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Droits de scolarité à l'université: les Français au tarif des Cana


sandy81

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  • Habitués

Normalement valls va contacter couillard pour que les tarifs soient appliqués à partir de septembre 2016, donc affaire à suivre...

Euh tu as une source là? Je sais que le député qui est en Amérique du Nord à fait une lettre pour Fabius pour repousser la date mais rien entendu du coté de Matignon

http://www.frederic-lefebvre.org/hausse-frais-scolarite-etudiants-francais-au-quebec-frederic-lefebvre-saisit-manuel-valls/ ça laisse supposé que valls devrait agir, mais rien de plus

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  • Habitués

Normalement valls va contacter couillard pour que les tarifs soient appliqués à partir de septembre 2016, donc affaire à suivre...

Euh tu as une source là? Je sais que le député qui est en Amérique du Nord à fait une lettre pour Fabius pour repousser la date mais rien entendu du coté de Matignon

http://www.frederic-lefebvre.org/hausse-frais-scolarite-etudiants-francais-au-quebec-frederic-lefebvre-saisit-manuel-valls/ ça laisse supposé que valls devrait agir, mais rien de plus

Merci on parle donc du même ^^

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ca c'est pas sur... ceux qui voudront vraiment venir, viendront quoiqu'il arrive je pense

Tout le monde n'en est pas convaincu, à commencer par les responsables d'université au Québec !

Rappelant que la province accueille chaque année quelque 12 000 étudiants en provenance de l'Hexagone, les représentants du réseau universitaire québécois se sont dits «préoccupés de l'impact à moyen terme [de cette hausse] sur leurs effectifs étudiants».

La présence des étudiants français «est particulièrement importante pour les universités francophones, surtout celles situées en région, ont-ils fait valoir. Elle est essentielle à leur vitalité et au maintien de leur capacité de recherche et d'innovation. Elle a de plus des retombées positives pour la société québécoise, tant sur les plans culturel, économique que de l'immigration.»

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  • Habitués

Mince pour ceux qui vont rentrer en sept :( etes vous sur qu'ils vont payer les 6650$?

Puisqu'ils laissent ceux déjà sur place poursuivre au tarif de 2300$...

C'est normal que les personnes déjà ici, étant déjà aux études ne payent pas les frais plus élevés car leurs processus n'est pas fini !

Vous, vous le savez que Ca monte

Maintenant ! Donc à vous de voir si vous venez au pas ! Mais ils ne peuvent pas faire sa aux étudiants déjà présent ! Sinon ils savent que beaucoup ne termineront pas !

Puis eux sont venus aussi en autre a cause des prix bas.

En quoi ta réponse pertinente répond à mon intérêt vis-à-vis des étudiants ayant déjà obtenu leur CAQ, Admission et PEQ ?

Certes, ils n'ont pas encore payé les frais universitaires, mais se sont somme toute engagés dans la démarche et se sont acquittés des frais d'immigration F et P.

Leurs PEQ ?

Le

PEQ c'est la RP ! Donc ces personnes ne serait pas concernée ..... C'est franchement pas clair ton histoire !

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Tout le monde n'en est pas convaincu, à commencer par les responsables d'université au Québec !

Rappelant que la province accueille chaque année quelque 12 000 étudiants en provenance de l'Hexagone, les représentants du réseau universitaire québécois se sont dits «préoccupés de l'impact à moyen terme [de cette hausse] sur leurs effectifs étudiants».

La présence des étudiants français «est particulièrement importante pour les universités francophones, surtout celles situées en région, ont-ils fait valoir. Elle est essentielle à leur vitalité et au maintien de leur capacité de recherche et d'innovation. Elle a de plus des retombées positives pour la société québécoise, tant sur les plans culturel, économique que de l'immigration.»

Tout comme il ne semble pas normal que les contribuables Québécois payent pour les étudiants Français, il n'est pas normal non plus que ces derniers soient responsables de la survie des universités Québécoises....En gros c'est donnant-donnant...

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Ce n'est pas donnant donnant mais gagnant gagnant...

Pourquoi voir l'enjeu sous le seul angle des dépenses immédiates alors que l'éducation est avant tout un investissement. Ca se joue sur le court, le moyen et le long terme, ça se déporte sur d'autres aspects de l'économie, sur la culture, sur la politique migratoire.

Je trouve le pragmatisme intéressant mais il peut parfois rendre obtus. Les contribuables "ne payent pas pour les étudiants français". Les directeurs d'universités ne le pensent pas eux mêmes. Les contribuables investissent, c'est vraiment différent.

Le temps nous dira si le Québec a eu raison de revenir sur cet accord, si les québécois sont plus riches ainsi...

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Mince pour ceux qui vont rentrer en sept :( etes vous sur qu'ils vont payer les 6650$?

Puisqu'ils laissent ceux déjà sur place poursuivre au tarif de 2300$...

C'est normal que les personnes déjà ici, étant déjà aux études ne payent pas les frais plus élevés car leurs processus n'est pas fini !

Vous, vous le savez que Ca monte

Maintenant ! Donc à vous de voir si vous venez au pas ! Mais ils ne peuvent pas faire sa aux étudiants déjà présent ! Sinon ils savent que beaucoup ne termineront pas !

Puis eux sont venus aussi en autre a cause des prix bas.

En quoi ta réponse pertinente répond à mon intérêt vis-à-vis des étudiants ayant déjà obtenu leur CAQ, Admission et PEQ ?

Certes, ils n'ont pas encore payé les frais universitaires, mais se sont somme toute engagés dans la démarche et se sont acquittés des frais d'immigration F et P.

Leurs PEQ ?

Le

PEQ c'est la RP ! Donc ces personnes ne serait pas concernée ..... C'est franchement pas clair ton histoire !

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  • Habitués

PE, le tel a corrigé

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Ce n'est pas donnant donnant mais gagnant gagnant...

Pourquoi voir l'enjeu sous le seul angle des dépenses immédiates alors que l'éducation est avant tout un investissement. Ca se joue sur le court, le moyen et le long terme, ça se déporte sur d'autres aspects de l'économie, sur la culture, sur la politique migratoire.

Je trouve le pragmatisme intéressant mais il peut parfois rendre obtus. Les contribuables "ne payent pas pour les étudiants français". Les directeurs d'universités ne le pensent pas eux mêmes. Les contribuables investissent, c'est vraiment différent.

Le temps nous dira si le Québec a eu raison de revenir sur cet accord, si les québécois sont plus riches ainsi...

Merci de ne pas m'insulter sous couvert de propos "indulgents" et d’éviter la leçon de morale.

Même si les contribuables locaux ne payent pas de leurs propres deniers, cela reste un certain manque à gagner pour la province. Et je ne pense pas qu'ils voient cela comme un "investissement", que cela soit sur n'importe quel plan d'ailleurs.

Dans ce cas, on peut aussi se demander pourquoi les étudiants Français" n'investissent" pas en France, qui en a grand besoin...

Modifié par Blueberry
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  • Habitués

Ce n'est pas donnant donnant mais gagnant gagnant...

Pourquoi voir l'enjeu sous le seul angle des dépenses immédiates alors que l'éducation est avant tout un investissement. Ca se joue sur le court, le moyen et le long terme, ça se déporte sur d'autres aspects de l'économie, sur la culture, sur la politique migratoire.

Je trouve le pragmatisme intéressant mais il peut parfois rendre obtus. Les contribuables "ne payent pas pour les étudiants français". Les directeurs d'universités ne le pensent pas eux mêmes. Les contribuables investissent, c'est vraiment différent.

Le temps nous dira si le Québec a eu raison de revenir sur cet accord, si les québécois sont plus riches ainsi...

Merci de ne pas m'insulter sous couvert de propos "indulgents" et d’éviter la leçon de morale.

Même si les contribuables locaux ne payent pas de leurs propres deniers, cela reste un certain manque à gagner pour la province. Et je ne pense pas qu'ils voient cela comme un "investissement", que cela soit sur n'importe quel plan d'ailleurs.

Dans ce cas, on peut aussi se demander pourquoi les étudiants Français" n'investissent" pas en France, qui en a grand besoin...

Toute les formes d'éducations sont un investissement en soit. c comme au sport. Ont "paris" sur des élèves. En espérant qu'ils deviennent performant dans le futur et rapporte beaucoup d'argent (par leurs travail) à l'état.

12 000 etudiants qui "désertent" la France sur les quelques 2millions restant, c très peu pour dire qu'il y a un manque d'investissement de la par des français pour leur nation

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Merci de ne pas m'insulter sous couvert de propos "indulgents" et d’éviter la leçon de morale.

Même si les contribuables locaux ne payent pas de leurs propres deniers, cela reste un certain manque à gagner pour la province. Et je ne pense pas qu'ils voient cela comme un "investissement", que cela soit sur n'importe quel plan d'ailleurs.

Dans ce cas, on peut aussi se demander pourquoi les étudiants Français" n'investissent" pas en France, qui en a grand besoin...

Mes propos ne sont absolument pas "indulgents" envers vous. Non pas que je voudrais l'être ou pas, mais cela n'a juste rien à voir avec mon message. Je n'ai fait la leçon à personne, j'ai pris la peine de citer l'intervention de responsables universitaires qui s'inquiètent de la situation. Vous me citez sur cette base, ayez au moins la courtoisie d'accepter ma réponse...

Vous parlez de manque à gagner, comme s'il n'y avait que deux entrées à votre tableau comptable. Le problème ne comporte pas qu'une entrée et qu'une dépense. Un étudiant va "couter" un prix à la société, mais va "rapporter" à cette dernière de multiples manières : en premier lieu, ils payent des places d'universités qui ne seront pas comblées si l'on en croit à les responsables universitaires. Ils participent donc aux salaires du personnel universitaire, au remboursement des infrastructures, etc. Que vaut-il mieux avoir : 2300$ ou... 0$ X 12 000 ? Par ailleurs, ils alimentent tout le marché de la consommation via les locations immobilières, leurs dépenses culturelles,leurs achats de bien de consommation, leurs activités festives, etc.

Qu'est-ce qui est le plus intéressant pour les citoyens : investir les 4250$ de "manque à gagner" et bénéficier de toute cette manne financière ou surtout ne rien donner et faire une croix sur les 12000 inscriptions universitaires et toutes les dépenses qui en découlent ?

Je termine sur votre dernier propos : la majorité des étudiants français investissent la France. Je rejoins Allanson Wasley là-dessus. C'est une goutte d'eau pour la France, mais pas pour une province de la taille du Québec. Je réitère mon sentiment : une vision à court terme peut donner l'impression de faire des économies... sur le long terme, on en rediscutera.

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