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Les deux solitudes selon Tof


Laurent

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Je suis peut-être trop exigeante, mais J'EXIGE de me faire servir en français quand je suis la cliente au Québec, que ce soit à Montréal ou ailleurs. Toutes les fois que je vais à Montréal, et que je me présente à l'hôtel ou dans un magasin, il y a toujours un maudit fatigant qui me répond en anglais! :angry: Coudonc, je ressembles-tu tant que ça à une ontarienne? :(:P Pis moi, la maudite fatigante(pour eux! hihih!) je persiste à leur parler en français, et ils finissent toujours par me parler en français! :)

Moi je dis qu'il faut insister pour se faire servir tout le temps en français; il ne faut pas basculer à l'anglais même si votre interlocuteur a de la difficulté à parler en français! Dites vous que vous le faites pratiquer au moins! :P

Moi je ne comprends pas pourquoi les écoles ne sont pas vraiment bilingue (du genre faire des maths en francais en Ontario et autre). Ils auraient une telle base en francais qui ne pourrait pas oublier. Au moins comme ca, ils pourraient afficher sans avoir honte - Canada 2 langues officielles- , et au moins ou tu irais tu pourrais te faire servir en Francais ou en anglais.

En tout cas, moi je lâche pas, je parle toujours en français (au Québec), y a pas raison qu'ils ne me répondent pas dans cette langue, puisque c'est quand même la langue du Québec.

J'ai été a Vancouver et je parlais qu'en anglais pour moi c'était comme si ils ne savaient pas parler francais je sais pas si c'est vrai mais je n'ai pas tenté.

Dernière chose, au niveau universitaire quand il y a des colloques, conférences et autres ca se passe souvent en anglais.

Chaque anné il y a des conférences (la ou j'étudie) qui se passent dans une ville canadienne. Quand ca était a Vancouver, ca s'est passé presque exclusivement en anglais. Quand Montréal a accueilli l'évènement vous savez dans quelle langue ca c'est passé ? En plein dans le mil : majoritairement en anglais. Le pire c'est que certains chercheurs du Québec faisaient leur conférence en anglais pour qu'ils puissent comprendre, les pauvres ils copmrennent pas très bien le francais ????

Le nombre fait malheureusement la force. Dommage quand même, que si peu d'effort soit fait par les personnes pour "s'intégrer" à la langue de l'endroit où l'on va !

Modifié par rimouski29
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Tof, dans sa chronique, parle bien de deux mondes différents et pas forcément de "repli sur soi"... le raccourci serait, je pense, un peu simpliste. Les anglophones du Québec, dont la plupart son des gens très bien, vivent dans leur tête au Canada, pour eux, ils n'ont pas l'impression d'être repliés. Ils vivent dans leur univers... l'univers qu'ils souhaitent conserver et je peux les comprendre.

Je suis d'accord avec toi, Petit-Prince. Nous pensons-les allophones- aussi que nous sommes arrivés au Canada français mais tu te rends compte que la réalité c'est que ça dépend de la position politique du québécois ou résident avec qui tu parles. D'autre part la culture québécoise et française -que j'aime- est très différente du modèle canadien.

Pour Nelju : mon ami est japonais, il parle un français impeccable et croit que quand on vit au Québec on se doit de parler français, question de respect.

Je suis d'accord, c'est une question de respect mais ici si tu ne parles pas le français il y a une sensibilité subjacent du a la question politique et culturale. Je pense qu'il faut avoir plus de sensibilité a cet égard des québécois envers les nouveaux immigrants allophones ou anglophones soient nés ici ou pas. Peut-être ils n'ont pas pu apprendre la langue comme il faut car ils n'ont pas eu la opportunité de le faire.

Il y a une politique très intelligente du gouvernement québécois pour apprendre le français aux immigrants mais le québécois moyen doit partager aussi ce point de vue. Je ne dis pas que le québécois moyen boude les allophones mais il peut faire la promotion des valeurs québécois et de la langue française d'une façon positif plutôt que d'essayer de faire une confrontation avec les anglophones pour l'usage du français. La promotion du français devrait être faite sans le mélanger avec la question politique et culturale qui est si cher -je peux les comprendre- aux québécois

Même si je décide un jour partir au Canada anglais je chercherais les associations et communautés françaises pour partager la richesse et la beauté de cette langue.

Toutes les fois que je vais à Montréal, et que je me présente à l'hôtel ou dans un magasin, il y a toujours un maudit fatigant qui me répond en anglais! :angry: Coudonc, je ressembles-tu tant que ça à une ontarienne? :(:P Pis moi, la maudite fatigante(pour eux! hihih!) je persiste à leur parler en français, et ils finissent toujours par me parler en français! :)

Moi je dis qu'il faut insister pour se faire servir tout le temps en français; il ne faut pas basculer à l'anglais même si votre interlocuteur a de la difficulté à parler en français! Dites vous que vous le faites pratiquer au moins! :P

peanut qui est tellement bien à Québec! ahhhhhhhhhhh! :lol::lol:

Il m'arrive souvent que les gens me parlent en anglais dans la rue du a mon apparence. Je suis aussi un peu fâché car je veux pratiquer mon français. :D

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Dernière chose, au niveau universitaire quand il y a des colloques, conférences et autres ca se passe souvent en anglais.

Chaque anné il y a des conférences (la ou j'étudie) qui se passent dans une ville canadienne. Quand ca était a Vancouver, ca s'est passé presque exclusivement en anglais. Quand Montréal a accueilli l'évènement vous savez dans quelle langue ca c'est passé ? En plein dans le mil : majoritairement en anglais. Le pire c'est que certains chercheurs du Québec faisaient leur conférence en anglais pour qu'ils puissent comprendre, les pauvres ils copmrennent pas très bien le francais ????

Le nombre fait malheureusement la force. Dommage quand même, que si peu d'effort soit fait par les personnes pour "s'intégrer" à la langue de l'endroit où l'on va !

c'est vrai que les conférenciers sont souvent américains ou canadiens(donc unilingues anglais! :P ), mais toutes les fois que j'assiste à des conférences données par des québécois, elles se passent en français(heureusement!), sinon, je sens qu'il y aurait des plaintes! Il faut dire aussi que nous avons un service d'interprètes anglais-français et français-anglais à toutes les conférences que j'ai assisté(dans le domaine de l'optométrie...je ne sais pas pour les autres domaines si c'est partout pareil...)

peanut

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Moi je ne comprends pas pourquoi les écoles ne sont pas vraiment bilingue (du genre faire des maths en francais en Ontario et autre). Ils auraient une telle base en francais qui ne pourrait pas oublier. Au moins comme ca, ils pourraient afficher sans avoir honte - Canada 2 langues officielles- , et au moins ou tu irais tu pourrais te faire servir en Francais ou en anglais.

Il y a des écoles publiques francophones en Ontario (tout y est en français).... après le pb, c'est que certains ne pratiquent pas et sortent avec un niveau minable.

Par ex, mon collègue et sa soeur sont allés à l'école en français. Lui le comprend mais le parle difficilement et sa soeur est devenue prof de français !!!

Comme quoi le bilinguisme ne peut pas forcément s'apprendre à l'école meme avec la meilleure volonté du monde.

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Décidemment Nelju, je ne suis pas d'accord. Relis mon précédent message... je m'apprête à écrire le même donc autant faire simple.

Ben moi, je suis d'accord avec Nelju, ou tout du moins, je comprends ce qu'il veut dire... -_-

J'ai essayé très fort d'apprende le hollandais, mais y a pas à dire, il y a des mots qu'on ne saura jamais prononcer ! :lol: De plus, la grammaire est aussi extrèmement compliquée. Je ne dis pas que c'est impossible, mais cela demande des efforts titanesques.

Tandis que l'anglais, il ne m'a pas fallu longtemps pour être franchement opérationnelle, même si ce n'est pas du shakespeare. Il y a moins de vocabulaire, et la grammaire et les conjugaisons sont beaucoup plus simplifiées.

Plusieurs allophones (je ne parle pas d'anglophones, sinon on va dire qu'ils n'ont pas fait d'efforts) m'ont dit que la langue française était extrèmement difficile. Ces mêmes allophones sont capables de parler 3 ou 4 langues, mais sans arriver à faire de progrès notoire en français. C'est bien qu'il doit y avoir quelque chose... ^_^

Bouh

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  • Habitués
Prononcer les mots en français c'est plus difficile pour les anglophones. Il n'est pas facile pour un hispanophone comme moi qui parfois ne peut pas prononcer bien les mots français, imaginez-vous un anglophone?

Nelju, tu disais que tu étais d'origine hispanique, et que tu avais du mal à apprendre le français... mais as-tu seulement remarqué comment tu l'écris bien pour quelqu'on dont ce n'est pas la langue maternelle ??? On s'en crisse que tu ne parles pas français avec le "bon accent" ou avec l'accent qu'il faudrait ! Ce n'est pas ta langue maternelle, c'est bien normal ! (tu crois que je passe pour un canadien anglais quand je parle anglais moi ?...) Donc si toi tu en es arrivé à ce niveau de maitrise du français, pourquoi un anglo ne pourrait pas ??? De même, un japonais va avoir énormément de mal à prononcer le son "U" tout simplement parce que son cerveau n'a jamais été habitué à synchroniser sa langue et sa bouche pour sortir le son U. Est-ce que ça va l'empêcher de se faire comprendre en français? Bah... non...

Le français "trop difficile" est définitivement une excuse trop facile à mes yeux. Si je travaille fort, je peux parler japonais et néerlandais demain, j'en suis certain, et c'est le cas de tout le monde, même s'il est vrai que certaines personnes ont une propension à apprendre une langue plus vite que d'autres. Mais au final, en y travaillant, on y arrive j'en suis certain 1

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  • Habitués

cette histoire de bilinguisme me rappelle bruxelles,

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c'est vrai que les conférenciers sont souvent américains ou canadiens(donc unilingues anglais! :P ), mais toutes les fois que j'assiste à des conférences données par des québécois, elles se passent en français(heureusement!), sinon, je sens qu'il y aurait des plaintes! Il faut dire aussi que nous avons un service d'interprètes anglais-français et français-anglais à toutes les conférences que j'ai assisté(dans le domaine de l'optométrie...je ne sais pas pour les autres domaines si c'est partout pareil...)

peanut

lors de ces organisations tu as à la fois des conférences ou tout le monde assiste en matinée et des petits ateliers sur des sujets plus spécifiques et donc ou la salle est restreinte. Il est clair que pour les grandes conférences, il y a toujours une traduction simultanée donc ca pose pas de problèmes. OR pour les petits ateliers, ce système de traducation n'est pas fait car il y a souvent une dizaine en même temps. Et c'est la que les chercheurs ont tendance a se mettre à l'anglais car dans l'assistance justement il n'y a pas de traductions et comme il faut que les anglophones comprennent, on se met a l'anglais car tous les francophones comprennent eux l'anglais. Je trouve ca con notamment quand on est a Montréal.

Et petite anecdote, une amie francaise dans une université francophone de Montréal avait un cours qui était en fait des conférences faites par différents chercheurs. Une de ces conférences s'est faite en anglais. Ben, elle trouvait pas ca normal car elle le comprenait pas très bien. Mais elle s'est pas plainte car elle était la seule avec ce problème et parce qu'ils réclament dans les universités même francophone a ce que tu saches l'anglais.

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  • Habitués

oui, tu as raison pour les ateliers ou présentations, c'est souvent fait en anglais pour rejoindre le plus de monde possible...sinon, le chercheur ne pourra pas faire connaître son travail sur une grande échelle...mais quand c'est une présentation écrite, les 2 versions devraient être incluses, surtout si c'est un chercheur francophone.

La plupart des livres scientifiques sont souvent aussi en anglais...je me souviens d'avoir étudié très souvent avec les livres anglais durant mes années d'étude, mais à la longue, on devient habitué, car ce sont souvent les mêmes termes techniques ou scientifiques qui reviennent.

peanut

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cette histoire de bilinguisme me rappelle bruxelles,

ce recit est superbe et decrit la situation ...

oui c est tout a fait vrai c est bruxelles entre les quartiers de molenbeek anderlecht et les parties francophones ou les gens parlent les deux langues du moins a l ecole ...

surtout que bxl est entoure de villes neerlandophones ...

bref le bilinguisme c est dur mais a montreal il est connu c est moins vrai dans d autres villes du quebec ...!!!!

a ce choix de la ville quand on immigre ...

a bientot

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  • Habitués

Petitboudange :

Mais y en a d'autres des démarcations comme ça. Demande à Jimmy de te parler du Manitoba et de ses ghettos francophones! (avec calme Jimmy, avec calme )

Bien difficile d'en parler avec calme...faque je m'abstiendrai :B)

jimmy

Modifié par jimmy
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  • Habitués

Deux solitudes

...pour s'en rendre compte il suffit de lire un ou deux forums canadiens anglais et un ou deux forums québécois.

On se croirait sur deux planètes différentes, d'un côté le Québec bashing et de l'autre le fédéralisme bashage.

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  • Habitués

C clair que le français est une langue complexe avec une règle et what millions d'exceptions !!!

Pour info, il faut 1000h en moyenne d'apprentissage pour obtenir un niveau B de la fonction publique et 500h supplémentaires pour le C.

Mais quand on voit le nombre de fonctionnaire qui réussissent très bien leur apprentissage, c clair que tout le monde ou presque est capable de le faire.

C certain que le temps est un facteur important, mais l'envie est prédominante.

Depuis ce matin, j'ai commencé avec un groupe qui repart à zéro dans sa formation.

Tenez-vous bien, après 12 semaines, ils ne savent toujours pas conjuguer les verbes être et avoir au présent sans faute !!!! :blink: Ça laisse pas mal songeur -_-

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  • Habitués

Vraiment intéressante ta chronique, Tof.

Elle permet aussi de s'interroger et de prendre conscience encore et peut-être jamais assez, que la situation de la langue française au Québec est fragile et reste une lutte quotidienne.

Pour moi, parler plusieures langues, est une richesse. C'est aussi un moyen d'échanger avec un plus grand nombre de personnes issues de différentes cultures. C'est un plus indéniable, c'est une ouverture d'esprit, c'est un pas vers l'autre.

Par contre, je veux être et je resterai francophone dans un pays qui l'est. Question de principe, question de culture, question d'identité. Que l'anglais soit la langue des affaires, je le conçois tout à fait mais "m'imposer" l'anglais pour mes démarches quotidiennes dans un pays francophone ... c'est pas gagné ! :nea:

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  • Habitués

Bonjour à tous,

Je n'ai pratiquement jamais posté sur ce forum, bien que je le consulte régulièrement depuis 3 ans.

Je voulais juste ajouter mon point de vue. Bien sûr cela ne fait que deux ans que je vis à Montréal, mais enfin je voulais juste préciser à tous les futurs immigrants que pour ma part, je n'ai jamais eu à parler anglais depuis que je suis à Montréal. Quand on me parle anglais, je réponds en français et je n'ai jamais eu aucun problème. Alors, peut-être que je suis une exception (à en juger par vos commentaires, cela tient même du miracle), mais il me semble qu'en postant ce genre de message vous trompiez quelque peu les futurs francophones qui pourraient presque s'imaginer pouvoir faire des progrès en anglais en vivant à Montréal!

Vraiment intéressante ta chronique, Tof.

Elle permet aussi de s'interroger et de prendre conscience encore et peut-être jamais assez, que la situation de la langue française au Québec est fragile et reste une lutte quotidienne.

Pour moi, parler plusieures langues, est une richesse. C'est aussi un moyen d'échanger avec un plus grand nombre de personnes issues de différentes cultures. C'est un plus indéniable, c'est une ouverture d'esprit, c'est un pas vers l'autre.

Par contre, je veux être et je resterai francophone dans un pays qui l'est. Question de principe, question de culture, question d'identité. Que l'anglais soit la langue des affaires, je le conçois tout à fait mais "m'imposer" l'anglais pour mes démarches quotidiennes dans un pays francophone ... c'est pas gagné ! :nea:

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  • 2 weeks later...
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Prononcer les mots en français c'est plus difficile pour les anglophones. Il n'est pas facile pour un hispanophone comme moi qui parfois ne peut pas prononcer bien les mots français, imaginez-vous un anglophone?

Nelju, tu disais que tu étais d'origine hispanique, et que tu avais du mal à apprendre le français... mais as-tu seulement remarqué comment tu l'écris bien pour quelqu'on dont ce n'est pas la langue maternelle ??? On s'en crisse que tu ne parles pas français avec le "bon accent" ou avec l'accent qu'il faudrait ! Ce n'est pas ta langue maternelle, c'est bien normal ! (tu crois que je passe pour un canadien anglais quand je parle anglais moi ?...) Donc si toi tu en es arrivé à ce niveau de maitrise du français, pourquoi un anglo ne pourrait pas ??? De même, un japonais va avoir énormément de mal à prononcer le son "U" tout simplement parce que son cerveau n'a jamais été habitué à synchroniser sa langue et sa bouche pour sortir le son U. Est-ce que ça va l'empêcher de se faire comprendre en français? Bah... non...

Le français "trop difficile" est définitivement une excuse trop facile à mes yeux. Si je travaille fort, je peux parler japonais et néerlandais demain, j'en suis certain, et c'est le cas de tout le monde, même s'il est vrai que certaines personnes ont une propension à apprendre une langue plus vite que d'autres. Mais au final, en y travaillant, on y arrive j'en suis certain 1

Si on s'en tient à la technicité du language, le français est plus difficile que l'anglais, il faut arrêter de contester ce fait. Là où je rejoins Mamanbis, c'est que l'envie d'apprendre est déterminante.

La majorité est partisan du moindre effort. A partir de là, un allophone ira plus facilement vers l'anglais que le français. Si le français n'avait pas été ma langue maternelle, je ne pense pas que je l'aurai appris. :P

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