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Le Québec, une sacré machine à jobs pour les Français


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D'ici cinq ans, 700.000 emplois seront disponibles au Québec, dont 20% seront occupés par les immigrés. Parmi les candidats privilégiés les Français sont en très bonne position.

Caroline Blais est directrice principale "acquisition de talents", chez Cofomo, une SSII spécialisée dans les technologies de l’information et de la communication basée à Montréal et Québec. Sa préoccupation du moment: pourvoir une quinzaine de postes au sein du groupe qui emploie environ 1.000 salariés. Analyste programmeur, administrateur de base de données, chargé de projets, administrateur réseau… "Nous recrutons en continu", affirme-t-elle. Mais voilà, elle doit faire face à un mal typiquement québécois. Avec un taux de chômage d’à peine 7% pour une population de 8 millions d’habitants, le Québec doit composer avec une raréfaction - voire même dans certains secteurs une pénurie de main-d’œuvre - en particulier dans les emplois les plus qualifiés. "Rien qu’à Québec, neuf actifs sur dix âgés de 25 à 54 ans ont un emploi", regretterait presque Carl Viel, PDG de Québec International, agence de développement économique de la ville de Québec.

Il faut dire que selon les prévisions d’Emploi-Québec, plus de 700.000 emplois seront disponibles au Québec au cours des 5 prochaines années, dont près de 20% seront occupés par la future population immigrante. Nicolas Clusiault directeur des ressources humaines chez Momentum Technologies (services-conseils dans les technologies) en sait quelque chose. Sur ses 140 salariés, l’entreprise située à Québec compte déjà 27 nationalités. Pour faire face à la croissance de son activité, Momentum Technologies est ainsi aller dénicher des talents aux Etats-Unis, en Amérique latine mais aussi… en France. Caroline Blais de chez Cofomo a, elle aussi, traversé l’Atlantique pour recruter.

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50% des offres d'emploi issues des TIC

Les 28 et 29 mai, les deux canadiens participent ainsi aux "Journées Québec", événement organisé depuis 2008 deux fois par an par les ministères de l’Immigration et du Travail québécois, en partenariat avec Pôle emploi et les cellules de développement économique international de Montréal, de la ville de Québec et de Drummondville. Deux journées durant lesquelles 28 entreprises rencontrent à Paris des candidats au départ avec 619 postes à pourvoir à la clé (inscriptions clôturées). S’il représente en moyenne la moitié des offres d'emploi, le secteur des nouvelles technologies n’est pas le seul en tension. Rémi Gauthier, directeur général de Soucy Rivalair, spécialisée dans l’usinage, cherche par exemple des machinistes opérateurs pour son usine de Drummondville. Lui, est même parfois obligé de refuser des commandes par manque de main-d’œuvre. "L’évolution de mon chiffre d’affaires est tributaire de la croissance de mes recrutements", lâche le dirigeant de cette PME de 110 salariés qui s’est lui aussi tourné vers les travailleurs français. Parmi les autres secteurs en difficulté, ceux du jeu vidéo, de l’aérospatiale, de la santé, ou encore du génie mécanique sont également en première ligne.

Des métiers sur lesquels les Français sont particulièrement prisés. "Ils sont généralement très qualifiés et bien formés, estime David Lebel, directeur attraction talents chez Montréal international, l’agence de développement économique du Grand Montréal. En plus de cela, nous partageons la même langue ce qui facilite considérablement l’intégration des nouveaux arrivants et de leurs familles qui se sentent ainsi moins dépaysés." Pour les attirer, les régions québécoises mettent le paquet. De la gestion de la paperasse administrative à l’inscription des enfants à l’école en passant par la recherche d’hébergement, "nous nous occupons de tout pour leur offrir un accueil personnalisé", affirme Alex Bussière, commissaire à l’emploi et à l’immigration de la Société de développement économique de Drummondville. L’objectif de cette agglomération de 100.000 habitants est clair: "créer un avantage compétitif par rapport aux autres grands pôles d’activité du Québec". "Nous avons développé des services pour garantir les meilleurs conditions d’accueil et d’assistance à ces nouveaux arrivants", vante de son côté Carl Viel de Québec International, quand David Lebel, lui, pointe la "qualité de vie de Montréal, dotée de l’une de la plus forte communauté française du Québec".

6.000 Français attirés par an

Une opération séduction qui, même si les conditions d’admission ont été restreintes dernièrement, pousse plus de 6.000 Français à tenter l’aventure québécoise chaque année. L’Hexagone représente ainsi le 2ème pays pourvoyeur d’immigrés du Québec entre 2010 et 2014, talonnant de près la Chine. Rien qu’en 2013, 15.450 travailleurs temporaires issus de la France ont été admis (contre 11.629 en 2009). Une hausse qui s’explique notamment par le développement du "Programme-vacances-travail" (PVT), qui permet aux jeunes de moins de trente ans d’obtenir un visa temporaire d’un an leur permettant de rester sur le sol canadien pour travailler, voyager et/ou étudier. C'est l'option qu'a choisi Joanna. Aujourd'hui âgée de 27 ans, cette jeune femme originaire de Toulouse a débarqué à Montréal en 2013 grâce à ce fameux sésame. Une ville dont elle tombée sur le charme et dans laquelle elle a rapidement trouvé un emploi au sein d'une boulangerie-pâtisserie-traiteur qui compte quatre succursales. "Ici, on te donne ta chance. Le contact est simple avec les supérieurs, et il est facile de gravir les échelons", raconte-t-elle. Elle en veut pour preuve sa propre expérience: la toulousaine est aujourd'hui directrice de l'enseigne et vient de déposer une demande de résidence permanente.

Comme Joanna, une fois sur place, peu reviendraient en arrière. "Les entreprises québécoise enregistre un taux de rétention des salariés français de 76%, preuve de notre grand souci apporté à l’intégration de ces nouveaux arrivants dans notre société", revendique Eve Bettez, attachée au Bureau d’immigration du Québec à Paris, qui pilote les "Journées Québec". L’événement a attiré plus de 12.000 candidatures pour cette 14ème édition. Pour ceux qui ont raté le coche, pas de panique, rendez-vous en novembre où de nombreux employeurs québécois dérouleront encore une fois leur tapis rouge.

 

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Il y a 10 heures, immigrer.com a dit :

D'ici cinq ans, 700.000 emplois seront disponibles au Québec, dont 20% seront occupés par les immigrés.

 

Bla bla bla .... :)

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Je me demande encore comment il peut y avoir du chômage au Québec avec tout ces postes à pourvoir! Je suis ici depuis 2002 et c'est toujours le même refrain!

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  • Habitués

moi ca fait 3 mois que je cherche, tjrs rien. moi je pense le Quebec est une sacrée machine à chômage. depuis une semaine j'ai arrêté les recherches. en train de préparer mon voyage chez les anglos. eux ils ont aucune rancune envers les immigrés.

j'ai passé 3 jours à Ottawa, la semaine passée. grosse différence sur tout les niveaux. envie de passer ma vie dans un endroit qui a de l'avenir.

les immigrant se sentiront mieux quand le Quebec saura combattre son propre complexe.

dans qques semaine ca va etre adios l'amigos

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...Avec un taux de chômage d’à peine 7% pour une population de 8 millions d’habitants, le Québec doit composer avec une raréfaction - voire même dans certains secteurs une pénurie de main-d’œuvre 

 

>>>> Il faut comprendre que selon les économistes canadiens, le plein emploi (au Canada) c'est à partir de 7% de chômage. En dessous de 7% c'est la pénurie. Pourquoi? parce qu'il y aura toujours une certaine inadéquation entre les besoins et la disponibilité de la main d'oeuvre, sans parler des chômeurs pour qui cela ne vaut pas la peine d'aller loin pour pouvoir travailler, ou de changer de région voir de province.  Sources : mes cours d'économie à U du Qc.

 

 

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  • Habitués
Il y a 4 heures, Al Bachino a dit :

moi ca fait 3 mois que je cherche, tjrs rien. moi je pense le Quebec est une sacrée machine à chômage. depuis une semaine j'ai arrêté les recherches. en train de préparer mon voyage chez les anglos. eux ils ont aucune rancune envers les immigrés.

j'ai passé 3 jours à Ottawa, la semaine passée. grosse différence sur tout les niveaux. envie de passer ma vie dans un endroit qui a de l'avenir.

les immigrant se sentiront mieux quand le Quebec saura combattre son propre complexe.

dans qques semaine ca va etre adios l'amigos

 Cher Al B. Je lis vos commentaires sur plusieurs forums et je peux conclure avec ce dernier ci-haut ,que vous êtes une machine à trolles.  Vous êtes Québécois. Pourquoi prétendre être un immigrant ? 

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  • Habitués
Il y a 4 heures, Ivy Bijou a dit :

...Avec un taux de chômage d’à peine 7% pour une population de 8 millions d’habitants, le Québec doit composer avec une raréfaction - voire même dans certains secteurs une pénurie de main-d’œuvre 

 

>>>> Il faut comprendre que selon les économistes canadiens, le plein emploi (au Canada) c'est à partir de 7% de chômage. En dessous de 7% c'est la pénurie. Pourquoi? parce qu'il y aura toujours une certaine inadéquation entre les besoins et la disponibilité de la main d'oeuvre, sans parler des chômeurs pour qui cela ne vaut pas la peine d'aller loin pour pouvoir travailler, ou de changer de région voir de province.  Sources : mes cours d'économie à U du Qc.

 

 

 Oui , la méthodologie du calcul du taux de chômage m'a toujours fasciné.  Aux USA  ils ont des taux presque fantaisistes par rapport à nous !  Faut pas oublier qu'ils ont 11 millions de sans papiers,  des gens invisibles  dans les statistiques.   Je crois que 7 % Québec c'est 5 % US.  

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Il y a 20 heures, immigrer.com a dit :

 

Caroline Blais est directrice principale "acquisition de talents", chez Cofomo, une SSII spécialisée dans les technologies de l’information et de la communication basée à Montréal et Québec. Sa préoccupation du moment: pourvoir une quinzaine de postes au sein du groupe qui emploie environ 1.000 salariés. Analyste programmeur, administrateur de base de données, chargé de projets, administrateur réseau… "Nous recrutons en continu", affirme-t-elle.

 

Je me souviens du temoignage d'une personne recrutee aux JQ et viree avant meme d'avoir pris son avion : finalement l'entreprise avait perdu le contrat en vue.

 

Etre recrute avec in PTT c'est deja accepter une relative precarite. Mais aller travailler pour une SSII,  c'est multiplier les facteurs de risques: a tout moment on se retrouver victime des decisions de l'entreprise + les decisions des entreprises clientes (marche refuse, missions imterrompues, etc). 

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Je me souviens du temoignage d'une personne recrutee aux JQ et viree avant meme d'avoir pris son avion : finalement l'entreprise avait perdu le contrat en vue.

 

Oui@Jefke c'est vrai notamment des gens recrutés aux JQ par Fujitsu pour des mandats dans des ministères à Québec où les coupes budgétaire du gouvernement on annulé pas mal de contrats de mandats ou globaux avec des sociétés de services professionnels. Personnellement j'ai été en contact avec deux personnes dans ce cas (virées avant d'avoir décollé). Mais aussi deux autres déjà en PTT ici (fort heureusement pour ces deux là ils ont trouvé un autre emploi chez des gros joueurs à Québec (IA et DesJardins) pour qui le renouvellement d'un PTT n'était pas un frein).

Il faut savoir que les coupes du gouvernement de la dernière année et demi ont obligés pas mal de sociétés de services TI à licencier sur Quebec, Fujitsu ... et même CGI.

Ce qui rend un peu surréaliste et contradictoire la réalité du terrain et les articles tel celui de ce thème de départ, on va avoir pénurie de jobs dans des secteurs ou présentement on vire et déstaffe pour raison de coûts (soins de santé, administrations publiques...) ou alors on a besoin de main d'œuvre qualifiée mais le monde du travail québécois fait la fine bouche car ses immigrés n'ont pas d'expérience québécoise ou un diplôme québécois.

Ces 20% de 700.000 emplois, je pense pas que ce sont tous des jobines ;-)

A propos de cette reconnaissance de l'expérience et des diplômes "d'ailleurs", j'ai eu des retours de Québécois "pur laine" comme ils se qualifient eux même, qui trouvent cela scandaleux. Ces québécois travaillant dans le privé (banques, industrie, commerce) ou dans l'associatif d'aide à l'insertion des nouveaux arrivants au travail.

Selon eux, il y a deux raisons à cela:

- la puissance des ordres professionnels qui font du protectionnisme vis-à-vis des arrivants

- le lobby du business des études (universités, cégep,...) et de la formation en tout genre.

Ces deux là se renforçant mutuellement.

Q

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C est clair que ce type d article est provocateur mais l idée qui se cache derrière est le départ à la retraite de babyboomers qui se fera ressentir de plus en plus dans les années à venir.

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Ça veut dire quoi? Que la relève est mal formé ou inefficace? Ou qu ce sont des postes fantômes?

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il y a 28 minutes, kuroczyd a dit :

C est clair que ce type d article est provocateur mais l idée qui se cache derrière est le départ à la retraite de babyboomers qui se fera ressentir de plus en plus dans les années à venir.

Sauf que départ ne rime pas forcément avec poste à pourvoir... ces articles sortent constamment et faussent complètement le jugement des immigrants notamment.

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il y a 34 minutes, kuroczyd a dit :

C est clair que ce type d article est provocateur mais l idée qui se cache derrière est le départ à la retraite de babyboomers qui se fera ressentir de plus en plus dans les années à venir.

 

Oui, on s'entend ... juste que ces jobs ne sont pas et ne seront pas servis sur un plateau d'argent.

Q

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  • Habitués
@juetben tu serais étonné de voir combien de compagnies ont une vue à court terme et ne s aperçoivent qu au dernier moment qu ils auront à embaucher. Pour les 700 000, il faudrait voir d où sort le calcul car effectivement les départs sont comblés naturellement par des nouveaux travailleurs sur le marché du travail. Si ce chiffre prend déjà en compte ce remplacement naturel, on aura effectivement un déficit en main d oeuvre. Qu elle ne soit pas de 700m mais de 500m ou 300m, ce serait déjà alarmant.
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@Hei c est peut-être pour ça que les même chiffres reviennent depuis quelques années si les gens en âge de l'age retraite la repoussent...?
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  • Habitués
il y a 10 minutes, Hei a dit :

 

Non ils reviennent prendre leur place tout simplement 

 

... et gagner bien plus : retraite de fonctionnaire + beau salaire de consultant pigiste placé via des entreprises qui ont des contrats de services professionnels avec le gouvernement.

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Il y a 3 heures, Hei a dit :

 

J'ai l'exemple aussi  de retraités ex fonctionnaires qui touchent leur retraite et qui reviennent travailler au ministère en tant que consultants alors qu'ils pourraient laisser ces postes à ceux qui en ont vraiment besoin.

 

 

  Oui c'est un phénomène connu. Et même dans une usine !  Retraite à 50 ans, le mec revient travailler en sous-traitance ( lire intérimaire ). Il vide la caisse de retraite pendant que le patron vient d'éliminer un poste permanent.   Il y a aussi ce  jeune retraité qui vient travailler  à mes côtés dans un autre domaine. Le patron sait qu'il profite  de généreux revenus de retraite . Il  est en position confortable...  Et vive  cette nouvelle classe sociale..... La dilettantocratie !!!!

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Il y a 7 heures, Hei a dit :

 

J'ai l'exemple aussi  de retraités ex fonctionnaires qui touchent leur retraite et qui reviennent travailler au ministère en tant que consultants alors qu'ils pourraient laisser ces postes à ceux qui en ont vraiment besoin.

 

 

 

Ben oui, mais ils ont une expertise de longues années qui ne s'acquiert pas en claquant des doigts et il viennent travailler à temps partiel ( ils sont obligés s'ils veulent continuer à toucher leur retraite), ce qui ne conviendrait peut-être pas à des travailleurs réguliers. Qui veut travailler à temps partiel lorsqu'il a toute une famille à faire manger?

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  • Habitués
Il y a 7 heures, qwintine a dit :

 

... et gagner bien plus : retraite de fonctionnaire + beau salaire de consultant pigiste placé via des entreprises qui ont des contrats de services professionnels avec le gouvernement.

 

Les ministères ont actuellement une politique visant à éliminer les consultants, d'autant que faire affaire avec un consultant est devenu extrêmement réglementé depuis la commission Charbonneau. 

Modifié par Cherrybee
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il y a 25 minutes, Cherrybee a dit :

 

Qui veut travailler à temps partiel lorsqu'il a toute une famille à faire manger?

Énormément de travailleurs qui doivent justement cumuler des temps partiels pour pouvoir vivre correctement faute de trouver un temps plein convenable...

 

En gros c'est cela les 700 000 emplois! Des temps partiels que se partagent une partie de la population... 

 

Parce que entre ''emploi'' et emploi de qualité il y a une marge qui est souvent énorme!

 

Juste l'exemple de ma femme, elle travaille en gros entre 75 et 80 heures par 2 semaines, son entreprise voulait améliorer ''la qualité de vie'' de ses employés en imposant 55 à 60 heures au 2 semaines! Méchante amélioration qualifié de travail permanent à temps plein! Devant la colère des employés la qualité de vie est devenue 70 à 75 heures et l'imposition de 2 samedis par mois! Merveilleux!

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