Locutus

maudit chanceux .... Mais je repète que tu es mieux de passer par la voie classique (comme je l'ai fait et comme Mylène l'a fait). Libre à toi, une fois rendu au Québec de vivre de tes rentes sans travailler ... ← Je ne suis pas chanceux, ne crois pas cela, j'ai travaillé comme un fou pour ensuite tout perdre suite à des actes criminels à l'encontre de mon commerce et de mon intégrité morale. Si j'ai plus que prévu, c'est tout simplement parce que j'ai attaqué en procès les responsables et la compagnie responsable. Mais durant tout ce temps (3 ans) j'ai vécu la misère avec un bébé sur les bras et à peine le minimex (BS) pour m'aider. Le problème avec ta solution est que je suis pogné ici pour encore des mois.

Mylène Merci de nous avoir fait part de ton expérience qui en effet est similaire à la nôtre.

Merci Bunny de ta réponse, c'est gentil mais dans notre cas ni mon épouse ni moi avons l'intension de travailler au québec. Nous avons la chance de pouvoir vivre de nos rentes (bon nos rentes c'est un grand mot, je ne suis pas né d'une famille fortunée, j'ai tout simplement bien gagné ma vie et mis pas mal de coté) Nous ne voulons que vivre au québec légalement, tout comme mon épouse vit ici parfaitement légalement en belgique où elle dispose de sa carte d'identité et tous les droits qui vont avec.

Je suis d'accord avec toi OM53, mais mon problème n'est pas le RP, mon problème est le début de la procédure et le CSQ. Il faut que le répondant puisse démontrer des revenus afin de prouver qu'il est capable de répondre aux besoins du ou des requérant. Or dans mon cas c'est l'inverse, c'est le requérant qui subvient aux besoins du répondant. Et pour avoir les papiers sous les yeux ( (IMM1344) je constate que rien n'est prévu pour un tel cas. Or avant de commencer la procédure de demande d'un RP, il faut commencer par la demande de parrainage dans le cadre d'un regroupement familiale, lequel sera refusé puisque le répondant n'a pas le moindre revenu, mais au contraire dépend du requérant. je ne dois quand même pas être le seul dans un tel cas!

Si je t'ai parfaitement compris OM53, nous ne devons même pas nous inquiéter. toutefois il me semble que le fédéral s'occupe de la sécurité et que c'est le québec qui décide si le répondant est apte ou non pour émettre le CSQ

Bonjours à toutes et tous. Je m'adresse dans ce sujet aux Européens qui auraient vécu la même chose que nous où aux Québécois(e)s qui connaissent bien le sujet. Voilà la situation en gros. Je suis Belge et mon épouse Québécoise, nous avons une fille qui est aussi Québécoise, nous sommes ensemble depuis plus de 5 ans et marié à Montréal. Nous comptons nous réinstaller au Québec d'ici peu et profiter de la nouvelle loi, pour entamer la procédure de parrainage depuis le Québec. Bien qu'ayant étudié l'affaire sous toutes les coutures nous nous posons quelques questions qui restent sans réponse. Pour commencer, pour le CSQ, le Québec va déterminer si le répondant (mon épouse) est capable de subvenir à mes besoins. Dans notre cas la réponse est claire, c'est NON et pour cause c'est tout simplement l'inverse puisque c'est le requérent moi-même qui subvient aux besoins. Ma fille qui est québécoise est donc bien évidement à ma charge. Si il y a un refus du CSQ et que je doive quitter le térritoire, comment fera le Québec pour m'expulser, puisqu'en m'expulsant, il expulse automatiquement ma fille qui est à ma charge et est Québécoise. Dernière question concernant cette fois le fédéral, étant marié au québec, vivant ensemble depuis plus de cinq ans et ayant un enfant qui plus est est québécoise, devrons nous également passer par le désagréable formulaire IMM5285 qui semble vouloir déterminer toute la véracité de notre relation, avec photos, témoignages et compagnies.. Merci d'avance à toutes et tous de nous faire part de vos expériences similaires ou de vos connaissances. Locutus

En tant que Belge Marié à une québécoise, je peux vous dire qu'on très bien perçu au Québec même si il m'est arrivé au début une drôle d'histoire. Je vous explique. Au début de ma relation, la famille de ma Québécoise me regardait un peu comme un extra-terrestre dangereux. Je ne comprenais pas pourquoi et mon épouse n'aurait jamais imaginée la raison de ces quelques regards critiques et parfois menaçants. Jusqu'au jour où nous avons découvert le pourquoi de la chose et nous en avons bien rigolé. L'oncle de ma femme s'est fait plaqué par son épouse laquelle est allée vivre avec son amant. Cette rupture fût assez pénible pour le mari et la famille proche de l'oncle compatissait grandement. Il est arrivé identiquement la même chose à 'ex mari de ma femme, son couple n'allant plus très bien depuis longtemps, à l'insu de toute la famille, ils prévoyaient de se quitter. Seulement voilà, le petit belge allait arrivé un peu tôt aux goûts des autres, et ni une, ni deux, après quinze jours de rencontres d'une rare intensité, je reviens en belgique avec dans mes bagages mon adorable Québécoise qui allait devenir mon épouse. Vous me direz que cela arrive assez fréquement, oui c'est vrai mais dans notre cas, il se trouvait tout à fait par hasard que le fameux amant de la tante de ma Québécoise n'était ni plus ni moins qu'un belge. Résultat la famille de ma Québécoise, nous voyait comme des kidnappeurs et comme des briseurs de ménages. Depuis je vous rassure, toute la famille en rit et le belge que je suis est fortement apprécié. Ce qui fait aussi je pense toute la différence entre un français et un belge au Québéc, c'est le point commun que les Belges partagent avec les Québécois mais aussi les Suisses. Les Belges, les Suisses et les Québécois étant les victimes de quelques français, qui se trouvent drôles, se soutiennent naturellement. Il faut dire aussi que les Québécois sont très bien accueillis en Belgique, même un peu trop bien à mon goût. Un exemple de ce trop bien, au marché, dès que le vendeur entend que mon épouse est Québécoise, la politesse et les égards deviennent légions. Elle reçoits du marchand de fruits et légumes les meilleurs produits avec toujours un ou deux gratuit, du boucher elle reçoit les meilleurx morceaux. Du coté de l'administration c'est pareil, un dévouement qui me fait à chaque fois douter de l'endroit où je suis. Tenez, son permis de conduire Québécois était périmé, résultat au retour elle devrait passer à nouveau les test pour son permis, qu'à cela ne tienne, c'est méconnaître l'administration belge. Un petite explication de sa part au préposé et voilà la moitié des fonctionnaires occupés à chercher une solution pour venir en aide à ma Québécoise. Je n'en croyais pas mes yeux ni mes oreilles mais en moins de temps qu'il ne me fallait pour réaliser, ma Québécoise était en possesion d'un permis belge en bonne et due forme. Moralité, l'accent Québécois ouvre toutes les portes en belgique. Voilà quelques histoires de relations entre nos deux peuples si éloignés par la distance mais apparemment très proche dans le coeur.

Dans tout cela il me semble que l'on oublie quelqu'un d'important et qui risque bien de faire la différence et ce malgré le résultat des dernières élections. Beaucoup de Québecois ne sont pas content de charest et le feront savoir lors des prochaines élections en ne votant plus pour lui. Ce terminator des classes moyennes ne sera à mon avis plus élu. Mais ces mêmes Québécois n'ont pas envie de recommencer tous les problèmes de chicannes diverses en votant péquiste. Si je faisais partie de ces Québecois, je n'hésiterais pas, il reste encore un autre choix. Je veux évidemment parler de Monsieur Mario Dumont

Personnellement, je ne sais pas trop de quoi tu parles. Effectivement, il y a eu un changement dans la distribution d'allocations familiales. À partir de janvier 2005 (ils ont avancé la date à décembre, en fait), les familles qui comptent deux enfants peuvent avoir droit à un maximum de 3 000 $ annuellement selon certaines conditions de ressources (le montant est régressif plus les revenus augmentent). Dixit le site Web de la Régie des rentes du Québec : "Le paiement de soutien aux enfants est versé à toutes les familles du Québec ayant des enfants à charge de moins de 18 ans. Il est versé directement aux familles en cours d'année. Les montants de cette mesure remplacent : les prestations familiales; le crédit d'impôt de base pour un enfant mineur; la réduction d'impôt à l'égard des familles." ← Je citais un exemple vécu de l'année 2003, rien de plus, la réforme dont tu parles date de cette année et je pense que c'est une bonne réforme

En effet Laurence, tu n'as pas dit de rester passif. La différence de nos vues et réactions proviennent en effet de nos cultures bien différentes. Je fais toujours rire ma Québécoise (très style flegme britanique) quand je m'emporte pour un rien, pour défendre la veuve et l'orphelin. Le sang latin je présume, donc dès que nous serons de retour au QUébec, je ferai régulièrement des dons de sang cela aidera peut-être. bien à toi

Chère Laurence, Pourquoi s'énerver!!!!!!!!!!!!!!!! En lisant ces mots j'ai (avec respect) envie de te hurler dans les oreilles qu'il faut s'énerver ne fusse que pour les familles qui voient leurs moyens financiers massacrés. C'est bien beau le flegme britanique, mais voir des familles qui ont difficile financièrement (de nombreux enfants n'ont même pas l'essenciel ==> le club des petits déjeuners) moi ça me fait hurler. Quand ces mêmes familles voient leurs allocations chuter de 100 $ à 7 $, il ya de quoi s'énerver. Par contre tu as raison, il est fort probable que charest le paiera aux prochaines élections, mais la question que je me pose est: est-ce que le prochain parti au pouvoir va rectifier ce genre de monstruosité. A mon avis non, ils vont se contenter d'un état de fait établi. Bien à toi chère Laurence

J'ignore vos besoins et vos moyens, mais nous sommes toujours descendu au québec dans un de ces appartements meublés à notre grande satisfaction. C'est également là que nous irons à notre retour Bonne change à vous http://www.ragq.com/indexfr.php

N'en déplaise à Laurence, je pense davantage comme Prune qui, peut-être comme moi, ne base pas ses vues uniquements sur le référendum. En effet, quand j'étais au Québec (en 2003, retour prévu cette année), j'ai été sidéré par l'endormissement général des Québécois et Québécoises. A titre d'exemple, en juillet 2003, le fédéral a augmenté nos allocations familliale passant de 228 $ à 238 $, mais à peine au pouvoir Charest et sa clique ont transformé nos allocations familliale du Québec à peau de chagrin. Nous passions d'une petite centaine de dollars par mois à une vingtaine de dollars une fois tous les trois mois. Un coup pareil en France ou en Belgique et c'est une émeute général garantie. Au Québec, cela n'a même pas fait l'objet d'un journal écrit ou télévisé digne de ce nom. En discutant du sujet avec ma famille Québecoise, j'ai découvert une résignation incroyable. Les "on ne peut rien y faire" et les "c'est comme ça" étaient légions, ils acquiéssaient avec la tête même s'ils disaient non avec le coeur. Des exemples comme ceux qui précèdes sont également légions dans tous les domaines (travail, santé, politique etc). Je pense que les Québécois devraient sortir de leur torpeur et commencer à oser dire NON et abandonner ces résignations qui empêchent toutes évolutions constructives.

Tout à fait d'accord ave ctoi petit prince sauf pour les pratiques sexuelles qui se font parfois en groupe ← J'ai juste dit "en privé", j'ai pas parlé de "groupes" ou même d'individus ! ← Alors en groupe et en public petit prince mais on mettra des loups pour préserver notre anonymat

Tout à fait d'accord ave ctoi petit prince sauf pour les pratiques sexuelles qui se font parfois en groupe