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lionelb

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Comme ça il ralentira ceux qui avancent bien.Tous mes amis français (sauf 1 qui le fait à la rentrée prochaine) ont mis leurs enfants dans le privé.Motif: entre les enfants qui disent que c'est cool,qui s'ennuient,qu'on félicite de n'avoir fait QUE 4 fautes d'orthographe à la dictée et de simples demi-journées de cours (d'après ce que j'ai compris,les cours finissent à 1 ou 2h),les enfants ne sont pas restés longtemps dans le système public.

Quel parent accepterait que la progression de son enfant soit ralenti par les autres?

Surtout qu'un jour, les élèves qui auront été caressés dans le sens du poil auront à faire face à de vraies exigences. Dès le CEGEP, je crois.

Pour réussir ses études et obtenir un diplôme de valeur, il faut être performant. Faire des compliments pour faire des compliments et ne pas froisser les enfants, ça peut être contre-productif.

Modifié par ecureuilvert
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  • Habitués

Taux de décrochage scolaire au Québec (en baisse, mais affolant !)

http://www.lapresse.ca/actualites/education/201310/22/01-4702567-le-taux-de-decrochage-est-a-la-baisse-au-quebec.php

Et je suis d'accord avec vous Écureuilvert... inculquez l'estime de soi, c'est bien, mais trop c'est comme pas assez. Un moment donné, il faut savoir dire les vraies choses à un enfant et ne pas l'endormir en le flattant toujours dans le sens du poil.

t c'est un fait qu'après les avoir dorlotés au primaire et au secondaire, ils ont un choc en arrivant au cégep. Tous nos amis qui ont des enfants qui sont passés par là nous disent que la marche était haute.

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  • Habitués

Quand je pense à tous ces jeunes diplômés universitaires québécois qui en sont réduits à faire des petits boulots, je me demande vraiment d'où ils viennent ...

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Quand je pense à tous ces jeunes diplômés universitaires québécois qui en sont réduits à faire des petits boulots, je me demande vraiment d'où ils viennent ...

Ca rappelle la situation de la France, tiens...

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  • Habitués

nous avons deux enfants 8 et 14 ans et le système scolaire n'est vraiment pas bon ici

Pourrais-tu argumenter ton propos ?

Ce qui est "connu", c'est que les enfants plutôt moyens ou faibles à l'école, seront heureux ici car tout le monde est valorisé. Mais que cela nivelle vers le bas le niveau moyen.

Mais dès l'enseignement supérieur, le niveau devient très bon.

De plus, je trouve le système de CEGEP bien mieux pensé qu'en France, avec un accès direct à un emploi très bien rémunéré après 3 ans lorsqu'on fait des études professionnalisantes où il y a de la demande. L'équivalent n'existe pas en France, où avec des emplois au salaire minimum à la sortie d'un bac pro.

Rentrer en France pour les études de ses enfants ? Il faudrait y réfléchir à deux fois.

Je n'ai pas vraiment d'avis sur le système scolaire québécois comme je ne l'ai pas encore expérimenté, mais j'ai été étonnée d'apprendre que plusieurs de mes collègues (qui sont immigrants aussi, mais ici depuis pas mal de temps, arrivés depuis plus de 6 ans pour le plus récent) mettent leurs enfants à l'école privée. Trois familles ont leurs enfants au Collège Marie de France, et deux au Collège Stanislas. Je me suis renseignée sur les frais d'inscriprion et c'est cher, près de 4000 dollars en primaire! Ca semble une vraie priorité familiale de mettre les enfants à l'école privée pour eux!
Stan et MdF c'est pas juste privé c'est... français :wink: Je comprends qu'on ait envie de mettre ses enfants au privé pour x ou y raison mais immigrer pour mettre ses enfants dans le système français j'ai plus de mal...

Je sais bien que ce sont des collèges français. Mais les immigrants en question ne sont pas français justement. Certains sont européens non francophones, d'autres carrément non européens. Donc ils ont immigré oui, mais pas de France, et mettent leurs enfants dans le système français.

Avec les réponses de Juetben et Phtiba, je comprends mieux ce choix, qui voudrait donc dire que ces parents préfèrent éviter le système québécois même si cela a un prix.

Modifié par Lolitia
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  • Habitués

Beaucoup veulent eviter le système educatif régulier au primaire et secondaire , ce qui permet ensuite de choisir un CEGEP de qualité (ils ne sont pas tous egaux) ainsi que l'université (elles non plus pas toutes egales loin s'en faut).

Juste a ecouter quelques discours creux de politiciens ou regarder la télé quelques heures pour se dire qu'on a envie d'être au dessus de cette melée d'inculture.

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  • Habitués

Quand je pense à tous ces jeunes diplômés universitaires québécois qui en sont réduits à faire des petits boulots, je me demande vraiment d'où ils viennent ...

Ca rappelle la situation de la France, tiens...

La vie n'est pas que de choisir des matières ou on est sur qu'il n'y a pas de débouchés ou de se balader avec un carré rouge.

Dans mon environnement proche il n'y a aucun universitaire chomeur ou a bas salaire , ils n'ont pas trouvé le jour un mais en peu de temps quand même.

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nous avons deux enfants 8 et 14 ans et le système scolaire n'est vraiment pas bon ici

Pourrais-tu argumenter ton propos ?

Ce qui est "connu", c'est que les enfants plutôt moyens ou faibles à l'école, seront heureux ici car tout le monde est valorisé. Mais que cela nivelle vers le bas le niveau moyen.

Mais dès l'enseignement supérieur, le niveau devient très bon.

De plus, je trouve le système de CEGEP bien mieux pensé qu'en France, avec un accès direct à un emploi très bien rémunéré après 3 ans lorsqu'on fait des études professionnalisantes où il y a de la demande. L'équivalent n'existe pas en France, où avec des emplois au salaire minimum à la sortie d'un bac pro.

Rentrer en France pour les études de ses enfants ? Il faudrait y réfléchir à deux fois.

Je n'ai pas vraiment d'avis sur le système scolaire québécois comme je ne l'ai pas encore expérimenté, mais j'ai été étonnée d'apprendre que plusieurs de mes collègues (qui sont immigrants aussi, mais ici depuis pas mal de temps, arrivés depuis plus de 6 ans pour le plus récent) mettent leurs enfants à l'école privée. Trois familles ont leurs enfants au Collège Marie de France, et deux au Collège Stanislas. Je me suis renseignée sur les frais d'inscriprion et c'est cher, près de 4000 dollars en primaire! Ca semble une vraie priorité familiale de mettre les enfants à l'école privée pour eux!
Stan et MdF c'est pas juste privé c'est... français :wink: Je comprends qu'on ait envie de mettre ses enfants au privé pour x ou y raison mais immigrer pour mettre ses enfants dans le système français j'ai plus de mal...

Je sais bien que ce sont des collèges français. Mais les immigrants en question ne sont pas français justement. Certains sont européens non francophones, d'autres carrément non européens. Donc ils ont immigré oui, mais pas de France, et mettent leurs enfants dans le système français.

Avec les réponses de Juetben et Phtiba, je comprends mieux ce choix, qui voudrait donc dire que ces parents préfèrent éviter le système québécois même si cela a un prix.

Oui Juetben a raison, y'a ça aussi qui joue : des écoles d'élite ! Mais sérieusement faut avoir envie quand même... en étant une bonne élève, j'ai été pas mal cassée par le système ! Dès que tu as une faiblesse, on ne te tire pas vers le haut, au contraire, hormis quelques rares profs que je peux compter sur les doigts d'une main à peine ! Alors collège français, privé avec des parents en général avec une assez haute situation, je sais pas si j'aimerais y envoyer mes enfants sachant qu'il y a aussi d'autres alternatives au privé avec les écoles locales...

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Quand je pense à tous ces jeunes diplômés universitaires québécois qui en sont réduits à faire des petits boulots, je me demande vraiment d'où ils viennent ...

le tout n'est pas de faire des études pour faire des études, mais faire quelque chose qui puisse te servir pour ton avenir... et cela d'ou tu viens!! avoir une maitrise en histoire de la Chine contemporaine n'est pas forcément judicieux comme choix (et le je mâche mes mots), tout comme des contingents de bac en sexologie ou musicologie! mais encore la il ne faut surtout pas froisser les jeunes dans leur démarche de la recherche du bonheur!!

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Quand je pense à tous ces jeunes diplômés universitaires québécois qui en sont réduits à faire des petits boulots, je me demande vraiment d'où ils viennent ...

le tout n'est pas de faire des études pour faire des études, mais faire quelque chose qui puisse te servir pour ton avenir... et cela d'ou tu viens!! avoir une maitrise en histoire de la Chine contemporaine n'est pas forcément judicieux comme choix (et le je mâche mes mots), tout comme des contingents de bac en sexologie ou musicologie! mais encore la il ne faut surtout pas froisser les jeunes dans leur démarche de la recherche du bonheur!!

J'en vois des flopées qui ont justement étudié en sociologie, politique, sexologie... énormément en communications... eh bien ça ne mène pas loin. Nous avons une secrétaire qui a une maîtrise en socio !

J'ai fait un bac en Langue française et littérature pour travailler dans le monde de l'édition; cela aurait pu fonctionner, mais c'est un petit domaine ici, c'est surtout des contrats et du réseautage. Je ne regrette pas mes études, bien au contraire, car j'avais au moins une porte de sortie et déjà 10 ans d'expérience comme secrétaire.

Mais si je veux étudier l'histoire de l'Égypte antique, j'irai le faire à l'université, à ma retraite, et sans stress en plus ! ;) Et ce sera pour peaufiner ma culture personnelle :)

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Quand je pense à tous ces jeunes diplômés universitaires québécois qui en sont réduits à faire des petits boulots, je me demande vraiment d'où ils viennent ...

le tout n'est pas de faire des études pour faire des études, mais faire quelque chose qui puisse te servir pour ton avenir... et cela d'ou tu viens!! avoir une maitrise en histoire de la Chine contemporaine n'est pas forcément judicieux comme choix (et le je mâche mes mots), tout comme des contingents de bac en sexologie ou musicologie! mais encore la il ne faut surtout pas froisser les jeunes dans leur démarche de la recherche du bonheur!!

C'est vrai, mais c'est oublier un peu trop vite tous les jeunes avec des diplômes "employables" qui galèrent quand meme. Et si on devient tous ingénieurs ou médecin, ça va être compliqué. Par contre, je partage l'avis de Bérénice : si on choisit d'étudier la musicologie ou autre, il faut être prêt à bosser pas forcément dans son domaine après.

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Quand je pense à tous ces jeunes diplômés universitaires québécois qui en sont réduits à faire des petits boulots, je me demande vraiment d'où ils viennent ...

le tout n'est pas de faire des études pour faire des études, mais faire quelque chose qui puisse te servir pour ton avenir... et cela d'ou tu viens!! avoir une maitrise en histoire de la Chine contemporaine n'est pas forcément judicieux comme choix (et le je mâche mes mots), tout comme des contingents de bac en sexologie ou musicologie! mais encore la il ne faut surtout pas froisser les jeunes dans leur démarche de la recherche du bonheur!!

En France, c'est la même chose...

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Quand je pense à tous ces jeunes diplômés universitaires québécois qui en sont réduits à faire des petits boulots, je me demande vraiment d'où ils viennent ...

le tout n'est pas de faire des études pour faire des études, mais faire quelque chose qui puisse te servir pour ton avenir... et cela d'ou tu viens!! avoir une maitrise en histoire de la Chine contemporaine n'est pas forcément judicieux comme choix (et le je mâche mes mots), tout comme des contingents de bac en sexologie ou musicologie! mais encore la il ne faut surtout pas froisser les jeunes dans leur démarche de la recherche du bonheur!!

C'était une joke ironique par rapport aux témoignages qui disent que les écoles québécoises sont mauvaises. Je me demandais comment tous ces "jeunes diplômés" avec un si mauvais niveau ont fait pour arriver à se faire accepter dans les universités québécoises et à décrocher leur diplôme.

À moins qu'ils sortent tous de Stan ou de MRDF? Mais je suis entourée de jeunes professionnels hyper brillants, québécois, et je vous garantis qu'ils étaient dans des établissmements québécois auparavant.

Outre les quartiers où la concentration d'étrangers fait que le niveau des enfants scolarisés est baissé, il faudrait aussi que les parents fassent peut-être leur examen de conscience. Combien de parents débordés et fatigués qui, le soir, ne prennent pas de temps pour accompagner leur enfant dans ses tâches?

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  • Habitués

Que tu sortes avec un bac diplome en informatique de poly, U de MTL ou sherbrooke , dans les 3 cas tu vas trouver un emploi sauf que tes chances de gagner plus en sortant de poly sont assez bonnes et pour entrr a poly ça prends des notes de cegep assez hautes et d'un bon cegep en plus (pas réputé pour la qualité du pot) , qui lui va choisir les bons candidats des bonnes ecoles secondaires .qui.... , en résumé si tu as fait un bon parcours scolaires aux bons endroits ça aide beaucoup

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Bonjour Lionelb, je vous souhaite un bon retour en Suisse , nous repartons aussi d'ici 3 mois vers notre Alsace natal, nous avons deux enfants 8 et 14 ans et le système scolaire n'est vraiment pas bon ici

:innocent: Système scolaire québécois pas bon ? Je pense que tu fais de la désinformation là. En fait le système scolaire québécois est le meilleur du monde francophone, meilleur que la Belgique, la Suisse, et la France tel que le démontre les études de l'OCDE sur le sujet. Par exemple, selon l'OCDE il y a 40,1% des Français de 16 à 65 ans qui souffrent d'illettrisme ( grandes difficultés à lire ). Bref le système d'éducation québécois a des problèmes mais il reste un bon système d'éducation.

Magazine français l'Express : l'illettrisme honteux ( en France ) :

http://www.lexpress.fr/education/l-illettrisme-honteux_497801.html

Modifié par lesuisse
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  • Habitués

C'était une joke ironique par rapport aux témoignages qui disent que les écoles québécoises sont mauvaises. Je me demandais comment tous ces "jeunes diplômés" avec un si mauvais niveau ont fait pour arriver à se faire accepter dans les universités québécoises et à décrocher leur diplôme.

À moins qu'ils sortent tous de Stan ou de MRDF? Mais je suis entourée de jeunes professionnels hyper brillants, québécois, et je vous garantis qu'ils étaient dans des établissmements québécois auparavant.

ben oui ils ont fait l'université heureusement qu'ils y arrivent, mais ont ils fait le programme qu'ils voulaient dans l'université qu'ils voulaient ou bien ils se sont rabattus sur un autre programme dans une autre université faute d'une cote R insuffisante, faute d'avoir fait un cégep de vacanciers au lieu d'en avoir fait un réputé...

quand tu veux faire des programmes hyper contingenté, ton secondaire et cégep compte énormément, alors non ce n'est pas obligatoire de faire de supers bonnes écoles secondaire pour intégrer des cursus prisés et de pointe mais ça aide incroyablement...

après si le seul argument est d,avoir fait l'université, c'est un peu cours, on pourrait confronter les réputations de l'UDEM versus UQAM versus UQTR versus Mc Gill versus Concordia... pour certains programmes vaut mieux aller dans certaines plus que d'autres pour t'assurer un avenir professionnel satisfaisant!

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  • Habitués

C'était une joke ironique par rapport aux témoignages qui disent que les écoles québécoises sont mauvaises. Je me demandais comment tous ces "jeunes diplômés" avec un si mauvais niveau ont fait pour arriver à se faire accepter dans les universités québécoises et à décrocher leur diplôme.

À moins qu'ils sortent tous de Stan ou de MRDF? Mais je suis entourée de jeunes professionnels hyper brillants, québécois, et je vous garantis qu'ils étaient dans des établissmements québécois auparavant.

ben oui ils ont fait l'université heureusement qu'ils y arrivent, mais ont ils fait le programme qu'ils voulaient dans l'université qu'ils voulaient ou bien ils se sont rabattus sur un autre programme dans une autre université faute d'une cote R insuffisante, faute d'avoir fait un cégep de vacanciers au lieu d'en avoir fait un réputé...

quand tu veux faire des programmes hyper contingenté, ton secondaire et cégep compte énormément, alors non ce n'est pas obligatoire de faire de supers bonnes écoles secondaire pour intégrer des cursus prisés et de pointe mais ça aide incroyablement...

après si le seul argument est d,avoir fait l'université, c'est un peu cours, on pourrait confronter les réputations de l'UDEM versus UQAM versus UQTR versus Mc Gill versus Concordia... pour certains programmes vaut mieux aller dans certaines plus que d'autres pour t'assurer un avenir professionnel satisfaisant!

Ben justement, quand on voit comme ces universités sont pleines et qu'elles contingentent, elles vont les chercher où, ces étudiants québécois qui ont été si mal formés dans un si mauvais système scolaire ? :)

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Ben justement, quand on voit comme ces universités sont pleines et qu'elles contingentent, elles vont les chercher où, ces étudiants québécois qui ont été si mal formés dans un si mauvais système scolaire ? :smile:

peut être dans le privé québécois!!

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Ben justement, quand on voit comme ces universités sont pleines et qu'elles contingentent, elles vont les chercher où, ces étudiants québécois qui ont été si mal formés dans un si mauvais système scolaire ? :smile:

peut être dans le privé québécois!!

:wink:

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  • Habitués

Donc en gros je crois que la plupart des intervenants sont d'accord pour dire que le système public québécois c'est pas tout à fait ça, d'ou la preference des familles immigrantes pour le privé, français ou québécois. C'est bon à savoir.

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