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septembre

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Messages posté(e)s par septembre

  1. Bonjour,

    Nous allons sans doute acheter une maison a Cote des Neiges/ndg, mais qui necessite de renover la salle de bains.

    Quelqu'un peut-il me donner des adresses ou se fournir en sanitaires, en ceramique, en deco de salle de bains en tout genre, a des prix abordables ?

    Merci d'avance et bon week-end !

    Septembre

  2. Oui, c'est vrai qu'il ne faut pas que j'angoisse avec cela, c'est le meilleur moyen pour que le changement soit mal vécu par la petite. Mais c'est vrai que, plus généralement, je culpabilise un peu : nous (ses parents), on émigre et on sait pourquoi : on sait ce qu'on perd, on sait (ou espère savoir) ce qu'on gagne. Elle, elle ne sera, d'abord, que ce qu'elle perd, et comprendre ce qu'elle gagne, ce sera pour plus tard, espère-t-on, et c'est aussi ce pourquoi on part.

    Alors que sans doute, derrière toutes mes interrogations sur l'école, c'est un peu de culpabilité d'embarquer notre fille là-dedans, alors qu'elle ne demande rien, qu'elle a sa petite vie bien réglée à l'école, avec ses propres activités, ses copains, son petit monde, et que l'on va lui bouleverser tout cela .... pour le meilleur, on croise les doigts !

  3. Favorise-t-on les anglophones? Ça c'est un autre débat qui n'a rien à voir avec la maternelle et qui a souvent été abordé dans d'autres fils de discussion. Oui il y a un contexte historique et politique, faudra s'y faire parce que cette question de la protection du français vs l'anglais est omniprésente au Québec.

    Oui !

  4. Je ne suis pas certaine qu'il existe des maternelles ou pré-maternelles bilingues (ou que ce soit permis par la Loi 101).

    Ca aussi, c'est une sacrée différence, qui s'explique facilement, certes. Mais quand tu penses qu'ici, dans la 5ème ville de France, remplie de retraités, il y a, rien qu'en centre-ville, trois écoles bilingues français-anglais !

    J'ai rien contre l'affirmation de la langue française, mais tout le monde doit parler Anglais aujourd'hui, ne serait-ce que pour communiquer avec le reste du monde. Faut-il donc, indirectement, favoriser les petits québecois anglophones, sous prétexte de défendre la langue française ?

  5. Ici, dans une classe de 16, on vise plus d'habiletés: motricité fine et plus large, la gestion des relations humaines, de ses émotions, la capacité à exprimer une opinion, à trouver sa place dand un groupe... Chaque jour, il y a plusieurs ateliers: jeux, mathématique, théâtre... Et en plus, ils ont des enseignants attitrés pour la musique, l'anglais et le sport. Ils vont au théâtre, glisser, nager, danser dans une école africaine, au musée...

    C'est ce que fait aussi ici notre fille, et c'est aussi la différence entre le privé et le public en France.

    La classe dont tu parles, c'est dans le pré-scolaire, à l'école maternelle ou en garderie ? Où mettre notre fille, 4 ans à la rentrée, pour faire ce genre de chose ? Garderie, pré scolaire ou maternelle "à la française" ?

  6. C'est vrai ce que tu dis, cette question de l'école, de la scolarisation des enfants en bas-âge est une vraie différence entre la France et le Québec (et je crois l'Amérique du Nord en général).

    Ici, l'idéal affiché par l'Education Nationale serait la scolarisation de tous les enfants à 2 ans pour préparer les futurs apprentissages et une meilleure intégration (fréquentation de l'écrit, sociabilisation notamment). C'est un idéal non encore atteint, mais en tous cas, à 3 ans, la quasi totalité des enfants fréquentent l'école. Il faut dire que les places en crèche (garderies) sont inexistantes (en tout cas dans notre ville) et pas forcément à la hauteur. Les assistantes maternelles (qui gardent chez elles des petits de 3 mois à 3 ans) sont rares et donc dictent leurs conditions. Pour notre fille unique, la seule solution pour qu'elle acquiert de l'autonomie au milieu d'enfants de son âge, c'était l'école à 2 ans, et encore l'école privée (l'école publique n'accepte les enfants une fois qu'ils sont propres). Et une fois qu'elle a pris l'habitude, plus question de s'en passer : elle aime ça, le rituel du matin, les activités, les sorties en groupe, etc. Mais cela, Mme Montessori l'a déjà dit. Nous-mêmes en sommes surpris et nous posons souvent la question : à partir de quel âge les enfants "apprennent-ils" à détester l'école ?

    Paraît-il (toujours l'Education Nationale), ici, en France, on a les meilleurs maternelles du monde. Mais rassure-toi, ça doit donc être après que cela se gâte, vu les résultats désastreux à la sortie du primaire !

    Donc, deux systèmes, aussi valables l'un que l'autre, je pense. Ceci dit, cela ne résoud pas mon problème : comment ne pas casser la dynamique scolaire dans laquelle est rentrée notre fille, et dont on ne voudrait surtout pas la faire sortir !

  7. Bonjour,

    Je sais que je vais me faire assassinée par certains d'entre vous, mais tant pis, je me lance !

    Notre fille (3 1/2) est scolarisée depuis l'âge de 2 ans dans une école bilingue ici en France. Où la mettre à notre arrivée à Montréal ?

    La garderie ? Elle est déjà rentrée dans les apprentissages "scolaires", et nous avons peur qu'elle s'ennuie.

    L'école publique ? On ne sait pas encore où l'on va habiter, y aura-t-il un enseignement pré-scolaire ?

    L'école privée ? Toutes les adresses que j'ai pu trouver sont sur Outremont ou au Nord de l'Ile (Et en plus, aucune n'est bilingue en dessous de six ans) et d'ailleurs s'inspirent de l'école française, bonjour l'intégration. Et pas forcément près d'un métro (sauf une si j'ai bonne mémoire).

    Comment font donc ceux qui n'habitent pas Outremont ou sur la ligne bleue ? Traversent-ils tout Montréal l'hiver, dans le froid, aux aurores, dans les transports en commun (s'ils n'ont pas de voiture comme nous) avec leur bout de chou ? S'adressent-ils alors au transport scolaire de l'école, mais peut-on leur confier des enfants si petits ?

    N'existe-t-il aucune école maternelle bilingue (même) privée à Montréal ?

    Faut-il donc choisir son école avant de choisir là où l'on veut habiter ? Et Outremont est-il donc le seul quartier où habiter lorsque l'on arrive de France avec des enfants scolarisés en petite section ?

    Cela me semble difficile à admettre (et d'ailleurs j'ai du mal), alors j'attends vos témoignages, merci !

  8. Voici un lien qui vous amènera à une série de statistiques (2006), quartier par quartier (1 fiche par quartier), sur Montréal.

    Est-ce que cela décrit la réalité du terrain ou bien n'est-ce qu'une série de chiffres ? Aucune idée, mais peut-être que certains forumnistes peuvent se lancer dans le débat. En tout cas, les passionnés de statistiques y trouveront leur compte !

    http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_p...;_schema=PORTAL

  9. Bonjour,

    J'ai bien compris (merci le forum) qu'avec le formulaire délivré par la Sécurité Sociale avant de quitter la France, on se présente à la RAMQ et que, grâce à l'entente , on est exempté de la période d'attente pour recevoir la carte soleil. Par contre, je n'ai pas trouvé sur le site de la RAMQ de taux de remboursement des frais hospitaliers et médicaux : est-ce le même système qu'en France ? Est-il prudent de prendre une assurance complémentaire en parrallèle, dès notre arrivée ?

    Cas concret : notre fille a une crise d'appendicite une semaine après notre arrivée. On avance les frais car on n'a pas encore reçu notre carte soleil. Mais sommes-nous entièrement couverts comme aux meilleurs temps de la Sécurité Sociale française , ou bien est-ce l'assurance complémentaire (l'équivalent de la mutuelle française) qui joue pour rembourser les dépassements d'honoraires, le forfait hospitalier éventuel et je ne sais encore.

    Ou bien peut-on prendre provisoirement une assurance genre m------ assistance, le temps d'avoir trouvé un travail ?

    Merci à ceux qui voudront bien me répondre

  10. Nous avons reçu "la brune" hier et mon mari est plus près de 60 que de 50 ans ! C'est vrai qu'on avait peut-être plus peur de la réponse (surtout pour le CSQ) que d'autres "petits jeunes", mais tu vois, c'est possible. Je pense, mis à part d'avoir les points, d'être en bonne santé, etc, qu'il est essentiel, au minimum, de ne pas être retraité au moment de ta demande de RP. Au cours d'une réunion d'informations d'Immigration Québec, je me rappelle qu'un couple de retraités avait émis le souhait d'aller s'installer au Québec en tant que RP pour y passer sa retraite avec le projet d'y acheter une maison, et la réponse qui leur a été faite avait été 'ce n'est pas possible, venez comme simple touriste 6 mois par an, et louez votre logement'. Alors, si tu veux te rapprocher des tiens, t'as toujours cette solution !

  11. Cher Amazighe, pour aller dans ton sens, cela me fait penser à cet autochtone qui intervenait dans le cadre de la commission Bouchard, je ne sais plus dans quel endroit du Québec. Son intervention a été reprise sur le journal télévisé de Radio Canada diffusé par TV5 Monde. Il disait, en parlant de son peuple : "à force d'accomoder, on a fini dans des réserves !"

  12. Bonjour Sven,

    J'ai une question : la naissance de votre enfant n'a-t-elle pas reposé la question du Québec comme pouvant lui offrir un avenir meilleur, une ouverture au monde, etc. ?

    Dans notre cas, nous avons commencé à réfléchir au Québec notre fille avait 1 1/2 ; elle en a 3 aujourd'hui et plus cela va, plus elle est "intégrée" à notre projet : aujourd'hui, on part autant pour elle que pour nous, alors qu'au départ, au partait d'abord pour nous et c'était juste tant mieux qu'elle soit encore petite car elle commencerait sa vie (école, copains) au Québec. Devenir parents nous a fait projeter son avenir à elle aussi ... et là, à notre sens, il n'y a pas photos !

    Le plus difficile est-il de faire un choix ou de l'assumer ? Je crois que cela marche dans les deux sens : pour ceux qui décident de partir, comme pour ceux qui décident de rentrer, bref, pour nous tous !!!! On est tous dans le même bâteau finalement.

  13. Bonjour,

    Mon mari est psychologue en France. Nous sommes en processus d'immigration, donc toujours en France et dans l'attente du visa fédéral.

    Cependant, nous avons entamé la demande d'équivalence auprès de l'Ordre des Psychologues du Québec avant même la réception de notre CSQ. C'est un pari /un risque que nous avons pris. Pour le moment nous ne le regrettons pas ! ....

    Pour étudier ton dossier d'équivalence (équivalence de diplôme), l'ordre te demande l'intitulé de TOUTES tes uv et modules depuis le début de tes études, les plans des cours, les horaires, tes stages (heures, personnes responsables, détail de tes tâches, mode de contrôle par ton référent, etc.), tes relevé de notes bien sûr, et j'en passe, le tout validé par ton Université.

    Nous nous sommes souvent demandés comment nous aurions fait si nous avions entamé la démarche une fois arrivés au Québec, car il nous a fallu rassembler toutes ces informations (dans le déménagement, qui sait, on aurait pu se débarrasser de certains papiers !), en faisant parfois appel à d'anciens étudiants qui avaient pu garder telle ou telle information, harceler le secrétariat de la fac pour faire certifier conforme des documents, harceler les professeurs pour faire valider les contenus de leurs cours. Bref, être sur place pour constituer un tel dossier est nettement plus facile.

    De plus, le cursus québecois n'étant pas identiques au cursus français (notamment, ils ont beaucoup plus d'heures de stage, appelé "internat"), et la procédure étant très administrative, nous avons eu des demandes d'information complémentaires de la part de l'Ordre. Il faut donc compter un certain temps pour que ton dossier soit enfin monté et puisse passer en commission pour examen. Pour te donner une idée (mais c'est notre cas personnel, il nous a fallu pratiquement tout reconstituer, donc ça vaut que ce que ça vaut), on a commencé à s'y intéresser en juin 2006 et on passe en commission seulement maintenant.

    Quelquefois, entre la constitution du dossier du CSQ puis du dossier fédéral, le stress de l'attente et les demandes d'infos complémentaires de la part de l'Ordre, on n'en avait un peu ras-le-bol. Mais pour se consoler, on se disait que c'était finalement notre intégration au Québec qui commençait puisqu'il paraît qu'ils sont procéduriers et administratifs (voir aussi L'Age des Ténèbres !). Et puis, la loi, c'est la loi, on n'est pas là pour la discuter.

    Donc, nous en sommes là : je ne peux pas t'en dire plus sur les chances d'obtenir une équivalence totale ou partielle. D'après ce que j'ai lu (compris) sur le forum, de toutes façons l'ordre te demande de suivre au moins un cours de déontologie (payant), le Québec ayant sa législation professionnelle spécifique.

    De plus, depuis récemment, pour devenir psychologue au Québec, il faut désormais avoir le doctorat. Peux-tu donc obtenir une équivalence de master (totale ou partielle) et ensuite passer ton doctorat là-bas ? Je ne peux pas te répondre : on n'est pas dans ce cas-là.

    Si tu veux plus d'information sur le dossier d'équivalence, tu peux aller sur cette page web de l'ordre des psychologues http://www.ordrepsy.qc.ca/opqv2/fra/cont.a...2=86&fk3=87

    et télécharger le dossier.

    Voilà, j'espère que ça répond en partie à tes questions !

  14. Bonjour,

    J'envisage de m'installer comme psychanalyste à Montréal.

    Savez-vous s'il y a un "marché" ?

    Ont-ils plutôt bonne presse ?

    Savez-vous s'il y a un "quartier" où se regroupent les cabinets de psychologues et de psychanalystes ?

    Merci d'avance :rolleyes:

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