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L'Ontario veut plus d'immigrants de la part d'Ottawa


Laurent

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Nouvelle pomme de discorde à l'horizon entre l'Ontario et le gouvernement fédéral, alors que la province demande de recevoir dorénavant 70 % des immigrants qualifiés qui entrent au Canada plutôt que 52 % des candidats à l'heure actuelle.

En 2011, l'Ontario a reçu 40 % de tous les immigrants au Canada, toutes catégories confondues, soit la plus faible proportion en 30 ans. En 10 ans, le gouvernement fédéral a par ailleurs réduit du tiers l'immigration annuelle dans la province.

Il est temps que cela change selon le ministre des Affaires civiques et de l'Immigration, Charles Sousa. Il affirme que la province a besoin d'immigrants qualifiés.

Ottawa doit donc cesser de lui envoyer des réfugiés ou des parents de familles qui sont déjà installées dans la province. L'objectif de cette nouvelle stratégie ontarienne en matière d'immigration est de favoriser une économie forte et d'augmenter le taux d'emploi des travailleurs étrangers dans des métiers en demande.

Le ministre souhaite également recevoir 5 % d'immigrants francophones pour promouvoir l'autre langue officielle du pays en Ontario.

Il espère en outre améliorer les perspectives d'emploi des immigrants sans statut économique, mais il demande à Ottawa de cesser de comprimer les budgets des agences d'établissement de la province.

Les employeurs ontariens devront aussi contribuer et offrir davantage de stages et de programmes de formation aux nouveaux arrivants.

Le ministre affirme qu'il ne s'agit pas de dépouiller les autres provinces, mais de s'entendre sur une stratégie commune, cohérente et efficace en matière d'immigration.

D'après le reportage de Jean-Philippe Nadeau

Par Radio-Canada | Radio Canada – lun. 5 nov. 2012

source : http://fr-ca.actuali...5pQ4hIAGGLYGAx.

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si c'est vrai! ça m'intéresse d'aller vivre et travailler à toronto ou ottawa car j'en ai marre de rester au Québec sans travail sans perspectives d'emploi

mais le problème de la lanque anglaise c'est comme meme pas évident , qui peut il me rassurer que je pourrai retrouver du travail si facilement à toronto ou ottawa et comment de temps aurai-je pour améliorer mon anglais et devenir fonctionnel en anglais?

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  • Habitués

si c'est vrai! ça m'intéresse d'aller vivre et travailler à toronto ou ottawa car j'en ai marre de rester au Québec sans travail sans perspectives d'emploi

mais le problème de la lanque anglaise c'est comme meme pas évident , qui peut il me rassurer que je pourrai retrouver du travail si facilement à toronto ou ottawa et comment de temps aurai-je pour améliorer mon anglais et devenir fonctionnel en anglais?

C'est presque impossible de vivre et de travailler en Ontario sans un bon niveau d'anglais.

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si c'est vrai! ça m'intéresse d'aller vivre et travailler à toronto ou ottawa car j'en ai marre de rester au Québec sans travail sans perspectives d'emploi

mais le problème de la lanque anglaise c'est comme meme pas évident , qui peut il me rassurer que je pourrai retrouver du travail si facilement à toronto ou ottawa et comment de temps aurai-je pour améliorer mon anglais et devenir fonctionnel en anglais?

C'est presque impossible de vivre et de travailler en Ontario sans un bon niveau d'anglais.

C'est possible de vivre et travailler en chinois sans parler anglais dans le Chinatown de Toronto.

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impossible de travailler logique mais impossible de VIVRE c'est un peu trop non?

Pas vivre dans le sens biologique de la vie, mais dans le sens de faire des amitiés, aller faire l'épicerie au supermarché,

rencontrer les enseignantes de tes enfants, prendre un café avec tes collègues, parler au téléphone avec un employé

du gouvernement, etc.

si c'est vrai! ça m'intéresse d'aller vivre et travailler à toronto ou ottawa car j'en ai marre de rester au Québec sans travail sans perspectives d'emploi

mais le problème de la lanque anglaise c'est comme meme pas évident , qui peut il me rassurer que je pourrai retrouver du travail si facilement à toronto ou ottawa et comment de temps aurai-je pour améliorer mon anglais et devenir fonctionnel en anglais?

C'est presque impossible de vivre et de travailler en Ontario sans un bon niveau d'anglais.

C'est possible de vivre et travailler en chinois sans parler anglais dans le Chinatown de Toronto.

Ok, puis pour les Tunisiens c'est valable aussi?

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  • Habitués

Il faut garder en tête que Toronto, c'est SEULEMENT 1,7% de francophones (selon un recensement de 2008).

Sur une population d'environ 13 millions d'habitants en Ontario, seuls 4% sont francophones (environ 549,000 recensés en 2008). Et parmi ces 549,000 francophones, seulement 9% d'entre eux habitent Toronto.

Bref, oui, l'anglais est une question de survie à Toronto.

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impossible de travailler logique mais impossible de VIVRE c'est un peu trop non?

Pas vivre dans le sens biologique de la vie, mais dans le sens de faire des amitiés, aller faire l'épicerie au supermarché,

rencontrer les enseignantes de tes enfants, prendre un café avec tes collègues, parler au téléphone avec un employé

du gouvernement, etc.

si c'est vrai! ça m'intéresse d'aller vivre et travailler à toronto ou ottawa car j'en ai marre de rester au Québec sans travail sans perspectives d'emploi

mais le problème de la lanque anglaise c'est comme meme pas évident , qui peut il me rassurer que je pourrai retrouver du travail si facilement à toronto ou ottawa et comment de temps aurai-je pour améliorer mon anglais et devenir fonctionnel en anglais?

C'est presque impossible de vivre et de travailler en Ontario sans un bon niveau d'anglais.

C'est possible de vivre et travailler en chinois sans parler anglais dans le Chinatown de Toronto.

Ok, puis pour les Tunisiens c'est valable aussi?

Oui un maghrébin peut bien travailler en arabe soit dans la cuisine chez un restaurant libanais de Shawarma, soit travailler et vivre en francais a Vanier dans le quartier franco-ontarien d'Ottawa. Tout est possible au ROC

Modifié par MacDonald
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Invité mckenzie

impossible de travailler logique mais impossible de VIVRE c'est un peu trop non?

Pas vivre dans le sens biologique de la vie, mais dans le sens de faire des amitiés, aller faire l'épicerie au supermarché,

rencontrer les enseignantes de tes enfants, prendre un café avec tes collègues, parler au téléphone avec un employé

du gouvernement, etc.

si c'est vrai! ça m'intéresse d'aller vivre et travailler à toronto ou ottawa car j'en ai marre de rester au Québec sans travail sans perspectives d'emploi

mais le problème de la lanque anglaise c'est comme meme pas évident , qui peut il me rassurer que je pourrai retrouver du travail si facilement à toronto ou ottawa et comment de temps aurai-je pour améliorer mon anglais et devenir fonctionnel en anglais?

C'est presque impossible de vivre et de travailler en Ontario sans un bon niveau d'anglais.

C'est possible de vivre et travailler en chinois sans parler anglais dans le Chinatown de Toronto.

Ok, puis pour les Tunisiens c'est valable aussi?

Oui un maghrébin peut bien travailler en arabe soit dans la cuisine chez un restaurant libanais de Shawarma, soit travailler et vivre en francais a Vanier dans le quartier franco-ontarien d'Ottawa. Tout est possible au ROC

Si un immigrant veux se contenter d'emplois merdiques et mal payés, aller en Ontario et ne pas savoir l'anglais est un "bon" moyen...heureusement d'autres ont plus d'ambition que ça.

Modifié par mckenzie
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  • Habitués

Ceux qui veulent essayer de travailler en Ontario sans connaître l'anglais manquent de bon sens en effet, pour une fois je suis d'accord avec MacKenzie. Les zones à plus haute densité en francophones sont la pointe Est de l'Ontario, à partir d'Ottawa, et quelques villes plus au Nord comme Timmins et Sudbury, qui à vrai dire sont des endroits industriels qui manquent de charme mais au moins on y est sûr que ça n'est pas bien difficile d'y obtenir un emploi. Je vois que quelqu'un a mentionné le quartier Vanier. Attention, c'est une zone d'Ottawa où se concentrent pas mal de délinquants. Loyers bon marché mais on se prend tout son lot de prostituées et de toxicomanes dans son voisinage. Par contre il y a plus à l'Est un faubourg nommé Orléans où la présence franco-canadienne n'a pas encore été gommée. De là, plus on va vers l'Est plus on trouve des endroits où les gens parlent effectivement quelque chose qui ressemble au français.

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  • Habitués

On pourrait retourner la question: il est tout à fait possible à un anglophone "pur" de vivre au Quebec (j'en connais), mais côté pratique ce sera une vraie galère quotidienne...

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Ceux qui veulent essayer de travailler en Ontario sans connaître l'anglais manquent de bon sens en effet, pour une fois je suis d'accord avec MacKenzie. Les zones à plus haute densité en francophones sont la pointe Est de l'Ontario, à partir d'Ottawa, et quelques villes plus au Nord comme Timmins et Sudbury, qui à vrai dire sont des endroits industriels qui manquent de charme mais au moins on y est sûr que ça n'est pas bien difficile d'y obtenir un emploi. Je vois que quelqu'un a mentionné le quartier Vanier. Attention, c'est une zone d'Ottawa où se concentrent pas mal de délinquants. Loyers bon marché mais on se prend tout son lot de prostituées et de toxicomanes dans son voisinage. Par contre il y a plus à l'Est un faubourg nommé Orléans où la présence franco-canadienne n'a pas encore été gommée. De là, plus on va vers l'Est plus on trouve des endroits où les gens parlent effectivement quelque chose qui ressemble au français.

Le nord de l'Ontario manque de charme ? Avec ses lacs et forets immenses c'est surement plus charmant que certaines régions de l'extreme sud de l'Ontario

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  • Habitués

Les goûts et les couleurs sont différents pour tout le monde.

J'ai vécu presque deux ans à Sudbury: c'est sûr que j'ai adoré aller faire du tourisme sauvage dans le Nord de l'Ontario, voir des ours et des orignaux, faire des treks et du canoë, etc... Ce fut vraiment une expérience formidable. Mais quand l'hiver arrive: aux abris!!! Si tu n'aimes pas le ice-fishing et le moose hunting, si tu ne joues pas au hockey ou aime le skidoo, il n'y a rien à faire du tout. Et l'hiver dure plus longtemps dans le Nord (je me souviens avoir vu des timides flocons un 1er juin).

Ensuite, les villes sont tristes et oui, TRÈS industrielles. À Sudbury (qui a un petit air de Detroit), pas de centre-ville, tout se passe en périphérie: un concessionnaire de voiture, un MacDo, un concessionnaire, un Tim Hortons, un concessionnaire, un pub, un concessionnaire... etc. Bref, tout se fait en véhicule. La ville de Sudbury a été ravagée par son usine à ciel ouvert (avant que sa célèbre cheminée soit enfin construite), du coup toute la région alentour a été exterminée par la fumée qui en sortait 24h/24 (raison pour laquelle il n'y a que des petits jeunes arbres en ville, car replantés récemment). La NASA y venait même faire des entraînements pour leurs robotos lunaires tellement l'aspect y était désertique (je vous laisse Googler pour plus de détails).

Et Sudbury est LA ville de la malbouffe: des Tim Hortons à tous les coins de rue, des burgers en veux-tu en voilà.

Alors oui, le Nord Ontario a beaucoup de charme, la nature est splendide, y passer une petite semaine en été dans un sympathique petit cottage c'est magnifique, mais la vie peut ne pas y plaire à tout le monde... tant que l'on n'y a pas goûté.

:smile:

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Les goûts et les couleurs sont différents pour tout le monde.

J'ai vécu presque deux ans à Sudbury: c'est sûr que j'ai adoré aller faire du tourisme sauvage dans le Nord de l'Ontario, voir des ours et des orignaux, faire des treks et du canoë, etc... Ce fut vraiment une expérience formidable. Mais quand l'hiver arrive: aux abris!!! Si tu n'aimes pas le ice-fishing et le moose hunting, si tu ne joues pas au hockey ou aime le skidoo, il n'y a rien à faire du tout. Et l'hiver dure plus longtemps dans le Nord (je me souviens avoir vu des timides flocons un 1er juin).

Ensuite, les villes sont tristes et oui, TRÈS industrielles. À Sudbury (qui a un petit air de Detroit), pas de centre-ville, tout se passe en périphérie: un concessionnaire de voiture, un MacDo, un concessionnaire, un Tim Hortons, un concessionnaire, un pub, un concessionnaire... etc. Bref, tout se fait en véhicule. La ville de Sudbury a été ravagée par son usine à ciel ouvert (avant que sa célèbre cheminée soit enfin construite), du coup toute la région alentour a été exterminée par la fumée qui en sortait 24h/24 (raison pour laquelle il n'y a que des petits jeunes arbres en ville, car replantés récemment). La NASA y venait même faire des entraînements pour leurs robotos lunaires tellement l'aspect y était désertique (je vous laisse Googler pour plus de détails).

Et Sudbury est LA ville de la malbouffe: des Tim Hortons à tous les coins de rue, des burgers en veux-tu en voilà.

Alors oui, le Nord Ontario a beaucoup de charme, la nature est splendide, y passer une petite semaine en été dans un sympathique petit cottage c'est magnifique, mais la vie peut ne pas y plaire à tout le monde... tant que l'on n'y a pas goûté.

:smile:

on immigre pas au Canada pour s'attendre a des villes avec une histoire trés ancienne, autant rester en Europe dans ce cas, mais on immigre plutot pour les grandes espaces et la nature et justement c'est ce que le nord de l'Ontario peut nous offrir si on veut vivre au Canada profond, alors que Toronto n'a ni le charme des villes européennes , ni la proximité de la nature et des grands espaces.

Et puis il y a plein d'activités de plein air qu'on peut pratiquer en hiver et c'est pas tout le monde qui reve forcément des iles tropicales, il y a des gens qui aiment bien la neige et l'hiver aussi.

Mais c'est vrai que ce qui manque la bas par rapport a Toronto c'est la cuisine du monde réunie dans une seule ville. Toronto offre une choix vaste de restaurants asiatiques, italiens ,grecs, mexicains, portguais, libanais, antillais etc... comparée a la mal bouffe des villes du nord.

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  • Habitués

C'est bien ce que je disais: les goûts et les couleurs :wink:

J'ai goûté aux deux, Sudbury et Toronto, j'ai eu la chance de vadrouiller pas mal au Canada, la chance d'avoir un métier qui me permet de vivre où je le veux et c'est justement à Toronto que j'ai décidé de poser mes valises: parce que c'est tout simplement la ville où je me sens le mieux, celle qui me correspond le mieux (je suis un vrai citadin). Mais encore une fois, je ne parle que pour moi et heureusement qu'il y a des gens pour aimer vivre "into the wild", ce qui est formidable aussi. C'est comme en cuisine, tous les goûts sont dans la nature: certains aiment les épinards, d'autres non.

:smile:

En même temps, on s'écarte un peu beaucoup du sujet initial là... :tongue:

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  • Habitués

J'ai vécu presque deux ans à Sudbury: c'est sûr que j'ai adoré aller faire du tourisme sauvage dans le Nord de l'Ontario, voir des ours et des orignaux, faire des treks et du canoë, etc... Ce fut vraiment une expérience formidable. Mais quand l'hiver arrive: aux abris!!! Si tu n'aimes pas le ice-fishing et le moose hunting, si tu ne joues pas au hockey ou aime le skidoo, il n'y a rien à faire du tout. Et l'hiver dure plus longtemps dans le Nord (je me souviens avoir vu des timides flocons un 1er juin).

Ensuite, les villes sont tristes et oui, TRÈS industrielles. À Sudbury (qui a un petit air de Detroit), pas de centre-ville, tout se passe en périphérie: un concessionnaire de voiture, un MacDo, un concessionnaire, un Tim Hortons, un concessionnaire, un pub, un concessionnaire... etc. Bref, tout se fait en véhicule. La ville de Sudbury a été ravagée par son usine à ciel ouvert (avant que sa célèbre cheminée soit enfin construite), du coup toute la région alentour a été exterminée par la fumée qui en sortait 24h/24 (raison pour laquelle il n'y a que des petits jeunes arbres en ville, car replantés récemment). La NASA y venait même faire des entraînements pour leurs robotos lunaires tellement l'aspect y était désertique (je vous laisse Googler pour plus de détails).

Et Sudbury est LA ville de la malbouffe: des Tim Hortons à tous les coins de rue, des burgers en veux-tu en voilà.

Alors oui, le Nord Ontario a beaucoup de charme, la nature est splendide, y passer une petite semaine en été dans un sympathique petit cottage c'est magnifique, mais la vie peut ne pas y plaire à tout le monde... tant que l'on n'y a pas goûté.

Cette description de Sudbury colle à l'impression que j'en ai eue lorsque je suis passé là y passer quelques jours en exploration.

Peut-être exagérément négatif vu que diverses mesures, comme la fameuse cheminée en question, rendent à présent plus vivable cette ville ce qui en fait une illustration de la capacité à réparer les dommages écologiques. Et il y a quelques localités sympas dans le coin. Par ailleurs, l'université inclut une section francophone, l'université laurentienne si j'ai bon souvenir.

Il ne faut pas oublier une autre localité à forte minorité francophone, qui se trouve plus au nord : Timmins où le manque de main d'oeuvre se fait probablement sentir plus cruellement qu'à Sudbury.

Plus à l'Ouest ...

* Sault Sainte Marie, qui est proche de la frontière des états-unis. Ambiance agréable, selon les temoignages que j'en ai eu. Très anglophone.

* Thunder Bay ... le genre de coin où très peu d'immigrants s'aventurent.

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  • Habitués

Bonjour, comment faire pour immigrer en Ontario ? Je reviens du salon Destination Canada, où on me dit qu'il faut d'abord trouver un travail pour que l'entreprise vous fasse venir. L'employeur est exempté de faire une AMT (avis relatif au marché du travail) si l'on est francophone.

Est ce que la recherche d'un emploi via les sites adhoc est efficace, même à distance ?

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