
merci pour ce lien et espérant que nos enfants ou futures enfants ne tombent pas souvent malades et nous aussi d'ailleurs

Je dirais plutôt dans le meilleur des cas...
Mes enfants passent en consultation en moyenne quatre à cinq fois par an...

Pourquoi donc ?
La régie des rentes du Québec propose bien une aide gouvernementale universelle , qui est une aide financière versée à toutes les familles admissibles ayant en charge des enfants de moins de 18 ans ( ce sont, pour utiliser des termes plus clairs, les fameuses allocations familiales ) ; nous sommes donc bien dans la tranche d'âge et la boucle me semble bouclée, pour peu que les parents fassent une utilisation rationnelle de ces aides

Pour les parents qui s'inquiètent de ne pas pouvoir trouver de médecin de famille...

http://www.ledevoir.com/societe/sante/314149/la-paix-de-l-esprit-pour-975

C'est vrai qu'il s'agit d'un forfait qui pourrait être payé pour des services qui ne seraient pas rendus ( et quelque part ce serait tant mieux ! ) , mais en cas de pépin et de problème de santé, cette option pourrait s'avérer être d'une grande utilité...

Pour les parents qui s'inquiètent de ne pas pouvoir trouver de médecin de famille...

http://www.ledevoir.com/societe/sante/314149/la-paix-de-l-esprit-pour-975

C'est vrai qu'il s'agit d'un forfait qui pourrait être payé pour des services qui ne seraient pas rendus ( et quelque part ce serait tant mieux ! ) , mais en cas de pépin et de problème de santé, cette option pourrait s'avérer être d'une grande utilité...

Bonsoir,

Je pense que Veniziano et zinoo t'ont bien répondu...
Sinon, laisse le soleil briller un peu pour nous aussi...

bonjour
merci pour l'info je le savait pas et je vais pas la rater
bonne soirée avec france 3

Merci pour l'information, j'espère que je pourrai le voir.

OK je savais pas ca parce que moi je juste de m inscrire a ce site

Moi ma raison est simple , je quitte l'algerie uniquement pour changer le mode de vie que j'ai actuellement vue mon orientation sexuel et oui je suis une lesbienne

Excuses moi, mais tu as bien demandé dans ton post qu'on te réponde franchement...
Alors je te dirais qu'une des raisons qui me donne envie de quitter ce foutu bled, c'est la fierté mal placée de ses habitants...

Bonsoir,

Je pense que la réponse est dans la question...
Car s'il en était autrement, la question n'aurait pas lieu d'être...
Cela sous- entend bien évidemment qu'il y a des choses qui ne vont pas...
Je vais te répondre franchement...
Nous partons parce que le pays est merdique !
La liste exhaustive de ' ces choses qui ne vont pas ' serait trop pénible à rédiger...
Mais franchement... pénible !

J'allais parler du sort réservé à ces pauvres bêtes chez nous, mais bon, je m'abstiens...
... ça renforcerait sûrement ta conviction de partir, car tu risquerais même de ne pas voir le jour se lever...