Aller au contenu

Mal du pays


cahouette

Messages recommandés

Bonjour à tous,

Je poste ce message car j'ai besoin de vos conseils et de vos témoignages. Je suis d'origine française et ça fait maintenant 4 ans que je vis à Montréal avec ma fille et mon mari. Nous avons immigré à l'époque car la situation était compliquée en France. D'une part mon conjoint n'arrivait pas à trouver du travail et d'autre part nous rêvions d'une vie meilleure. Et voilà mon conjoint a eu une superbe opportunité ici à Montréal. Cela a été l'occasion rêvée pour tenter notre chance au Québec.

Et nous voilà parti à l'aventure pour tenter notre chance à Montréal. Nous avons vendu rapidement tous nos meubles, vendu notre maison, nous avons fait toutes les démarches afin de partir le plus rapidement possible. De mon côté je n'avais pas vraiment grand chose qui me retenait en France. Je n'avais pas un bon travail, l'entente avec ma famille n'était pas géniale, je ne me sentais pas vraiment bien dans ma vie...

Nous avions hâte et lorsque nous avons découvert Montréal nous avons adoré ! Je vous avoue que les premiers temps ont été difficiles surtout à cause de notre fille qui avait environ 1 an mais malgré tout nous étions sûre que nous avions fait le bon choix.

Par la suite mon mari s'est épanoui de plus en plus, il n'a pas eu le mal du pays bien au contraire. Le Québec a été pour lui le pays de la 2ème chance car il se sent beaucoup mieux qu'en France et son travail lui permet de se réaliser totalement.

Quant à moi et bien s'est totalement différent. Après l'euphorie des premiers moments, j'ai commencé à déprimer. En effet, à l'arrivée de l'hiver je me suis mise à faire ma première dépression. Bon il faut dire qu'à la base j'hésitais à venir au Québec car je déteste la neige car même dans mon pays je ne supportais pas ça. Et bien ici je suis servie car c'est 5 mois de neige et pratiquement 6 mois d'hiver. Donc j'ai commencé à me sentir très mal, je n'avais plus envie de rien faire, la déprime à pris le dessus. Impossible de conduire une voiture, refus de travailler, refus de m'intégrer dans la société Québécoise. J'étais totalement bloquée. Au début j'étais arrivée avec des grands projets comme le fait de changer de carrière car ce que je faisais en France ne me convenait plus du tout mais malgré toute cette bonne volonté je me suis sentie incapable d'avancer. L'angoisse totale... Je me suis donc trouvée un travail qui ne me plaisait pas du tout, j'ai refusé de me faire aider, j'ai fait comme si tout allait bien et j'ai voulu lutter contre l'hiver. Résultat tout a été pire. Dans le monde du travail j'ai eu une très mauvaise expérience je ne me suis pas fait d'amis, à chaque hiver je tombais en dépression, ma vie de couple et bien c'était une catastrophe et je me suis totalement isolée des autres. Je suis arrivée à un point ou je ne voulais plus voir personne, envie de me suicider, plus avoir envie de rien faire. Il faut dire aussi que j'avais eu un décès dans ma famille ce qui n'a pas arrangé les choses. À ce moment là mon mari s'est senti impuissant il ne savait plus quoi faire. De ce fait il est devenu lui aussi agressif avec moi et me reprochait de ne pas faire assez d’efforts. C'était l'enfer. Jusqu'au moment où je suis allée voir un médecin qui m'a prescrit des antidépresseurs. J'ai également vu un psychologue pendant plusieurs séances qui m'a dit que mon problème venait de mon couple et qui a refusé de continuer avec moi. Lolllllllllll super le psy !!! En effet, j'avais un problème de communication avec mon chum mais il n'y avait pas que ça. Aujourd'hui je vais mieux. Oui en effet d'une part l'hiver est terminé donc c'est un grand soulagement pour moi et d'autre part la relation avec mon mari s'est améliorée. J'ai également pris la décision de reprendre mes études et de me lancer dans mon projet initial de changement de carrière. J'ai arrêté de travailler aussi et me consacre entièrement à ma passion et à ce que j'aime faire. Mais malgré ça je ressens toujours une grande angoisse en moi. J'ai peur de rester au Québec et de ne pas me sentir à ma place, j'ai peur de l'hiver...

Voilà pour mon histoire j'attends avec impatience vos conseils et vos témoignages.

Merci.

Modifié par cahouette
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Bonjour,

Merci pour ce récit plein de sincérité, qui nous rappelle que malheureusement, tout n'est pas toujours rose dans l'immigration...

Bravo pour ce nouveau souffle : les études, le développement de ta passion, l'apaisement dans ton foyer.

Peut-être te restera-t-il à t'interroger sur ce que tu gagnerais à rentrer dans ton pays, à peser le pour et le contre, et à échanger là-dessus avec ton mari. C'est le genre de décision qui t'appartient.

Merci encore et très belle continuation... Profite bien de l'arrivée du printemps...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Bonjour,

Je n'ai pas de témoignage a relater, je voulais juste dire que la dépression saisonnière est un vrai probleme de santé, il ne faut pas se dire que ça passera car oui ça passe mais ça reprend de plus belle, on appelle ça une dépression chronique, alors svp, même si on a des souvent des appréhensions par rapport aux médecins psy, n'hésitez pas a en voir un dès que ça ne va pas, dès que vous angoissez, ne laissez pas votre peur prendre le dessus !!

Faites des projets, imaginez la neige comme une grande mousse a la vanille et un moyen de s'amuser avec son enfant !

Je vous souhaite bien du courage pour la suite!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Le mal du Pays ne se contrôle pas...J'ai servi en gendarmerie pendant de nombreuses années et j'ai donc fait de nombreux déplacements en outre-mer. Je me souviens particulièrement de mon voyage a Tahiti....ah le soleil, les palmiers et le sable chaud....bah écoute, j'ai détesté ! Nous étions pourtant logés dans un hôtel 4 étoiles, nourris logés gratuitement, piscine a débordement avec vue sur le pacifique...le rêve....nan, le cauchemar ! J'ai détesté la ville, les gens, la chaleur étouffante, la transpiration non-stop, la bouffe locale, le mode de vie tongues-débardeur...j'ai vraiment été heureux de rentrer chez moi !!! Nous sommes rentrés en février à l'aéroport de Lorient, il fessait froid, il pleuvait, c'était l'hiver...et j'étais heureux !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Bonjour,

Merci de ce témoignage poignant, au risque de plagier mes amis forumeux, l'immigration est difficile et encore plus s'il y a des difficultés à l'arrivée. Mais tu as su te relever, c'est déjà un point très positif.

Le mal du pays est aussi normal car on voit ce que l'on a perdu et que l'herbe est pas franchement verte là où l'on est (de son point de vu). Pour être franc, je ne sais pas comment je réagirai.

Je n'ai qu'un conseil, dans un premier temps prends des vacances en France ou au soleil pour te ressourcer.

Si ton mari s'est trouvé, il ne sera pas ouvert à la discussion pour revenir en France. Cette France qui ne l'a pas épanouie. Mais rien ne vaut le dialogue.

J'espère que tu iras mieux avec le soleil qui prend du retard à revenir au canada mais qui revient quand même...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

C'est touchant comme récit. Ce qui est rassurant c'est le fait que tu as des projets qui semblent te motiver aujourd'hui. De plus, c'est quand même tout un choc de changer de pays, en plus de devoir tout reconstruire (se loger, trouver du travail, tout en s'occupant de son enfant, etc.). Je suis québécoise et moi-même l'hiver me donne à chaque année une période grise, alors j'imagine quelqu'un qui n'est pas habitué de survivre à cette peste blanche et froide! Tu sembles sur la bonne la voie. Tu nommes de belles améliorations :flowers:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Bravo pour le recit, mais ca manque de sauts de lignes/paragraphes, c'est difficile a lire !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

disons que si on déteste la neige déjà à la base, venir ici c'était voué à l'échec . malgré toute ta volonté, l'hiver sera toujours là. on peut s’accommoder de certaines choses mais y'a des limites. comme moi je déteste la chaleur et je sais d'avance que si je vais habiter dans un pays chaud je vais être très malheureuse.

en attendant, y'a la luminothérapie l'hiver qui aide certaine personne au prise avec la dépression saisonnière. je sais pas si c'est efficace, mais ça pourrait être une 'solution' temporaire

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Merci pour ce sujet qui permet de voir une autre vision de l'immigration!!! Bon courage!!!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Merci pour ce temoignage.

Comme cela a ete dit plus haut: si on ne supporte pas l hiver, les sports d hiver, la neige... on aura beaucoup de mal ici. Je le dis souvent a des personnes qui me posent des questions sur le sujet de l immigration

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je vous remercie pour vos jolies messages d'encouragement. Maintenant quand j'entends que si je n'aime pas l'hiver je vais échouer mon immigration cela me démoralise complètement. Je suis tout de même dans une situation ou mon conjoint a un très bon travail, qu'il est totalement épanoui et où ma fille de 6 ans se sent plus québécoise que française. Alors si je me dis et bien j'aime pas l'hiver alors il faut que je parte je serai quand même un peu égoïste. C'est plus compliqué que ça je ne suis pas seule dans l'histoire.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

merci pour ce témoignage émouvant,

Tu es malheureuse, mais cette souffrance est due en grande partie aux effets de l'hiver, je me souviens en France l'année dernière il y a eu 5 ou 6 mois de temps pourri, pluvieux, il y a eu des ventes-record d'antidépresseurs, les gens allaient vraiment mal.....c'est fou comment la météo peut jouer sur notre moral, il paraît que, en cas d'intempéries le corps produit plus de cortisol, une hormone qui influence le niveau de stress. D'où les réactions d'agressivité et d'impatience exprimée par certains par un temps morose.

La solution pour toi c'est effectivement un voyage en France, .......oooh et combien utile ! Cela te ferait comprendre pas mal de choses. Tu as changé, tu ne te rends pas compte encore, mais si tu reviens un peu dans ton " ancienne vie", tu seras confrontée à la nouvelle " Cahouette" qui a d'autres valeurs maintenant ( bien plus saines) viens....rentre en France un peu, à Paris , si possible, viens voir la civilisation et le bon sens, la circulation très courtoise et plein d'autres choses excitantes, tu seras impatiente de repartir et de retrouver ta famille et mettre ta tuque avec plaisir pour aller travailler ( quitte à faire appel à la luminothérapie...oui, pourquoi pas......)

Ne désespère pas, c'est à toi de changer les choses......tu n'as pas le choix, effectivement, essaye d'être heureuse, tu as toutes les conditions pour .....crois-moi !

sinon, voici quelques conseils contre la dépression :

Comment prévenir cette dépression saisonnière ?

Tout d'abord, exposez vous chaque fois que possible à la lumière du jour en faisant de longues balades au grand air, si

possible en forêt, en respirant amplement. Cela optimisera votre énergie physique.

Investissez dans un appareil de luminothérapie de 10 000 Lux et exposez vous tous les jours du début de l'automne

jusqu'au printemps à cette lumière blanche pendant une heure. Vous pouvez en profiter pour lire, tricoter, broder...du

moment que le visage reste baigné de lumière. Par contre, la luminothérapie est déconseillée aux personnes souffrant de

dégénérescence maculaire.

Vous pouvez également installer un spot infrarouge au dessus du lavabo de votre salle de bain et profiter du moment de

votre toilette pour profiter de la lumière et de la chaleur bienfaisante.

Vous trouverez ces spots infrarouges dans les coopératives agricoles par exemple (elles sont utilisées pour couver les

oeufs et réchauffer les poussins nouvellement éclos). Contrairement aux lampes de luminothérapie, il n'y a pas contre

indication en cas de dégénérescence maculaire.

Intéressant aussi, un réveil simulateur d'aube pour se réveiller naturellement, le matin comme sous l'effet du lever du jour,

progressivement en 30mn. Ces réveils peuvent en outre, avoir une fonction coucher du soleil favorisant l'endormissement.

bon courage !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

C'était certainement un peu trop abrupt et maladroit de dire que c'est voué à l'échec car comme tu l'écris, tu vas mieux. Tu as peur de l'hiver qui vient, prépares toi à surmonter cette angoisse mais je ne pense pas qu'un psy puisse vraiment t'aider.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Un récit sincère et émouvant,il est claire que l'hiver ici est rude et rigoureux, sauf que tu me semble plus armée pour dépasser ce cap, surtout que ton premier hiver est déjà passé, ma foi je me dis que si l'on planifie des activités hivernales cela fera que l'on voit les choses d'une autre manière où chaque saison a son charme, tous se passe dans la tête, et pour le même hiver, certain peuvent le détester, d'autres moins.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour supporter mieux l'hiver, on m'a conseillé de le couper par 1 à 2 semaines au soleil. Pour tenir, il faut multiplier les activités, club de sport, de danse...aller boire un verre chaque semaine avec des amis, ne jamais rester chez soi toute la journée.

Sortir quand le soleil est là, être très bien couverte pour ne pas se servir du froid comme excuse pour rester enfermée.

Lance toi dans des activités qui peuvent te permettre de rencontrer des gens, club de photos, lecture, théâtre...Pour guérir de la dépression, il faut se bouger, l'enfermement et la solitude ce n'est jamais bon très longtemps, les médocs peuvent aider un peu, on m'a parlé du deroxat (nom francais) qui lutte contre le manque de motivation et diminue le stress, c'est mieux que le xanax parait-il.

Mais pour guérir il faut lutter en s'occupant.

Je suis arrivée en fin Janvier et je peux te dire que j'ai eu envie de rentrer en France plus d'une fois, j'ai vécu de gros moments dépressifs parce que mon compagnon a un travail et pas moi, mais à force de multiplier les projets et les sorties qui permettent de voir du monde ça va beaucoup mieux.

Et il faut souvent se rappeler pourquoi on est parti et ne pas oublier qu'on n'est pas prisonnière, que la France sera toujours là si un jour on veut y retourner. Bon courage!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

C'était certainement un peu trop abrupt et maladroit de dire que c'est voué à l'échec car comme tu l'écris, tu vas mieux. Tu as peur de l'hiver qui vient, prépares toi à surmonter cette angoisse mais je ne pense pas qu'un psy puisse vraiment t'aider.

désolé mais je vis pas dans un monde de bisounours. je préfère la franchise.

quand je parlais d'échec, c'était en rapport à 'aimer l'hiver'. elle est là depuis 4 ans et si elle a pas aimé chacun de ces hivers, ça va pas vraiment changer l'année suivante.

après, même si elle veut repartir un jour, je pense pas que ça sera un échec d'immigration. elle aura vécue une nouvelle expérience et si ça lui convient pas ça veut pas dire que c'était un échec.

mais son malaise est plus profond que juste 'pas aimer l'hiver'.

il faut un suivi ou trouver un nouveau psychologue ou psychothérapeute avec qui elle serait plus à l'aise que l'autre qu'elle n'a pas aimé.

il faut pas se dire égoïste parce qu'on pense à soi. on est une épouse, une mère et il faudrait s'oublier? il faut aussi penser à soi.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Hello Automne,

Cahouette cherche des conseils et du réconfort. Même si l'hiver est incontournable et que la déprime va revenir dans 6 mois, lui maintenir la tête sous l'eau ne va pas la réconforter. Il faut justement positiver la chose et être diplomate. 6 mois c'est amplement suffisant pour commencer un traiter son angoisse et avec le temps, elle y arrivera. Après comme tu le dis, 15 jours de soleil au milieu serait pas un mal.

Le psychologue n'est pas vraiment une solution, en revanche un psychiatre, qui lui est un vrai médecin, pourquoi pas.

Amicalement

PS: Tu es un peu trop franche pour une Québecoise, ton parisien de chum ne t'aurai pas un peu dépeins dessus??? :P

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Je ne sais pas si je peux t'aider car je ne vis pas au Quebec. Dans mon cas en revenant en France après avoir quitté l'Australie que la dépression est arrivée. ( et peut être du à la distance, là bas j'avais carrément oublié la France).

Je te parle en connaissance de cause car j'ai fait trois dépressions, du coup j'ai été diagnostiqué unipolaire (enchaînement de dépression si non soigné) et je suis soignée non pas par un antidepresseur qui sert strictement à rien dans mon cas mais par un antiépileptique.

Bref j'arrete 3615 mylife pour te dire quil ne faut pas oublier que la dépression te fait voir ta vie au Quebec sous un filtre négatif. Tu serais en France, ca ne changerait pas. Au quebec tu es entourée par ton chéri et ton enfant. Puisse ta force dans cet amour et oblige toi à faire du sport (bien connu pour réduire l’anxiété et les symptômes de la dépression). Commence par te recréer un cercle social en faisant des activités et te faisant soigner medicalement.

Ensuite tu pourras à tete reposée réfléchir sur ce que tu veux vraiment faire. Pour l'hiver pourquoi pas faire de la luminothérapie comme les scandinaves. Tout ceci prend du temps pour se reconstruire mais tu verras la vie autrement une fois soignée.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Parmi les activités que tu en pourras faire est le bénévolat, cela te permettera d'enrichir ton emploi du temps, participer à des activités qui peuvent apporter de l'aide aux personnes, faire la connaissance de gens et élargir ton cercle de connaissance, tout en ayant ce sentiment d'être un membre utile et positif dans une société, ce qui augmentera ta confiance en toi et de voir les choses autrement, j'imagine que cela est mieux que d'hiberner ou de se cloîtrer entre quatres mûrs pendant toute une saison.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Hello Automne,

Cahouette cherche des conseils et du réconfort. Même si l'hiver est incontournable et que la déprime va revenir dans 6 mois, lui maintenir la tête sous l'eau ne va pas la réconforter. Il faut justement positiver la chose et être diplomate. 6 mois c'est amplement suffisant pour commencer un traiter son angoisse et avec le temps, elle y arrivera. Après comme tu le dis, 15 jours de soleil au milieu serait pas un mal.

Le psychologue n'est pas vraiment une solution, en revanche un psychiatre, qui lui est un vrai médecin, pourquoi pas.

Amicalement

PS: Tu es un peu trop franche pour une Québecoise, ton parisien de chum ne t'aurai pas un peu dépeins dessus??? :P

Ce n'est pas lui rendre service que d'aller dans ce sens. Je eejoins Automne, 4 hivers c'est assez pour s'avoir si c'est pour nous ou pas. Et non tu n'es pas egoiste Cahouete. Tu ne peux pas mettre ta vie entre () pendant 6 mois chaque année.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.



×
×
  • Créer...
Ouvrir un compte bancaire avant mon départ
© 2024 immigrer.com

Advertisement