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est ce que notcanada a raison de décourager les futurs immigrants


sammy

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C'est qui peine à trouver un boulot ici ? Tu disais toi-même un peu plus haut que le Canada n'avait jamais été aussi prospère... Pour le reste, il est vrai que le discours et la politique d'immigration du Canada ne sont pas très clairs. Mais c'est comme pour tout le reste : lorsque je lis à longueur de colonne, semaine après semaine, ces articles qui dénoncent les immigrants qui menacent l'identité du Québec et qui rêvent tous de devenir anglophone, je ne peux m'empêcher de me dire : mais qu'est-ce qui empêche donc les Québécois de faire des enfants, qu'est-ce qui les empêche de parler un peu moins franglais pour illustrer de façon crédible leur attachement à une langue qu'ils disent vouloir défendre... Pour le reste, la recette du Japon c'Est juste l'orgueil et le travail, tout comme la Chine, qui vient de devenir le premier partenaire commercial des USA, devant le Canada...

De un, je n'ai fait mention ni d'identité ni de langue française ici. Je parle du discours de peur lié au vieillissement - qui je répète, est inévitable - , des besoins réels en main d'oeuvre et d'économie.

Le taux de chômage ne dit pas tout. Il ne tient pas compte des salaires, ni de la qualité des boulots offerts, ni du fait que les employés ont ou non un boulot dans leur domaine. C'est bien beau l'immigration à plein régime, mais si c'est pour avoir plus de chauffeurs de taxi sur nos routes, ça n'a a aucun intérêt; si c'est pour payer pour des cours de langue ou pour l'école des enfants et que ces immigrants repartent au bout de cinq ans, ça n'a aucun intérêt; si c'est pour payer le chômage ou le B.S. parce qu'on ne s'est pas assurés que les employeurs allaient les engager à la base, ça n'a aucun intérêt.

Quant à ta référence à la Chine, je te signale que c'est un pays non-démocratique. Si tous vont faire affaire là-bas, c'est pour le cheap labor docile et malléable, le mépris des règles de sécurité, le mépris de l'environnement. Une grande économie de coûts de production donc, mais pas du tout un modèle à suivre pour moi. Et ce ne sont pas les consommateurs d'ici qui en profitent, les prix n'ayant pas baissé en conséquence et la qualité des produits étant souvent douteuse, et encore moins les travailleurs...

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Pour moi, le plus grand découragement qu'on puisse faire à une personne, et de lui demander de commencer au bas de l'échelle!!!!

et si c'est le cas, c'est une immigration gâchis.

Comment on puisse croire à faire passer ce genre d'idées à une personne qui a passé la moitié de sa vie a faire des études et avoir de l'expériences professionnels!!!

Attention loftilol, il y a plein de jeunes québécois diplômés qui doivent eux aussi commencer au bas de l'échelle...et contrairement à la mentalité dans beaucoup de pays, ça n'a ici rien de dégradant en soi. Mon tout premier job en terminant mes études consistait à faire de l'animation dans une auberge de jeunesse - un titre bien ronflant qui voulait essentiellement dire laver les planchers, les toilettes et la vaisselle (et accueillir des visiteurs entre deux coups de balai)...je n'en ai absolument pas honte, au contraire. Il y a toujours quelque chose à apprendre dans ces boulots.

Un employeur préférera de beaucoup voir des petits boulots sur votre CV que des "trous" - ça prouve que vous être bosseur et débrouillard. Je pense qu'à ce niveau, il y a une grande différence de mentalité entre l'Amérique du Nord et le Maghreb, l'Afrique ou l'Europe.

L'important, c'est de pouvoir ensuite progresser vers des boulots qui correspondent davantage à votre profil et ça, ça dépend aussi de vous.

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Attention loftilol, il y a plein de jeunes québécois diplômés qui doivent eux aussi commencer au bas de l'échelle...et contrairement à la mentalité dans beaucoup de pays, ça n'a ici rien de dégradant en soi. Mon tout premier job en terminant mes études consistait à faire de l'animation dans une auberge de jeunesse - un titre bien ronflant qui voulait essentiellement dire laver les planchers, les toilettes et la vaisselle (et accueillir des visiteurs entre deux coups de balai)...je n'en ai absolument pas honte, au contraire. Il y a toujours quelque chose à apprendre dans ces boulots.

Un employeur préférera de beaucoup voir des petits boulots sur votre CV que des "trous" - ça prouve que vous être bosseur et débrouillard. Je pense qu'à ce niveau, il y a une grande différence de mentalité entre l'Amérique du Nord et le Maghreb, l'Afrique ou l'Europe.

L'important, c'est de pouvoir ensuite progresser vers des boulots qui correspondent davantage à votre profil et ça, ça dépend aussi de vous.

Sauf qu'on peut aussi éviter ces emplois alimentaires si on a déjà une bonne expérience de travail dans son propre pays. Il ne faut pas toujours penser que cette expérience n'est pas valable car les employeurs demandent une expérience locale.

Personnellement, en arrivant, le premier mois, j'avais commencé à passer des entrevues dans des commerces de détail et ça ne pognait pas du tout. A partir du moment où j'ai axé ma recherche d'emploi dans mon domaine, j'ai obtenu des résultats aux entrevues et j'ai été embauché dans mon premier emploi. Et cela, c'était dans une période où le taux de chômage était plus élevé qu'aujourd'hui.

Donc, à part pour les professions protégées, essayez aussi de postuler à des emplois dans le même domaine dans lequel vous avez déjà des compétences et une bonne expérience. Une chance énorme aussi ici, c'est que vos compétences sont transférables dans différents domaines d'activités. Le marché n'est donc pas cloisonné.

On peut également trouver un emploi dans son domaine mais pas totalement au niveau que l'on souhaite. Vous êtes conseillère en communication ? Eh bien, commencez cmme secrétaire dans une agence de communication. Vous développez ainsi votre réseu, votre connaissance du milieu, etc. Vous pouvez par exemple travailler aussi à la Bibliothèque Nationale. Ils recrutent pas mal de temporaires. Voilà une bone première expérience de travail beaucoup plus intéressante que McDo.

Et dernier point : l'attitude et le profil comptent pour beaucoup. Si l'employeur voit que vous allez bien vous intégrer dans l'équipe, c'est important.

En tout cas, moi, je ne choisirais pas l'option "dévalorisation" pour s'intégrer sur le marché du travail. En tant qu'immigrants choisis, on doit défendre notre morceau et faire valoir nos compétences, nos expériences.

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Attention loftilol, il y a plein de jeunes québécois diplômés qui doivent eux aussi commencer au bas de l'échelle...et contrairement à la mentalité dans beaucoup de pays, ça n'a ici rien de dégradant en soi. Mon tout premier job en terminant mes études consistait à faire de l'animation dans une auberge de jeunesse - un titre bien ronflant qui voulait essentiellement dire laver les planchers, les toilettes et la vaisselle (et accueillir des visiteurs entre deux coups de balai)...je n'en ai absolument pas honte, au contraire. Il y a toujours quelque chose à apprendre dans ces boulots.

Un employeur préférera de beaucoup voir des petits boulots sur votre CV que des "trous" - ça prouve que vous être bosseur et débrouillard. Je pense qu'à ce niveau, il y a une grande différence de mentalité entre l'Amérique du Nord et le Maghreb, l'Afrique ou l'Europe.

L'important, c'est de pouvoir ensuite progresser vers des boulots qui correspondent davantage à votre profil et ça, ça dépend aussi de vous.

Sauf qu'on peut aussi éviter ces emplois alimentaires si on a déjà une bonne expérience de travail dans son propre pays. Il ne faut pas toujours penser que cette expérience n'est pas valable car les employeurs demandent une expérience locale.

Personnellement, en arrivant, le premier mois, j'avais commencé à passer des entrevues dans des commerces de détail et ça ne pognait pas du tout. A partir du moment où j'ai axé ma recherche d'emploi dans mon domaine, j'ai obtenu des résultats aux entrevues et j'ai été embauché dans mon premier emploi. Et cela, c'était dans une période où le taux de chômage était plus élevé qu'aujourd'hui.

Donc, à part pour les professions protégées, essayez aussi de postuler à des emplois dans le même domaine dans lequel vous avez déjà des compétences et une bonne expérience. Une chance énorme aussi ici, c'est que vos compétences sont transférables dans différents domaines d'activités. Le marché n'est donc pas cloisonné.

On peut également trouver un emploi dans son domaine mais pas totalement au niveau que l'on souhaite. Vous êtes conseillère en communication ? Eh bien, commencez cmme secrétaire dans une agence de communication. Vous développez ainsi votre réseu, votre connaissance du milieu, etc. Vous pouvez par exemple travailler aussi à la Bibliothèque Nationale. Ils recrutent pas mal de temporaires. Voilà une bone première expérience de travail beaucoup plus intéressante que McDo.

Et dernier point : l'attitude et le profil comptent pour beaucoup. Si l'employeur voit que vous allez bien vous intégrer dans l'équipe, c'est important.

En tout cas, moi, je ne choisirais pas l'option "dévalorisation" pour s'intégrer sur le marché du travail. En tant qu'immigrants choisis, on doit défendre notre morceau et faire valoir nos compétences, nos expériences.

De toute façon, à moins d'avoir du temps et de l'argent à perdre, le gérant d'un fast food a peu de chance d'engager un adulte surqualifié avec expérience dans son domaine. Il sait qu'il offre des conditions merdiques en comparaison et il sait que la personne va se tirer dès la première occasion.

Modifié par cherry
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Un employeur préférera de beaucoup voir des petits boulots sur votre CV que des "trous" - ça prouve que vous être bosseur et débrouillard. Je pense qu'à ce niveau, il y a une grande différence de mentalité entre l'Amérique du Nord et le Maghreb, l'Afrique ou l'Europe.

L'important, c'est de pouvoir ensuite progresser vers des boulots qui correspondent davantage à votre profil et ça, ça dépend aussi de vous.

Sauf qu'on peut aussi éviter ces emplois alimentaires si on a déjà une bonne expérience de travail dans son propre pays. Il ne faut pas toujours penser que cette expérience n'est pas valable car les employeurs demandent une expérience locale.

Personnellement, en arrivant, le premier mois, j'avais commencé à passer des entrevues dans des commerces de détail et ça ne pognait pas du tout. A partir du moment où j'ai axé ma recherche d'emploi dans mon domaine, j'ai obtenu des résultats aux entrevues et j'ai été embauché dans mon premier emploi. Et cela, c'était dans une période où le taux de chômage était plus élevé qu'aujourd'hui.

Donc, à part pour les professions protégées, essayez aussi de postuler à des emplois dans le même domaine dans lequel vous avez déjà des compétences et une bonne expérience. Une chance énorme aussi ici, c'est que vos compétences sont transférables dans différents domaines d'activités. Le marché n'est donc pas cloisonné.

On peut également trouver un emploi dans son domaine mais pas totalement au niveau que l'on souhaite. Vous êtes conseillère en communication ? Eh bien, commencez cmme secrétaire dans une agence de communication. Vous développez ainsi votre réseu, votre connaissance du milieu, etc. Vous pouvez par exemple travailler aussi à la Bibliothèque Nationale. Ils recrutent pas mal de temporaires. Voilà une bone première expérience de travail beaucoup plus intéressante que McDo.

Et dernier point : l'attitude et le profil comptent pour beaucoup. Si l'employeur voit que vous allez bien vous intégrer dans l'équipe, c'est important.

En tout cas, moi, je ne choisirais pas l'option "dévalorisation" pour s'intégrer sur le marché du travail. En tant qu'immigrants choisis, on doit défendre notre morceau et faire valoir nos compétences, nos expériences.

De toute façon, à moins d'avoir du temps et de l'argent à perdre, le gérant d'un fast food a peu de chance d'engager un adulte surqualifié avec expérience dans son domaine. Il sait qu'il offre des conditions merdiques en comparaison et il sait que la personne va se tirer dès la première occasion.

c tout le paradoxe!!!!!!

on a peur de t embaucher de te formar puis de te voire crissaer ton camp....alors que toi emem tu leurs dis je veux commencer au bas de l echelles ils ont peur....

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De toute façon, à moins d'avoir du temps et de l'argent à perdre, le gérant d'un fast food a peu de chance d'engager un adulte surqualifié avec expérience dans son domaine. Il sait qu'il offre des conditions merdiques en comparaison et il sait que la personne va se tirer dès la première occasion.

c tout le paradoxe!!!!!!

on a peur de t embaucher de te formar puis de te voire crissaer ton camp....alors que toi emem tu leurs dis je veux commencer au bas de l echelles ils ont peur....

Si tu es prêt à travailler tout en bas de l'échelle malgré tout, vaut mieux alors ne pas tout étaler sur ton CV, voire t'inventer un profil qui fait moins peur pour les jobs dites "alimentaires". À moins bien sûr qu'il y ait un lien avec ton domaine et qu'en montant les échelons dans l'entreprise, ta formation et tes compétences servent finalement à qqch. Mais si c'est pour un job au McDo, ça ne prend pas un grand pouvoir de persuasion pour être engagé, alors...

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De toute façon, à moins d'avoir du temps et de l'argent à perdre, le gérant d'un fast food a peu de chance d'engager un adulte surqualifié avec expérience dans son domaine. Il sait qu'il offre des conditions merdiques en comparaison et il sait que la personne va se tirer dès la première occasion.

c tout le paradoxe!!!!!!

on a peur de t embaucher de te formar puis de te voire crissaer ton camp....alors que toi emem tu leurs dis je veux commencer au bas de l echelles ils ont peur....

Si tu es prêt à travailler tout en bas de l'échelle malgré tout, vaut mieux alors ne pas tout étaler sur ton CV, voire t'inventer un profil qui fait moins peur pour les jobs dites "alimentaires". À moins bien sûr qu'il y ait un lien avec ton domaine et qu'en montant les échelons dans l'entreprise, ta formation et tes compétences servent finalement à qqch. Mais si c'est pour un job au McDo, ça ne prend pas un grand pouvoir de persuasion pour être engagé, alors...

non je parle pas de ce genre de job: par exemple

il recherche qq un avec un dec dans un domaine precis ..moi j envois mon cv : j ai un dfec et un bac dans ce meme domaine....ben ils se mefient quand meme....un employeur me la dit en entrevue....et c dommage au emme temps je peux pas envoyer mon cv avec juste un dec car ce dec la je l ai pas obtenu au canda donc je serais en desavantage par rapport aux autres( alors que le bac lui a ete obtenu ici) c la la complexite de la chose)

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C'est qui peine à trouver un boulot ici ? Tu disais toi-même un peu plus haut que le Canada n'avait jamais été aussi prospère... Pour le reste, il est vrai que le discours et la politique d'immigration du Canada ne sont pas très clairs. Mais c'est comme pour tout le reste : lorsque je lis à longueur de colonne, semaine après semaine, ces articles qui dénoncent les immigrants qui menacent l'identité du Québec et qui rêvent tous de devenir anglophone, je ne peux m'empêcher de me dire : mais qu'est-ce qui empêche donc les Québécois de faire des enfants, qu'est-ce qui les empêche de parler un peu moins franglais pour illustrer de façon crédible leur attachement à une langue qu'ils disent vouloir défendre... Pour le reste, la recette du Japon c'Est juste l'orgueil et le travail, tout comme la Chine, qui vient de devenir le premier partenaire commercial des USA, devant le Canada...

De un, je n'ai fait mention ni d'identité ni de langue française ici. Je parle du discours de peur lié au vieillissement - qui je répète, est inévitable - , des besoins réels en main d'oeuvre et d'économie.

Le taux de chômage ne dit pas tout. Il ne tient pas compte des salaires, ni de la qualité des boulots offerts, ni du fait que les employés ont ou non un boulot dans leur domaine. C'est bien beau l'immigration à plein régime, mais si c'est pour avoir plus de chauffeurs de taxi sur nos routes, ça n'a a aucun intérêt; si c'est pour payer pour des cours de langue ou pour l'école des enfants et que ces immigrants repartent au bout de cinq ans, ça n'a aucun intérêt; si c'est pour payer le chômage ou le B.S. parce qu'on ne s'est pas assurés que les employeurs allaient les engager à la base, ça n'a aucun intérêt.

Quant à ta référence à la Chine, je te signale que c'est un pays non-démocratique. Si tous vont faire affaire là-bas, c'est pour le cheap labor docile et malléable, le mépris des règles de sécurité, le mépris de l'environnement. Une grande économie de coûts de production donc, mais pas du tout un modèle à suivre pour moi. Et ce ne sont pas les consommateurs d'ici qui en profitent, les prix n'ayant pas baissé en conséquence et la qualité des produits étant souvent douteuse, et encore moins les travailleurs...

En Europe, les besoins de la révolution industrielle ont conduit à ce des enfants aillent travailler dans les mines de charbon, comme en Grande-Bretagne. Le développement à marche forcé à un prix et la Chine, comme avant elle l'Europe, semble prête à en payer le prix. Ce n'est effectivement pas une démocratie au sens occidental, mais on ne peut pas leur dire non plus : écoutez, ne faites pas comme nous, adoptez nos normes actuelles, même si va coûtera quelques siècles supplémentaires pour pouvoir arriver à notre niveau de développement. La Chine avance et change vite : ce pays ne restera pas encore très longtemps le pourvoyeur des dollarama de la planète. Je parie que dans un avenir pas si lointain, ce sera à notre tour de leur livrer de sproduits cheap pour leur marché inteérieur. Mais bon, on s'éloigne du sujet...

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pour ma part , j'ai monté mon entreprise pour 32$ et environs 1800$ annuel de charges soit 1200euros , entre parentheses j'etais commercant en france durant huit années et je connais la lourdeur et le cout pour faire fonctionner une entreprise en france .... de ce point de vue je preferes a 300% le canada , une piste a creuser pour vous tous ( la creation d'entreprise ) !!! mais c'est certain qu'etre proprietaire de son entreprise n'instaure pas le bonheur absolue dans sa vie , mais ca y contribue je pense ,ca nous fait bouger rencontrer du monde connaitre la realité economique du pays , la culture etc etc ....

Mais en france ne vous fait on pas miriter plein de choses aussi ?? pensez vous honnetement que l'on vit bien en france de nos jours ? moi je suis pas si sur !! il est evident que le tres controversé Sarkozy met en place une multitudes de reformes afin de remettre la france d'aplomb ,et de mon point de vue il as bien raison , c'est sur que durant son quinquénat , voir plus, il faudras se serrer fortement la ceinture en france ,, mais j'ai la certitudes que de tres beaux jours sont a venir d'ici 5 ,voir 8 ans en france il faut patienter au canada pendant ce temps !!!!

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C'est qui peine à trouver un boulot ici ? Tu disais toi-même un peu plus haut que le Canada n'avait jamais été aussi prospère... Pour le reste, il est vrai que le discours et la politique d'immigration du Canada ne sont pas très clairs. Mais c'est comme pour tout le reste : lorsque je lis à longueur de colonne, semaine après semaine, ces articles qui dénoncent les immigrants qui menacent l'identité du Québec et qui rêvent tous de devenir anglophone, je ne peux m'empêcher de me dire : mais qu'est-ce qui empêche donc les Québécois de faire des enfants, qu'est-ce qui les empêche de parler un peu moins franglais pour illustrer de façon crédible leur attachement à une langue qu'ils disent vouloir défendre... Pour le reste, la recette du Japon c'Est juste l'orgueil et le travail, tout comme la Chine, qui vient de devenir le premier partenaire commercial des USA, devant le Canada...

De un, je n'ai fait mention ni d'identité ni de langue française ici. Je parle du discours de peur lié au vieillissement - qui je répète, est inévitable - , des besoins réels en main d'oeuvre et d'économie.

Le taux de chômage ne dit pas tout. Il ne tient pas compte des salaires, ni de la qualité des boulots offerts, ni du fait que les employés ont ou non un boulot dans leur domaine. C'est bien beau l'immigration à plein régime, mais si c'est pour avoir plus de chauffeurs de taxi sur nos routes, ça n'a a aucun intérêt; si c'est pour payer pour des cours de langue ou pour l'école des enfants et que ces immigrants repartent au bout de cinq ans, ça n'a aucun intérêt; si c'est pour payer le chômage ou le B.S. parce qu'on ne s'est pas assurés que les employeurs allaient les engager à la base, ça n'a aucun intérêt.

Quant à ta référence à la Chine, je te signale que c'est un pays non-démocratique. Si tous vont faire affaire là-bas, c'est pour le cheap labor docile et malléable, le mépris des règles de sécurité, le mépris de l'environnement. Une grande économie de coûts de production donc, mais pas du tout un modèle à suivre pour moi. Et ce ne sont pas les consommateurs d'ici qui en profitent, les prix n'ayant pas baissé en conséquence et la qualité des produits étant souvent douteuse, et encore moins les travailleurs...

En Europe, les besoins de la révolution industrielle ont conduit à ce des enfants aillent travailler dans les mines de charbon, comme en Grande-Bretagne. Le développement à marche forcé à un prix et la Chine, comme avant elle l'Europe, semble prête à en payer le prix. Ce n'est effectivement pas une démocratie au sens occidental, mais on ne peut pas leur dire non plus : écoutez, ne faites pas comme nous, adoptez nos normes actuelles, même si va coûtera quelques siècles supplémentaires pour pouvoir arriver à notre niveau de développement. La Chine avance et change vite : ce pays ne restera pas encore très longtemps le pourvoyeur des dollarama de la planète. Je parie que dans un avenir pas si lointain, ce sera à notre tour de leur livrer de sproduits cheap pour leur marché inteérieur. Mais bon, on s'éloigne du sujet...

loooooooooooool ! Merci pour le rire Mats ! :lol:

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C'est qui peine à trouver un boulot ici ? Tu disais toi-même un peu plus haut que le Canada n'avait jamais été aussi prospère... Pour le reste, il est vrai que le discours et la politique d'immigration du Canada ne sont pas très clairs. Mais c'est comme pour tout le reste : lorsque je lis à longueur de colonne, semaine après semaine, ces articles qui dénoncent les immigrants qui menacent l'identité du Québec et qui rêvent tous de devenir anglophone, je ne peux m'empêcher de me dire : mais qu'est-ce qui empêche donc les Québécois de faire des enfants, qu'est-ce qui les empêche de parler un peu moins franglais pour illustrer de façon crédible leur attachement à une langue qu'ils disent vouloir défendre... Pour le reste, la recette du Japon c'Est juste l'orgueil et le travail, tout comme la Chine, qui vient de devenir le premier partenaire commercial des USA, devant le Canada...

De un, je n'ai fait mention ni d'identité ni de langue française ici. Je parle du discours de peur lié au vieillissement - qui je répète, est inévitable - , des besoins réels en main d'oeuvre et d'économie.

Le taux de chômage ne dit pas tout. Il ne tient pas compte des salaires, ni de la qualité des boulots offerts, ni du fait que les employés ont ou non un boulot dans leur domaine. C'est bien beau l'immigration à plein régime, mais si c'est pour avoir plus de chauffeurs de taxi sur nos routes, ça n'a a aucun intérêt; si c'est pour payer pour des cours de langue ou pour l'école des enfants et que ces immigrants repartent au bout de cinq ans, ça n'a aucun intérêt; si c'est pour payer le chômage ou le B.S. parce qu'on ne s'est pas assurés que les employeurs allaient les engager à la base, ça n'a aucun intérêt.

Quant à ta référence à la Chine, je te signale que c'est un pays non-démocratique. Si tous vont faire affaire là-bas, c'est pour le cheap labor docile et malléable, le mépris des règles de sécurité, le mépris de l'environnement. Une grande économie de coûts de production donc, mais pas du tout un modèle à suivre pour moi. Et ce ne sont pas les consommateurs d'ici qui en profitent, les prix n'ayant pas baissé en conséquence et la qualité des produits étant souvent douteuse, et encore moins les travailleurs...

En Europe, les besoins de la révolution industrielle ont conduit à ce des enfants aillent travailler dans les mines de charbon, comme en Grande-Bretagne. Le développement à marche forcé à un prix et la Chine, comme avant elle l'Europe, semble prête à en payer le prix. Ce n'est effectivement pas une démocratie au sens occidental, mais on ne peut pas leur dire non plus : écoutez, ne faites pas comme nous, adoptez nos normes actuelles, même si va coûtera quelques siècles supplémentaires pour pouvoir arriver à notre niveau de développement. La Chine avance et change vite : ce pays ne restera pas encore très longtemps le pourvoyeur des dollarama de la planète. Je parie que dans un avenir pas si lointain, ce sera à notre tour de leur livrer de sproduits cheap pour leur marché inteérieur. Mais bon, on s'éloigne du sujet...

loooooooooooool ! Merci pour le rire Mats ! :lol:

Tu peux rire tante que tu veux, mais c'est absolument plausible. Il faut lire un peu et s'informer...

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  • Habitués

je suis d accord avec toi mat sauf que ca sera pas avant 30 ans au moins car la chine a encore pleins de petits chinois a exploiter d ici la il ya encore ennormement de chomage en chine!! pour le moment se sont surtout les chinois des cotes qui profitent du boom economique ils restent ceux du centre du pays qui vivent dans la misere...donc une fois qu on aura fait tot le tour et qu il seront tous en emploi...et que la ils se reveilleront et demanderont leur droit....mais d ici la il s ecoulera plus de 30 ans..

ps: l emission de canal plus: groeland on faitun truc dans le genre comme quoi ce sera à notre tour de leur livrer des produits cheap pour leur marché inteérieur. :lol:

Modifié par Neo-quebecois V.08
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  • Habitués

Salam amis forumistes ,

bonne lecture

Selon statistique Canada, un tiers des maghrébins sont au chômage

Les Algériens nont pas trouvé leldorado au Québec

Ils sont bardés de diplômes dans des domaines en forte demande. Ils ont été sélectionnés par le Québec pour leur scolarité supérieure, pour leur connaissance du français, pour leur « indice de fertilité » élevé et la liste est longue. Mais ils sont sans emploi : ce sont les immigrants venant dAfrique du Nord (Algérie, Maroc, Tunisie et à une moindre mesure Libye, Egypte et Soudan).

Leur tort ? Avoir cédé au marketing « humain » du Québec en pleine crise démographique et être issus de pays qui ne savent pas retenir leurs matières grises. Statistique Canada (lONS local) qui sest penché sur le chômage chez cette catégorie de la population a publié, mercredi dernier, les résultats de la première enquête du genre. Celle-ci na fait que confirmer le sentiment général que le Québec ne fait quécrémer les ressources humaines des pays du Maghreb sans les utiliser à bon escient ou tout juste pour combler les postes de travail que snobent les Québécois de souche. Ainsi, au moment où la province francophone connaît un taux de chômage de 6,3%, celui-ci grimpe à 27,9% chez les Maghrébins qui se sont installés entre 2001 et 2006, soit un taux supérieur un peu plus de quatre fois à celui des Québécois de souche. Ceux qui sy sont installés entre 1996 et 2001 connaissent un taux de chômage de 18% 3 fois supérieur que chez les « pure laine ». Lenquête ne dit pas quels emplois occupent ceux qui sont considérés « travailleurs ». Pour Hassane Serraji, co-éditeur du magazine Réussir Ici , cette situation sexplique par le fait que « limmigration maghrébine est très récente et les Maghrébins nont pas encore tissé des réseaux qui leur permettent de trouver les emplois non affichés ». Pour lui, le 11 septembre est aussi à prendre en compte mais nexplique pas tout. De son côté, Lamine Foura, journaliste animateur à la radio et à la télévision, estime que « les structures daccueil des nouveaux arrivants au Québec sont aux antipodes des critères de sélection ». « Les Maghrébins universitaires nont pas besoin de cours de francisation. On continue à appliquer à ces derniers des méthodes qui ont été pensées à une autre époque pour les réfugiés », continue-t-il.

« Largument religieux »

Les bonnes volontés québécoises, à limage dun chroniqueur dun quotidien gratuit, demandent aux nouveaux arrivants de prendre leur mal en patience : vers 2011, les baby-boomers vont partir à la retraite et là les portes de lemploi vont forcément souvrir ! Entre temps, ce sont les centres dappel qui restent les recruteurs numéros un ! Il nest pas rare, pour ne pas dire commun, de trouver toute une section dingénieurs de luniversité de Bab Ezzouar dans un centre dappel à « apprendre » aux clients des fournisseurs daccès à internet québécois à trouver le bouton « Démarrer » de windows. Ils sont confortés à longueur de journée à des clients qui en ont assez de ces immigrants qui ne parlent pas français (comprendre français québécois). Dautres préfèrent tenter leur chance dans dautres provinces canadiennes. Walid M., un ex-ingénieur de Sonatrach, a passé 5 années à Montréal dont 3 à lécole polytechnique pour refaire son baccalauréat (léquivalent dune licence) en mécanique. Ne trouvant pas de travail au Québec et après plusieurs petits boulots dans les centres dappel, il a plié bagage avec sa femme et ses deux garçons dont le plus jeune avait deux semaines, pour la province de lAlberta. A Calgary, il affirme avoir trouvé un travail dans son domaine après deux mois. Moins chanceux, Malik B. était comptable à Alger dans une entreprise publique. Arrivé à Montréal, il y a deux ans, il a repris ses études mais vient de les abandonner. Il fait partie de ceux quon appelle BS (les bénéficiaires de laide sociale). Les adeptes de la théorie du complot affirment que ces statistiques vont apporter de leau au moulin de ceux qui pensent que les immigrants maghrébins ne peuvent pas sintégrer à la société québécoise parce quils sont tout simplement musulmans. Tout ceci pour justifier un frein à limmigration maghrébine.

Samir Ben Djafar

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Pour Hassane Serraji, co-éditeur du magazine Réussir Ici , cette situation sexplique par le fait que « limmigration maghrébine est très récente et les Maghrébins nont pas encore tissé des réseaux qui leur permettent de trouver les emplois non affichés ». Pour lui, le 11 septembre est aussi à prendre en compte mais nexplique pas tout. De son côté, Lamine Foura, journaliste animateur à la radio et à la télévision, estime que « les structures daccueil des nouveaux arrivants au Québec sont aux antipodes des critères de sélection ». « Les Maghrébins universitaires nont pas besoin de cours de francisation. On continue à appliquer à ces derniers des méthodes qui ont été pensées à une autre époque pour les réfugiés », continue-t-il.

Mon ex-femme est Marocaine et oui je crois que c'est exactement ces points là qui sont problématique.

Pour réussir vous devez faire partie des Québécois, mon ex-femme évitait les Québécois et recherchait uniquement la présence de Maghrébins. À ce que j'ai pu voir malheureusement beaucoup de maghrébins agissent ainsi, pas tous heureusement !!!

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C'est qui peine à trouver un boulot ici ? Tu disais toi-même un peu plus haut que le Canada n'avait jamais été aussi prospère... Pour le reste, il est vrai que le discours et la politique d'immigration du Canada ne sont pas très clairs. Mais c'est comme pour tout le reste : lorsque je lis à longueur de colonne, semaine après semaine, ces articles qui dénoncent les immigrants qui menacent l'identité du Québec et qui rêvent tous de devenir anglophone, je ne peux m'empêcher de me dire : mais qu'est-ce qui empêche donc les Québécois de faire des enfants, qu'est-ce qui les empêche de parler un peu moins franglais pour illustrer de façon crédible leur attachement à une langue qu'ils disent vouloir défendre... Pour le reste, la recette du Japon c'Est juste l'orgueil et le travail, tout comme la Chine, qui vient de devenir le premier partenaire commercial des USA, devant le Canada...

De un, je n'ai fait mention ni d'identité ni de langue française ici. Je parle du discours de peur lié au vieillissement - qui je répète, est inévitable - , des besoins réels en main d'oeuvre et d'économie.

Le taux de chômage ne dit pas tout. Il ne tient pas compte des salaires, ni de la qualité des boulots offerts, ni du fait que les employés ont ou non un boulot dans leur domaine. C'est bien beau l'immigration à plein régime, mais si c'est pour avoir plus de chauffeurs de taxi sur nos routes, ça n'a a aucun intérêt; si c'est pour payer pour des cours de langue ou pour l'école des enfants et que ces immigrants repartent au bout de cinq ans, ça n'a aucun intérêt; si c'est pour payer le chômage ou le B.S. parce qu'on ne s'est pas assurés que les employeurs allaient les engager à la base, ça n'a aucun intérêt.

Quant à ta référence à la Chine, je te signale que c'est un pays non-démocratique. Si tous vont faire affaire là-bas, c'est pour le cheap labor docile et malléable, le mépris des règles de sécurité, le mépris de l'environnement. Une grande économie de coûts de production donc, mais pas du tout un modèle à suivre pour moi. Et ce ne sont pas les consommateurs d'ici qui en profitent, les prix n'ayant pas baissé en conséquence et la qualité des produits étant souvent douteuse, et encore moins les travailleurs...

En Europe, les besoins de la révolution industrielle ont conduit à ce des enfants aillent travailler dans les mines de charbon, comme en Grande-Bretagne. Le développement à marche forcé à un prix et la Chine, comme avant elle l'Europe, semble prête à en payer le prix. Ce n'est effectivement pas une démocratie au sens occidental, mais on ne peut pas leur dire non plus : écoutez, ne faites pas comme nous, adoptez nos normes actuelles, même si va coûtera quelques siècles supplémentaires pour pouvoir arriver à notre niveau de développement. La Chine avance et change vite : ce pays ne restera pas encore très longtemps le pourvoyeur des dollarama de la planète. Je parie que dans un avenir pas si lointain, ce sera à notre tour de leur livrer de sproduits cheap pour leur marché inteérieur. Mais bon, on s'éloigne du sujet...

loooooooooooool ! Merci pour le rire Mats ! :lol:

Tu peux rire tante que tu veux, mais c'est absolument plausible. Il faut lire un peu et s'informer...

Tu as tort, c'est pas plausible du tout. :poilant: Tu devrais effectivement lire et t'informer... ! La Chine est un pays peuplé de 1.3 milliards d'individus, la tàche d'élever le niveau de vie très bas d'une grande partie de ces 1.3 milliards d'individus est COLOSSALE ! Il vas faloir qu'ils en fabriquent des cadenas cheap à $1 au Dollorama pour réussir cette tâche ! Et même là, lorsque les salaires en Chine vont augmenter, les Chinois vont perdre leur avantages concurentielles dû aux bas cout de productions et la croissance chinoise vas diminuer, les investisseurs internationaux en quête de cheap labor vont alors préférer investir au Bengladesh ou un autre pays de cheap labor...

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  • Habitués

il m'en faut peu ,peu, pour etre heureux..... :)

La vie est dur partout alors soyons fou ^^

Je pense que l'on va tourné en rond que cette question est propre a chacun...certain vont dire c'est le paradie et d'autre c'est l'enfer...maintenant pour vraiment savoir allez visiter le pays pendant un certain temps...si par malheur il y a un doute et bien je dirais "je ne crois que ce que je vois"

cordialement :)

(moi t'en qu'il y a du saumon ^^^je suis heureux ..)

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  • Habitués
Au détour de mes pérégrinations dans le web je suis tombé sur le site <CENSURE> qui fait quasiment l'apologie de la non-immigration au Canada.

J'avoue que leurs assertions ont fini de semer le doute dans mon esprit, j'aurais aimé avoir l'avis de gens qui connaissent le Canada et surtout savoir si immigrer au Canada est si terrible que ce qu'ils semblent suggérer dans ce site.

s'il vous plait donnez vos avis.

ps: j'ai déjà reçu la brune et envoyé les passeports pour le visa

Je connais très bien ce site, il y avait un site francophone également qui n'existe plus aujourd'hui. En fait il y a l'image que le Canada fair miroiter dans le monde et la réalité sur le terrain.

Immigrer n'est pas facile, je crois que le Canada fait de la fausse plublicité et le Québec également. Un immigrant qui a des diplômes la plupart du temps ils ne seront pas reconnus au Canada et au Québec. Le nombre d'immigrant entrant au Canada chaque année pour un bon nombre d'entre eux il n'y aura pas de travail selon leurs compétences­.

Les Québecois et Canadiens sont ouverts à l'immigration mais il ne faut pas se faire d'illusion, ils ne sont pas très différents des autres peuples.

Si il y a du chômage ils seront fermés à l'immigration, si il y a des problèmes d'intégration ils seront fermés à l'immigration.

Pour les immigrants ils arrivent souvent avec rêve (que le Canada vend à l'étranger) mais la réalité sur le terrain n'est pas si belle. Un nouveau phénomène apparait en ce moment des immigrants voyant sur le terrain pensent a rentrer chez-eux, mais attende d'avoir la citoyenneté pour obtenir les papiers canadiens (passeport) cela leur permettra d'avoir plus de mogiblités pour aller ailleurs sans visa.

+1

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  • Habitués

bonjour,

en parlant de mentalité (Maghreb, Europe,...), c'est pas parce qu'on vient du Maghreb qu'on essaye pas de se d'embrouiller

j'étais étudiant en France et j'ai fais le vigile, cueillette de pommes..etc. et je me disait que c'est petits boulots étaient provisoires tant que j'étais étudiant. mais une fois diplômes obtenus. j'avais pas la possibilité de décrocher un job en liaison avec mon domaine d'études, et donc j'ai continuer avec la fameuse "débrouillardise" avec des petits boulots. et bien c'était un grand point noir pour ma recherche d'emploi par la suite. les recruteurs "Français" ont trouvés que faire un petit boulot et une sous estime de soi même (je comprend, puisque comme par hasard, tous les français de ma classe ont trouvé un job lié à leurs domaines d'études) . et bien sure suffisant pour refuser un poste (en faite ils cherchaient que des excuse a 2 balles). et ca m'a vraiment aider, car j'ai arrêté définitivement ses petits boulots, et trouver stage et par la suite quitter la France et ses petits boulots, pour un poste lié a mon domaine d'études à alger.

donc en résumé, c'est pas question de commencer par le bas d'échelle, car on risque le plus souvent d'avoir une échelle qui a q'une seule marche, et sa sera pas possible de monter plus haut.

et c'est de sa que je parle, si on est compétent et une expérience déjà, il faut faire une continuation de sa carrière, mais pas de bas d'échelle ou je ne sais pas quoi s'il vous plait. on peut pas remettre le compteur d'une vielle voiture à zéro, pourquoi le demander aux immigrants.

Pour moi, le plus grand découragement qu'on puisse faire à une personne, et de lui demander de commencer au bas de l'échelle!!!!

et si c'est le cas, c'est une immigration gâchis.

Comment on puisse croire à faire passer ce genre d'idées à une personne qui a passé la moitié de sa vie a faire des études et avoir de l'expériences professionnels!!!

Attention loftilol, il y a plein de jeunes québécois diplômés qui doivent eux aussi commencer au bas de l'échelle...et contrairement à la mentalité dans beaucoup de pays, ça n'a ici rien de dégradant en soi. Mon tout premier job en terminant mes études consistait à faire de l'animation dans une auberge de jeunesse - un titre bien ronflant qui voulait essentiellement dire laver les planchers, les toilettes et la vaisselle (et accueillir des visiteurs entre deux coups de balai)...je n'en ai absolument pas honte, au contraire. Il y a toujours quelque chose à apprendre dans ces boulots.

Un employeur préférera de beaucoup voir des petits boulots sur votre CV que des "trous" - ça prouve que vous être bosseur et débrouillard. Je pense qu'à ce niveau, il y a une grande différence de mentalité entre l'Amérique du Nord et le Maghreb, l'Afrique ou l'Europe.

L'important, c'est de pouvoir ensuite progresser vers des boulots qui correspondent davantage à votre profil et ça, ça dépend aussi de vous.

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haaaaaaaaaaa la belle province.

On me l'a bien "vendue"...qui ? Le gouvernement pardi !!!

Après 3 ans d'attente pour obtenir mon visa avec ma compagne et ma résidence permanente, les galères passées (visite du médecin, dossier, équivalence de diplômes, permis d'enseigner etc...) je l'avais enfin, j'allais dans ce pays si merveilleux !!! LE QUEBEC CANADA.

Le rêve à porter de doigt et étant enseignant pas de souci j'aurai du travail car "le gouvernement" m'avait "choisi" pour faire parti de l'élite (après toutes ces épreuves on se sent c'est vrai l'élu des élus !!). Même si, bien qu'étant directeur d'école et enseignant depuis de nombreuses années, on m'avait refusé mon permis d'enseigner car ... en fait sur le papier on m'avait dit qu'il me manquait des années d'expériences !!!!!!!!!

Bref après encore 6 mois d'appels de courriers etc. quelques milliers de dollars investi par ci par là j'ai eu enfin mon permis et mon visa. Allez j'allais pas être rancunier dès le début, j'étais l'élu !! Si, si c'est vrai !!!

A l'arrivée...le cauchemar a commencé. Je n'étais plus l'élu mais j'étais dans la désillusion...Mais bref je ne vais pas vous endormir avec mes salades, j'ai mieux à vous proposer, c'est cette vérité savamment dissimulée par le gouvernement (au yeux mêmes des québécois) qui font qu'on prend les immigrés pour des c...

Quand un gouvernement dépense autant d'argent en réunion d'informations, en émissaires au 4 coins du monde je pense qu'il était légitime de dire TOUTE LA VÉRITÉ AUX IMMIGRANTS même celle inavouable qui pourrait rebuter plusieurs d'entre nous. Mais il y a un cota à remplir, oui, oui, un cota...Je voulais seulement qu'on me dise la vérité, toute la vérité de ce qui m'attendait et ne pas me faire rêver comme le fait si bien le Québec !!

la vérité vraie, cliquez ici

Je précise que je n'ai absolument rien contre la population canadienne quelle qu'elle soit, c'est d'ailleurs un des points positifs du pays car ils sont d'une patience et d'un accueil formidable (dont le gouvernement profite), ni des paysages et de la tranquillité d'esprit du Québec, je veux seulement que chaque immigrant soit réellement informé de ce qui l'attend à son arrivée !! Attention les yeux...

la vérité vraie, cliquez ici

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  • Habitués

Ah le revoilà ! :w00t:

Tu as l'intention d'innonder comme ça plusieurs fils et/ou d'ouvrir d'autres posts de ce style ?

Il suffisait juste de préparer correctement ton immigration au lien d'arriver les mains ballantes et le sourire en pointe en attendant tout de ton pays d'accueil et pas grand chose de toi.

Allez, dis-toi au moins, que ce fut une expérience constructive. Non ? :)

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