Tout à l'heure je lisais un billet sur le forum. Vous l'avez sans doute vu, quelqu'un qui repartait en France après 10 années passées au Québec. Tout ce qui ressortait du message, c'était beaucoup d'amertume, de la frustration, une liste exhaustive de tout ce que cette personne en était venue à détester ici. Loin de moi l'idée de la critiquer, je compatis vraiment et je ne connais pas son histoire.
Mais cela m'a fait penser à trop d'histoires entendues, trop de cas d'amis, de proches ou d'
Ça y est, les lumières de la scène se sont éteintes, nos oreilles sifflent encore de ces trois soirées de musique. NoFx, Pennywise, The Flatliners, Face to face et comme tous les ans des jeunes groupes de la relève. J'aime particulièrement ce festival, il nous permet tous les ans de profiter des dernières belles journées, même si on a souvent de la pluie, il retient encore un peu l'automne. L'été commence avec le festival d'été et finit avec Envol et Macadam. Deux festivals différents, pas forcé
En 2007, dans l'un des mes albums, Comme un Papillon, j'écrivais :
" Je ne suis plus qu'à quelques heures du terme de mon voyage. Je vais pourtant finir la nuit ici, sur ce parking.
Une station-service, c'est une oasis de lumière, le seul îlot de vie, de chaleur au sein de l'obscurité.
Le simple "bonjour" échangé rapidement avec l'employé, première parole prononcée depuis des heures, est une sorte de retour à la civilisation, à la vie..."
C'était l'une de mes pages préférées de c
Ahhhh ça y est, on y est presque, dans quelques jours va s'ouvrir la 3ème édition du Festival de Cinéma de Québec. Merci encore à Laurent qui l'année passée avait prévenu sur le forum que ça commençait bientôt. Pour commencer, j'aime vraiment le cinéma. Ou plutôt les festivals de cinéma. J'ai jamais été un assidu, du genre à y aller toutes les semaines, non. Par contre mes plus beaux souvenirs en salle sont toujours reliés à des événements spéciaux. Une nuit Kubrick quand j'étais étudiant, une n
C'est marrant quand même... Quand j'habitais en France, j'étais très partisan de certains sports, les sports collectifs notamment. Foot, basket, handball, rugby... Je suivais les matchs en espérant que notre équipe paraisse le mieux possible, parce que j'aimais ces sports et que tant qu'à faire je voulais qu'on aille le plus loin possible dans ces compétitions. À l'inverse, dans beaucoup d'autres sports je m'en foutais comme de l'an 40. Le tennis, par exemple. Maudit qu'un gars comme Henri Lecon
Il est 6 heures et quelques, le travail commence à ralentir dans le studio, de mon bureau j'entends peu à peu le silence s'installer à l'étage. Beaucoup de mes artistes sont partis, la majorité en fait, restent juste les habituels. Les animateurs qui en mettront toujours un peu plus que demandé sur leur scène parce qu'ils aiment le travail bien fait, mes directeurs artistiques qui aiment autant que moi ce qu'on fait et qui passeront me voir avant de partir, pour s'assurer que la journée s'est bi