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Témoignages de nouveaux arrivants sur le travail au Québec


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Lorsqu’ils arrivent au Québec, les nouveaux arrivants doivent absolument s’adapter à la culture du travail. Les horaires, les relations de bureau et les politiques de vacances changent. Porte-monnaie a rencontré quelques immigrants qui ont livré leurs pensées sur le travail au Québec.

DES QUALITÉS CERTAINES

Les personnes interrogées n’hésitent pas à reconnaître au système québécois certains avantages indéniables.

Les relations au travail

Les nouveaux arrivants reconnaissent que les liens au sein des bureaux québécois reposent moins sur les rapports stricts de hiérarchie.

Erwan, Franco-Ivoirien travaillant comme analyste de crédit dans une banque réputée, explique son opinion par la proximité entre patrons et employés : «les managers restent très proches de leurs équipes et on peut s’adresser à eux directement en les tutoyant ce qui pouvait paraître impossible auparavant. J’ai fait un stage en Côte d’Ivoire. Mis à part saluer les managers, je ne leur adressais pas la parole à moins d’y être invité. Et les tutoyer était inimaginable».

Un autre de ses stages a eu lieu dans une banque à Montréal. À l’époque jeune diplômé, il était ébahi de voir un vice-président provincial de l’entreprise venir rencontrer une dizaine de stagiaires simplement pour les écouter et leur donner des conseils. «C’était complètement informel, très agréable et en même temps étonnant que dans un emploi du temps aussi chargé, un moment soit alloué pour écouter de jeunes employés comme moi», raconte-t-il.

Bastien, français établi au Québec depuis 2011, apprécie également ces relations de travail plus horizontales. «je joue au tennis avec mon chef tous les 15 jours depuis plus d'un an. Je me serais mal vu faire ça avec un supérieur en France».

Le sens des opportunités

Au Québec, on valorise les capacités des gens et on se base sur elles afin de savoir si une personne pourra remplir une job ou non. «C'est qu'on n'a pas peur de donner sa chance à un nouveau venu», comme le dit Alain.  

Feriel, jeune tunisienne arrivée en 2017 a trouvé un emploi dans le monde de la mode sans avoir d’expérience ni de diplôme lié à ce secteur. «Ma première expérience de travail ici s’est faite dans une usine à Granby où je gérais l’inventaire de pièces pour des machines à tisser. Je n’avais jamais fait ça avant, mais on a cru en moi et j’ai vécu une très belle expérience»

 

suite ici https://www.journaldemontreal.com/2019/07/14/des-nouveaux-arrivants-nous-livrent-leur-avis-sur-le-travail-au-quebec?utm_medium=cxense&utm_source=tvanouvelles.ca&utm_campaign=reco#cxrecs_s

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