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Ecole: système francais ou québécois ? + apprentissage anglais


kaleanne

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Merci[mention=139705]nyrris[/mention] et[mention=143856]isa78[/mention] pour vos réponses et vos partages d expériences ![mention=139705]nyrris[/mention] sans indiscrétion tu es dans quel quartier bilingue ?
Nous sommes arrivés il y a quelques mois, pour le moment on tâte le terrain, et nous pensons egalement nous installer dans un quartier bilingue pour l école justement :-)
Je Partage egalement entièrement ton point de vue sur l apprentissage des langues, si ma fille pouvait parler 10 langues j'en serai très heureuse ! Il n y a pas plus belle ouverture sur le monde que les langues et les voyages... [mention=69194]azarielle[/mention] je ne suis pas obsédée par l anglais, mais j'ai constaté que cette langue est indispensable dans le monde d aujourd'hui, c'est une réalité.
j'ai fait toute ma scolarité en France, et ça n'est un secret pour personne que l anglais y est très mal enseigne! De plus rien n incite les élèves à s améliorer en langues vu les coefficients assez faibles aux examens ( du moins à mon époque quand j'ai passé le bac en 2005) Par contre quand il a fallu postuler pour trouver un job dans mon domaine (finance d entreprise) en France , toutes les offres d emploi demandent minimum anglais courant, voire autre langue en bonus ! quel paradoxe entre l éducation et la réalité du travail !
Nous avons la chance d être au Canada où se côtoient deux langues officielles, autant en profiter !


Salut Kaleanne,

On est à Ville Mont Royal, c'est comme une ville de banlieue mais au coeur de Montréal. C'est hyper agréable.
On est à la jonction de la 15 et la 40, y'a une gare au centre, des commerces et pas loin du marché central.
Pour les loyers, nous avons un 4 1/2 à 1000 $ chauffage inclus, donc pas beaucoup plus que dans la petite patrie.

L'école de mon fils c'est St Clément Est, et cette année la municipalité a fait fermer la rue adjacente à la cour pour l'agrandir et faire une piste cyclable à la place !

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Je me permets.
A chaque fois que j'ai demandé à des français pour quelle raison ils choisissaient le Qc, réponse : pour mes enfants apprennent l'anglais.
Je suis d'accord avec azareille, pourquoi venir au Qc si on veut parler anglais ? Rien ne vaut l'immersion totale non seulement pour l'enfant mais aussi les parents car là vous n'aurez pas le choix. Rien n'empêche après de venir au Qc.
La fille de Isa78 est bilingue au bout d'un an ? Pas dit que ce soit idem pour tous. L'enfant doit y trouver aussi un intérêt, s'il se lie d'amitié avec un/des francophone(s) et ne pratique pas en dehors des cours ça prendra du temps.
Si le français ne parle pas l'anglais ce n'est pas à cause de l'enseignement c'est juste qu'il a une p'tite gène et n'ose pas, etc. Tout le monde le sait. Et ce sera toujours ainsi.
 
J'admire les québécois de préserver cette belle langue allant à contre courant de la mode mondiale "Googlounesque". Ils vivent en français et travaillent même en français, à Mtl.
 
(désolée rien de perso, mais des fois je seconde Jimmy)
Je connais aucun français qui plaque tout uniquement pour que son gosse apprenne l'anglais.

Perso on a choisi le Québec pour sa qualité de vie et parce que ça parle français.
Et le choix de Montréal c'est fait pour sa vie culturelle !

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Salut Kaleanne,

On est à Ville Mont Royal, c'est comme une ville de banlieue mais au coeur de Montréal. C'est hyper agréable.
On est à la jonction de la 15 et la 40, y'a une gare au centre, des commerces et pas loin du marché central.
Pour les loyers, nous avons un 4 1/2 à 1000 $ chauffage inclus, donc pas beaucoup plus que dans la petite patrie.

L'école de mon fils c'est St Clément Est, et cette année la municipalité a fait fermer la rue adjacente à la cour pour l'agrandir et faire une piste cyclable à la place !

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Un grand merci pour toutes infos ça me donne des points de repère pour la suite !
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Juste pour mieux comprendre pourquoi on n'a pas d'autre choix que de mettre un enfant au privé si on veut qu'il maitrise l'anglais correctement, même ici à Montréal (le comble !!), voilà un petit article sorti le mois dernier dans La Presse :

 

http://plus.lapresse.ca/screens/f0c95607-60f6-4796-8239-e5b32dd68031%7C_0.html

 

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Juste pour mieux comprendre pourquoi on n'a pas d'autre choix que de mettre un enfant au privé si on veut qu'il maitrise l'anglais correctement, même ici à Montréal (le comble !!), voilà un petit article sorti le mois dernier dans La Presse :
 
http://plus.lapresse.ca/screens/f0c95607-60f6-4796-8239-e5b32dd68031%7C_0.html
 



Zut, chez moi l'article ne fonctionne pas.

Envoyé de mon LG-D855 en utilisant application mobile Immigrer.com

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Ah, bizarre... Voilà le texte de l'article :

 

Citation

CHRONIQUE ENSEIGNEMENT DE L’ANGLAIS
LE FRUIT DE L’APATHIE
LYSIANE GAGNON
LA PRESSE
Le Québec récolte aujourd’hui le fruit vénéneux d’une longue incurie : celle de ses gouvernements successifs qui ne se sont jamais préoccupés sérieusement d’améliorer l’enseignement de l’anglais comme langue seconde.

Résultat : selon un récent sondage Léger, une majorité (53 %) de Québécois francophones veulent avoir le droit d’inscrire leurs enfants à l’école anglaise au primaire et au secondaire, au risque de les angliciser pour la vie et d’éviscérer la loi 101… à laquelle ils se disent par ailleurs attachés ! Il faut croire qu’on ne s’embarrasse pas de contradictions quand il s’agit de l’intérêt de ses enfants.

Oubliez la langue des affiches et des boutiques, c’est l’intégration scolaire des enfants d’immigrants qui constitue le volet essentiel de la loi 101. Or, il va de soi que la même obligation doit être imposée aux francophones de souche !

N’importe. Ce désir têtu d’envoyer ses enfants faire leur primaire et leur secondaire en anglais, tout comme la ruée des francophones vers les cégeps anglais, illustre le désarroi des familles qui ont perdu espoir dans la capacité des écoles françaises à enseigner correctement l’anglais langue seconde (l’anglais L2).


Les gouvernements ne sont pas seuls responsables de ce gâchis. Les commissions scolaires et les syndicats d’enseignement doivent eux aussi faire leur mea-culpa.

En effet, comment expliquer que dans une province où coexistent deux grands réseaux scolaires linguistiques, l’on n’ait jamais établi un système d’échange entre commissions scolaires, de manière à ce que l’enseignement de l’anglais, dans les écoles françaises, soit assumé, au moins en partie, par des enseignants de langue maternelle anglaise ?

Le Québec était dans une situation idéale pour promouvoir l’enseignement des langues secondes. La main-d’œuvre était là, sur place, contrairement à ce qui se passe dans la plupart des pays, qui doivent « importer » des enseignants s’ils tiennent à avoir des native speakers capables de transmettre aux élèves le bon accent et les divers niveaux de langue.

On aurait pu faire en sorte, par exemple, qu’un enseignant d’anglais langue première (L1) travaillant dans une école anglaise de Baie-Comeau soit détaché pour enseigner l’anglais dans une école française de la même ville, un enseignant de français L1 faisant le chemin inverse pour enseigner le français à des élèves anglophones. Les écoles françaises des régions peu exposées à l’anglais auraient pu aussi recruter, par rotation, des enseignants anglophones montréalais… qui, eux, auraient profité de ces stages pour perfectionner leur français.

Faut-il vraiment avoir un diplôme de L2 pour enseigner intelligemment la langue seconde à des élèves du secondaire ? Un bon enseignant d’anglais ou de français L1 est parfaitement capable de le faire.

Hélas, le corporatisme, la bureaucratie, l’apathie et une conception étriquée du nationalisme ont empêché le Québec de tirer profit de la présence, sur le même territoire, de centaines d’enseignants de langue maternelle anglaise.

Même sans échange d’enseignants, les écoles anglaises ont trouvé le moyen de faire apprendre le français à leurs élèves, par le processus d’immersion ou par des méthodes plus classiques. Serait-ce qu’il y avait là une motivation qui faisait défaut au réseau francophone ?

À défaut d’avoir pu suivre des cours d’anglais de qualité à l’école, nombre de jeunes francophones se ruent sur les cégeps anglais. On ne peut certainement pas les en blâmer. Même le Parti québécois n’a jamais osé leur barrer la voie.

Cette incurie est impardonnable et ferait du Québec la risée du monde si la chose était connue : un îlot français dans une mer anglophone dont la plupart des habitants connaissent à peine l’anglais ! Alors que toute l’Europe du Nord parle anglais couramment depuis des générations et que même les Français s’y mettent (avec une frénésie qui confine au ridicule, mais c’est un autre problème) !

La première femme de l’un de mes proches était norvégienne. Elle venait du fond d’un bled où les chemins n’étaient même pas asphaltés. À 15 ans, elle parlait anglais couramment. Elle l’avait appris à l’école du village, avec des enseignants norvégiens qui n’avaient jamais vu un Anglais de leur vie, mais qui avaient appris la langue assez bien pour l’enseigner. C’était il y a 50 ans.

Au Viêtnam, où le contentieux par rapport aux Américains a tout de même été plus dramatique que nos propres griefs historiques contre « les Anglais », les élèves des écoles publiques apprennent l’anglais à partir de 4 ans.

La passivité du Québec, à ce chapitre, est une anomalie.

Ce texte provenant de La Presse+ est une copie en format web. Consultez-le gratuitement en version interactive dans l’application La Presse+.

 

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  • Habitués

Dans le fond c'est comme en France: y'a des écoles publiques complètement pourries, pour peu que tu sois dans la mauvaise zone ou le mauvais quartier, et des écoles publiques très bien, pour peu que tu sois dans la  bonne zone. En fait y'a la même chose avec les écoles privées, toutes n'ont pas le même niveau.

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  • Habitués
Dans le fond c'est comme en France: y'a des écoles publiques complètement pourries, pour peu que tu sois dans la mauvaise zone ou le mauvais quartier, et des écoles publiques très bien, pour peu que tu sois dans la  bonne zone. En fait y'a la même chose avec les écoles privées, toutes n'ont pas le même niveau.

C est exactement ça.
Le weekend dernier vient de se finir le gros des examens pour le secondaire. Un copain a un fils de cet âge là, il vient de passer 3 examens pour rentrer dans une école secondaire privée mais il me disait que certains enfants font jusqu'à 7 examens!
Pour son fils, la recherche d'une école privée est due au fait que son école secondaire du quartier est la 2eme plus mauvaise de la région montréalaise jusqu'à avoir des détecteurs de métaux à l entrée...
Il y a comme ailleurs du mauvais, du moyen, du bon et très bon.
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  • Habitués
Il y a 3 heures, Isa78 a dit :

Juste pour mieux comprendre pourquoi on n'a pas d'autre choix que de mettre un enfant au privé si on veut qu'il maitrise l'anglais correctement, même ici à Montréal (le comble !!), voilà un petit article sorti le mois dernier dans La Presse :

 

http://plus.lapresse.ca/screens/f0c95607-60f6-4796-8239-e5b32dd68031%7C_0.html

 

 

:Crylol:

 

Si Lysianne Gagnon pense vraiment ce qu'elle dit à propos de l'enseignement de l'anglais langue seconde alors elle devrait nous expliquer pourquoi le Québec a le meilleur taux de gens bilingues de tous le Canada .... :whistlingb:

 

Le journal La Presse est un média totalement biaisé  de propagande fédéraliste  alors il faut prendre les articles de ces journaleux avec un gros grain de sel....

 

Le journal La Presse, c'est comme Fox News. Totalement biaisé et très faible crédibilité. 

 

Le journal La Presse c'est aussi un journaleux propagandiste comme Patrick Lagacé qui a déjà dit qu'au nom de la laicité, fallait enlever la croix sur le Mont-Royal... ça te donne une idée du type de journaleux qu'il est !

 

Je suis allé à l'école publique francophone et je parle très bien l'anglais, j'écoute régulièrement les progammes de la télé américaine, les Stephen Colbert, Conan O'Brien, Jimmy Kimmel etc 

 

Bizarre n'est pas ?

 

Lysianne Gagnon ne doit pas être contente ! 

 

 

Modifié par resterzen
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  • Habitués
Il y a 3 heures, resterzen a dit :

 

:Crylol:

 

Si Lysianne Gagnon pense vraiment ce qu'elle dit à propos de l'enseignement de l'anglais langue seconde alors elle devrait nous expliquer pourquoi le Québec a le meilleur taux de gens bilingues de tous le Canada .... :whistlingb:

 

Le journal La Presse est un média totalement biaisé  de propagande fédéraliste  alors il faut prendre les articles de ces journaleux avec un gros grain de sel....

 

Le journal La Presse, c'est comme Fox News. Totalement biaisé et très faible crédibilité. 

 

Le journal La Presse c'est aussi un journaleux propagandiste comme Patrick Lagacé qui a déjà dit qu'au nom de la laicité, fallait enlever la croix sur le Mont-Royal... ça te donne une idée du type de journaleux qu'il est !

 

Je suis allé à l'école publique francophone et je parle très bien l'anglais, j'écoute régulièrement les progammes de la télé américaine, les Stephen Colbert, Conan O'Brien, Jimmy Kimmel etc 

 

Bizarre n'est pas ?

 

Lysianne Gagnon ne doit pas être contente ! 

 

 

 

C'est marrant, moi je l'aime bien Lagacé, c'est plutôt Martineau qui m'agace ;) Pour moi le fox news québécois c'est plutôt le Journal de Montréal loin devant ! Ils font dans le sensationnel et le racisme primaire pour attirer une frange de Québécois qui se sentent envahis de toute part et qui ne sont pas capables de voir plus loin que le bout de leur nez, ni de comprendre que sans immigration, le Québec serait déjà en faillite... Bref... Je ne vais pas aller plus loin, sinon ce post va dégénérer ;)

 

Toujours est-il que, pour revenir au sujet qui nous préoccupe, tu le dis toi-même, tu n'as pas appris l'anglais à l'école mais en regardant la télé, parce que l'école (aussi bien en France qu'au Québec) est incapable d'enseigner l'anglais correctement, alors que dans la vraie vie c'est juste indispensable ! Moi aussi avant d'arriver ici je pensais que tout le monde était bilingue, et une fois sur place, je me suis rendue compte que pas du tout ! Les Québécois ont peut-être moins honte et moins de retenue à essayer de parler anglais que les Français, mais pour le reste, ça baragouine comme ça peut, et c'est vraiment du gâchis d'en arriver là dans une ville avec une telle présence anglophone :( 

 

Après, oui, les parents peuvent espérer qu'à 20 ans, leurs enfants se remettent à niveau en regardant spontanément les films en anglais, mais moi je fais partie des parents qui n'ont pas envie de savoir si par hasard, avec un peu de chance, leur enfant va finir par être pas pire en anglais à l'âge adulte... J'ai toujours voulu que ma fille soit une vraie bilingue pour son avenir, qu'il soit ici à Montréal ou ailleurs au Canada ou pourquoi pas dans d'autres pays anglophones, si elle maîtrise totalement la langue, ça fait déjà un souci de moins, leur avenir va déjà être assez compliqué comme ça, alors autant mettre tout de suite le plus de chances de leur côté :)

 

Et une bonne fois pour toutes, arrêtons de voir les langues comme un danger, mais plutôt comme une chance dans la vie ! Si tout le monde voyait les choses comme ça, on n'en serait peut-être pas là aujourd’hui ! :)

 

 

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il y a 41 minutes, Isa78 a dit :

ni de comprendre que sans immigration, le Québec serait déjà en faillite...

C'est rigolo ça : un simple calcul, les un peu près 10 000 immigrants éduqués annuels sauvent les 8 000 000 millions quebecois ignares de la faillite...

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@isa78, que dire si ce n'est que je partage entièrement ton avis, et merci pour cet article tes intéressant.

Je nai encore assez de recul sur le système educatif ici au quebec, mais en parlant avec des québécois ou des immigrés, tous déplorent le faible niveau d enseignement de l anglais. Peut être que je ne suis tombé que sur des pro-anglais, mais c'est ce qui est ressorti des conversations. Et cette frustration à ne pas pouvoir apprendre correctement l anglais à l école publique fait le beurre des écoles d anglais privées, qui comme je le disais plus haut affichent complet pour des cours d 1h30 à des petits de 3 ans !

Les écoles anglophones privées sont hors de prix, et maintenant j'ai compris qu'on ne pouvait plus contourner la loi 101 en envoyant 1 an ou 2 son enfant dans ces écoles pour qu'ils décrochent le fameux critère "a effectué la majeure partie de ses études en anglais au Canada" , afin de rentrer dans le système anglophone public.

Je trouve ça très dommage et comme@isa78 je souhaite vraiment que ma fille soit bilingue.... Je me suis rendu compte de la chance que j'avais de maîtriser plusieurs langues lors des entretiens d embauche, en France, ailleurs et même ici au quebec ...la maîtrise de l anglais n est pas un atout sur un cv, c'est devenu un pré requis obligatoire dans de nombreuses professions. Perso, je ne comprends pas qu'on ne veuille pas favoriser l enseignement de l anglais... J'ai fait une partie de mes études supérieures entièrement en anglais, j'ai bossé en anglais, ca n'est pas pour autant que j'ai renié la langue française ni la culture française....

Je ne sais pas ce qu'il en est au quebec, mais en France j'avais l impression que certains étaient réfractaires à l anglais car ils se sentaient menacés par la vilaine mondialisation qui allait à coup violent d anglais leur enlever leur identité...il serait temps de se réveiller et de regarder le monde: en Inde, au moyen orient, en Asie, beaucoup de gens parlent très bien anglais et sont très attachés à leur culture religion, mode de vie. Ils ont juste compris que c'était un atout



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Il y a 7 heures, kuroczyd a dit :

C'est rigolo ça : un simple calcul, les un peu près 10 000 immigrants éduqués annuels sauvent les 8 000 000 millions quebecois ignares de la faillite...

Ou ça 10 000? En 2016 les travailleurs qualifiés et les investisseurs représentent 30 000 personnes...

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Ou ça 10 000? En 2016 les travailleurs qualifiés et les investisseurs représentent 30 000 personnes...

C est bien connu que 100% des RP trouvent un super travail qualifié pour sauver la nation locale....
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il y a 23 minutes, kuroczyd a dit :


C est bien connu que 100% des RP trouvent un super travail qualifié pour sauver la nation locale....

Est ce que j'ai dit ça ? Non... Je corrige juste ton 10 000 complètement erroné. 

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Est ce que j'ai dit ça ? Non... Je corrige juste ton 10 000 complètement erroné. 

Corrige comment ? En disant n importe quoi? J ai dis 10 000 en pensant à 40000 RP annuels. Si tu dis 30000 RP annuels, je corrige: pour moi ca ne donne que 8000 personnes qui finissent sur de bons boulots dans les 3 ans après leur arrivée.
De là, les nommer les sauveurs de la nation....
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Ah c'est vrai il faut toujours préciser sa pensée quand on sort des chiffres d'un chapeau... au fait c'est quoi un bon boulot? C'est quoi un immigrant éduqué? 

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Je ne sais pas ce qu'il en est au quebec, mais en France j'avais l impression que certains étaient réfractaires à l anglais car ils se sentaient menacés par la vilaine mondialisation qui allait à coup violent d anglais leur enlever leur identité...il serait temps de se réveiller et de regarder le monde: en Inde, au moyen orient, en Asie, beaucoup de gens parlent très bien anglais et sont très attachés à leur culture religion, mode de vie. Ils ont juste compris que c'était un atout

 

 

 

 

 

 

La situation du Québec ne se compare pas à la France, ni à l’Inde ou à l’Asie. C’est une question de nombre de locuteurs.

 

C’est sérieux tout ça?

 

Est-ce un manque de connaissances sociolinguistiques ou du mépris?

 

Quand la loi 101 a été adoptée en 1977 c’était pour faire du français, entre autres, la langue de l’enseignement et du travail. Il ne faut pas remonter très loin dans l’histoire du Québec pour voir la place que prenait l’anglais. On travaillait dans des « shop » pour des « boss » qui ne parlaient pas français et qui donnaient leurs ordres en anglais.

 

Vous, vous arrivez ici et non seulement vous nous regardez de haut, mais vous ne respectez pas qui nous sommes et d’où nous venons. Vous ne voyez même pas que c’est encore un miracle que nous parlions français en 2017 au Québec. Tout ce que vous voyez c’est un manque d’ouverture sur le monde parce qu’on protège le français et que ça vous empêche de faire ce que vous voulez.

 

Une chance qu’il y a aussi des néo-Québécois qui comprennent l’importance de la protection de la langue française en Amérique.

 

 

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Ah c'est vrai il faut toujours préciser sa pensée quand on sort des chiffres d'un chapeau... au fait c'est quoi un bon boulot? C'est quoi un immigrant éduqué? 

Si un minimum de réflexion te dépasse et qu'il faut simplifier les idées pour toi, je n'y peux rien.
Qui sont ces immigrés qui sauvent le Québec de la faillite? Les 30000 immigrants annuels?
Ceux qui peinent 5 ans de boulot en boulot car l immigration a sélectionné des candidats inemployables/inadaptés ou qui on besoin de refaire une bonne partie des études ?
De belles histoires de réussite existent, des gens qui s intègrent à merveille et qui font progresser l économie, ça existe.
Dire que les grands sauveurs du Québec de la faillite sont les immigrants, c est simplement de l égocentrisme.
On n est pas une vacherie près. Il ne manque plus que le couplet sur l illettrisme des Québécois...
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  • Habitués


Dire que les grands sauveurs du Québec de la faillite sont les immigrants, c est simplement de l égocentrisme.
On n est pas une vacherie près. Il ne manque plus que le couplet sur l illettrisme des Québécois...


Merci, sincèrement.



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