Les besoins en infirmières sont criants, là n’est pas la question. Ainsi, même si le Centre hospitalier universitaire de Québec calcule qu’il aura besoin de 350 à 400 infirmières au cours de l’année, il n’embauche plus à l’étranger.
«C’est trop compliqué», laisse tomber Geneviève Dupuis, porte-parole du CHU de Québec et de l’Université Laval, qui comprend tous les hôpitaux de la ville à l’exception de l’hôpital Laval. «Les règles d’immigration et les règles syndicales sont complexes.