Aller au contenu

Pénurie: le cri du cœur d’un pâtissier français de Québec


Laurent

Messages recommandés

Pénurie de main-d’œuvre: le cri du cœur d’un pâtissier

 
 
Depuis près de deux ans, Patrick Bourson est propriétaire de la boulangerie-pâtisserie Chez Alexandre à Pont-Rouge. Il y a investi 4 millions $, créé 14 emplois dans la région, lance-t-il, mais au mois de janvier, il pourrait bien devoir fermer boutique. Il accuse le manque de main-d’œuvre qualifiée pour la production, et les dédales administratifs en matière d’immigration.

En mai 2016, M. Bourson rachetait la boulangerie La Jasette pour laquelle son fils Alexandre travaillait depuis quelques années. «On l’a rasée. On a acheté quatre maisons autour et on a ouvert le commerce», laisse tomber l’entrepreneur. 

Originaire de Reims en région Champagne-Ardenne et arrivé au Québec il y a six ans, M. Bourson a fait fortune dans l’industrie du vin de Bourgogne et du champagne, en plus de s’être impliqué en politique «pendant 30 ans». Il était candidat aux présidentielles françaises de 2012. L’homme d’affaires aurait «tout vendu» à la marque Laurent-Perrier, dit-il, pour s’établir dans la MRC de Portneuf où il y est «très impliqué». 

«Je suis membre des Chevaliers de Colomb, je fais de la patrouille en motoneige, je m’investis dans la communauté», raconte M. Bourson, des faits confirmés par le député conservateur de Portneuf–Jacques-Cartier, Joël Godin. 

 

«Il est impliqué dans la région. On a même travaillé sur son dossier d’immigration et celui de son fils Alexandre.» Et la structure de son commerce est «impressionnante», ajoute le député. 

 
Malgré la bonne réputation de la boulangerie-pâtisserie, malgré que la population veuille la garder en vie, «au moins deux employés à la production» sont nécessaires pour maintenir les activités du commerce, selon M. Godin, qui affirme travailler 18 heures par jour.

 

suite et source: https://www.lesoleil.com/affaires/penurie-de-main-duvre-le-cri-du-cur-dun-patissier-6e775cb90e2bb4881c7beab2802170ef

32746921_178884999601616_3701509906407358464_o.jpg

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il est aussi un peu en parti responsable de cette situation, on en parle assez chaque jour du problème de personnel et quand on fait le choix d'agrandir une structure faut savoir tenir compte de certains facteurs.
 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués
il y a 23 minutes, Laurent a dit :
13 janvier 2020 4h00
Partager
 

Pénurie de main-d’œuvre: le cri du cœur d’un pâtissier

 
ANNE-SOPHIE POIRÉ
Le Soleil
 
 
 
Depuis près de deux ans, Patrick Bourson est propriétaire de la boulangerie-pâtisserie Chez Alexandre à Pont-Rouge. Il y a investi 4 millions $, créé 14 emplois dans la région, lance-t-il, mais au mois de janvier, il pourrait bien devoir fermer boutique. Il accuse le manque de main-d’œuvre qualifiée pour la production, et les dédales administratifs en matière d’immigration.
 

En mai 2016, M. Bourson rachetait la boulangerie La Jasette pour laquelle son fils Alexandre travaillait depuis quelques années. «On l’a rasée. On a acheté quatre maisons autour et on a ouvert le commerce», laisse tomber l’entrepreneur. 

Originaire de Reims en région Champagne-Ardenne et arrivé au Québec il y a six ans, M. Bourson a fait fortune dans l’industrie du vin de Bourgogne et du champagne, en plus de s’être impliqué en politique «pendant 30 ans». Il était candidat aux présidentielles françaises de 2012. L’homme d’affaires aurait «tout vendu» à la marque Laurent-Perrier, dit-il, pour s’établir dans la MRC de Portneuf où il y est «très impliqué». 

«Je suis membre des Chevaliers de Colomb, je fais de la patrouille en motoneige, je m’investis dans la communauté», raconte M. Bourson, des faits confirmés par le député conservateur de Portneuf–Jacques-Cartier, Joël Godin. 

 

«Il est impliqué dans la région. On a même travaillé sur son dossier d’immigration et celui de son fils Alexandre.» Et la structure de son commerce est «impressionnante», ajoute le député. 

 
Malgré la bonne réputation de la boulangerie-pâtisserie, malgré que la population veuille la garder en vie, «au moins deux employés à la production» sont nécessaires pour maintenir les activités du commerce, selon M. Godin, qui affirme travailler 18 heures par jour.

 

suite et source: https://www.lesoleil.com/affaires/penurie-de-main-duvre-le-cri-du-cur-dun-patissier-6e775cb90e2bb4881c7beab2802170ef

32746921_178884999601616_3701509906407358464_o.jpg

Courage, une période pas simple mais faut tenir bon quitte peut être à réduire la voilure coté prod (si possible) en attendant.

Mais c'est vrai que 4M$, c'est pas rien!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.



×
×
  • Créer...
Ouvrir un compte bancaire avant mon départ
© 2024 immigrer.com

Advertisement