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Vous attendez l'entretien (Algériens)


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  • Habitués

une question d'un ami pour ceux qui ont rajouté un enfant et payé avec une carte de crédit;

combien detemps cela prend -t- il ? entre l'envoi du dossier et l'encaissement des frais et est ce qu'il y a un accusé de reception .

Bonne question !

la personne en question a envoyé son dossier de rajout il y a 2 mois et 10 jours alors la question est -il dans les normes ou bien doit il agir ??

Modifié par jinkiz2
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  • Habitués

une question d'un ami pour ceux qui ont rajouté un enfant et payé avec une carte de crédit;

combien detemps cela prend -t- il ? entre l'envoi du dossier et l'encaissement des frais et est ce qu'il y a un accusé de reception .

Bonne question !

la personne en question a envoyé son dossier de rajout il y a 2 mois et 10 jours alors la question est -il dans les normes ou bien doit il agir ??

Par quel moyen il a payé les frais d'ajout ?

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  • Habitués

une question d'un ami pour ceux qui ont rajouté un enfant et payé avec une carte de crédit;

combien detemps cela prend -t- il ? entre l'envoi du dossier et l'encaissement des frais et est ce qu'il y a un accusé de reception .

Bonne question !

la personne en question a envoyé son dossier de rajout il y a 2 mois et 10 jours alors la question est -il dans les normes ou bien doit il agir ??

Par quel moyen il a payé les frais d'ajout ?

par carte de crédit mastercard

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  • Habitués

Bonjour les ami(e)s

j'ai deux questions a vous poser concernant l'envoie de ma mise à jour :smile:

1 - J'ai beau essayé d'avoir mon relevé de note du bac mais c'est sans succès. Que pensez-vous si j'envoie mon dossier sans ce fameux relevé de note du bac tout en sachant que j'ai récupéré le diplôme du bac ?

2 - Avec quel envoie ça sera le plus sure et rapide (DHL, EMS..........) ?

Merci d'avance de me répondre

bonne journée à tous :smile:

EMS ne font pas le Canada je crois en plus ils n'ont pas le tracking. UPS et DHL c'est la même qualité mais UPS moins cher

Bonne chance

moi même j'ai envoyé un courrier au canada via EMS ,c'est nettement moins chers que les autres que viens cité sofiane metmati. CA m'a coûté 1800 DA pour un délais de livraison de 7 a 10 jours.

C'est vrai ? Pourtant une fois j'ai demandé à EMS du boulevard Med V ils m'ont dit qu'ils ne faisaient plus le Canada.

Mais j'ai l'habitude d'envoyer du courrier par leur biais et je t'assure que je ne leur fait pas confiance ! Si tu as une mise à jours à envoyer dans un délais précis il vaut mieux payer un peu plus et être sur.

Enfin c'est juste un avis que j'ai donné

j'ai toujours envoyé mes courriers avec EMS, c'est moins cher et c'est fiable, et le traking se fait le plus normalement du monde

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  • Habitués

une question d'un ami pour ceux qui ont rajouté un enfant et payé avec une carte de crédit;

combien detemps cela prend -t- il ? entre l'envoi du dossier et l'encaissement des frais et est ce qu'il y a un accusé de reception .

Bonne question !

la personne en question a envoyé son dossier de rajout il y a 2 mois et 10 jours alors la question est -il dans les normes ou bien doit il agir ??

Par quel moyen il a payé les frais d'ajout ?

par carte de crédit mastercard

Une Mastercard d'AGB ou de quelle banque ?

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une question d'un ami pour ceux qui ont rajouté un enfant et payé avec une carte de crédit;

combien detemps cela prend -t- il ? entre l'envoi du dossier et l'encaissement des frais et est ce qu'il y a un accusé de reception .

Bonne question !

la personne en question a envoyé son dossier de rajout il y a 2 mois et 10 jours alors la question est -il dans les normes ou bien doit il agir ??

Par quel moyen il a payé les frais d'ajout ?

par carte de crédit mastercard

Une Mastercard d'AGB ou de quelle banque ?

il a dit qu'elle est de france

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  • Habitués

une question d'un ami pour ceux qui ont rajouté un enfant et payé avec une carte de crédit;

combien detemps cela prend -t- il ? entre l'envoi du dossier et l'encaissement des frais et est ce qu'il y a un accusé de reception .

Bonne question !

la personne en question a envoyé son dossier de rajout il y a 2 mois et 10 jours alors la question est -il dans les normes ou bien doit il agir ??

Par quel moyen il a payé les frais d'ajout ?

par carte de crédit mastercard

Une Mastercard d'AGB ou de quelle banque ?

il a dit qu'elle est de france

Ah ok, d'accord.

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Bonsoir

J'ai rappelé MIDI une dame m'a dit d'attendre la mise à jour vu que le dalf est valable à vie étrange comme même

TaLeNtInO

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  • Habitués

Bonsoir

J'ai rappelé MIDI une dame m'a dit d'attendre la mise à jour vu que le dalf est valable à vie étrange comme même

TaLeNtInO

Si vous tenez à votre projet, vaut mieux ne pas prendre de risque l'ami, vous aurez dépensé 8 000 à 20 000 da (Pour un TCF) mais vous serez au moins sûr de ne pas voir votre dossier rejeté à cause d'un teste que vous pouviez passer, comparez juste les deux issues possibles et voyez laquelle vous préférez ! :)

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  • Habitués

Canada: le Saskatchewan, une aubaine pour les candidats à l’immigration

La province canadienne du Saskatchewan jouit d’une conjoncture économique favorable mais est menacée par une pénurie de main-d’oeuvre. 94 500 emplois sont à pourvoir d’ici à 2017.

La première fois qu’ils ont entendu ce nom, ils ont tous eu la même réaction: la Saskatchewan, késako? Et de se jeter sur l’atlas le plus proche. Certains situaient vaguement ce lieu mystérieux quelque part au milieu des steppes d’Asie centrale. C’est ainsi: cette province de la région des Prairies, grande comme la France, la Belgique, les Pays-Bas et la Suisse réunies, bordée au sud par les Etats américains du Montana et du Dakota du Nord, avec ses plaines sans relief déroulées à l’infini sous un ciel sans obstacle, qui paraît s’unir à la terre, reste une frontière à découvrir.

A peine plus d’un million d’habitants y vivent. Mais, et c’est pour cette raison que de plus en plus de francophones, encouragés par les autorités locales, sont tentés d’y émigrer, cette province caracole à la seconde place du palmarès de la croissance de l’économie canadienne depuis une décennie. Elle a atteint les 3,3% l’an dernier; elle devrait être autour de 2,6% en 2014.

Originaire de l’Afrique des Grands Lacs, Christ-Mathieu Rugerinyange, qui venait de finir ses études en développement international à Ottawa, a ainsi été convaincu par un coup de téléphone de sa tante, installée à Regina, la capitale de la Saskatchewan: « »Viens, m’a-t- elle dit. Ici, ça grandit vite et les opportunités sont nombreuses. » Moi, je pensais plutôt aller en Alberta pour profiter du boom mais elle m’a rétorqué: « La Saskatchewan, c’est l’Alberta d’il y a quelques années.Tout est à faire. » »

Le jeune homme se décide en septembre dernier. Après un mois de petits boulots dans un centre d’appel, il pose sa candidature pour un poste de comptable de prêts à Farm Credit Canada (FCC), la banque chargée du financement des agriculteurs. Il est retenu. « Ailleurs, il m’aurait fallu davantage de temps pour convaincre, mais la province manque de ressources humaines. »

ON DEMANDE MAIN-D’OEUVRE

Les chiffres confirment cette pénurie qui menace de s’aggraver. Alors que 50 000 nouveaux emplois (pour une population active de 550 000 individus) sont venus étoffer le marché depuis cinq ans, et pour 95% d’entre eux à temps plein, le gouvernement de la province tire la sonnette d’alarme: jusqu’à 2017 il faudra pourvoir à 94 500 emplois supplémentaires, sauf à casser la croissance.

Mais où trouver la main-d’oeuvre? « Le gouvernement veut augmenter le taux d’activité dans certaines catégories de la population où il est plus faible, comme les Premières nations, explique Alastair MacFadden, en charge du marché du travail au ministère de l’Economie à Regina. Mais il nous faut aussi attirer de la main-d’oeuvre en provenance de l’extérieur. A ceux qui pourraient être intéressés, nous disons que la Saskatchewan est un endroit où l’on peut bâtir sa vie avec un emploi de qualité. »

Il y a urgence. Dans certains secteurs, comme le bâtiment ou les services sociaux, l’effet conjugué des départs à la retraite et une demande en forte croissance ne va bientôt plus permettre de satisfaire l’offre. « Entre l’agriculture qui cherche des bras dès le printemps et le pétrole en plein boom, les autres secteurs risquent la pénurie dans les prochains mois, pronostique Denis Prud’homme, le patron de Prudhomme international, une agence de recrutement spécialisée sur le marché du travail dans l’Ouest. Nous manquons déjà de mécaniciens, de soudeurs, de peintres industriels et de camionneurs. Cepen- dant, le principal problème des Français, c’est l’anglais. » Comme le résume un recruteur, « lorsque dans un champ de pétrole, on vous crie Back off! (Recule), il vaut mieux comprendre tout de suite. »

Le dynamisme est visible partout. Les loyers sont élevés, la faute au boom! Pour une maison de quatre chambres, il faut ainsi débourser entre 1500 et 2500 dollars par mois. L’agriculture est prospère: « Je vois des prêts, contractés sur trente ans pour acheter une propriété, remboursés en seulement vingt ans, grâce à des profits en augmentation », raconte le comptable de la FCC. Diplômé en 2010 de l’Ecole d’agriculture d’Angers, Johan Clequin travaille chez Fast Genetics, une société de génétique porcine: « Ici, le contexte économique est bien plus favorable pour cette filière qu’en Bretagne », confirme-t-il.

Tirée par la demande mondiale en engrais, la production de potasse bénéficie, de son côté, de nouveaux investissements. Marc Colombet est arrivé en mai 2012 pour diriger la maintenance de la future usine de l’allemand K+S, le leader mondial de la potasse, dont la construction démarrera fin 2016, à Bethune. L’explosion des prix mondiaux de la potasse a ouvert, en effet, la voie à d’énormes projets d’extension de capacité. Marc Colombet a besoin d’embaucher 120 salariés, et ce n’est pas facile: « La compétition avec l’industrie des hydrocarbures rend difficile la recherche de mécaniciens, d’électriciens et de soudeurs », témoigne-t-il.

Car, relancée par les nouvelles techniques d’extraction, la production d’hydrocarbures grimpe. Dans les petites villes proches des gisements d’or noir, les salaires s’envolent. Accueilli comme réfugié du Burundi au Québec en 2008, Napoléon Hatungimana s’occupait de l’inventaire du matériel pour une compagnie pétrolière à Estevan, à 200 kilomètres de Regina. « Un travail bien payé mais auquel j’ai dû renoncer pour un emploi de bureau car j’étais allergique aux sulfures d’hydrogènes. » Son ami Steve, originaire du Rwanda, lui, est resté sur place: il gagne entre 25 et 30 dollars de l’heure à faire des allers-retours avec son camion-citerne.

Tracer la route à la tête d’un convoi hors normes, c’était le rêve de Franck Rémond, 45 ans. Transporter des éoliennes de 50 mètres de long sur des routes rectilignes ou partir plusieurs semaines pour traverser le continent au volant de son engin, est devenu son ordinaire. Ce conducteur de poids lourd est arrivé en juillet 2012, après avoir répondu à une annonce. « Les débuts ont été difficiles, témoigne-t-il. Malgré mes vingt ans d’expérience, j’ai dû commencer avec du transport normal afin de me familiariser avec les routes et le matériel. Mon premier rendez-vous a été chaotique tant mon anglais était limité. Mais je me suis accroché. Pas le choix de toute façon! Ici, si tu ne parles pas la langue, tu n’as droit à aucune compassion. »

Deux ans plus tard, il est comblé. Les journées de travail sont longues mais profitables, grâce à de nombreuses heures sup, bien mieux rétribuées qu’en France. Sa famille l’a rejoint. Sylvie, son épouse, est devenue auxiliaire, puis éducatrice dans l’école francophone de son plus jeune fils. Elle y faisait du bénévolat avant d’être embauchée pour un salaire double de ce qu’elle touchait à Bayonne comme assistante. Et ce n’est qu’un début. L’école lui a offert une bourse afin de préparer un diplôme d’enseignante. « J’ai trouvé ma voie, dit-elle. En France, jamais une secrétaire ne pourrait prétendre enseigner. Ici, ce sont vos qualités que l’on examine d’abord. » L’aîné des garçons à qui l’Education nationale en France proposait de suivre un CAP s’est inscrit à Regina pour suivre des études de médecine. « On s’en sort mieux », résume Sylvie.

Par ricochet, la tension sur le marché du travail rend attractif le secteur des emplois communautaires, comprenez les postes parapublics destinés aux besoins de la minorité francophone, installée de longue date dans les Prairies. Ils seraient 10000 à Regina sur une population totale de 250000. « Des gouverneurs francophones ont aidé au développement de Regina, comme l’ont rappelé, récemment, les Journées du patrimoine que nous avons organisées, explique Jessica Chartier, directrice du développement communautaire à l’Association canadienne-française de Regina (ACFR). Nous nous inscrivons ainsi dans une tradition, en prenant notre modeste part à la défense de la francophonie. » « La maîtrise du français et la formation que j’ai reçue en France, avec mes études dans le domaine de l’événementiel, constituent un atout à l’embauche », témoigne Sophie Ballanfat, coordinatrice des projets à l’ACFR.

A bien des égards, le tissu communautaire de la Saskatchewan constitue un sas pour les nouveaux arrivants. Dans ce milieu minoritaire, on pratique plus naturellement l’entraide, on s’y échange les petites ficelles du quotidien, on y trouve souvent le premier job. A l’Institut français de l’université de Regina, la Française Angéline Dubois, coordinatrice du centre de recherche sur les francophonies, voulait initialement se rendre à Vancouver. Elle est restée, heureuse de vivre « cette expérience de communauté minoritaire », où « l’on fait confiance et où l’on délègue les responsabilités ». Débarquée de Djibouti en 2009, Chamis Mohamed, « passée de +45° à -45° » comme elle le dit plaisamment, travaille à la garderie francophone. Informaticienne de formation, Angéline Feumba, d’origine camerounaise, a trouvé, elle, à s’employer comme assistante administrative au quotidien en français local, L’Eau vive, où elle gère la comptabilité et les abonnements. Son objectif est d’améliorer son anglais, à ce jour encore « une barrière » à la mobilité professionnelle, de son propre aveu. Parrainée par son mari, Radouane Zinoun, un comptable recruté par téléphone à Montréal et séduit par « l’accélérateur de carrière, en termes de salaire et de responsabilités que la Saskatchewan a su offrir », Saïda Chehaima est arrivée du Maroc en 2011.

Embauchée comme auxiliaire dans une école francophone où elle s’occupait des « enfants avec des besoins spéciaux », souffrant principalement d’autisme, elle a eu l’idée d’ouvrir une garderie francophone dans le sous-sol de sa maison. Travaux de sécurité, percement de nouvelles ouvertures, examen de son parcours par l’administration, formation en ligne… elle a fini par obtenir l’autorisation et a ouvert le mois dernier. « Etablir une garderie francophone dans une ville qui en manque, dit-elle, c’est aussi permettre à ma petite fille de ne pas perdre son français en milieu minoritaire et, à terme, dans un Canada bilingue, cela lui sera un atout. »

UN ATOUT SUPPLÉMENTAIRE

Née à Regina, le bébé de Radouane et Saïda aura une autre carte en mains: elle sera habituée aux rigueurs du climat. En février 2014, la province a marqué un fameux record: -52°C! (avec refroidissement éolien). « Ce jour-là, nous étions le lieu le plus froid de la planète », soupire Cathy Colombet. A la fin du mois de mars, le thermomètre descendait encore à -20°C. « Nous nous sommes résignés à acheter un tapis roulant pour faire un peu d’exercice, car l’hiver on vit à l’intérieur », raconte-telle. Au début de l’été, des nuages de moustiques, de taons et de tiques attaquent les promeneurs au bord des lacs. A croire que la belle saison se limite à août-septembre!

Est-ce l’effet du climat? « Dans cette province, la vie va plus doucement, raconte Jessica Chartier, sensible à cet »esprit des Prairies » caractérisé par une aimable placidité. L’hiver glacial est néanmoins chaleureux car on vit comme dans un grand village. C’est un cadre adapté à la vie de famille, beaucoup d’activités à destination des enfants sont en outre financées par les pouvoirs publics. » Pour les célibataires, en dehors du travail, c’est moins exaltant. Ils ne recensent que quelques lieux de sortie, le Irish Pub, le Free House, le Bushwalker et une petite salle de concerts, en sous-sol. « La vie sociale est franchement limitée, avoue Christ-Mathieu. Du coup, beaucoup enchaînent avec un second emploi, en fin de journée. »

SOURCE : www.lexpress.fr

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  • Habitués

Salem !

je suis passé voir le Directeur de la CNAS qui est un de la famille d'un ami, même lui il ne peut Rien faire, c'est fou leur système ne permet pas de voir, il ecrase les anciens il garde que le dernier employeur, est ce que les informaticiens (programmeur) sont aussi nul ???

pff

Modifié par presto
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  • Habitués

bonjour presto,

ecoutez puisque vous étes recomandé ,il vaut mieux profiter de cette connaisance.

déjà vous pouvez leurs demander de vous fournir une lettre explicative pour la non pssiblité de fournir ce document.

puis vous confortez cela avec des certificats de travails et/ou fiche de paies d'anciens employeurs.

ça va marcher comme cela.

moi de mon coté c'est une autre paire de manche car:

je suis toujours chez le méme emplyeur mais j'ai changer de wilaya puisque c'est un groupe.

d'aprés la CNAS je ne peux avoir depuis mon recrutement mais seulement depuis mon affiliation chez eux donc une année.

c'est vraiment frustrant!! aidez moi avec vos témognages cherS forumiste.

qu'elqu'un dans mon cas!!!

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  • Habitués

bonjour presto,

ecoutez puisque vous étes recomandé ,il vaut mieux profiter de cette connaisance.

déjà vous pouvez leurs demander de vous fournir une lettre explicative pour la non pssiblité de fournir ce document.

puis vous confortez cela avec des certificats de travails et/ou fiche de paies d'anciens employeurs.

ça va marcher comme cela.

moi de mon coté c'est une autre paire de manche car:

je suis toujours chez le méme emplyeur mais j'ai changer de wilaya puisque c'est un groupe.

d'aprés la CNAS je ne peux avoir depuis mon recrutement mais seulement depuis mon affiliation chez eux donc une année.

c'est vraiment frustrant!! aidez moi avec vos témognages cherS forumiste.

qu'elqu'un dans mon cas!!!

purée c'est du n'importe quoi leur systeme, grave

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  • Habitués

Canada: le Saskatchewan, une aubaine pour les candidats à l’immigration

La province canadienne du Saskatchewan jouit d’une conjoncture économique favorable mais est menacée par une pénurie de main-d’oeuvre. 94 500 emplois sont à pourvoir d’ici à 2017.

La première fois qu’ils ont entendu ce nom, ils ont tous eu la même réaction: la Saskatchewan, késako? Et de se jeter sur l’atlas le plus proche. Certains situaient vaguement ce lieu mystérieux quelque part au milieu des steppes d’Asie centrale. C’est ainsi: cette province de la région des Prairies, grande comme la France, la Belgique, les Pays-Bas et la Suisse réunies, bordée au sud par les Etats américains du Montana et du Dakota du Nord, avec ses plaines sans relief déroulées à l’infini sous un ciel sans obstacle, qui paraît s’unir à la terre, reste une frontière à découvrir.

A peine plus d’un million d’habitants y vivent. Mais, et c’est pour cette raison que de plus en plus de francophones, encouragés par les autorités locales, sont tentés d’y émigrer, cette province caracole à la seconde place du palmarès de la croissance de l’économie canadienne depuis une décennie. Elle a atteint les 3,3% l’an dernier; elle devrait être autour de 2,6% en 2014.

Originaire de l’Afrique des Grands Lacs, Christ-Mathieu Rugerinyange, qui venait de finir ses études en développement international à Ottawa, a ainsi été convaincu par un coup de téléphone de sa tante, installée à Regina, la capitale de la Saskatchewan: « »Viens, m’a-t- elle dit. Ici, ça grandit vite et les opportunités sont nombreuses. » Moi, je pensais plutôt aller en Alberta pour profiter du boom mais elle m’a rétorqué: « La Saskatchewan, c’est l’Alberta d’il y a quelques années.Tout est à faire. » »

Le jeune homme se décide en septembre dernier. Après un mois de petits boulots dans un centre d’appel, il pose sa candidature pour un poste de comptable de prêts à Farm Credit Canada (FCC), la banque chargée du financement des agriculteurs. Il est retenu. « Ailleurs, il m’aurait fallu davantage de temps pour convaincre, mais la province manque de ressources humaines. »

ON DEMANDE MAIN-D’OEUVRE

Les chiffres confirment cette pénurie qui menace de s’aggraver. Alors que 50 000 nouveaux emplois (pour une population active de 550 000 individus) sont venus étoffer le marché depuis cinq ans, et pour 95% d’entre eux à temps plein, le gouvernement de la province tire la sonnette d’alarme: jusqu’à 2017 il faudra pourvoir à 94 500 emplois supplémentaires, sauf à casser la croissance.

Mais où trouver la main-d’oeuvre? « Le gouvernement veut augmenter le taux d’activité dans certaines catégories de la population où il est plus faible, comme les Premières nations, explique Alastair MacFadden, en charge du marché du travail au ministère de l’Economie à Regina. Mais il nous faut aussi attirer de la main-d’oeuvre en provenance de l’extérieur. A ceux qui pourraient être intéressés, nous disons que la Saskatchewan est un endroit où l’on peut bâtir sa vie avec un emploi de qualité. »

Il y a urgence. Dans certains secteurs, comme le bâtiment ou les services sociaux, l’effet conjugué des départs à la retraite et une demande en forte croissance ne va bientôt plus permettre de satisfaire l’offre. « Entre l’agriculture qui cherche des bras dès le printemps et le pétrole en plein boom, les autres secteurs risquent la pénurie dans les prochains mois, pronostique Denis Prud’homme, le patron de Prudhomme international, une agence de recrutement spécialisée sur le marché du travail dans l’Ouest. Nous manquons déjà de mécaniciens, de soudeurs, de peintres industriels et de camionneurs. Cepen- dant, le principal problème des Français, c’est l’anglais. » Comme le résume un recruteur, « lorsque dans un champ de pétrole, on vous crie Back off! (Recule), il vaut mieux comprendre tout de suite. »

Le dynamisme est visible partout. Les loyers sont élevés, la faute au boom! Pour une maison de quatre chambres, il faut ainsi débourser entre 1500 et 2500 dollars par mois. L’agriculture est prospère: « Je vois des prêts, contractés sur trente ans pour acheter une propriété, remboursés en seulement vingt ans, grâce à des profits en augmentation », raconte le comptable de la FCC. Diplômé en 2010 de l’Ecole d’agriculture d’Angers, Johan Clequin travaille chez Fast Genetics, une société de génétique porcine: « Ici, le contexte économique est bien plus favorable pour cette filière qu’en Bretagne », confirme-t-il.

Tirée par la demande mondiale en engrais, la production de potasse bénéficie, de son côté, de nouveaux investissements. Marc Colombet est arrivé en mai 2012 pour diriger la maintenance de la future usine de l’allemand K+S, le leader mondial de la potasse, dont la construction démarrera fin 2016, à Bethune. L’explosion des prix mondiaux de la potasse a ouvert, en effet, la voie à d’énormes projets d’extension de capacité. Marc Colombet a besoin d’embaucher 120 salariés, et ce n’est pas facile: « La compétition avec l’industrie des hydrocarbures rend difficile la recherche de mécaniciens, d’électriciens et de soudeurs », témoigne-t-il.

Car, relancée par les nouvelles techniques d’extraction, la production d’hydrocarbures grimpe. Dans les petites villes proches des gisements d’or noir, les salaires s’envolent. Accueilli comme réfugié du Burundi au Québec en 2008, Napoléon Hatungimana s’occupait de l’inventaire du matériel pour une compagnie pétrolière à Estevan, à 200 kilomètres de Regina. « Un travail bien payé mais auquel j’ai dû renoncer pour un emploi de bureau car j’étais allergique aux sulfures d’hydrogènes. » Son ami Steve, originaire du Rwanda, lui, est resté sur place: il gagne entre 25 et 30 dollars de l’heure à faire des allers-retours avec son camion-citerne.

Tracer la route à la tête d’un convoi hors normes, c’était le rêve de Franck Rémond, 45 ans. Transporter des éoliennes de 50 mètres de long sur des routes rectilignes ou partir plusieurs semaines pour traverser le continent au volant de son engin, est devenu son ordinaire. Ce conducteur de poids lourd est arrivé en juillet 2012, après avoir répondu à une annonce. « Les débuts ont été difficiles, témoigne-t-il. Malgré mes vingt ans d’expérience, j’ai dû commencer avec du transport normal afin de me familiariser avec les routes et le matériel. Mon premier rendez-vous a été chaotique tant mon anglais était limité. Mais je me suis accroché. Pas le choix de toute façon! Ici, si tu ne parles pas la langue, tu n’as droit à aucune compassion. »

Deux ans plus tard, il est comblé. Les journées de travail sont longues mais profitables, grâce à de nombreuses heures sup, bien mieux rétribuées qu’en France. Sa famille l’a rejoint. Sylvie, son épouse, est devenue auxiliaire, puis éducatrice dans l’école francophone de son plus jeune fils. Elle y faisait du bénévolat avant d’être embauchée pour un salaire double de ce qu’elle touchait à Bayonne comme assistante. Et ce n’est qu’un début. L’école lui a offert une bourse afin de préparer un diplôme d’enseignante. « J’ai trouvé ma voie, dit-elle. En France, jamais une secrétaire ne pourrait prétendre enseigner. Ici, ce sont vos qualités que l’on examine d’abord. » L’aîné des garçons à qui l’Education nationale en France proposait de suivre un CAP s’est inscrit à Regina pour suivre des études de médecine. « On s’en sort mieux », résume Sylvie.

Par ricochet, la tension sur le marché du travail rend attractif le secteur des emplois communautaires, comprenez les postes parapublics destinés aux besoins de la minorité francophone, installée de longue date dans les Prairies. Ils seraient 10000 à Regina sur une population totale de 250000. « Des gouverneurs francophones ont aidé au développement de Regina, comme l’ont rappelé, récemment, les Journées du patrimoine que nous avons organisées, explique Jessica Chartier, directrice du développement communautaire à l’Association canadienne-française de Regina (ACFR). Nous nous inscrivons ainsi dans une tradition, en prenant notre modeste part à la défense de la francophonie. » « La maîtrise du français et la formation que j’ai reçue en France, avec mes études dans le domaine de l’événementiel, constituent un atout à l’embauche », témoigne Sophie Ballanfat, coordinatrice des projets à l’ACFR.

A bien des égards, le tissu communautaire de la Saskatchewan constitue un sas pour les nouveaux arrivants. Dans ce milieu minoritaire, on pratique plus naturellement l’entraide, on s’y échange les petites ficelles du quotidien, on y trouve souvent le premier job. A l’Institut français de l’université de Regina, la Française Angéline Dubois, coordinatrice du centre de recherche sur les francophonies, voulait initialement se rendre à Vancouver. Elle est restée, heureuse de vivre « cette expérience de communauté minoritaire », où « l’on fait confiance et où l’on délègue les responsabilités ». Débarquée de Djibouti en 2009, Chamis Mohamed, « passée de +45° à -45° » comme elle le dit plaisamment, travaille à la garderie francophone. Informaticienne de formation, Angéline Feumba, d’origine camerounaise, a trouvé, elle, à s’employer comme assistante administrative au quotidien en français local, L’Eau vive, où elle gère la comptabilité et les abonnements. Son objectif est d’améliorer son anglais, à ce jour encore « une barrière » à la mobilité professionnelle, de son propre aveu. Parrainée par son mari, Radouane Zinoun, un comptable recruté par téléphone à Montréal et séduit par « l’accélérateur de carrière, en termes de salaire et de responsabilités que la Saskatchewan a su offrir », Saïda Chehaima est arrivée du Maroc en 2011.

Embauchée comme auxiliaire dans une école francophone où elle s’occupait des « enfants avec des besoins spéciaux », souffrant principalement d’autisme, elle a eu l’idée d’ouvrir une garderie francophone dans le sous-sol de sa maison. Travaux de sécurité, percement de nouvelles ouvertures, examen de son parcours par l’administration, formation en ligne… elle a fini par obtenir l’autorisation et a ouvert le mois dernier. « Etablir une garderie francophone dans une ville qui en manque, dit-elle, c’est aussi permettre à ma petite fille de ne pas perdre son français en milieu minoritaire et, à terme, dans un Canada bilingue, cela lui sera un atout. »

UN ATOUT SUPPLÉMENTAIRE

Née à Regina, le bébé de Radouane et Saïda aura une autre carte en mains: elle sera habituée aux rigueurs du climat. En février 2014, la province a marqué un fameux record: -52°C! (avec refroidissement éolien). « Ce jour-là, nous étions le lieu le plus froid de la planète », soupire Cathy Colombet. A la fin du mois de mars, le thermomètre descendait encore à -20°C. « Nous nous sommes résignés à acheter un tapis roulant pour faire un peu d’exercice, car l’hiver on vit à l’intérieur », raconte-telle. Au début de l’été, des nuages de moustiques, de taons et de tiques attaquent les promeneurs au bord des lacs. A croire que la belle saison se limite à août-septembre!

Est-ce l’effet du climat? « Dans cette province, la vie va plus doucement, raconte Jessica Chartier, sensible à cet »esprit des Prairies » caractérisé par une aimable placidité. L’hiver glacial est néanmoins chaleureux car on vit comme dans un grand village. C’est un cadre adapté à la vie de famille, beaucoup d’activités à destination des enfants sont en outre financées par les pouvoirs publics. » Pour les célibataires, en dehors du travail, c’est moins exaltant. Ils ne recensent que quelques lieux de sortie, le Irish Pub, le Free House, le Bushwalker et une petite salle de concerts, en sous-sol. « La vie sociale est franchement limitée, avoue Christ-Mathieu. Du coup, beaucoup enchaînent avec un second emploi, en fin de journée. »

SOURCE : www.lexpress.fr

interessant, merci pour le partage!

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voila je viens de m'inscrire dans le forum je suis un nouveau membre, mais bref j'au reçu un mail de la part du ministère de l’immigration m’informent que : " je satisfait les exigences requises à l’examen préliminaire, et que je suis inscrit sur une liste d'attente pour une entrevue de sélection avec un(e) conseiller(ère) à l'immigration".

je veut avoir comment je doit préparé cette entrevue sachent que: je suis titulaire d'une licence en droit et d'un capa et d'une licence et d'un diplôme de technicien de santé (aide soignant). merci bk peace sideh :) (y).

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Salem !

mais comment en explique que qlq1 après l'age de 50ans et de 25ans de service peut avoir l'historique ?! dont c'est documment qu'on peut lavoir après certain age ?!!!!

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  • Habitués

voila je viens de m'inscrire dans le forum je suis un nouveau membre, mais bref j'au reçu un mail de la part du ministère de l’immigration m’informent que : " je satisfait les exigences requises à l’examen préliminaire, et que je suis inscrit sur une liste d'attente pour une entrevue de sélection avec un(e) conseiller(ère) à l'immigration".

je veut avoir comment je doit préparé cette entrevue sachent que: je suis titulaire d'une licence en droit et d'un capa et d'une licence et d'un diplôme de technicien de santé (aide soignant). merci bk peace sideh :smile: (y).

félicitations, tu as quel n° du dossier?

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  • Habitués

bonjour presto,

ecoutez puisque vous étes recomandé ,il vaut mieux profiter de cette connaisance.

déjà vous pouvez leurs demander de vous fournir une lettre explicative pour la non pssiblité de fournir ce document.

puis vous confortez cela avec des certificats de travails et/ou fiche de paies d'anciens employeurs.

ça va marcher comme cela.

moi de mon coté c'est une autre paire de manche car:

je suis toujours chez le méme emplyeur mais j'ai changer de wilaya puisque c'est un groupe.

d'aprés la CNAS je ne peux avoir depuis mon recrutement mais seulement depuis mon affiliation chez eux donc une année.

c'est vraiment frustrant!! aidez moi avec vos témognages cherS forumiste.

qu'elqu'un dans mon cas!!!

prenez des ATS ,elles peuvent faire foi,cesque j'ai fias moi

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