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Le Québec veut attirer les infirmières françaises


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Le Québec veut attirer les infirmières françaises
  • Par lefigaro.fr avec AFP
    • Mis à jour le 07/02/2014 à 07:13
Les infirmières françaises installées au Québec et leurs collègues encore en France souhaitant s'y installer vont pouvoir exercer plus facilement dans les services de santé de la province francophone grâce à la reconnaissance de leur diplôme et de leur expérience professionnelle.

Hier, Jean-François Lisée, ministre québécois des Relations internationales, et Hélène Conway-Mouret, ministre déléguée chargée des Français de l'étranger, ont annoncé l'arrangement de reconnaissance mutuelle (ARM) des qualifications professionnelles pour les infirmières et infirmiers. "C'est un accord gagnant-gagnant", a déclaré Mme Conway-Mouret. Ce type d'accord vise à favoriser l'installation des Français au Québec, qualifiée pafois de "compliquée et difficile" par certains migrants que la ministre a rencontré lors de son déplacement au Canada.

Côté québécois, Jean-François Lisée a estimé qu'après "beaucoup de départs en retraite anticipée" ces dernières années dans cette profession de la santé --, qu'il a fallu combler par des recrutements à l'étranger--, le flux migratoire s'est rééquilibré et "il n'y a pas de recrutements agressifs".
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Les infirmières françaises installées au Québec et leurs collègues encore en France souhaitant s'y installer vont pouvoir exercer plus facilement dans les services de santé de la province francophone grâce à la reconnaissance de leur diplôme et de leur expérience professionnelle.

Hier, Jean-François Lisée, ministre québécois des Relations internationales, et Hélène Conway-Mouret, ministre déléguée chargée des Français de l'étranger, ont annoncé l'arrangement de reconnaissance mutuelle (ARM) des qualifications professionnelles pour les infirmières et infirmiers. "C'est un accord gagnant-gagnant", a déclaré Mme Conway-Mouret. Ce type d'accord vise à favoriser l'installation des Français au Québec, qualifiée pafois de "compliquée et difficile" par certains migrants que la ministre a rencontré lors de son déplacement au Canada.

Côté québécois, Jean-François Lisée a estimé qu'après "beaucoup de départs en retraite anticipée" ces dernières années dans cette profession de la santé --, qu'il a fallu combler par des recrutements à l'étranger--, le flux migratoire s'est rééquilibré et "il n'y a pas de recrutements agressifs".

Evidement parceque il y a un nombre importante des IDE françaises qui rentrent une fois qui voient les conditions de travail,les échecs de stage de intégration et validation du diplôme, l'arrête du stage de suite par la Direction de Soins Infirmiers de l'hôpital sans presque pas de possibilité de trouver un nouveau employeur, la possibilité de passer CEPI (candidate à l'exercice de la profession infirmière), faire un stage au cégep (aux frais de la candidate de 6 mois),passer l'examen de l'OIIQ, plein de petits détails que RSQ ne dissent pas au moment de l'embauche, tout est un marketing pour attirer les candidants, qu'après se trouvent dans une galère et dans une difficulté pas possible. De plus si la personne se trouve en PTT encore plus difficile... je voudrais bien que les IDE qui se sont trouvées dans ce situation voulent bien témoigner au sujet . Ici, après un échec de stage, la deuxième opportunité est très difficile à trouver....Je souhaiterai , que les autorités voulent bien prendre de messures pour faciliter l'intégration des infirmières dans tel situation. Et ne parlons pas de l'OIIQ....pire encore!!!Les hôpitaux ont le droit de consulter le dossier de la candidate en "échec" parceque le premier hôpital envoie une grille d'évaluation demandée par l'OOIQ. Ce milieu infirmier est tellement compliqué, aussi difficil , je comprends pour quoi dans la majorité des pays manquent des infirmières. C'est facile à comprendre:conditions de travail, ambiance de travail..bref! on connaît bien!Même la Suisse ce n'est pas un paradis non plus pour travailler!

Modifié par sophie.1940
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Les infirmières françaises installées au Québec et leurs collègues encore en France souhaitant s'y installer vont pouvoir exercer plus facilement dans les services de santé de la province francophone grâce à la reconnaissance de leur diplôme et de leur expérience professionnelle.

Hier, Jean-François Lisée, ministre québécois des Relations internationales, et Hélène Conway-Mouret, ministre déléguée chargée des Français de l'étranger, ont annoncé l'arrangement de reconnaissance mutuelle (ARM) des qualifications professionnelles pour les infirmières et infirmiers. "C'est un accord gagnant-gagnant", a déclaré Mme Conway-Mouret. Ce type d'accord vise à favoriser l'installation des Français au Québec, qualifiée pafois de "compliquée et difficile" par certains migrants que la ministre a rencontré lors de son déplacement au Canada.

Côté québécois, Jean-François Lisée a estimé qu'après "beaucoup de départs en retraite anticipée" ces dernières années dans cette profession de la santé --, qu'il a fallu combler par des recrutements à l'étranger--, le flux migratoire s'est rééquilibré et "il n'y a pas de recrutements agressifs".

Evidement parceque il y a un nombre importante des IDE françaises qui rentrent une fois qui voient les conditions de travail,les échecs de stage de intégration et validation du diplôme, l'arrête du stage de suite par la Direction de Soins Infirmiers de l'hôpital sans presque pas de possibilité de trouver un nouveau employeur, la possibilité de passer CEPI (candidate à l'exercice de la profession infirmière), faire un stage au cégep (aux frais de la candidate de 6 mois),passer l'examen de l'OIIQ, plein de petits détails que RSQ ne dissent pas au moment de l'embauche, tout est un marketing pour attirer les candidants, qu'après se trouvent dans une galère et dans une difficulté pas possible. De plus si la personne se trouve en PTT encore plus difficile... je voudrais bien que les IDE qui se sont trouvées dans ce situation voulent bien témoigner au sujet . Ici, après un échec de stage, la deuxième opportunité est très difficile à trouver....

Pourquoi trouver étrange le fait qu'une infirmière ayant échoué à son stage ait du mal à trouver une 2e opportunité? Si elle n'a pas réussi un stage d'intégration, on peut comprendre que les gestionnaires hésitent à la prendre. D'après les rapports que nous recevons, les échecs de stage sont très rares et la plupart du temps parfaitement documentés.

Comme disait quelqu'un il y a quelques jours, le Québec n'est peut-être pas fait pour tout le monde.

Bien entendu, il y a des fautifs dans l'affaire et pour cela, je ciblerais non pas l'OIIQ, mais les services d'immigration qui sont trop généralistes dans la sélection des candidats. Beaucoup de choses à revoir de ce côté-là.

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Les infirmières françaises installées au Québec et leurs collègues encore en France souhaitant s'y installer vont pouvoir exercer plus facilement dans les services de santé de la province francophone grâce à la reconnaissance de leur diplôme et de leur expérience professionnelle.

Hier, Jean-François Lisée, ministre québécois des Relations internationales, et Hélène Conway-Mouret, ministre déléguée chargée des Français de l'étranger, ont annoncé l'arrangement de reconnaissance mutuelle (ARM) des qualifications professionnelles pour les infirmières et infirmiers. "C'est un accord gagnant-gagnant", a déclaré Mme Conway-Mouret. Ce type d'accord vise à favoriser l'installation des Français au Québec, qualifiée pafois de "compliquée et difficile" par certains migrants que la ministre a rencontré lors de son déplacement au Canada.

Côté québécois, Jean-François Lisée a estimé qu'après "beaucoup de départs en retraite anticipée" ces dernières années dans cette profession de la santé --, qu'il a fallu combler par des recrutements à l'étranger--, le flux migratoire s'est rééquilibré et "il n'y a pas de recrutements agressifs".

Evidement parceque il y a un nombre importante des IDE françaises qui rentrent une fois qui voient les conditions de travail,les échecs de stage de intégration et validation du diplôme, l'arrête du stage de suite par la Direction de Soins Infirmiers de l'hôpital sans presque pas de possibilité de trouver un nouveau employeur, la possibilité de passer CEPI (candidate à l'exercice de la profession infirmière), faire un stage au cégep (aux frais de la candidate de 6 mois),passer l'examen de l'OIIQ, plein de petits détails que RSQ ne dissent pas au moment de l'embauche, tout est un marketing pour attirer les candidants, qu'après se trouvent dans une galère et dans une difficulté pas possible. De plus si la personne se trouve en PTT encore plus difficile... je voudrais bien que les IDE qui se sont trouvées dans ce situation voulent bien témoigner au sujet . Ici, après un échec de stage, la deuxième opportunité est très difficile à trouver....

Pourquoi trouver étrange le fait qu'une infirmière ayant échoué à son stage ait du mal à trouver une 2e opportunité? Si elle n'a pas réussi un stage d'intégration, on peut comprendre que les gestionnaires hésitent à la prendre. D'après les rapports que nous recevons, les échecs de stage sont très rares et la plupart du temps parfaitement documentés.

Comme disait quelqu'un il y a quelques jours, le Québec n'est peut-être pas fait pour tout le monde.

Bien entendu, il y a des fautifs dans l'affaire et pour cela, je ciblerais non pas l'OIIQ, mais les services d'immigration qui sont trop généralistes dans la sélection des candidats. Beaucoup de choses à revoir de ce côté-là.

Ba dans ce cas il faut aller travailler au service d'immigration, il faut avouer que le système de sélection n'est pas génial non plus, beaucoup de personne qui ont été sélectionner comme des travailleurs qualifie, mais ils ne jamais exécrer un travail qualifie

Envoyé par l'application mobile Forum IC

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  • Mis à jour le 07/02/2014 à 07:13
Les infirmières françaises installées au Québec et leurs collègues encore en France souhaitant s'y installer vont pouvoir exercer plus facilement dans les services de santé de la province francophone grâce à la reconnaissance de leur diplôme et de leur expérience professionnelle.

Hier, Jean-François Lisée, ministre québécois des Relations internationales, et Hélène Conway-Mouret, ministre déléguée chargée des Français de l'étranger, ont annoncé l'arrangement de reconnaissance mutuelle (ARM) des qualifications professionnelles pour les infirmières et infirmiers. "C'est un accord gagnant-gagnant", a déclaré Mme Conway-Mouret. Ce type d'accord vise à favoriser l'installation des Français au Québec, qualifiée pafois de "compliquée et difficile" par certains migrants que la ministre a rencontré lors de son déplacement au Canada.

Côté québécois, Jean-François Lisée a estimé qu'après "beaucoup de départs en retraite anticipée" ces dernières années dans cette profession de la santé --, qu'il a fallu combler par des recrutements à l'étranger--, le flux migratoire s'est rééquilibré et "il n'y a pas de recrutements agressifs".

Evidement parceque il y a un nombre importante des IDE françaises qui rentrent une fois qui voient les conditions de travail,les échecs de stage de intégration et validation du diplôme, l'arrête du stage de suite par la Direction de Soins Infirmiers de l'hôpital sans presque pas de possibilité de trouver un nouveau employeur, la possibilité de passer CEPI (candidate à l'exercice de la profession infirmière), faire un stage au cégep (aux frais de la candidate de 6 mois),passer l'examen de l'OIIQ, plein de petits détails que RSQ ne dissent pas au moment de l'embauche, tout est un marketing pour attirer les candidants, qu'après se trouvent dans une galère et dans une difficulté pas possible. De plus si la personne se trouve en PTT encore plus difficile... je voudrais bien que les IDE qui se sont trouvées dans ce situation voulent bien témoigner au sujet . Ici, après un échec de stage, la deuxième opportunité est très difficile à trouver....

Pourquoi trouver étrange le fait qu'une infirmière ayant échoué à son stage ait du mal à trouver une 2e opportunité? Si elle n'a pas réussi un stage d'intégration, on peut comprendre que les gestionnaires hésitent à la prendre. D'après les rapports que nous recevons, les échecs de stage sont très rares et la plupart du temps parfaitement documentés.

Comme disait quelqu'un il y a quelques jours, le Québec n'est peut-être pas fait pour tout le monde.

Bien entendu, il y a des fautifs dans l'affaire et pour cela, je ciblerais non pas l'OIIQ, mais les services d'immigration qui sont trop généralistes dans la sélection des candidats. Beaucoup de choses à revoir de ce côté-là.

Ba dans ce cas il faut aller travailler au service d'immigration

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Je ne vois pas le rapport. Je travaille dans le réseau de la santé, c'est déjà ben de la job.

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Bonjour,

Savez vous si l inverse c'est a dire la reconnaissance du DEC infirmière québécois en France à évoluer. Quand ma conjointe c'était renseigné pour exercer en France elle devait être titulaire du bac canadien. Je n'ai pas trop compris ce qu'il en est actuellement?

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  • Habitués

C'est toujours le cas actuellement l'arm est valable pour les titulaires d'un bac et non pour les titulaires des dec.

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Est ce que ça semble normal vis à vis de la formation ? Quand ma blonde discutait avec les infirmières ils me semble qu'elle avait plus de responsabilités que ses homologue française !

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  • Habitués

Il y a si je me souviens bien un peu plus de 1000heures de formation en moins au dec par rapport a la formation française donc oui ça parait normal. D'autant plus que le bac au Québec tout comme la formation infirmière en France se font a un niveau universitaire contrairement au dec.

Elle ne peut pas continuer les études avec un bac?

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On ne c'est pas plus penché sur la question car on est maintenant au quebec. Tu veux dire qu'avec son dec elle aurait pu avoir une sorte d'équivalence scolaire et simplement compléter sa formation au lieu de refaire les trois ans de formation en France?

Envoyé par l'application mobile Forum IC

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