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Université Laval - Arnaque au post-doctorat


NicolasGuillemin

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Bonjour à tous

J'écris ce message pour prévenir celles et ceux qui envisageraient de faire un post-doctorat à l'Université Laval (Québec), afin d'éviter de faire la même erreur que moi en choisissant cette université.

J'y ai fait un postdoctorat pendant 3 ans. J'ai délivré mes résultats comme c'était prévu. J'avais signé un contrat en tant qu'étudiant, donc avec un revenu non imposable au provincial. Ma troisième année s'est déroulée en 2013. En 2014, l'Université change mon statut de manière rétroactive, et passe mon statut d'étudiant en travailleur. J'ai dû m'acquitter de 1700$ de cotisations à payer à l'Université Laval. Récemment, j'ai été avisé que je devais payer 2200$ d'impôt supplémentaires pour 2013 en raison de mon changement de statut.

J'ai dû donc payer au final 3900$ pour avoir travaillé en 2013 dans cette université !

D'autant plus qu'en 2013, j'ai été payé 22000$ au lieu de 30000$, ayant passé plusieurs périodes sans contrat car l'administration a traîné des pieds pour mes renouvellements. Au final, pour 2013, j'ai donc gagné 18100$ pour un postdoctorat !!!

L'Université ne m'apporte aucune réponse à mes demandes pour me payer mon dû. Mon travail a produit des résultats, j'ai effectué ma mission dans les temps. Je ne peux même pas leur dire que je reprends mes résultats. Il est clair que si en 2013 on m'avait proposé de signer pour une rémunération de 18100$ j'aurais dit non. De plus je ne trouve aucun emploi dans mon domaine depuis plus d'un an, je travaille actuellement à temps partiel et au salaire minimum. Le service placement de l'Université est complètement inutile, et son accès m'a été coupé quelques jours après la fin de mon contrat. Personne de l'Université ne fait de suivi pour savoir si leurs étudiants trouvent un emploi.

Bref, cette université est à éviter absolument, pour moi c'est un établissement qui cherche clairement à arnaquer des étudiants étrangers en les faisant travailler avec des bas salaires pour des stages et les jette ensuite. Je fais des plans pour retourner en France, ma situation est exécrable au Québec. Je suis trouve cela stupide étant donné que le Canada cherche à attirer des jeunes diplômes mais visiblement l'Université Laval fait vraiment honte au Québec.

Cherchez ailleurs si on vous propose un post-doctorat à l'Université Laval. Pour moi c'est trop tard, mais vous pouvez encore agir si vous cherchez un post-doctorat au Québec.

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Alors là j'avoue que je suis un peu déboussolé...Pas plus tard qu'hier j'ai encore concentré mes recherches de PosDoc sur cette université et je me suis même déjà fait un plan des Profs à contacter, des sujets à discuter ou proposer, etc. Mais à la lecture de ton message, je ne sais plus quoi penser. C'est quoi ton domaine de formation ?

En 2013 quand tu signais ton contrat, tu devrais normalement savoir à peu près combien tu gagnerais jusqu'à échéance du contrat car le contrat devrait normalement porter sur une période bien définie dont les salaires cumulés seraient de 18100$...mais maintenant quand tu dis que tu allais dire non si tu avais su que c'est pour telle rémunération; le salaire, la déduction fiscale, la période de travail et ... ne sont-ils pas clairement spécifiés dans le contrat? Tu pourrais te baser sur ce qui est clairement spécifié dans le contrat pour te faire entendre par tous les moyens légaux non...? Enfin ce sont des interrogations qui me viennent comme ça.

Je suis intéressé par ta situation car je pourrais me retrouver dans la même situation et je te remercie d'ailleurs d'avoir bien voulu partager ton expérience.

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  • Habitués

Bonjour à tous

J'écris ce message pour prévenir celles et ceux qui envisageraient de faire un post-doctorat à l'Université Laval (Québec), afin d'éviter de faire la même erreur que moi en choisissant cette université.

J'y ai fait un postdoctorat pendant 3 ans. J'ai délivré mes résultats comme c'était prévu. J'avais signé un contrat en tant qu'étudiant, donc avec un revenu non imposable au provincial. Ma troisième année s'est déroulée en 2013. En 2014, l'Université change mon statut de manière rétroactive, et passe mon statut d'étudiant en travailleur. J'ai dû m'acquitter de 1700$ de cotisations à payer à l'Université Laval. Récemment, j'ai été avisé que je devais payer 2200$ d'impôt supplémentaires pour 2013 en raison de mon changement de statut.

J'ai dû donc payer au final 3900$ pour avoir travaillé en 2013 dans cette université !

D'autant plus qu'en 2013, j'ai été payé 22000$ au lieu de 30000$, ayant passé plusieurs périodes sans contrat car l'administration a traîné des pieds pour mes renouvellements. Au final, pour 2013, j'ai donc gagné 18100$ pour un postdoctorat !!!

L'Université ne m'apporte aucune réponse à mes demandes pour me payer mon dû. Mon travail a produit des résultats, j'ai effectué ma mission dans les temps. Je ne peux même pas leur dire que je reprends mes résultats. Il est clair que si en 2013 on m'avait proposé de signer pour une rémunération de 18100$ j'aurais dit non. De plus je ne trouve aucun emploi dans mon domaine depuis plus d'un an, je travaille actuellement à temps partiel et au salaire minimum. Le service placement de l'Université est complètement inutile, et son accès m'a été coupé quelques jours après la fin de mon contrat. Personne de l'Université ne fait de suivi pour savoir si leurs étudiants trouvent un emploi.

Bref, cette université est à éviter absolument, pour moi c'est un établissement qui cherche clairement à arnaquer des étudiants étrangers en les faisant travailler avec des bas salaires pour des stages et les jette ensuite. Je fais des plans pour retourner en France, ma situation est exécrable au Québec. Je suis trouve cela stupide étant donné que le Canada cherche à attirer des jeunes diplômes mais visiblement l'Université Laval fait vraiment honte au Québec.

Cherchez ailleurs si on vous propose un post-doctorat à l'Université Laval. Pour moi c'est trop tard, mais vous pouvez encore agir si vous cherchez un post-doctorat au Québec.

Ce que je ne comprends entre autres pas de ton histoire, c'est le service de placement! Je connais des personnes diplômées de l'Université Laval depuis quelque années, elles travaillent et elles ont utilisé sans problème, ce service il y a quelques mois!

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Mon domaine est la biologie, physiologie et génétique moléculaires plus précisément.

En ce qui concerne le service placement, je n'ai plus d'accès (mon login et mot de passe) quelques jours après la fin de mon post-doc. Je leur ai bien demandé de me le remettre, mais ça a tenu quelques jours. Après cela, impossible de me connecter et voir les offres. Je n'ai eu aucun suivi de mon post-doctorat, pour cela je me suis senti bien abandonné.

Moi aussi j'avais contacté un professeur pour le post-doctorat. Les 2 premières années se sont déroulées sans accroc. C'est la troisième et dernière année où la situation est devenu comme cela. J'ai signé plusieurs contrats au cours de l'année, pour quelques mois à chaque fois car l'administration ne me donnait pas une année complète mais pas petits bouts. Mais entre 2 contrats, l'administration a vraiment traîné ce qui fait que j'ai quelques mois dans 2013 où j'ai tout simplement travaillé sans être rémunéré ! Je l'ai fait pour avancer le sujet car on m'avait promis un poste à la fin de ce post-doctorat (promesse qui s'est révélée être fausse après que j'ai délivré les résultats).

J'ajoute que pour un post-doctorat, il n'y a pas de période de travail bien définie. Il faut faire avancer un sujet, c'est tout. On peut être amené à travailler tard pour finir une expérience par exemple.

Sur mes contrats, il est bien indiqué que c'est une bourse d'étude, donc c'est non imposable au provincial. C'est ce statut que l'Université a modifié a posteriori. J'ai envoyé de nombreux messages aux services de l'Université, je tente aujourd'hui de contacter d'autres acteurs car je ne reçois aucune réponse de la part de l'Université.

Personnellement je regrette amèrement d'avoir continué de travailler en 2013. J'ai écris ce message pour empêcher d'autres personnes de se faire avoir, et de se faire promettre un emploi.

Modifié par NicolasGuillemin
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Euh ... 'Faudrait pas être trop assisté non plus. T'es grand, t'as un post-doc dans les jambes, tu peux te trouver un poste d'assistant de recherche, c'est pas ça qui manque à Montréal et dans sa grande région. Et tu as le profil. Ça ce monnaye à 50 000 CAD par ans sans problèmes, voire plus.

Pour ce qui est des promesses d'embauche, l'embauche dépend de ton travail accompli. On n'était pas là pour voir donc on ne peut pas juger, mais à priori, tu ne devais pas faire l'affaire.

Quand à ton statut (étudiant, salarié ...), il n'est pas dépendant de l'université mais de ton supérieur (Prof ou PI). D'où venait ta bourse ? D'où venait le fond de recherche ?

Quand tu n'as pas de contrat, tu ne dois pas travailler car tu n'es pas couvert en cas de problèmes (les labos, c'est dangereux). Ta situation à l'air compliquée, mais il ne faut pas blâmer l'université pour ça. Ton PI ou Prof doit gérer ça.

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Mon domaine est la biologie, physiologie et génétique moléculaires plus précisément.

En ce qui concerne le service placement, je n'ai plus d'accès (mon login et mot de passe) quelques jours après la fin de mon post-doc. Je leur ai bien demandé de me le remettre, mais ça a tenu quelques jours. Après cela, impossible de me connecter et voir les offres. Je n'ai eu aucun suivi de mon post-doctorat, pour cela je me suis senti bien abandonné.

Moi aussi j'avais contacté un professeur pour le post-doctorat. Les 2 premières années se sont déroulées sans accroc. C'est la troisième et dernière année où la situation est devenu comme cela. J'ai signé plusieurs contrats au cours de l'année, pour quelques mois à chaque fois car l'administration ne me donnait pas une année complète mais pas petits bouts. Mais entre 2 contrats, l'administration a vraiment traîné ce qui fait que j'ai quelques mois dans 2013 où j'ai tout simplement travaillé sans être rémunéré ! Je l'ai fait pour avancer le sujet car on m'avait promis un poste à la fin de ce post-doctorat (promesse qui s'est révélée être fausse après que j'ai délivré les résultats).

J'ajoute que pour un post-doctorat, il n'y a pas de période de travail bien définie. Il faut faire avancer un sujet, c'est tout. On peut être amené à travailler tard pour finir une expérience par exemple.

Sur mes contrats, il est bien indiqué que c'est une bourse d'étude, donc c'est non imposable au provincial. C'est ce statut que l'Université a modifié a posteriori. J'ai envoyé de nombreux messages aux services de l'Université, je tente aujourd'hui de contacter d'autres acteurs car je ne reçois aucune réponse de la part de l'Université.

Personnellement je regrette amèrement d'avoir continué de travailler en 2013. J'ai écris ce message pour empêcher d'autres personnes de se faire avoir, et de se faire promettre un emploi.

Ok, merci pour ces précisions !

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->PhilMP

Un poste d'assistant de recherche, dans mon domaine, il est exigé entre 10 à 15 ans d'expérience dans le domaine. Et encore, moi j'ai travaillé sur le bovin, les profils recherchés demandent, pour un sujet sur l'humain, de l'expérience sur l'humain, etc... Bref pour exercer un poste X il faut déjà avoir eu un tel poste X auparavant. J'ai même vu des offres où il est explicitement demandé aux nouveaux diplômés de ne pas postuler. Le marché n'est pas ouvert aux étudiants (en tout cas pas dans mon domaine).

En ce qui concerne le travail accompli, ma mission a été faite, et même plus loin que cela. Un article a été produit, les résultats sont là et dépassent les attentes. Mais comme par hasard, une fois les résultats donnés, c'est là où on m'indique qu'il n'y a pas les finances pour m'embaucher... Chacun pense ce qu'il veut, mais moi je l'ai en travers de la gorge après le travail que j'ai fait, surtout que j'ai tout pris en charge, depuis le design du post-doctorat jusqu'à l’exécution, car j'étais le seul dans la faculté à avoir les compétences nécessaires à ce type de projet.

Je suis d'accord que je n'aurai pas dû travailler sans contrat, mais que faire d'autre ? Il fallait que les résultats sortent, je n'avais pas de possibilité d'attendre. En post-doctorat il y a une pression énorme de résultats et tu dois travailler coûte que coûte, ce que j'ai fait pour parvenir à publier mes données durant le temps qui m'était imparti.

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Je vais t'ouvrir un peu les yeux. Et croit moi, je suis dedans, donc ce que je te raconte, c'est pas de la blague. J'ai un doc, 2 post-doc, j'ai commencé comme assistant de recherche ici, maintenant je suis associé de recherche. Je suis immunogénéticien de formation, j'ai bossé sur l'homme, la souris, en génétique, en immunologie, en toxicologie etc ... Et j'ai déjà eu à recruter.

Les postes d'assistant de recherche sont ouvert aux personnes qui ont les compétences. L'expérience de maitrise, de thèse et de post-doc sont prises en compte. On se fout royalement de savoir si tu as 10 ou 15 ans derrière toi, on veut de la compétence. L'avant dernier doc de mon labo a tout de suite eu un poste d'assistant, sans post-doc. A toi de postuler en te vendant bien, même si ton profil diffère un peu ou beaucoup. Et le jour de l'entretien, ça se prépare, et tu montres tes compétences. Pour la plupart des postes d'assistant, on ne demande que la maitrise. Vend ton doc et ton post-doc comme des atouts. Et n'hésite pas à changer de domaine. Même quand on est spécialisé dans un domaine, les compétences techniques s'appliquent à d'autres domaines.

Si vraiment le système ici te déplait, retourne donc en France voir comment ça se passe ... Tu reviendras en courant !

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Ravi de voir que tu tiens en compte l'expérience globale pour tes recrutements, les seules personnes à avoir manifesté leur intérêt pour mon profil travaillent dans mon domaine en particulier, mais ils n'ont pas de financements en ce moment. La seule organisation à s'être intéressée à moi pour travailler dans une autre thématique c'est l'armée pour leurs labos, mais il faut être citoyen et ça me prendra encore 2 ans.

Je postule, je postule, y compris dans le privé, mais je reste toujours sur le même résultat. S'il y a des gens plus ouverts à Montréal je vais centrer sur cette région, mais tu es le premier à avoir ce discours d'ouverture. Les offres que j'ai vues (et les gens) sont clairement beaucoup plus fermées que ton esprit.

En 15 jours de recherche dans d'autres pays, j'ai 2 opportunités en France et 1 aux Etats-Unis. Mais Canada pour le moment rien !

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  • Habitués

en même temps, dans ton domaine, ça doit pas courir les rues les opportunités d'emploi

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Moi je trouve son domaine fort intéressante. Moi je suis à un doc en biologie mais en Afrique. A quels types d'emplois peut-on postuler une fois au Quebec?

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Pour les offres d'emploi ici, il faut aller directement sur les sites web des instituts (pour l'académique i.e. IRCM, IRIC, HMR, CHUM, CRCHUM, INRS ...) qui sont plus à jour que les sites des universités, ou des compagnies (pour le privé). Les moteurs comme Monster, jobillico etc ... ne sont pas suffisamment à jour. Pour le biomédical, le site de l'EMJL peut servir pour McGill.

Si tu touches plus à un côté agro/veto, il y a le campus McDonald de McGill ou la fac de véto UdeM/SteHyacinthe.

Quant à la France, dans le publique (CNRS, INSERM, INRA ...), dis toi qu'à part les concours pour CR2 ou CR1, tu te retrouveras en CDD et qu'une loi interdit les renouvellement au delà de 4 ans (sauf CEA qui ne fonctionne pas sur concours) ... Et dans le privé Français, c'est presque impossible en venant de l'académique : chasse gardée des écoles d'ingénieur ou thèse partenariat.

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  • Habitués

Est-ce que tu ne serais pas une victime des compressions budgétaires dans l'éducation au Québec ? Ce serait intéressant de savoir si c'est propre à l'université Laval ou pas ? Après je ne sais pas ce qu'il en est vraiment mais j'ai toujours eu l'impression que la vie universitaire se faisait surtout à Montréal.

Plus de compressions, moins d’étudiants, prévient l’Université Laval

Aux prises avec des coupes de 22 millions $ pour 2015-2016, l’Université Laval tire la sonnette d’alarme : si la valse des compressions se poursuit, l’établissement n’aura tout simplement plus les moyens d’accueillir autant d’étudiants et les programmes universitaires pourraient devenir moins accessibles.

Éric Bauce, vice-recteur exécutif à l’Université Laval, tient mordicus à maintenir la qualité de la formation. Mais les compressions s’accumulent dans le réseau universitaire depuis déjà quelques années, si bien que le financement reçu ne permet plus de couvrir les coûts de formation pour chaque étudiant, explique-t-il.

Cette nouvelle réalité vient complètement changer la donne. Auparavant, le financement accordée en fonction du nombre d’inscriptions avait plutôt créé une vive concurrence entre les établissements, qui se sont livrés pendant des années à une véritable «course à l’étudiant» afin d’obtenir plus d’argent.

«Maintenant, on nous donne moins d’argent par l’étudiant, alors la course ne tient plus. Si tu produis quelque chose et que tu perds de l’argent pour chaque unité, si t’en produis encore plus, tu vas perdre encore plus d’argent», a expliqué M. Bauce jeudi, en marge d’une séance du conseil universitaire.

Le vice-recteur craint de devoir restreindre l’accès à l’université si les compressions se poursuivent. «À un moment donné, je ne serai plus capable de former tout ce beau monde-là. Il va falloir fermer les valves au niveau des entrées, ajoute-t-il. Nous, on alerte les autorités politiques. Est-ce qu’on veut former moins de monde? Est-ce qu’on veut ne prendre que les meilleurs étudiants et laisser de côté ceux qui sont excellents? (...) C’est un choix de société qui ne nous appartient pas à ce stade-ci.»

22 millions $

Pour l’année 2015-2016, l’Université Laval doit par ailleurs jongler avec des compressions de 22 millions $. Sans compter d’éventuelles coupes supplémentaires qui pourraient être annoncées dans le budget provincial la semaine prochaine.

Pour arriver à maintenir l’équilibre budgétaire, les contrats d’une quarantaine d’employés ne seront pas renouvelés. Des cours ont été annulés et les étudiants seront plus nombreux dans certaines classes.

Par ailleurs, le conseil universitaire a décidé hier de suspendre l’admission dans quatre programmes pour l’automne prochain, mais il ne faut pas y voir de lien avec les compressions, affirme M. Bauce : «Il n’y a pas d’étudiants dans ces programmes-là, cette année, ça varie entre trois et neuf admissions. On veut restructurer ça, c’est normal.»

http://www.journaldemontreal.com/2015/03/19/plus-de-compressions-moins-detudiants-previent-luniversite-laval

Modifié par BisounoursCanada
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