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Entre amour et désamour... les 5 phases de l'immigration au Québec


lovcen

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  • Habitués

J'ai immigré au Canada depuis près de 7 ans.

J'ai passé 3.5 ans au Québec, 2 ans en Ontario, 4 mois en Saskatchewan et maintenant 6 mois au Manitoba.

Pour moi, l'immigration est une expérience de vie et je ne regrette qu'une chose: ne pas avoir quitté le Québec au bout d'un an.

Merci pour ton témoignage, je te souhaite un bon succès là où tu y vas !

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  • Habitués

merci mais c'est trop petit et trop limité en termes de perspectives pour un français entrepreneur.

:Crylol:

t'as oublié de rajouter 'pour un français à la tête enflée' dans ta phrase..

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  • Habitués

merci mais c'est trop petit et trop limité en termes de perspectives pour un français entrepreneur.

:Crylol:

t'as oublié de rajouter 'pour un français à la tête enflée' dans ta phrase..

Tout est question de perspective.

C'est sur que vous devez tout avoir du québécois à petite tête, petite vision, petits bras, petit !

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  • Habitués

merci mais c'est trop petit et trop limité en termes de perspectives pour un français entrepreneur.

:Crylol:

t'as oublié de rajouter 'pour un français à la tête enflée' dans ta phrase..

Tout est question de perspective.

C'est sur que vous devez tout avoir du québécois à petite tête, petite vision, petits bras, petit !

:rolleyes2:

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  • Habitués

merci mais c'est trop petit et trop limité en termes de perspectives pour un français entrepreneur.

:Crylol:

t'as oublié de rajouter 'pour un français à la tête enflée' dans ta phrase..

Tout est question de perspective.

C'est sur que vous devez tout avoir du québécois à petite tête, petite vision, petits bras, petit !

:rolleyes2:
ben oui, tu ne vois pas qu il détient la vérité qui devient une réalité pan universelle suite à sa seule expérience. Si cela n est pas pour avoir le melon, c est quoi ? Le Québec est la région en Amérique du nord ou il y a le plus de français... à croire qu ils sont tous mazo et dans le déni de leur vie...
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  • Habitués

merci mais c'est trop petit et trop limité en termes de perspectives pour un français entrepreneur.

:Crylol:

t'as oublié de rajouter 'pour un français à la tête enflée' dans ta phrase..

Tout est question de perspective.

C'est sur que vous devez tout avoir du québécois à petite tête, petite vision, petits bras, petit !

:rolleyes2:
ben oui, tu ne vois pas qu il détient la vérité qui devient une réalité pan universelle suite à sa seule expérience. Si cela n est pas pour avoir le melon, c est quoi ? Le Québec est la région en Amérique du nord ou il y a le plus de français... à croire qu ils sont tous mazo et dans le déni de leur vie...

Pas une généralisation sans doute, mais une réalité pour nombre de français qui, pas masochistes (le z est de trop), quittent la belle province pour d'autres cieux.

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  • Habitués

La belle province = Montréal.

C'est un peu limité comme connaissance du Québec ...

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  • Habitués

Assistante de direction vs Entrepreneur... excusez moi mais factuellement il y a quand même une grande différence.

Oui. La qualité de vie ..... Et la liberté :wub2:

La liberté, c'est celle de ne devoir rendre compte qu'à ses clients, pas à son patron.

C'est aussi de pouvoir décider au lieu de suivre des instructions.

C'est enfin avoir les moyens financiers de sa liberté.

Ah, parce que vos clients ne vous tiennent pas par les c............. ?

Vous seriez bien le seul en Amérique du nord. Nous avons des clients et nous en connaissons les exigences.

Quant aux moyens financiers, on voit bien que c'est votre raison de vivre.

Pour moi, les moyens financiers de ma liberté, ce sont ceux qui me permettent de vivre normalement . Pas dans le luxe à outrance. Je trouve ça très matuvu.

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4 ans passe à Montreal et a 200 % d'accord avec l'analyse de lovcen

Alors pourquoi tu restes à Montréal ? C'est illogique ton affaire.

Personne ne te retiens au Québec. Tu peux quitter quand tu veux... :cool:

T'inquiètes je me casse je suis ton coseil

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Ton conseil pas ton coseil, je parle comme vous

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Maudit capitaliste que vous êtes, c'est avec des gens comme vous que la societe va mal ! Le pognon, encore le pognon.

Vous êtes tellement aliéner a l'argent et au profit... La societe capitaliste qu'elle soit au QC ou en France ou au USA ou le

profit est maître... C'est avec ce genre d’idée que vous créer des inégalités entre pauvre et riche...

Quittez le Quebec, et n'y revenez plus, ça fera du bien a la belle province ou la qualité de vie prime avant tout.

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  • Habitués

Maudit capitaliste que vous êtes, c'est avec des gens comme vous que la societe va mal ! Le pognon, encore le pognon.

Vous êtes tellement aliéner a l'argent et au profit... La societe capitaliste qu'elle soit au QC ou en France ou au USA ou le

profit est maître... C'est avec ce genre d’idée que vous créer des inégalités entre pauvre et riche...

Quittez le Quebec, et n'y revenez plus, ça fera du bien a la belle province ou la qualité de vie prime avant tout.

Je ne connais pas la Belgique suffisamment, mais en Amérique du Nord, ça fonctionne aussi beaucoup avec l'argent, peut-être plus qu'en Europe, de manière plus ouverte (on sait à quoi s'en tenir). Apparemment, vous êtes encore en Belgique... donc pas sur place!

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J'ai vécu pendant 1 ans au Québec, je suis Belge et oui ça fonctionne aussi avec le modèle capitaliste, je peux quand même critiqué ce système que défend point par point lovecs...

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  • Habitués

Pour le reste, c'est un déjeuner dimanche dernier qui m'a poussé à revenir sur ce forum.

Participants: un cadre supérieur de la banque nationale, un manager dans une entreprise TELCO, une directrice d'association para-publique québécoise, une entrepreneuse, une fonctionnaire... 3 français, 1 espagnol, 1 haitienne. Tous partageant le même point de vue vis à vis des québécois et la plupart en cours d'émigration ailleurs.

Quoi...? Ils partagent tous ce point de vue...?

La terre du milieu, imprégnée de ruralité, avec des gens rustiques et à l'accent rustique, relativement petits de taille... c'est le Québec.

Tant pis pour eux et ce n'est une grosse perte qu'ils s'en aillent.... On garde les meilleurs, ceux qui ont l'intelligence du coeur.

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J'ai immigré au Canada depuis près de 7 ans.

J'ai passé 3.5 ans au Québec, 2 ans en Ontario, 4 mois en Saskatchewan et maintenant 6 mois au Manitoba.

Pour moi, l'immigration est une expérience de vie et je ne regrette qu'une chose: ne pas avoir quitté le Québec au bout d'un an.

La phase 1 de la vie au Québec est positive et pleine d'espérance. On porte des lunettes roses ou bleues. Les gens paraissent ouverts, charmants, accueillants et les perspectives professionnelles semblent ouvertes.

En général, cette période dure entre 6 et 12 mois.

La phase 2, c'est celle dans laquelle on courbe l'échine, on fait profil bas, on tait sa culture, son expérience, même quand l'incompétence est reine, le français approximatif. On cherche à s'adapter et à comprendre les codes.

On se rend compte qu'il y a des murs et des plafonds de verre dans la société québécoise, que le fait d'être français de France, et tout particulièrement de Paris, n'est pas un avantage, que l'expérience extérieure au Québec n'est pas valorisable sur l'île de Montréal ou dans la vieille capitale.

Parler avec l'accent français dans le domaine professionnel induit une séparation de fait et la sophistication du français de France par rapport au Québécois pure laine génère des frustrations, complexes et parfois mesquineries et coups dans le dos.

On comprend que tenter d'expliquer et de partager ce qu'on a vécu en France, c'est perçu souvent comme de la condescendance.

La phase 3, c'est celle de l'exaspération face au maudit consensus, aux québécois pontifiants qui se gargarisent de riens, à la non-qualité instaurée en standard, aux experts qui n'ont parfois aucune expérience pratique dans les faits et aucun retour d'expérience.

On se rend compte de la réalité de nos racines et de la différence culturelle. On redresse l'échine et on commence à dire bien haut que non, des courriels truffés de fautes d'orthographe, de grammaire, de barbarismes... on ne les envoie pas à un client. On soupire devant les séances de pow wow qui ne débouchent sur rien tant que tout le monde n'est pas d'accord. On commence à rétorquer que les anglicismes dans le langage courant des québécois ''c'est le fun !'' et qu'on n'a rien à reprocher aux français de France. On se met à recadrer les québécois sur les définitions des mots dont la signification se perd.

On devient un maudit français.

La phase 4, c'est celle des tensions qui s'accumulent, des pratiques managériales qu'on découvre, des tours de cochon qu'on subit.

Le départ n'est plus loin et tout devient insupportable, les autres, soi-même.

Le québécois est comme un hobbit de la terre du Milieu. Il déteste les trouble paix, il sort peu de son territoire et est dans les fait très protectionniste et fermé à tout ce qui pourrait le remettre en question.

Pour faire un parallèle avec ce qu'on pourrait trouver en France, le décalage entre le parisien et le montréalais moyen est pratiquement de même nature qu'entre le picard de la banlieue de Beauvais et le bobo du 5ème arrondissement.

La phase 5, c'est celle du désamour et du départ, vers la France, vers d'autres provinces du Canada, ou aux USA.

Quand je rencontre des français qui ont passé plus de 5 ans à Montréal, c'est fou le nombre de ceux qui se défoulent collectivement au sujet du gâchis de l'immigration au Québec et des travers des québécois dans le monde du travail. Car c'est bien de cela qu'il s'agit. Individuellement et dans la sphère sociale et culturelle, les québécois sont charmants. Mais dès qu'on entre dans la sphère professionnelle, là ça se gâte et la comparaison avec l'expérience d'un immigrant en Ontario ou dans l'Ouest canadien est largement en défaveur du Québec pour un francophone.

J'ai quitté le Québec depuis 2012 et je ne peux plus envisager de travailler dans cette province, ni même avec des québécois. Trop de problèmes, trop Anglos dans leur mode de fonctionnement.

C'est comme si la domination anglaise avait laissé stagner le pire de la perfide Albion dans la mentalité québécoise: rien de face, tout dans le dos ! une mentalité insulaire fermée à ce qui se passe dans le reste du Monde. Un opportunisme à courte vue pour repiquer et s'approprier les acquis des autres.

En conclusion, si vous êtes français, parisien, que vous avez des aspirations professionnelles et que avez fait le choix du Canada, passez vite votre chemin au Québec.

Vous vous éviterez bien des désillusions et gagnerez du temps et de l'argent là où votre langue sera un atout et pas une nécessité.

PK mettre tout le monde dans le même lot? En gros a vous lire ce serez comme ca pour tout le monde.. Laissez les gens avoir leur propres expériences et opinions. Ce qui se passe pour vous ne l est pas pour tous! Je suis parisienne et je vis très bien au quebec! Je n ai jamais eu aucuns soucis que vous avez rencontré!je ne trouve rien d intéressant dans un post comme le votre ou vous généralisez... Et votre mise en garde... Les parisiens passez votre chemin mais les sudistes peuvent y aller ? Revoyez le fond de votre post...
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  • Habitués

J'ai immigré au Canada depuis près de 7 ans.

J'ai passé 3.5 ans au Québec, 2 ans en Ontario, 4 mois en Saskatchewan et maintenant 6 mois au Manitoba.

PK mettre tout le monde dans le même lot? En gros a vous lire ce serez comme ca pour tout le monde.. Laissez les gens avoir leur propres expériences et opinions. Ce qui se passe pour vous ne l est pas pour tous! Je suis parisienne et je vis très bien au quebec! Je n ai jamais eu aucuns soucis que vous avez rencontré!je ne trouve rien d intéressant dans un post comme le votre ou vous généralisez... Et votre mise en garde... Les parisiens passez votre chemin mais les sudistes peuvent y aller ? Revoyez le fond de votre post...

Libre à vous de considérer mes écrits comme une généralisation abusive ou l'expression d'un constat partagé par ceux qui quittent le Québec vers d'autres cieux pour le problème majeur que j'aborde: les rapports avec l'homo Quebecus dans la sphère socio-professionnelle.

Pour ce qui concerne les parisiens et provinciaux, j'ai constaté à Toronto que la majorité des français que je cotoyais dans les réseaux de mise en relation venaient de la région parisienne, étaient entrepreneurs ou avaient la volonté de le devenir et plaçaient leurs priorités dans le domaine professionnel.

Ceux que j'ai rencontrés à Montréal étaient beaucoup plus centrés sur leur qualité de vie et moins sur leur réussite professionnelle.

Je ne sais pas depuis combien de temps vous vivez au Québec. Peut-être réussirez vous à vous adapter sur la durée.

Pour ma part et celle de mon entourage, fils non compris, la messe est dite. J'ai trouvé mon bonheur ailleurs.

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  • Habitués

Pour le reste, c'est un déjeuner dimanche dernier qui m'a poussé à revenir sur ce forum.

Participants: un cadre supérieur de la banque nationale, un manager dans une entreprise TELCO, une directrice d'association para-publique québécoise, une entrepreneuse, une fonctionnaire... 3 français, 1 espagnol, 1 haitienne. Tous partageant le même point de vue vis à vis des québécois et la plupart en cours d'émigration ailleurs.

Quoi...? Ils partagent tous ce point de vue...?

La terre du milieu, imprégnée de ruralité, avec des gens rustiques et à l'accent rustique, relativement petits de taille... c'est le Québec.

Tant pis pour eux et ce n'est une grosse perte qu'ils s'en aillent.... On garde les meilleurs, ceux qui ont l'intelligence du coeur.

J'ai vécu pendant 1 ans au Québec, je suis Belge et oui ça fonctionne aussi avec le modèle capitaliste, je peux quand même critiqué ce système que défend point par point lovecs...

Etre patron d'une TPE c'est être un capitaliste exploiteur ?

Employer 3 personnes et créer de la valeur pour une communauté qui cherche à se développer c'est quoi pour vous ?

Bosser 60-70 heures par semaine pour réussir à bâtir une entreprise innovante c'est quoi ?

Un koulak à déporter en Sibérie ?

Faut changer de siècle camarade !

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  • Habitués

Assistante de direction vs Entrepreneur... excusez moi mais factuellement il y a quand même une grande différence.

Oui. La qualité de vie ..... Et la liberté :wub2:

La liberté, c'est celle de ne devoir rendre compte qu'à ses clients, pas à son patron.

C'est aussi de pouvoir décider au lieu de suivre des instructions.

C'est enfin avoir les moyens financiers de sa liberté.

Ah, parce que vos clients ne vous tiennent pas par les c............. ?

Vous seriez bien le seul en Amérique du nord. Nous avons des clients et nous en connaissons les exigences.

Quant aux moyens financiers, on voit bien que c'est votre raison de vivre.

Pour moi, les moyens financiers de ma liberté, ce sont ceux qui me permettent de vivre normalement . Pas dans le luxe à outrance. Je trouve ça très matuvu.

Le ton d'une poissonnière vous dessert Madame.

Pour ce qui est de la Relation Client, dans la vente de services de sécurité et de logiciels de pointe, généralement. on rencontre des interlocuteurs évolués. Tout est une question de valeur ajoutée.

Les moyens financiers sont le moyen de faire vivre ma famille confortablement et de pouvoir partir à la retraite avec autre chose que les subsides que nous reversera Revenu Canada.

Quoi de plus naturel ?

Devenir travailleur autonome ailleurs qu'au Québec m'a permis d'améliorer mon revenu.

Devenir entrepreneur m'a permis d'aller encore un peu au delà et de donner des perspectives à deux partenaires qui en avaient peu et qui m'accompagnent désormais dans mon projet.

Aller de l'avant, créer quelque chose, donner des perspectives aux gens et obtenir en récompense des efforts accomplis un meilleur revenu et de la reconnaissance dans les yeux des gens.

Le thème de ce post n'est pas ''M'as tu vu comme j'ai tu réussi en tabarnak ?'' mais ''les 5 phases vécues par ceux qui tombent en amour et en désamour vis à vis du Québec''.

Je devine que la réussite professionnelle d'autrui est quelque chose qui vous retourne une image dérangeante.

Mais à chacun ses choix, je ne critique pas le vôtre qui consiste à préférer être une employée de bureau.

Ne critiquez pas le mien qui consiste à vouloir être mon propre patron et à dire que je n'aurai jamais pu réaliser mon projet au Québec à cause du protectionnisme des québécois et de leur fermeture.

Modifié par lovcen
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  • Habitués

Pour le reste, c'est un déjeuner dimanche dernier qui m'a poussé à revenir sur ce forum.

Participants: un cadre supérieur de la banque nationale, un manager dans une entreprise TELCO, une directrice d'association para-publique québécoise, une entrepreneuse, une fonctionnaire... 3 français, 1 espagnol, 1 haitienne. Tous partageant le même point de vue vis à vis des québécois et la plupart en cours d'émigration ailleurs.

Quoi...? Ils partagent tous ce point de vue...?

La terre du milieu, imprégnée de ruralité, avec des gens rustiques et à l'accent rustique, relativement petits de taille... c'est le Québec.

Tant pis pour eux et ce n'est une grosse perte qu'ils s'en aillent.... On garde les meilleurs, ceux qui ont l'intelligence du coeur.

Ce que vous ne semblez pas comprendre Feminus Quebecus, c'est que vous ne gardez personne.

On décide de venir, de rester, de partir.

Laissez moi vous citer:

1) Ceux qui partent en ayant perdu leurs économies parce-qu'ils n'ont pas trouvé de travail sur place pendant des mois, voire des années, sauf à vivoter avec des jobines,

2) ceux qui partent parce-que les perspectives qu'on leur a vendu en France ne sont pas réelles,

3) Ceux qui restent parce qu'ils sont endettés et qu'ils n'ont même pas la possibilité financière de repartir,

4) ceux qui restent et qui doivent se contenter de devenir chauffeurs de taxi pendant des années lorsqu'ils font partie d'une minorité visible, parfois avec des diplômes de haut niveau obtenus au Québec,

5) ceux qui restent et qui ont trouvé chaussure à leur pied,

6) ceux qui restent et qui ont changé d'orientation et qui s'y font.

Dans l'ensemble ceux qui partent sont ceux qui ont perdu et ceux qui n'ont rien à gagner à rester et il y en a qui restent pour de mauvaises raisons.

Le nombre n'est pas négligeable quand vous sortez et que vous échangez des bilans de vie.

Le manque d'intelligence du coeur et d'intelligence tout court, c'est bien celui de certains québécois dans le domaine professionnel qui refusent de donner une chance d'adaptation aux immigrants expérimentés, en dehors de la construction, de l'informatique et de la restauration s'entend.

C'est ce: tout ce qui nous intéresse c'est ce qui se passe au Québec ! Combien de fois l'ai-je entendu ?

C'est ce gâchis de compétences pour préserver le pré-carré de gens bornés qui ne voient pas plus loin que la rive Sud et qui, de facto, montent des murs et des plafonds de verre pour les limiter les risques posés par des immigrants, riches de leur expérience d'ailleurs.

Les québécois sont chaleureux et compatissants dans leur sphère personnelle, mais dans le travail, soyez honnête, c'est chacun pour soi, entre soi et tant pis pour les autres.

Et bien ce n'est pas ce que je vis en Ontario et au Manitoba, et je le dis bien haut.

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  • Habitués

Le thème de ce post n'est pas ''M'as tu vu comme j'ai tu réussi en tabarnak ?'' mais ''les 5 phases vécues par ceux qui tombent en amour et en désamour vis à vis du Québec''.

Ce que vous ne semblez pas comprendre Feminus Quebecus, c'est que vous ne gardez personne.

Le problème, c'est que c'est exactement l'impression que vous donnez.

Et elle est générale.

D'ailleurs, vous n'avez toujours pas accédé à ma toute première demande dans mon message numéro 2 :

Témoignage très intéressant.

Personnellement, ce que j'aimerais, ce serait que vous remplaciez tous les "on" par des "je".

Nous ne vous en voudrons pas de ne pas avoir aimé le Québec. Ne nous en veuillez pas de l'aimer :smile:

Modifié par Cherrybee
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