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Mais c'est tout ces clandestins qui passent par les US et les faux demandeurs d'asile qui squeezent nos ressources qui faut mettre dehors!

 

Il fout quoi là Legault????

Bête comme ses pieds! Comme dans le temps de la Covid

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Il y aurait aussi de faux étudiants d'après ce que je comprends : ceux qui passent par des collèges bidons, ceux qui abandonnent leurs études au bout de trois semaines pour demander l'asile ou disparaître dans la nature...

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Dans ce cas là il faut empêcher les collèges bidons de fleurir. Identifier les pays qui génèrent le plus de faux étudiants et mettre des conditions plus strictes. Et cette question de demande d'asile ça doit se faire depuis l'extérieur du Canada c'est pas normal que les gens se rendent compte qu'ils ont besoin de protection quand ils arrivent à Yul

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il y a une heure, mike_hustler a dit :

Dans ce cas là il faut empêcher les collèges bidons de fleurir.

Zut, on est d'accord.

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Il y a 3 heures, bencoudonc a dit :

Zut, on est d'accord.

Tu achetes quand ton AR 15? 😜😜😜😜

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Il y a 7 heures, mike_hustler a dit :

Tu achetes quand ton AR 15? 😜😜😜😜

Le jour où tu voteras QS.🤪

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12 hours ago, mike_hustler said:

 c'est pas normal que les gens se rendent compte qu'ils ont besoin de protection quand ils arrivent à Yul

 

Ils ne s'en rendent pas compte, ils savent parfaitement ce qu'ils font. Venir sous un faux prétexte, et demander l'asile. 

 

J'ai cru comprendre aussi qu'une fois ta demandé déposée, tu payes les frais de scolarité d'un local. Plus d'un étranger. Alors tu peux continuer à étudier aux frais de la princesse ... avec une demande bidon ... qui sera refusée au final mais d'ici là tu as le temps de finir tes études et personne te demandera de rembourser. Elle est belle la vie en Occident.

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C'est nous qui laissions faire! 

Et surtout on se laisse donner des leçons par des vieux incapables 

Il y a 1 heure, bencoudonc a dit :

Le jour où tu voteras QS.🤪

Je pars aux US c'est hors sujet 😂

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38 minutes ago, mike_hustler said:

C'est nous qui laissions faire! 

 

Pourtant des pays vides en gros manque de bras et de gens, y'en à d'autres. Tsé genre la Russie. Elle dirait pas non à un boost démographique. Ils sont aussi extrêmement tolérants, en paix, et protègent l'humanité de l'occident décadent. C'est une bonne place pour se réfugier me semble.

 

Bon il faut juste survivre ses premiers mois sous les drapeaux de son nouveau pays.

 

Mais après, un vrai paradis sur Terre 🤣 

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Il y a 2 heures, crazy_marty a dit :

 

Pourtant des pays vides en gros manque de bras et de gens, y'en à d'autres. Tsé genre la Russie. Elle dirait pas non à un boost démographique. Ils sont aussi extrêmement tolérants, en paix, et protègent l'humanité de l'occident décadent. C'est une bonne place pour se réfugier me semble.

 

Bon il faut juste survivre ses premiers mois sous les drapeaux de son nouveau pays.

 

Mais après, un vrai paradis sur Terre 🤣 

Bon la Russie ça peut-être intéressant mais je passe mon tour je te donne mon passeport si tu veux 😜

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Legault, ce n'est pas le type qui a demandé à Trudeau d'augmenter le quota des travailleurs temporaires de 10 à 20% avec l'excuse de la pénurie de la main d'oeuvre post-covid? Le même type qui travaille comme lobbyiste en chef de la mafia du lait?

 

 

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Sinon concernant les étudiants étrangers, il y'a une formule très simple qui aiderait à filtrer les faux étudiants et faire chuter leur nombre de 90% tout en bénéficiant l'économie canadienne à long terme. Permis d'étude juste pour des étudiants universitaires, et dans des domaines d'intérêt pour l'économie du pays (sciences de la santé, nouvelles technologies, ingénieries, etc.…). Faudra s'assurer qu'ils disposent de l'argent nécéssaire pour toute la durée de leurs études, et pas de petits jobs en dehors du campus.

Pour les cegeps et collèges des régions reculés en manque d'étudiants, désolé, mais peut-être ils devraient fermer. Simple question offre/demande. 

 

 

 

 

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Il y a 2 heures, saabe a dit :

 

Sinon concernant les étudiants étrangers, il y'a une formule très simple qui aiderait à filtrer les faux étudiants et faire chuter leur nombre de 90% tout en bénéficiant l'économie canadienne à long terme. Permis d'étude juste pour des étudiants universitaires, et dans des domaines d'intérêt pour l'économie du pays (sciences de la santé, nouvelles technologies, ingénieries, etc.…). Faudra s'assurer qu'ils disposent de l'argent nécéssaire pour toute la durée de leurs études, et pas de petits jobs en dehors du campus.

 

Pour les cegeps et collèges des régions reculés en manque d'étudiants, désolé, mais peut-être ils devraient fermer. Simple question offre/demande. 

 

 

 

 

Je suis pas forcément d'accord avec la fin. Fermer des cegeps et des collèges c'est quand même un recul pour ses regions

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L'une des autres questions est : "Est-ce que cela implique une baisse des entrées de personnel médical cherchant à intégrer le Canada et qui doivent repasser une partie de leurs diplômes pour pouvoir exercer ?". Est-ce que ce sera toujours jouable ou intéressant pour eux de chercher à venir s'installer au Canada ?
J'en connais qui ont renoncé juste à cause de la lourdeur administrative que cela représente.

Mettre en place un suivi de projet où ces étudiants établissent un rapport sur leur avancée déjà, une obligation de rapport vérifiable : ne serait-ce pas une avancée cohérente ?

Certaines entreprises ne vérifient même pas le statut des gens qu'elles embauchent : faut-il les responsabiliser, leur faire payer des pénalités pour avoir sur utilisé ces personnes qui avaient un quota d'heures de travail et dans le même temps, sanctionner les étudiants aillant travaillé plus que ce qu'ils ne pouvaient légalement le faire ?

 

Dans les questions pertinentes, une partie de ces professionnels se posent encore la question de ce qui ne fonctionne pas vraiment dans leur projet d'installation. Il ne faut pas oublier que pour beaucoup, ces gens sont souvent déjà formés et même que certains se sentent capables de repasser leurs diplômes canadiens ou québécois sans suivre de formation locale.

J'en parlais il y a peu avec quelqu'un qui avait suivi une formation d'un niveau qui lui permettait d'accéder au statut de chercheur (dans le secteur biochimique de mémoire) mais qui avait du reprendre des études ici pour pouvoir travailler dans ce domaine.

 

Là où je veux en venir c'est que l'on a 2 mondes qui cherchent à s'installer et qui ont un intérêt réel d'intégration, dont on devrait tenir compte 

1- d'un côté du personnel formé ailleurs qui a cherché à venir s'installer, pour lequel les services d'immigration ont dit "oui" mais qui ne trouvent pas de travail dans leur domaine maîtrisé parce qu'il y a une forme de rejet de leur formation ou qu'il est essentiel que les approches locales soient maîtrisées,

2- des jeunes avec une formation initiale qui souhaitent venir s'installer (... parce qu'il y a un besoin des deux côtés) mais pour qui les coûts de survie sont perçus comme élevés par eux malgré le désir

 

Dans le premier cas, devoir accepter des tâches qui ne leur correspondent pas, et parfois même, devoir faire face à des marques de rejet culturel, poussent une partie de ces gens (qui parfois ont dépensé des sommes astronomiques les premières années pour subsister) à repartir... c'est désolant de constater que l'on passe d'un projet de vie à un purgatoire ou un enfer (j'imagine). 

 

Dans le second cas, on a des jeunes inexpérimentés qui doivent faire face à un environnement nouveau, un mode de fonctionnement nouveau... : tout peut être nouveau et déconcertant mais ils s'accrochent pour avoir un diplôme canadien/québécois reconnu.

 

Dans la phase pratique, certains vont là encore faire l'objet de manifestations de rejet, à cause de leur différence culturelle.

 

Qu'il s'agisse de témoignages, de choses que j'ai vu moi-même ou plutôt de propos que j'ai entendus, le résultat est le même. L'engagement est mis à mal parce que, malgré les besoins, il y a encore des gens qui doivent se battre pour s'intégrer, et faire face à des mots comme "illégal" ou "importé" pour les désigner. L'irrespect a un coût davantage pour eux que pour le Canada soit dit en passant.

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Il y a 5 heures, mike_hustler a dit :

Je suis pas forcément d'accord avec la fin. Fermer des cegeps et des collèges c'est quand même un recul pour ses regions

 

On ne peut pas maintenir des écoles inaugurées pendant la période du baby boom et pensées pour une population de moins de 18 ans 10 fois supérieure à l'actuelle. Il faut réduire leurs nombres, les concentrer dans les capitales régionales et offrir des bourses complètes  pour que les jeunes puissent étudier en dehors de leurs villages et petites villes reculées.

 

Le remplir avec des faux étudiants étrangers qui ne pensent qu'à la résidence permanente et qui majoritairement, travailleront de chauffeurs de taxi et de camions à Montréal une fois arrivés à leur but, c'est le pain pour aujourd'hui, la faim pour demain.

 

Le Canada devrait d'ailleurs réviser le programme permis de travail post-études et le limiter aux diplômés universitaires étrangers de domaines à forte valeur ajoutée.

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Il y a 1 heure, Angel-fr a dit :

L'une des autres questions est : "Est-ce que cela implique une baisse des entrées de personnel médical cherchant à intégrer le Canada et qui doivent repasser une partie de leurs diplômes pour pouvoir exercer ?". Est-ce que ce sera toujours jouable ou intéressant pour eux de chercher à venir s'installer au Canada ?
J'en connais qui ont renoncé juste à cause de la lourdeur administrative que cela représente.

Mettre en place un suivi de projet où ces étudiants établissent un rapport sur leur avancée déjà, une obligation de rapport vérifiable : ne serait-ce pas une avancée cohérente ?

Certaines entreprises ne vérifient même pas le statut des gens qu'elles embauchent : faut-il les responsabiliser, leur faire payer des pénalités pour avoir sur utilisé ces personnes qui avaient un quota d'heures de travail et dans le même temps, sanctionner les étudiants aillant travaillé plus que ce qu'ils ne pouvaient légalement le faire ?

 

Dans les questions pertinentes, une partie de ces professionnels se posent encore la question de ce qui ne fonctionne pas vraiment dans leur projet d'installation. Il ne faut pas oublier que pour beaucoup, ces gens sont souvent déjà formés et même que certains se sentent capables de repasser leurs diplômes canadiens ou québécois sans suivre de formation locale.

J'en parlais il y a peu avec quelqu'un qui avait suivi une formation d'un niveau qui lui permettait d'accéder au statut de chercheur (dans le secteur biochimique de mémoire) mais qui avait du reprendre des études ici pour pouvoir travailler dans ce domaine.

 

Là où je veux en venir c'est que l'on a 2 mondes qui cherchent à s'installer et qui ont un intérêt réel d'intégration, dont on devrait tenir compte 

1- d'un côté du personnel formé ailleurs qui a cherché à venir s'installer, pour lequel les services d'immigration ont dit "oui" mais qui ne trouvent pas de travail dans leur domaine maîtrisé parce qu'il y a une forme de rejet de leur formation ou qu'il est essentiel que les approches locales soient maîtrisées,

2- des jeunes avec une formation initiale qui souhaitent venir s'installer (... parce qu'il y a un besoin des deux côtés) mais pour qui les coûts de survie sont perçus comme élevés par eux malgré le désir

 

Dans le premier cas, devoir accepter des tâches qui ne leur correspondent pas, et parfois même, devoir faire face à des marques de rejet culturel, poussent une partie de ces gens (qui parfois ont dépensé des sommes astronomiques les premières années pour subsister) à repartir... c'est désolant de constater que l'on passe d'un projet de vie à un purgatoire ou un enfer (j'imagine). 

 

Dans le second cas, on a des jeunes inexpérimentés qui doivent faire face à un environnement nouveau, un mode de fonctionnement nouveau... : tout peut être nouveau et déconcertant mais ils s'accrochent pour avoir un diplôme canadien/québécois reconnu.

 

Dans la phase pratique, certains vont là encore faire l'objet de manifestations de rejet, à cause de leur différence culturelle.

 

Qu'il s'agisse de témoignages, de choses que j'ai vu moi-même ou plutôt de propos que j'ai entendus, le résultat est le même. L'engagement est mis à mal parce que, malgré les besoins, il y a encore des gens qui doivent se battre pour s'intégrer, et faire face à des mots comme "illégal" ou "importé" pour les désigner. L'irrespect a un coût davantage pour eux que pour le Canada soit dit en passant.

 

Angel-fr

 

Le problème que je vois, c'est que d'un côté, la majorité du personnel médical étranger au Québec provient de pays africains où la qualité de formation et les conditions de travail ne sont pas à la hauteur d'un pays développé comme le Canada (sans oublier l'aspect éthique de priver ces pays de professionnels dont ils ont désespéramment besoin). Et de l'autre côté, t'as le zèle des syndicats et ordres professionnels qui mettent tous les obstacles du monde pour fermer la porte aux nouveaux arrivants, y compris de pays ou la qualité des soins médicaux sont souvent supérieurs à ce qu'on trouve içi comme c'est le cas de la majorité des pays de l’Europe occidentale.

 

 

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Il y a 22 heures, saabe a dit :

 

Sinon concernant les étudiants étrangers, il y'a une formule très simple qui aiderait à filtrer les faux étudiants et faire chuter leur nombre de 90% tout en bénéficiant l'économie canadienne à long terme. Permis d'étude juste pour des étudiants universitaires, et dans des domaines d'intérêt pour l'économie du pays (sciences de la santé, nouvelles technologies, ingénieries, etc.…). Faudra s'assurer qu'ils disposent de l'argent nécéssaire pour toute la durée de leurs études, et pas de petits jobs en dehors du campus.

 

Pour les cegeps et collèges des régions reculés en manque d'étudiants, désolé, mais peut-être ils devraient fermer. Simple question offre/demande. 

 

 

 

 

sciences de la santé hum la tu rêves même un résident permanent peut pas s'y inscrire avec les quotas. Ingénieurs idem c'est très protégé pas certain que tu puisses y accéder sans passer par les études préparatoires au CEGEP. 

 

J'ai eu une rencontre avec des belges récemment je donne les cas : un Kinesitherapeuthe diplome pas reconnu a change de métier, une enseignante primaire diplome pas reconnu a changé de métier et puis on se disait tous mais Québec arrete pas d'hurler a la pénurie de main d'oeuvre et fait des salons pour des métiers dans des pays pour lesquels ils reconnaissent pas les diplômes. Attends on a des offres d'emploi sur le site équivalent d'emploi québec en Belgique alors que personne ne sera accepté faute de reconnaissance de diplôme c'est n'importe quoi ! En TI y a pas ce problème mais pour la santé et l'enseignement c'est un vrai mensonge ce qu'ils promettent et les gens arrivent ici avec une RP et on leur dit vous pouvez pas travailler d'autres l'ont su en faisant les démarches plus poussés pour avoir un permis de travail mais quand même !.

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@saabe D'où proviennent vos statistiques sur les entrées de personnel médical ? Sinon, des français sont soumis à la même approche (et le problème éthique pourrait se poser mais ce n'est pas au pays receveur de déterminer si le projet est contraire à l'éthique dans ce contexte. Il y a une réelle pénurie au Canada et les intérêts du Canada sont l'objectif principal.

 

Il appartient à ces pays de développer des programmes permettant de garder les cerveaux, les spécialistes... leurs talents.

Il reste que la déconvenue pour certains est monumentale : j'ai une amie qui avait fait sa formation en chirurgie dentaire et... a également tourné les talons en se disant : les problèmes qui se profilent (en lisant des témoignages), sont bien trop grands pour risquer de migrer vers le Canada, parce que c'est bien un risque que ces gens prennent.

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Il y a 21 heures, saabe a dit :

 

On ne peut pas maintenir des écoles inaugurées pendant la période du baby boom et pensées pour une population de moins de 18 ans 10 fois supérieure à l'actuelle. Il faut réduire leurs nombres, les concentrer dans les capitales régionales et offrir des bourses complètes  pour que les jeunes puissent étudier en dehors de leurs villages et petites villes reculées.

 

Le remplir avec des faux étudiants étrangers qui ne pensent qu'à la résidence permanente et qui majoritairement, travailleront de chauffeurs de taxi et de camions à Montréal une fois arrivés à leur but, c'est le pain pour aujourd'hui, la faim pour demain.

 

Le Canada devrait d'ailleurs réviser le programme permis de travail post-études et le limiter aux diplômés universitaires étrangers de domaines à forte valeur ajoutée.

Tu parles de plusieurs problèmes en même temps! Tu te rends compte de ce que tu vas faire à ces villages?

 

Pourquoi vouloir déraciner des jeunes qui veulent rester dans leur village?

 

Mieux revoir les programmes? Oui!

Corser la sélection des étrangers? Oui!

Lutter contre les collèges bidon? Oui! 

Mais fermer des écoles qui font partie du paysage depuis 50 ans au secours quoi!

 

Le remède ne peut pas être pire que la maladie!

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