Nicolas

Une pancarte de Duceppe dans son champ, ça éloigne les pigeons fédéralistes ?

Ouais tout le monde s'en fout du quitus, ici... et encore plus mon service des impôts en France

C'est effectivement une bonne méthode si c'est le quartier que tu vises Jeudi prochain tu peux aussi prendre le gratuit VOIR... et qui sait... souvent c,est premier arrivé premier servi

Moi c'est 50 % de mes messages, ça laisse songeur hein ?

Un fan de country québécoise Ah non pour ça faut demander au vendeur de FortSympa

Tu veux plutôt dire : quelle époque épique (le porc épique )

La endance est plutôt à la libre circulation des travailleurs

Opportuniste Je dis ça mais je vous comprends

Si elle nous lit je lui conseille de dire qu'elle est souverainiste et qu'elle adore CHYZ (excellente radio au demeurant), ça lui facilitera la tâche

Surtout que j'ai pas capté au début mais c'est la première fois qu'ils vont au Québec... une môme de 13 ans dans une Université, a fortiori étrangère... pfiou...

En tout cas sur les autoroutes québécoises, le combat entre le char et la marmotte débouche toujours sur la même issue

Ouais mais c'est du bon, pas du sirop de poteau

Ben c'est pas pareil... émigrer chez les anglophones ou les francophones c'est pas pareil Je sais que beaucoup d'Algériens parlent bien le Français mais ce n'est pas une langue maternelle donc je me demandais si en immigration ça jouait ou pas

J'espère que tu faisais pas de la pêche quand les 2 tonnes sont tombées Enfin bon si c'est si inoffensif, pourquoi pas le faire chez eux...

Y sont pô sur le forum ? http://www2.canoe.com/infos/societe/archiv...606-083840.html Surdouée À l?Université Laval à 13 ans! Katia Bussière - Journal de Montréal 06/06/2005 08h38 À 13 ans, Élénie Godzaridis, une ado française surdouée, déménage à Québec pour entreprendre un baccalauréat en biochimie à l?Université Laval, devenant la plus jeune élève de tous les temps à fréquenter le campus. Jointe à Paris, la mère d?Élénie, Catherine Bertrand, prend plaisir à parler de sa fille «différente» des autres de son âge, mais «heureuse, équilibrée, épanouie et bien dans sa peau». Elénie et sa mère sont sur toutes les tribunes médiatiques en France. «Elénie savait son alphabet à un an et lisait comme vous et moi à trois ans, raconte Mme Bertrand, 45 ans. Très jeune, elle lisait les dictionnaires et posait beaucoup de questions. Je l?amenais dans les musées et les aquariums. J?ai dû acheter un ordinateur pour satisfaire son besoin d?apprendre. Élénie ne jouait pas aux Barbie ; elle préférait les jeux sur CD-ROM.» Primaire difficile Le talent naturel d?Élénie lui a causé des problèmes à la maternelle. «Ça s?est mal passé à l?école car elle savait déjà toute la matière. Elle était mal vue par les professeurs. Nous lui avons fait passer un test de QI. Le résultat était très élevé», poursuit Mme Bertrand. «Nous avons déménagé en banlieue parisienne où Élénie a étudié dans une école pour immigrants. Elle a terminé sa scolarité primaire en deux ans. De retour à Paris, elle a étudié dans des écoles privées (lycées et collèges) et elle s?est bien intégrée», ajoute Mme Bertrand. Élénie a cependant peu d?amis. «Les jeunes de son âge sont en compétition avec elle. Ses quelques amis ont entre 18 et 20 ans. Élénie se sent très à l?aise avec les adultes», poursuit sa mère. Le plaisir d?apprendre Apprendre est un plaisir et non une corvée pour Élénie. «Elle est totalement bilingue français-anglais. Elle lit des romans pour adulte, des revues pour ados et des documents médicaux. Elle participe à des forums dans Internet. Elle écoute de la musique classique et aime l?émission Ally McBeal», continue Mme Bertrand. Passionnée de génétique depuis l?âge de sept ans, Élénie est préinscrite en chimie-biologie à l?université Paris VII mais n?ira pas. La jeune ado, son demi-frère de trois ans, sa mère et son beau-père déménagent à Québec le mois prochain.

Est-ce que vous savez si les Algériens sont plus intéressés par le Québec ou le Reste du Canada ?

T'obstines pas Phil, je soupçonne MR Nice Guy de vouloir envoyer des manon au Québec où la noisette est remplacée par des diamants qu'il veut écouler frauduleusement Au fait je suis volontaire comme Prune

Généralement c'est pas le mono qui plante dans la rivière ou le lac... si ça te rassure

1 - tu as les frais d'envoi de tes chocolats de Belgique au Québec + 2 - le Québécois a les frais d'envoi de ton colis vers la Belgique et là c'est pas donné, surtout que c'est lourd des cans de sirop... Donc je reste sceptique sur le fait que tu fasses une bonne opération

Ben c'est un lieu où tu vends les vieux trucs que tu as chez toi et dont tu veux te débarasser Enfin y'a aussi des professionnels qui vendent là...

Tu m'as pas lu ? Achète-le en France via internet, c'est le même, et ça fera pas 80 euros de frais de transport

Pleure pô mon ti-pou, tu peux être mono de skidoo Je te souhaite pas de croiser un orignal c'est super gros c'te bête-là

De toute façon c'est à l'employeur québécois de faire des démarches pour t'avoir... donc ça suppose que tu aies un profil en or... ça me semble utopique sinon de trouver un travail avant de partir... déjà que c'est pas facile sur place alors à distance...

Ce que je trouve assez cynique c'est qu'ils ont fait ça comme un test (sic), et qu'en plus ils sont même pas capables de la faire échouer sur leurs côtes à eux !

http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/a...606-054849.html Direction du PQ Les Québécois veulent Duceppe Yves Chartrand -Journal de Montréal 06/06/2005 05h48 Qu?il veuille le poste ou non, Gilles Duceppe part avec une nette longueur d?avance dans la course à la direction qui se profile au Parti québécois. Un sondage éclair, réalisé hier, lui donne le double des intentions de vote sur sa plus proche rivale, Pauline Marois. Selon un sondage Léger Marketing effectué dimanche pour Le Journal de Montréal, autant les péquistes que l?ensemble de la population font du chef actuel du Bloc leur premier choix pour diriger le Parti québécois. Dans une course contre les dix noms le plus souvent évoqués pour diriger le PQ, Gilles Duceppe récolte 38 pour cent des intentions de vote des péquistes, 12 points devant Pauline Marois qui a annoncé hier son intention de briguer le poste. Cette avance se confirme toujours lorsque l?on réduit cette liste aux candidats les plus probables qui lui feraient face, soit Pauline Marois (23 %), François Legault (17 %) et André Boisclair (13 %). Contre eux seuls, Duceppe récolterait 44 pour cent des intentions des péquistes. On veut une vraie course «Gilles Duceppe jouit d?une bonne avance mais attention, dit l?analyste Jean-Marc Léger, ce sondage montre surtout que la population et les péquistes veulent une vraie course à la chefferie. «N?oublions pas qu?une fois la course engagée, le jeu des alliances fera varier les appuis.» Dans l?ensemble de la population, quelque 51 pour cent des gens souhaitent que Gilles Duceppe se présente à la direction du Parti québécois contre 43 pour cent qui ne le désirent pas. Gagnant pour un référendum Selon Jean-Marc Léger, cette popularité de Gilles Duceppe lui vient du fait qu?il a acquis le statut d?un véritable gagnant, alors que Bernard Landry était perçu comme un perdant. «Les souverainistes, qui ont connu tellement de défaites dans leur histoire, se cherchent non seulement un chef, mais surtout un chef gagnant. «C?est un peu ce que représentait Lucien Bouchard, ajoute le sondeur. Ils veulent un gagnant non seulement pour une victoire électorale, mais surtout pour un référendum.» Pas d?effet sur les intentions de vote Au premier coup d??il, le départ de Bernard Landry ne semble pas avoir entaché la popularité du PQ. Quelque 49 pour cent des électeurs étaient prêts à voter pour lui hier. Après répartition des indécis, la moitié des 602 personnes sondées ont accordé leur préférence pour le Parti québécois contre 27 pour cent pour le Parti libéral et 20 pour cent pour l?Action démocratique. Par rapport au dernier sondage Léger Marketing, c?est une hausse de 2 pour cent pour le Parti québécois. «C?est une différence infime qui montre surtout que les intentions de vote sont demeurées stables malgré le départ de Bernard Landry», dit Jean-Marc Léger. Pour le sondeur, cela donne une belle marge de man?uvre aux organisateurs péquistes pour organiser la course au leadership avec une relative assurance. «Le fait que la popularité du parti ne baisse pas dénote que le PQ peut survivre sans chef durant un certain temps.» Jean-Marc Léger en déduit aussi que la population en général veut une vraie course au PQ, chose qui ne s?est pas produite depuis 1985.«Les gens souhaitent qu?il y ait un brassage d?idées politiques par la présence de plusieurs candidats.»