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Parce que c'est aussi ça, le CANADA


may_line

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Les droits des foetus? Ah, oui? Aux dernières nouvelles, la personne acquiert une identité juridique À LA NAISSANCE. Avant, on n'a ni nom, ni adresse, ni identité. Seuls les Chinois reconnaissent que la vie commence neuf mois avant la naissance et enregistrent leur date de naissance en conséquence. Pour tous les autres, y compris ceux qui se prétendent grands défenseurs des droits du foetus, l'identité juridique commence à la naissance, point barre! Je suis née le xx/xx/19xx. Avant ça je n'existais pas, rien, nada!

Si je renverse une femme enceinte et qu'elle perd son bébé, il ne se passe rien, nada. Si une femme enceinte se fait agressé et qu'elle perd son bébé, il ne se passe rien, nada. Une ivg ou une img, c'est pareil, il ne se passe rien, nada. A 4 ou 20 ou 30 semaines, c'est pareil, il ne se passe rien, nada. D'ailleurs, ça se fait très bien entre un resto et une séance au coiffeur :lol:

Quand bien même le foetus aurait des droits, pourquoi en aurait-il plus que sa mère? En vertu de quoi sa souffrance compterait-il plus que celle de sa mère? Parce qu'il n'a rien demandé? Justement! Il n'a demandé ni à naître, ni à vivre, non? La mère n'a pas demandé à donner la vie sans le vouloir, non plus. Elle est née avec des ovules et personne, à ma connaissance, n'a jamais demandé à naître avec une paire d'ovaires.

Qui te parle de donner plus de droits qu'à la mére ? Qui te parle de souffrance du foetus ? Légaliser ne veut pas dire interdire l'ivg et toute forme de contraception.

Faque la petite rhétorique néoconne, pour ma part, vous pouvez vous la mettre où vous voulez.

La vulgarité ne te rend pas plus convaincante ;)

Modifié par Volvic
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  • Habitués

Jusqu'à la 10ème semaine, l'embryon n'a pas d'organe. Au delà, le foetus a un corps, des membres, un cerveau, un coeur qui bat, etc. Et au delà de 22 semaines, l'enfant est viable. J'ai du mal à considérer qu'à ce stade l'enfant n'a aucune reconnaissance humaine, et que la femme peut l'éliminer comme si de rien n'était. D'ailleurs, c'est contradictoire puisqu'elles même disent la souffrance psychologique d'une ivg/img mais en même temps ne reconnaissent pas l'implication humaine du foetus dans cette souffrance. Je pense que l'on devrait accorder un statut au foetus selon l'avancée de la grossesse. Et le projet de loi du 1er Ministre Harper permet justement de considérer qu'il ne se passe pas rien quand une femme enceinte perd son enfant suite à une agression.

Bien sûr qu'elles reconnaisent l'implication humaine de leur acte...mais il y a aussi des implications socio-économiques et plutôt que de mettre le petit sur le perron d'une église ou au pire dans une poubelle, autant faire un avortement.

D'autre part, la conscience d'un enfant s'éveille progressivement depuis la naissance jusqu'à l'age adulte par les interaction psycho-sociale avec son milieu. Alors parler de conscience du foetus me parait une supposition sujette à caution.

Ah bon Equinox j'avais cru comprendre que vous avez des filles, grandes certes... vous avez peut etre oubliez, mes enfants ont 7 et 4 ans et je me rappele de l'interactivité que j'avais avec eux dans le sein de leur mère,

ils avaient tout 2 une attitude bien differente et sur le moment rien ne peux me faire douter qu'ils n'avait pas conscience qu' un papa etait là à leur parler... comme un abruti alors? il reagissait a mes toucher ou a la musique (surtout mon ainé) que je leur mettais

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Les droits des foetus? Ah, oui? Aux dernières nouvelles, la personne acquiert une identité juridique À LA NAISSANCE. Avant, on n'a ni nom, ni adresse, ni identité. Seuls les Chinois reconnaissent que la vie commence neuf mois avant la naissance et enregistrent leur date de naissance en conséquence. Pour tous les autres, y compris ceux qui se prétendent grands défenseurs des droits du foetus, l'identité juridique commence à la naissance, point barre! Je suis née le xx/xx/19xx. Avant ça je n'existais pas, rien, nada!

Si je renverse une femme enceinte et qu'elle perd son bébé, il ne se passe rien, nada. Si une femme enceinte se fait agressé et qu'elle perd son bébé, il ne se passe rien, nada. Une ivg ou une img, c'est pareil, il ne se passe rien, nada. A 4 ou 20 ou 30 semaines, c'est pareil, il ne se passe rien, nada. D'ailleurs, ça se fait très bien entre un resto et une séance au coiffeur :lol:

Merci de confirmer ce que je disais: à trop vouloir rentrer par la petite porte, vous utilisez des exemples anecdotiques d'un ridicule consommé! Ça fait sept ans que je vis au Canada et je n'ai jamais entendu parler de femme enceinte renversée par un chauffard, ni de telle autre victime d'une agression quelconque. Aucune en sept ans. Et ça veut faire une loi sur ça?

Si les femmes enceintes étaient la cible de tueurs en séries et autres criminels, ça se saurait. Les groupes de femmes seraient les premières à sauter dans l'arène pour exiger une législation sur ce sujet. Or, il n'en est rien. Vous voulez protéger les femmes des crimes qui n'existent que dans votre tête. Et ce, malgré elles! Qu'est-ce qui n'est pas clair dans "Fichez-nous la paix?"

Vous trouvez qu'il n'y a pas ASSEZ de problèmes dans ce pays, vous voulez en inventer d'autres? Occupez-vous donc des nids de poule pour changer. Ou du pétrole dans le golfe du Mexique, tiens! Trouvez-vous une vie et laissez tranquille nos utérus et nos bébés, ça fait des millénaires que les femmes savent en prendre soin sans votre aide!

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  • Habitués

Ça s'appelle faire la politique de l'autruche. C'est sûr que ça n'arrive jamais, jamais, mais vraiment jamais ! Être enceinte donne un super pouvoir qui protége de tout. D'ailleurs le foetus est rien, il ne se passe donc jamais rien :lol:

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  • Habitués

Ah bon Equinox j'avais cru comprendre que vous avez des filles, grandes certes... vous avez peut etre oubliez, mes enfants ont 7 et 4 ans et je me rappele de l'interactivité que j'avais avec eux dans le sein de leur mère,

ils avaient tout 2 une attitude bien differente et sur le moment rien ne peux me faire douter qu'ils n'avait pas conscience qu' un papa etait là à leur parler... comme un abruti alors? il reagissait a mes toucher ou a la musique (surtout mon ainé) que je leur mettais

Heu ... tartan, ce que tu écris là, ce n'est pas un détail. C'est CE QUI PEUT FAIRE TOUTE LA DIFFÉRENCE!

Tu en connais beaucoup, toi, des femmes qui avortent après avoir vécu avec le papa du bébé ce que tu as vécu? Quand une femme prend la décision de ne pas aller plus loin, c'est sans doute parce qu'il n'y a pas ce PLUS que tu as apporté à ta blonde, non?

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Ah bon Equinox j'avais cru comprendre que vous avez des filles, grandes certes... vous avez peut etre oubliez, mes enfants ont 7 et 4 ans et je me rappele de l'interactivité que j'avais avec eux dans le sein de leur mère,

ils avaient tout 2 une attitude bien differente et sur le moment rien ne peux me faire douter qu'ils n'avait pas conscience qu' un papa etait là à leur parler... comme un abruti alors? il reagissait a mes toucher ou a la musique (surtout mon ainé) que je leur mettais

Heu ... tartan, ce que tu écris là, ce n'est pas un détail. C'est CE QUI PEUT FAIRE TOUTE LA DIFFÉRENCE!

Tu en connais beaucoup, toi, des femmes qui avortent après avoir vécu avec le papa du bébé ce que tu as vécu? Quand une femme prend la décision de ne pas aller plus loin, c'est sans doute parce qu'il n'y a pas ce PLUS que tu as apporté à ta blonde, non?

Kweli, non evidement non, je n'en connais pas.

je repondait au Dr Equinox sur ou la conscience commencait dans la vie.

Et puis jamais je ne me permettrais de juger quelqu'un qui a recours a l'avortement comme moyen de contraception, c'est le choix tres personnel, Et qui doit etre vécu certainement comme un deuil pour la plus part des femmes, et je ne parle pas des raisons medicale qui doivent d'une douleur plus que dechirante.

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  • Habitués

Du grand n'importe quoi, je rappelle que tout ce qui n'est pas interdit est autorisé... et les bien pensants qui mettent un cadre autour de pratiques, c'est toujours pour les limiter. Dans le langage conservateur, cela s'appelle proteger...

Justement c'est le cas. Les femmes ont peur de perdre leur possiblité à l'ivg parce qu'il n'est pas inscrit dans la loi. Inscrire ce droit dans la loi permet de le protéger.

Et pour Benoit, moi et d'autres c'est limiter, non protéger.

Tu as parfaitement raison. La décriminalisation de l' avortement au Canada est une réalité depuis 22 ans seulement.

Le communiqué de presse émis par le Conseil du statut de la femme du Québec à l'occasion de ce 20ième anniversaire:

IL Y A 20 ANS, LAVORTEMENT ÉTAIT ENFIN DÉCRIMINALISÉ

Québec, le 28 janvier 2008

Le 28 janvier 1988, la Cour suprême du Canada déclarait

inconstitutionnel larticle 251 du Code criminel dans le célèbre arrêt Morgentaler, parce

quil restreignait les droits à la vie, à la liberté et à la sécurité des femmes. Lavortement

était enfin décriminalisé.

« Les femmes, confrontées à un choix douloureux, nont heureusement plus à se préoccuper

des conséquences légales et médicales de leur décision. Elles peuvent décider librement de

poursuivre ou non leur grossesse sans mettre leur santé ou leur vie en péril pour trouver une

solution », a déclaré la présidente du Conseil du statut de la femme, Mme Christiane Pelchat.

Mentionnons quavant larrêt Morgentaler, lavortement était un acte criminel sauf sil était

pratiqué dans un hôpital accrédité et approuvé par un comité davortement thérapeutique qui

en venait à la conclusion que la poursuite de la grossesse mettait en danger la vie ou la santé

de la femme enceinte. Or, la juge Bertha Wilson faisait le constat suivant, dans cette

décision :

« () le droit à la liberté énoncé à larticle 7 garantit à chaque individu une marge

dautonomie personnelle sur ses décisions importantes touchant intimement à sa vie

privée. () Cette décision (dinterrompre la grossesse) aura des conséquences

psychologiques, économiques et sociales profondes pour la femme enceinte. () Ce

nest pas seulement une décision dordre médical; elle est aussi profondément

dordre social et éthique. »

La décriminalisation de lavortement est une des décisions qui a le plus contribué au bien-

être des femmes et à leur autonomie. Cette décision a aussi permis de contrer les

avortements clandestins qui causaient des dommages graves à la santé des femmes. Laccès

aux soins dont bénéficient aujourdhui les femmes, dans une perspective dautonomie

reproductive et de maîtrise de la fécondité, vient dailleurs concrétiser la décision de la Cour

suprême.

Toutefois, il faut rappeler que depuis larrêt Morgentaler, il ne sest pas passé une année

sans que dune façon ou dune autre, lexercice de lautonomie et du libre arbitre des

femmes en matière de reproduction nait été questionné, fragilisé, limité, voire menacé. Il

importe de rester vigilantes afin que lavortement reste un droit pour les femmes et quelles

ne soient plus jamais considérées comme des criminelles.

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Du grand n'importe quoi, je rappelle que tout ce qui n'est pas interdit est autorisé... et les bien pensants qui mettent un cadre autour de pratiques, c'est toujours pour les limiter. Dans le langage conservateur, cela s'appelle proteger...

Justement c'est le cas. Les femmes ont peur de perdre leur possiblité à l'ivg parce qu'il n'est pas inscrit dans la loi. Inscrire ce droit dans la loi permet de le protéger.

Et pour Benoit, moi et d'autres c'est limiter, non protéger.

Tu as parfaitement raison. La décriminalisation de l' avortement au Canada est une réalité depuis 22 ans seulement.

Le communiqué de presse émis par le Conseil du statut de la femme du Québec à l'occasion de ce 20ième anniversaire:

IL Y A 20 ANS, L'AVORTEMENT ÉTAIT ENFIN DÉCRIMINALISÉ

Québec, le 28 janvier 2008

Le 28 janvier 1988, la Cour suprême du Canada déclarait

inconstitutionnel l'article 251 du Code criminel dans le célèbre arrêt Morgentaler, parce

qu'il restreignait les droits à la vie, à la liberté et à la sécurité des femmes. L'avortement

était enfin décriminalisé.

« Les femmes, confrontées à un choix douloureux, n'ont heureusement plus à se préoccuper

des conséquences légales et médicales de leur décision. Elles peuvent décider librement de

poursuivre ou non leur grossesse sans mettre leur santé ou leur vie en péril pour trouver une

solution », a déclaré la présidente du Conseil du statut de la femme, Mme Christiane Pelchat.

Mentionnons qu'avant l'arrêt Morgentaler, l'avortement était un acte criminel sauf s'il était

pratiqué dans un hôpital accrédité et approuvé par un comité d'avortement thérapeutique qui

en venait à la conclusion que la poursuite de la grossesse mettait en danger la vie ou la santé

de la femme enceinte. Or, la juge Bertha Wilson faisait le constat suivant, dans cette

décision :

« () le droit à la liberté énoncé à l'article 7 garantit à chaque individu une marge

d'autonomie personnelle sur ses décisions importantes touchant intimement à sa vie

privée. () Cette décision (d'interrompre la grossesse) aura des conséquences

psychologiques, économiques et sociales profondes pour la femme enceinte. () Ce

n'est pas seulement une décision d'ordre médical; elle est aussi profondément

d'ordre social et éthique. »

La décriminalisation de l'avortement est une des décisions qui a le plus contribué au bien-

être des femmes et à leur autonomie. Cette décision a aussi permis de contrer les

avortements clandestins qui causaient des dommages graves à la santé des femmes. L'accès

aux soins dont bénéficient aujourd'hui les femmes, dans une perspective d'autonomie

reproductive et de maîtrise de la fécondité, vient d'ailleurs concrétiser la décision de la Cour

suprême.

Toutefois, il faut rappeler que depuis l'arrêt Morgentaler, il ne s'est pas passé une année

sans que d'une façon ou d'une autre, l'exercice de l'autonomie et du libre arbitre des

femmes en matière de reproduction n'ait été questionné, fragilisé, limité, voire menacé. Il

importe de rester vigilantes afin que l'avortement reste un droit pour les femmes et qu'elles

ne soient plus jamais considérées comme des criminelles.

Si l'actuel projet gouvernemental ne vise pas à abonder dans le meme sens que la dernière phrase du texte ci-dessus, je craisnque les femmes aient de quoi se préoccuper surtout si l'autonomie en question a été remise en question de quelque manière que ce soit par le régime en place.

Dans ce cas, je trouve que laisser les choses telles qu'elles sont serait la chose la plus censée.

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  • Habitués

Toutefois, il faut rappeler que depuis l'arrêt Morgentaler, il ne s'est pas passé une année

sans que d'une façon ou d'une autre, l'exercice de l'autonomie et du libre arbitre des

femmes en matière de reproduction n'ait été questionné, fragilisé, limité, voire menacé. Il

importe de rester vigilantes afin que l'avortement reste un droit pour les femmes et qu'elles

ne soient plus jamais considérées comme des criminelles.

Si l'actuel projet gouvernemental ne vise pas à abonder dans le meme sens que la dernière phrase du texte ci-dessus, je craisnque les femmes aient de quoi se préoccuper surtout si l'autonomie en question a été remise en question de quelque manière que ce soit par le régime en place.

Dans ce cas, je trouve que laisser les choses telles qu'elles sont serait la chose la plus censée.

Je partage entièrement ton opinion. D'autant plus que les femmes québécoises agissent avec responsabilité, le taux moyen des avortements étant très en deça de la moyenne internationale.

Reste à poursuivre les campagnes de sensibilisation aux méthodes contraceptives sans oublier la poursuite des objectifs de la politique nataliste actuelle.

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  • Habitués
Si l'actuel projet gouvernemental ne vise pas à abonder dans le meme sens que la dernière phrase du texte ci-dessus, je craisnque les femmes aient de quoi se préoccuper surtout si l'autonomie en question a été remise en question de quelque manière que ce soit par le régime en place.

Dans ce cas, je trouve que laisser les choses telles qu'elles sont serait la chose la plus censée.

Tant qu'il n'y aura pas de loi clair pour le droit des femmes à l'ivg, les femmes auront toujours a se préoccuper du risque de le perdre.

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Si l'actuel projet gouvernemental ne vise pas à abonder dans le meme sens que la dernière phrase du texte ci-dessus, je craisnque les femmes aient de quoi se préoccuper surtout si l'autonomie en question a été remise en question de quelque manière que ce soit par le régime en place.

Dans ce cas, je trouve que laisser les choses telles qu'elles sont serait la chose la plus censée.

Tant qu'il n'y aura pas de loi clair pour le droit des femmes à l'ivg, les femmes auront toujours a se préoccuper du risque de le perdre.

Sauf que cette fois ce ne sont pas les femmes qui sont à l'origine de cette menace mais bien le pouvoir en place qui laisse entendre clairement que cet état de choses doit changer.

A voir l'allure des choses, ce serait naif de croire que ce projet de loi servira les intérets des femmes.

Si les concernées n'en veulent pas, pourquoi s'acharner? Il y a anguille sous roche.

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  • Habitués

Tout le monde est d'accord sauf les conservateurs pour dire que l'arsenal legislatif est suffisant et qu'il ne faut pas le modifier....

Volvic, fait un peu plus d'effort pour essayer d'endormir le peuple...

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Si l'actuel projet gouvernemental ne vise pas à abonder dans le meme sens que la dernière phrase du texte ci-dessus, je craisnque les femmes aient de quoi se préoccuper surtout si l'autonomie en question a été remise en question de quelque manière que ce soit par le régime en place.

Dans ce cas, je trouve que laisser les choses telles qu'elles sont serait la chose la plus censée.

Tant qu'il n'y aura pas de loi clair pour le droit des femmes à l'ivg, les femmes auront toujours a se préoccuper du risque de le perdre.

Sauf que cette fois ce ne sont pas les femmes qui sont à l'origine de cette menace mais bien le pouvoir en place qui laisse entendre clairement que cet état de choses doit changer.

A voir l'allure des choses, ce serait naif de croire que ce projet de loi servira les intérets des femmes.

Si les concernées n'en veulent pas, pourquoi s'acharner? Il y a anguille sous roche.

J'aime bien ta clairvoyance...smile.gif d'autant plus qu'une loi ne constitue aucunement une bonne garantie puisqu'elle peut être abrogée.

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  • Habitués
Sauf que cette fois ce ne sont pas les femmes qui sont à l'origine de cette menace mais bien le pouvoir en place qui laisse entendre clairement que cet état de choses doit changer.

A voir l'allure des choses, ce serait naif de croire que ce projet de loi servira les intérets des femmes.

Si les concernées n'en veulent pas, pourquoi s'acharner? Il y a anguille sous roche.

Si tu lis le projet de loi des conservateurs, tu te rends compte qu'il n'y a aucune menace contre l'ivg. Les lobbies féministes déforment les choses. Mais ça souléve tout de même la problèmatique du manque de législation. Il est aussi naïf de penser que les lobbies féministes représentent l'opinion de toutes les femmes du Canada.

Tout le monde est d'accord sauf les conservateurs pour dire que l'arsenal legislatif est suffisant et qu'il ne faut pas le modifier....

Volvic, fait un peu plus d'effort pour essayer d'endormir le peuple...

L'arsenal législatif est... vide. Il n'y a aucune législation.

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Sauf que cette fois ce ne sont pas les femmes qui sont à l'origine de cette menace mais bien le pouvoir en place qui laisse entendre clairement que cet état de choses doit changer.

A voir l'allure des choses, ce serait naif de croire que ce projet de loi servira les intérets des femmes.

Si les concernées n'en veulent pas, pourquoi s'acharner? Il y a anguille sous roche.

Si tu lis le projet de loi des conservateurs, tu te rends compte qu'il n'y a aucune menace contre l'ivg. Les lobbies féministes déforment les choses. Mais ça souléve tout de même la problèmatique du manque de législation. Il est aussi naïf de penser que les lobbies féministes représentent l'opinion de toutes les femmes du Canada.

Tout le monde est d'accord sauf les conservateurs pour dire que l'arsenal legislatif est suffisant et qu'il ne faut pas le modifier....

Volvic, fait un peu plus d'effort pour essayer d'endormir le peuple...

L'arsenal législatif est... vide. Il n'y a aucune législation.

Généralement, un vide juridique doit etre comblé au cas où il y a des déviances. Y a-t.il vraiment urgence? Si ce n'est pas le cas, je n'y vois qutre chose qu'une tentative de manipulation qui ne se terminerait qu'avec plus de restrictions dans ce domaine.

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  • Habitués
ce qui n'est pas interdit est autorisé....

C'est exactement ça. Tout est permis, tout et n'importe quoi, sans aucune limite, même de passer une loi qui interdit. C'est bien là tout le problème. Quand il n' y a pas de loi, c'est le far-west.

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  • Habitués

la chianlie monsieur, la chianlie !

:lol::lol: :lol:

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Ah bon Equinox j'avais cru comprendre que vous avez des filles, grandes certes... vous avez peut etre oubliez, mes enfants ont 7 et 4 ans et je me rappele de l'interactivité que j'avais avec eux dans le sein de leur mère,

ils avaient tout 2 une attitude bien differente et sur le moment rien ne peux me faire douter qu'ils n'avait pas conscience qu' un papa etait là à leur parler... comme un abruti alors? il reagissait a mes toucher ou a la musique (surtout mon ainé) que je leur mettais

Il faut peut-être dissocier ce qui est, de ce que tu voudrais qu'il soit....

http://www.museum-marseille.org/marseille_cerveau_naissance.htm

Tu constateras que le cerveau continue à se développer à la naissance, et pour que les neurones fonctionnent correctement, il faut une interconnexion très riche. En fait c'est ce qui détermine l'intelligence, pas le nombre de neurone, surtout la capacité d'avoir un réseau tissé serré de connections.

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