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Au-delà des statistiques, le couple.


Naj333

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Bonjour à tous et à toutes,
 

Je parraine mon mari. Ma demande de parrainage a été reçue le 17 juillet 2018 et je suis en attente de l'accusé de réception. Je vous lis et je crois que nous vivons tous une angoisse de l'attente et de l'inconnu. Un quotidien qui nous met, parfois, en pause et nous met en alerte par rapport à tout ce qui touche les dates, les statistiques, la comparaison des réalités, les échecs et les réussites. J'avais envie de partager avec vous quelque chose de différent. Ce qui, pour mon mari et moi, nous aide à passer à travers l'attente et alimente notre patience. Bien sûr, les réalités, les moyens et les opportunités sont différentes pour chacun, donc n'hésitez pas à contribuer en partageant avec tous ce qui, pour vous, est aidant à travers l'attente:
 

-Nous vivons: Je m'occupe (emploi, loisirs, projets, famille) pour ne pas ruminer, car même si le parrainage de mon mari est, actuellement, ma priorité, je continue et il continue de vivre. La fatalité serait de nourrir un stress qui enlèverait tout désir de croître une fois la réponse positive reçue.
 

-Nous prévoyons: Nous prévoyons, à deux, son arrivée au Canada, mais aussi son aussi départ du pays d'origine, considérant qu'il laissera des biens, des êtres chers, des souvenirs derrière lui. Nous profitons donc du temps pour avancer en ce sens, car la planification peut se faire dès maintenant et qu'une fois qu'il sera arrivé, nous aurons d'autres objectifs à atteindre. De plus, la transition peut débuter par l'apprentissage de la langue, la planification de projets, l'économie en terme d'argent, en soudant les liens avec la famille lors des visites, etc.
 

-Nous créons des piliers: Nous sommes un couple après tout et nous devons vivre notre relation le plus normalement possible. La distance est une épreuve parmi plusieurs autres que nous aurons à vivre en tant qu'individu et en tant que couple. Un refus? Ce n'est définitivement pas ce qui nous séparerait. Nous nous sommes unis -avec intention- pour la vie et l'au-delà. Alors, nous créons des souvenirs. Nous communiquons régulièrement tous les jours. Nous créé des rituels auxquels nous tenons et qui soudent notre couple. J'ai vingt jours de vacances par année que je colle à des fériés, des fins de semaines, du temps supplémentaire, des journées de maladie, des congés mobiles ce qui me permet de rendre visite à mon mari tous les 2 à 3 mois (5h30 de vol) pendant une petite semaine que nous vivons comme une vingtaine d'années. Le vol réservé, je me projette et ça m'apaise, car j'ai une date en vue, une retrouvaille comme espoir et le temps que l'on partage ensemble nous recharge énormément.
 

-Nous demeurons objectifs: Nous savons que chaque dossier est différent et qu'il sera traité à une vitesse et une manière différente que pour l'autre. Nous savons, pour l'avoir expérimenté, que lire de manière démesurée les commentaires sur les forums ou les pages traitant des expériences de parrainage peut, plutôt que de nous aider, nous nuire émotionnellement. Nos limites se tracent lorsque l'on se rend compte que: lire les articles et commentaires nous déprime; Nous nous comparons systématiquement aux autres; Nous cherchons volontairement des situations d'échec craignant nous-même échouer; Nous pensons constamment à ce que l'on aurait pu faire mieux et nous remettons en question ce que nous avons déposé comme preuves et information.
 

-Nous croyons: Notre croyance en Dieu est définitivement une clé à notre patience parce que nous faisons notre part et nous remettons le reste entre ses mains. Plusieurs fois, nous nous sommes inquiétés pour des petites et grandes choses et nous avons constaté que le tout est rentré dans l'ordre, parfois d'une manière dont nous n'aurions jamais imaginé. Nous sommes confiants que Dieu était, est et sera avec nous. Le fait même que nous nous soyons rencontrés est en soi un miracle de Dieu.
 

À toutes et à tous, je vous souhaite l'aboutissement tant attendu et/ou une réunification prochaine.

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il y a 26 minutes, Naj333 a dit :

Bonjour à tous et à toutes,
 

Je parraine mon mari. Ma demande de parrainage a été reçue le 17 juillet 2018 et je suis en attente de l'accusé de réception. Je vous lis et je crois que nous vivons tous une angoisse de l'attente et de l'inconnu. Un quotidien qui nous met, parfois, en pause et nous met en alerte par rapport à tout ce qui touche les dates, les statistiques, la comparaison des réalités, les échecs et les réussites. J'avais envie de partager avec vous quelque chose de différent. Ce qui, pour mon mari et moi, nous aide à passer à travers l'attente et alimente notre patience. Bien sûr, les réalités, les moyens et les opportunités sont différentes pour chacun, donc n'hésitez pas à contribuer en partageant avec tous ce qui, pour vous, est aidant à travers l'attente:
 

-Nous vivons: Je m'occupe (emploi, loisirs, projets, famille) pour ne pas ruminer, car même si le parrainage de mon mari est, actuellement, ma priorité, je continue et il continue de vivre. La fatalité serait de nourrir un stress qui enlèverait tout désir de croître une fois la réponse positive reçue.
 

-Nous prévoyons: Nous prévoyons, à deux, son arrivée au Canada, mais aussi son aussi départ du pays d'origine, considérant qu'il laissera des biens, des êtres chers, des souvenirs derrière lui. Nous profitons donc du temps pour avancer en ce sens, car la planification peut se faire dès maintenant et qu'une fois qu'il sera arrivé, nous aurons d'autres objectifs à atteindre. De plus, la transition peut débuter par l'apprentissage de la langue, la planification de projets, l'économie en terme d'argent, en soudant les liens avec la famille lors des visites, etc.
 

-Nous créons des piliers: Nous sommes un couple après tout et nous devons vivre notre relation le plus normalement possible. La distance est une épreuve parmi plusieurs autres que nous aurons à vivre en tant qu'individu et en tant que couple. Un refus? Ce n'est définitivement pas ce qui nous séparerait. Nous nous sommes unis -avec intention- pour la vie et l'au-delà. Alors, nous créons des souvenirs. Nous communiquons régulièrement tous les jours. Nous créé des rituels auxquels nous tenons et qui soudent notre couple. J'ai vingt jours de vacances par année que je colle à des fériés, des fins de semaines, du temps supplémentaire, des journées de maladie, des congés mobiles ce qui me permet de rendre visite à mon mari tous les 2 à 3 mois (5h30 de vol) pendant une petite semaine que nous vivons comme une vingtaine d'années. Le vol réservé, je me projette et ça m'apaise, car j'ai une date en vue, une retrouvaille comme espoir et le temps que l'on partage ensemble nous recharge énormément.
 

-Nous demeurons objectifs: Nous savons que chaque dossier est différent et qu'il sera traité à une vitesse et une manière différente que pour l'autre. Nous savons, pour l'avoir expérimenté, que lire de manière démesurée les commentaires sur les forums ou les pages traitant des expériences de parrainage peut, plutôt que de nous aider, nous nuire émotionnellement. Nos limites se tracent lorsque l'on se rend compte que: lire les articles et commentaires nous déprime; Nous nous comparons systématiquement aux autres; Nous cherchons volontairement des situations d'échec craignant nous-même échouer; Nous pensons constamment à ce que l'on aurait pu faire mieux et nous remettons en question ce que nous avons déposé comme preuves et information.
 

-Nous croyons: Notre croyance en Dieu est définitivement une clé à notre patience parce que nous faisons notre part et nous remettons le reste entre ses mains. Plusieurs fois, nous nous sommes inquiétés pour des petites et grandes choses et nous avons constaté que le tout est rentré dans l'ordre, parfois d'une manière dont nous n'aurions jamais imaginé. Nous sommes confiants que Dieu était, est et sera avec nous. Le fait même que nous nous soyons rencontrés est en soi un miracle de Dieu.
 

À toutes et à tous, je vous souhaite l'aboutissement tant attendu et/ou une réunification prochaine.

Ta bien dit ...... Moi ça fait 5ans que jais Pô vue ma femme et mon enfant en vraie à part la cam sur skype pis à cause de travail et les situation financière elle peut Pô permettre de venir chaque année ici en Algérie ces chère les billets d'avion avant oui elle viens avec mon enfant chaque année pis TT a changé tout ça des épreuves de vie pis on es très forts on a met notre situation entre les mains de dieu il va nous facilité les choses et nous enlever tout ces obstacle ces vraiment dur la séparation et cette distance qui déchire le coeur séparé les famille entière ces Pô juste ces inhumains TT ça mais bon on peut rien faire a part la patience et d'être positive .

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