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Réalité ou mensonge - Le Québec et le Canada recrutent


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  • Habitués

Je vais juste en revenir au premier point de cet article, soit le "miroir aux alouettes". Pour le reste, la comparaison point par point elle n'est pas rigoureuse et ne présente pas un grand intérêt. Donc oui, effectivement, le moins qu'on puisse dire est que tant qu'on n'est pas ici, on nous vend le Québec sans doute trop beau. Personnellement, je ne suis pas passé par les journées du Québec, la maison du Québec à Paris ou je ne sais quoi. J'ai eu l'envie de venir m'installer ici et je n'ai pris mon information que d'amis ou de gens que je connaissais déjà (essentiellement des auteurs BD que j'avais déjà appris à apprécier en France lors de festivals où ils étaient invités). Par contre, là où on a été "malhonnête", c'est au niveau de la commission scolaire. J'avais obtenu mon visa fin janvuer et je devais partir en juin suivant. Mais comme ma conjointe était vraiment pressée de venir, j'ai téléphoné à la commission scolaire de Montréal pour parler de mon profil et tater le terrain. La dame m'a dit que je pourrais venir dès le lendemain, j'aurais 14 (oui, c'est exactement ce qu'elle a dit) postes disponibles pour mes qualifications, que le besoin était permanent. Je l'ai rappelée le lendemain, je suis tombé cette fois sur sa collègue qui m'a dit exactement la même chose. Que je pourrai travailler sans probleme. J'ai donc décidé de devancer mon départ et de partir un peu moins de 2 mois plus tard le temps de tout organiser. Quand je suis arrivé à Montréal, la première chose que j'ai faite est de rappeler ces 2 dames. Quand je leur ai rappelé nos conversations (entre temps je les avais rappelées une dizaine de fois et elles étaient chaque fois cordiales, je voulais des informations sur les ecoles, les quartiers, etc.), elles ont complètement changé de ton. Sachant que j'étais enfin là, elles ne voulaient même pas me rencontrer et me renvoyaient de l'une à l'autre. Genre, "je vous transfère à ma collègue qui pourra vous répondre, moi je ne sais rien" et au bout de 25 sonneries ça raccroche tout seul. Pour la petite histoire, quand j'ai fini par y aller (elles ne voulaient pas, mais vu que je n'avais aucune nouvelle...) j'ai constaté qu'en fait ces deux dames qui se renvoyaient la balle en se transférant les appels étaient assises.... côte à côte !!! Bref, AUCUN POSTE !! Elles m'ont dit, non mais qu'est-ce que vous croyez, monsieur, vous allez attendre votre tour sur une liste d'attente comme tout le monde, et dans 4 mois on commencera peut-être à vous appeler pour faire des petits remplacements d'une journée. Ce qui ne me dérange pas du tout, évidemment, si c'est la façon de faire, mais elles ont tout simplement été malhonnêtes de me mentir quand j'étais en France. Finalement, pour finir, j'ai demandé quels étaient les établissements les pires de Montréal, comme j'avais dit sur un autre sujet, et je m'y suis rendu le lendemain. Évidemment il y avait un poste vacant dont personne ne voulait et j'ai donc pu avoir un travail tout de suite, permanent en plus, mais maaaaaaudit que ces femmes étaient déplaisantes et de mauvaise foi.

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Pour ma part, je trouve tout d'abord très malhonnête de faire passer pour le sien un article rédigé par un autre... Mauvais apriori donc.

Nous concernant, notre processus d'immigration n'a pas pour but de trouver un bout de France américanisée au Québec. Nous sommes bien sur une démarche de renouveau, de départ à zéro et de découverte d'une culture totalement nouvelle. Nous en mesurons chaque jour les obstacles et les difficultés. Peu de risques d'être déçus donc. Les comparaisons avec un autre mode de vie ne sont pas pertinentes à partir du moment ou on accepte ses divergences et qu'on décide de relever le défi de vivre de manière nouvelle.

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  • Habitués

Pour ma part, je trouve tout d'abord très malhonnête de faire passer pour le sien un article rédigé par un autre... Mauvais apriori donc.

Nous concernant, notre processus d'immigration n'a pas pour but de trouver un bout de France américanisée au Québec. Nous sommes bien sur une démarche de renouveau, de départ à zéro et de découverte d'une culture totalement nouvelle. Nous en mesurons chaque jour les obstacles et les difficultés. Peu de risques d'être déçus donc. Les comparaisons avec un autre mode de vie ne sont pas pertinentes à partir du moment ou on accepte ses divergences et qu'on décide de relever le défi de vivre de manière nouvelle.

Je suis totalement d'accord avec toi.

Il est clair que lorsque nous décidons immigrer vers un autre pays, il faut s'attendre à un changement radical.

Il faut garder à l'esprit en tant qu’immigrant, c'est à nous de s'adapter au mode de vie, à la culture et aux coutumes du pays accueillant et non d'importer notre mode de vie, notre culture et nos coutumes afin que le pays accueillant s'adapte. Bien entendu il ne faut pas non rogner sur ces origines, mais il ne faut pas tomber vouloir reproduire sa "façon de vivre" qu'on pouvait avoir dans son pays d'origine. Il faut savoir faire la part des choses et garder à l'esprit qu'en immigrant, on a tout à réapprendre.

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  • Habitués

Notre système d'éducation se classe bien dans les classements internationaux. Je sais, beaucoup de Français et même de Québécois ont du mal à le croire. On nous a tellement rabattu les oreilles avec notre système d'éducation pourri...

Classement totalement bidon, de la part de cet organisme l'OCDE qui semble fait pour contribuer à la nord-américanisation des européens.

Il est ni plus ni moins évident que le système éducatif québécois vaut tripette.

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  • Habitués

Souvent, c'est la finalité de la critique qui est mal reçue et non pas sa justesse...

Non ... Le fait en soi-même de poser une critique est insupportable pour un canadien en général et en particulier pour un québécois.

La justesse d'une critique, c'est-à-dire, sa véracité, la réalité des arguments qui la sous-tendent n'est le plus souvent même pas considérée.

N'oublions pas qu'en anglais, "to argue" (argumenter) signifie avoir une désagréable dispute. Les québécois pensent pareil.

Il est bon d'avoir en tête que les québécois sont profondément imbibés par la mentalité anglaise.

Je soutiens, paradoxalement, qu'ils le sont plus que les anglo-canadiens et qu'on a besoin de comprendre cela, à la fois pour comprendre les québécois et pour pouvoir les comparer avec les anglo-canadiens.

Modifié par RobinDesBois
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  • Habitués

J'avais obtenu mon visa fin janvuer et je devais partir en juin suivant. Mais comme ma conjointe était vraiment pressée de venir, j'ai téléphoné à la commission scolaire de Montréal pour parler de mon profil et tater le terrain. La dame m'a dit que je pourrais venir dès le lendemain, j'aurais 14 (oui, c'est exactement ce qu'elle a dit) postes disponibles pour mes qualifications, que le besoin était permanent. Je l'ai rappelée le lendemain, je suis tombé cette fois sur sa collègue qui m'a dit exactement la même chose. Que je pourrai travailler sans probleme. J'ai donc décidé de devancer mon départ et de partir un peu moins de 2 mois plus tard le temps de tout organiser. Quand je suis arrivé à Montréal, la première chose que j'ai faite est de rappeler ces 2 dames. Quand je leur ai rappelé nos conversations (entre temps je les avais rappelées une dizaine de fois et elles étaient chaque fois cordiales, je voulais des informations sur les ecoles, les quartiers, etc.), elles ont complètement changé de ton. Sachant que j'étais enfin là, elles ne voulaient même pas me rencontrer et me renvoyaient de l'une à l'autre. Genre, "je vous transfère à ma collègue qui pourra vous répondre, moi je ne sais rien" et au bout de 25 sonneries ça raccroche tout seul. Pour la petite histoire, quand j'ai fini par y aller (elles ne voulaient pas, mais vu que je n'avais aucune nouvelle...) j'ai constaté qu'en fait ces deux dames qui se renvoyaient la balle en se transférant les appels étaient assises.... côte à côte !!! Bref, AUCUN POSTE !! Elles m'ont dit, non mais qu'est-ce que vous croyez, monsieur, vous allez attendre votre tour sur une liste d'attente comme tout le monde, et dans 4 mois on commencera peut-être à vous appeler pour faire des petits remplacements d'une journée. Ce qui ne me dérange pas du tout, évidemment, si c'est la façon de faire, mais elles ont tout simplement été malhonnêtes de me mentir quand j'étais en France. Finalement, pour finir, j'ai demandé quels étaient les établissements les pires de Montréal, comme j'avais dit sur un autre sujet, et je m'y suis rendu le lendemain. Évidemment il y avait un poste vacant dont personne ne voulait et j'ai donc pu avoir un travail tout de suite, permanent en plus, mais maaaaaaudit que ces femmes étaient déplaisantes et de mauvaise foi.

Ah oui, la fameuse "pénurie d'enseignants". :biggrin2: Et il y en a encore qui se font prendre au piège ...

Faut-il que les gens aient vraiment envie d'y croire.

Je connais des gens qui ont pu obtenir un permis d'enseigner au Québec après en avoir obtenu un (c'est plus facile) en Ontario, dans une université bilingue. Et après plusieurs années ils continuent de galérer d'une minable suppléance à une autre, tandis qu'on continue de leur parler de la "pénurie" d'enseignants. Pendant ce temps ils voient de jeunes québécois sans expérience qui raflent les postes auxquels ils aspirent.

C'est une forme moderne de xénophobie, ici totalement commune, de leurrer l'immigrant pour qu'il se fracasse la tête contre un mur et se retrouve, au passage, cloué à faire les jobines dont "the locals" ne veulent pas.

Tiens soit dit en passant, pour obtenir la certification comme enseignant, ça prend au Québec trois ou quatre ans d'étude et ça prend huit mois en Ontario, par exemple à l'Université Laurentienne (Sudbury) ou à l'Université d'Ottawa qui est facilement accessible depuis Gatineau au sud du Québec.

Modifié par RobinDesBois
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  • Habitués

J'avais obtenu mon visa fin janvuer et je devais partir en juin suivant. Mais comme ma conjointe était vraiment pressée de venir, j'ai téléphoné à la commission scolaire de Montréal pour parler de mon profil et tater le terrain. La dame m'a dit que je pourrais venir dès le lendemain, j'aurais 14 (oui, c'est exactement ce qu'elle a dit) postes disponibles pour mes qualifications, que le besoin était permanent. Je l'ai rappelée le lendemain, je suis tombé cette fois sur sa collègue qui m'a dit exactement la même chose. Que je pourrai travailler sans probleme. J'ai donc décidé de devancer mon départ et de partir un peu moins de 2 mois plus tard le temps de tout organiser. Quand je suis arrivé à Montréal, la première chose que j'ai faite est de rappeler ces 2 dames. Quand je leur ai rappelé nos conversations (entre temps je les avais rappelées une dizaine de fois et elles étaient chaque fois cordiales, je voulais des informations sur les ecoles, les quartiers, etc.), elles ont complètement changé de ton. Sachant que j'étais enfin là, elles ne voulaient même pas me rencontrer et me renvoyaient de l'une à l'autre. Genre, "je vous transfère à ma collègue qui pourra vous répondre, moi je ne sais rien" et au bout de 25 sonneries ça raccroche tout seul. Pour la petite histoire, quand j'ai fini par y aller (elles ne voulaient pas, mais vu que je n'avais aucune nouvelle...) j'ai constaté qu'en fait ces deux dames qui se renvoyaient la balle en se transférant les appels étaient assises.... côte à côte !!! Bref, AUCUN POSTE !! Elles m'ont dit, non mais qu'est-ce que vous croyez, monsieur, vous allez attendre votre tour sur une liste d'attente comme tout le monde, et dans 4 mois on commencera peut-être à vous appeler pour faire des petits remplacements d'une journée. Ce qui ne me dérange pas du tout, évidemment, si c'est la façon de faire, mais elles ont tout simplement été malhonnêtes de me mentir quand j'étais en France. Finalement, pour finir, j'ai demandé quels étaient les établissements les pires de Montréal, comme j'avais dit sur un autre sujet, et je m'y suis rendu le lendemain. Évidemment il y avait un poste vacant dont personne ne voulait et j'ai donc pu avoir un travail tout de suite, permanent en plus, mais maaaaaaudit que ces femmes étaient déplaisantes et de mauvaise foi.

Ah oui, la fameuse "pénurie d'enseignants". :biggrin2: Et il y en a encore qui se font prendre au piège ...

Faut-il que les gens aient vraiment envie d'y croire.

Je connais des gens qui ont pu obtenir un permis d'enseigner au Québec après en avoir obtenu un (c'est plus facile) en Ontario, dans une université bilingue. Et après plusieurs années ils continuent de galérer d'une minable suppléance à une autre, tandis qu'on continue de leur parler de la "pénurie" d'enseignants. Pendant ce temps ils voient de jeunes québécois sans expérience qui raflent les postes auxquels ils aspirent.

C'est une forme moderne de xénophobie, ici totalement commune, de leurrer l'immigrant pour qu'il se fracasse la tête contre un mur et se retrouve, au passage, cloué à faire les jobines dont "the locals" ne veulent pas.

Tiens soit dit en passant, pour obtenir la certification comme enseignant, ça prend au Québec trois ou quatre ans d'étude et ça prend huit mois en Ontario, par exemple à l'Université Laurentienne (Sudbury) ou à l'Université d'Ottawa qui est facilement accessible depuis Gatineau au sud du Québec.

Il y a effectivement pénurie d'enseignants. À tel point d'ailleurs que certaines commissions scolaires engagent des gens qui n'ont pas de diplômes universitaires.

Si vous ne vous êtes pas trouvé un emploi, c'est que vous vous y êtes vraiment très mal pris ! Soulman est tombé sur des dames malhonnêtes, merci de ne pas en tirer des généralisations stupides...

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Invité mckenzie
RobinDesBois

Classement totalement bidon, de la part de cet organisme l'OCDE qui semble fait pour contribuer à la nord-américanisation des européens.Il est ni plus ni moins évident que le système éducatif québécois vaut tripette.

:Crylol: Évident seulement pour des gens de mauvaise foi comme toi. Le système d'éducation au Québec est excellent comme le démontre l'OCDE et le fait que les Québécois ont des résultats supérieurs aux résultats des Français , Belges et Suisses mettent certains individus dans l'embarras... alors ils préfèrent vivre dans le déni. Tu en es bel ecemple. :biggrin2:

Modifié par mckenzie
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  • Habitués

J'avais obtenu mon visa fin janvuer et je devais partir en juin suivant. Mais comme ma conjointe était vraiment pressée de venir, j'ai téléphoné à la commission scolaire de Montréal pour parler de mon profil et tater le terrain. La dame m'a dit que je pourrais venir dès le lendemain, j'aurais 14 (oui, c'est exactement ce qu'elle a dit) postes disponibles pour mes qualifications, que le besoin était permanent. Je l'ai rappelée le lendemain, je suis tombé cette fois sur sa collègue qui m'a dit exactement la même chose. Que je pourrai travailler sans probleme. J'ai donc décidé de devancer mon départ et de partir un peu moins de 2 mois plus tard le temps de tout organiser. Quand je suis arrivé à Montréal, la première chose que j'ai faite est de rappeler ces 2 dames. Quand je leur ai rappelé nos conversations (entre temps je les avais rappelées une dizaine de fois et elles étaient chaque fois cordiales, je voulais des informations sur les ecoles, les quartiers, etc.), elles ont complètement changé de ton. Sachant que j'étais enfin là, elles ne voulaient même pas me rencontrer et me renvoyaient de l'une à l'autre. Genre, "je vous transfère à ma collègue qui pourra vous répondre, moi je ne sais rien" et au bout de 25 sonneries ça raccroche tout seul. Pour la petite histoire, quand j'ai fini par y aller (elles ne voulaient pas, mais vu que je n'avais aucune nouvelle...) j'ai constaté qu'en fait ces deux dames qui se renvoyaient la balle en se transférant les appels étaient assises.... côte à côte !!! Bref, AUCUN POSTE !! Elles m'ont dit, non mais qu'est-ce que vous croyez, monsieur, vous allez attendre votre tour sur une liste d'attente comme tout le monde, et dans 4 mois on commencera peut-être à vous appeler pour faire des petits remplacements d'une journée. Ce qui ne me dérange pas du tout, évidemment, si c'est la façon de faire, mais elles ont tout simplement été malhonnêtes de me mentir quand j'étais en France. Finalement, pour finir, j'ai demandé quels étaient les établissements les pires de Montréal, comme j'avais dit sur un autre sujet, et je m'y suis rendu le lendemain. Évidemment il y avait un poste vacant dont personne ne voulait et j'ai donc pu avoir un travail tout de suite, permanent en plus, mais maaaaaaudit que ces femmes étaient déplaisantes et de mauvaise foi.

Ah oui, la fameuse "pénurie d'enseignants". :biggrin2: Et il y en a encore qui se font prendre au piège ...

Faut-il que les gens aient vraiment envie d'y croire.

Je connais des gens qui ont pu obtenir un permis d'enseigner au Québec après en avoir obtenu un (c'est plus facile) en Ontario, dans une université bilingue. Et après plusieurs années ils continuent de galérer d'une minable suppléance à une autre, tandis qu'on continue de leur parler de la "pénurie" d'enseignants. Pendant ce temps ils voient de jeunes québécois sans expérience qui raflent les postes auxquels ils aspirent.

C'est une forme moderne de xénophobie, ici totalement commune, de leurrer l'immigrant pour qu'il se fracasse la tête contre un mur et se retrouve, au passage, cloué à faire les jobines dont "the locals" ne veulent pas.

Tiens soit dit en passant, pour obtenir la certification comme enseignant, ça prend au Québec trois ou quatre ans d'étude et ça prend huit mois en Ontario, par exemple à l'Université Laurentienne (Sudbury) ou à l'Université d'Ottawa qui est facilement accessible depuis Gatineau au sud du Québec.

Il y a effectivement pénurie d'enseignants. À tel point d'ailleurs que certaines commissions scolaires engagent des gens qui n'ont pas de diplômes universitaires.

Si vous ne vous êtes pas trouvé un emploi, c'est que vous vous y êtes vraiment très mal pris ! Soulman est tombé sur des dames malhonnêtes, merci de ne pas en tirer des généralisations stupides...

Oui, tout à fait, ce n'était qu'un exemple qu'on peut avoir un discours très différent avec un immigrant avant qu'il arrive versus quand il est déjà là. Mais effectivement ce n'est qu'un exemple isolé, j'ai juste trouvé ces deux dames totalement irresponsables de promettre un emploi à distance. Ceci dit, RobinDesBois, pour le permis d'enseigner, je ne suis pas d'accord, je l'ai eu en 2 semaines, et en plus c'est une démarche qu'on peut commencer à l'avance. Là par contre la commission scolaire a été très bien, une dame notamment qui m'a vraiment facilité la vie et aidé autant qu'elle le pouvait. Ca fait qu'avant même d'arriver mon permis d'enseigner m'attendait à Québec. Il ne me restait plus qu'à passer un test de Francais SelB.

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  • Habitués

Pour ma part, je trouve tout d'abord très malhonnête de faire passer pour le sien un article rédigé par un autre... Mauvais apriori donc.

Nous concernant, notre processus d'immigration n'a pas pour but de trouver un bout de France américanisée au Québec. Nous sommes bien sur une démarche de renouveau, de départ à zéro et de découverte d'une culture totalement nouvelle. Nous en mesurons chaque jour les obstacles et les difficultés. Peu de risques d'être déçus donc. Les comparaisons avec un autre mode de vie ne sont pas pertinentes à partir du moment ou on accepte ses divergences et qu'on décide de relever le défi de vivre de manière nouvelle.

Tu as choisi l'approche correcte.

Le seul endroit au monde où tu te sentiras comme en France sera ... en France!

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  • Habitués

Le système d'éducation au Québec est excellent comme le démontre l'OCDE et le fait que les Québécois ont des résultats supérieurs aux résultats des Français , Belges et Suisses mettent certains individus dans l'embarras...

L'esprit de La Pravda ("la vérité", en russe) résonne dans chacun des mots que tu écris. On attend de voir que l'OCDE déclare que le Québec est un pays tropical, très propice à la culture du café et des ananas, pour voir des gens aussi ouverts et lucides que toi déclarer que ceux qui pensent qu'il y a trop de neige au Québec sont de très mauvaise foi.

Modifié par RobinDesBois
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  • Habitués

Il y a effectivement pénurie d'enseignants. À tel point d'ailleurs que certaines commissions scolaires engagent des gens qui n'ont pas de diplômes universitaires.

Ah mais ça par contre, c'est vrai.

Et il est vrai aussi qu'ils ont fortement tendance à être québécois.

Ou franco-ontariens, si ça se passe en Ontario.

Vision typique, dans une sale de classe franco-canadienne : à un bout de la table, les enseignants, tous blancs et canadiens et à l'autre bout, quelques africains tous "suppléants".

Si vous ne vous êtes pas trouvé un emploi, c'est que vous vous y êtes vraiment très mal pris !

Intéressant. Embobiner l'immigrant, l'attirer puis rejeter sur lui toute la faute de son plantage. Belle technique.

"A bon entendeur, salut" !!!!

Modifié par RobinDesBois
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  • Habitués

Il y a effectivement pénurie d'enseignants. À tel point d'ailleurs que certaines commissions scolaires engagent des gens qui n'ont pas de diplômes universitaires.

Ah mais ça par contre, c'est vrai.

Et il est vrai aussi qu'ils ont fortement tendance à être québécois.

Ou franco-ontariens, si ça se passe en Ontario.

Vision typique, dans une sale de classe franco-canadienne : à un bout de la table, les enseignants, tous blancs et canadiens et à l'autre bout, quelques africains tous "suppléants".

Si vous ne vous êtes pas trouvé un emploi, c'est que vous vous y êtes vraiment très mal pris !

Intéressant. Embobiner l'immigrant, l'attirer puis rejeter sur lui toute la faute de son plantage. Belle technique.

"A bon entendeur, salut" !!!!

Bon, stop au troll.

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  • Habitués

Bon, stop au troll.

Je peux comprendre que ta vie soit vide ou/et que tu aies trop envie de fermer la gueule des immigrants, mais ce forum est néanmoins destiné avant tout à l'échange d'informations véritables, et NON : mensongères, entre des gens qui ont déjà découvert ce pays et ceux qui envisagent de le découvrir.

Pour faire plus simple : le troll c'est toi.

Modifié par RobinDesBois
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  • Habitués

Vous venez ici manifestement pour troller, non pour exprimer votre opinion.

Cessez de mentir, c'est vraiment trop gros votre truc. Vous pourriez nous parler des camps de concentration dans le nord du Québec tant qu'à y être...

J'imagine que vous vous trouvez immensément drôle et intelligent, comme tous les trolls? Vous ne l'êtes pas.

Vous m'excuserez maintenant de mettre fin à l'échange avec vous, j'ai pour politique d'éviter de nourrir les trolls.

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  • Habitués

Il est clair que lorsque nous décidons immigrer vers un autre pays, il faut s'attendre à un changement radical.

Il faut garder à l'esprit en tant qu’immigrant, c'est à nous de s'adapter au mode de vie, à la culture et aux coutumes du pays accueillant et non d'importer notre mode de vie, notre culture et nos coutumes afin que le pays accueillant s'adapte. Bien entendu il ne faut pas non rogner sur ces origines, mais il ne faut pas tomber vouloir reproduire sa "façon de vivre" qu'on pouvait avoir dans son pays d'origine. Il faut savoir faire la part des choses et garder à l'esprit qu'en immigrant, on a tout à réapprendre.

Oui, mais ce n'est pas pour autant que cela sera plus facile à vivre une fois sur place. Toute la préparation du monde ne remplacera pas la réalité et le vécu. Et souvent, il y a même un gros écart entre les 2.

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  • Habitués

Il est clair que lorsque nous décidons immigrer vers un autre pays, il faut s'attendre à un changement radical.

Il faut garder à l'esprit en tant qu’immigrant, c'est à nous de s'adapter au mode de vie, à la culture et aux coutumes du pays accueillant et non d'importer notre mode de vie, notre culture et nos coutumes afin que le pays accueillant s'adapte. Bien entendu il ne faut pas non rogner sur ces origines, mais il ne faut pas tomber vouloir reproduire sa "façon de vivre" qu'on pouvait avoir dans son pays d'origine. Il faut savoir faire la part des choses et garder à l'esprit qu'en immigrant, on a tout à réapprendre.

Oui, mais ce n'est pas pour autant que cela sera plus facile à vivre une fois sur place. Toute la préparation du monde ne remplacera pas la réalité et le vécu. Et souvent, il y a même un gros écart entre les 2.

Je suis d'accord avec Blueberry. C'est très bien de partir avec cette attitude. Mais aussi garder à l'esprit qu'il va forcément y avoir des moments de frustration et que la comparaison est quasi-inévitable. Une fois qu'on l'accepte, je trouve plus facile de passer à autre chose.

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  • Habitués

Il est clair que lorsque nous décidons immigrer vers un autre pays, il faut s'attendre à un changement radical.

Il faut garder à l'esprit en tant qu’immigrant, c'est à nous de s'adapter au mode de vie, à la culture et aux coutumes du pays accueillant et non d'importer notre mode de vie, notre culture et nos coutumes afin que le pays accueillant s'adapte. Bien entendu il ne faut pas non rogner sur ces origines, mais il ne faut pas tomber vouloir reproduire sa "façon de vivre" qu'on pouvait avoir dans son pays d'origine. Il faut savoir faire la part des choses et garder à l'esprit qu'en immigrant, on a tout à réapprendre.

Oui, mais ce n'est pas pour autant que cela sera plus facile à vivre une fois sur place. Toute la préparation du monde ne remplacera pas la réalité et le vécu. Et souvent, il y a même un gros écart entre les 2.

Je suis d'accord avec Blueberry. C'est très bien de partir avec cette attitude. Mais aussi garder à l'esprit qu'il va forcément y avoir des moments de frustration et que la comparaison est quasi-inévitable. Une fois qu'on l'accepte, je trouve plus facile de passer à autre chose.

Bien entendu, il faut aussi être réaliste et ce dire que tout ne viendra à nous sans rien faire. Il risque d'y avoir des choix à faire, des déceptions ou frustrations, mais je pense que si dès le départ on part avec la bonne attitude, il n'y a pas de raison que ca ne nous sourit pas.

Quand à la comparaison, c'est quasi inévitable comme vous le dites. D'ailleurs je vécu un peu cela il y a quelque temps lorsque j'ai changé de travail. Il y a toujours une phase où l'on compare ce qu'on vit actuellement avec ce qu’on a vécu.

Par contre il faut savoir le faire "intelligemment". C'est à dire comparer en "privé" et non devant les nouvelles personnes de ton nouveau travail ou de ton nouveau pays d'accueil.

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Souvent, c'est la finalité de la critique qui est mal reçue et non pas sa justesse...

Non ... Le fait en soi-même de poser une critique est insupportable pour un canadien en général et en particulier pour un québécois.

La justesse d'une critique, c'est-à-dire, sa véracité, la réalité des arguments qui la sous-tendent n'est le plus souvent même pas considérée.

N'oublions pas qu'en anglais, "to argue" (argumenter) signifie avoir une désagréable dispute. Les québécois pensent pareil.

Il est bon d'avoir en tête que les québécois sont profondément imbibés par la mentalité anglaise.

Je soutiens, paradoxalement, qu'ils le sont plus que les anglo-canadiens et qu'on a besoin de comprendre cela, à la fois pour comprendre les québécois et pour pouvoir les comparer avec les anglo-canadiens.

Merci de prouver que j'ai parfaitement raison. :smile:

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wow ce post etait plutot interessant et apparament tres dispute, mais ce qu il en est ressortit, pour un novice comme moi c est qu il y a du bon et du moins bon, que chacun y va de son commentaire, avec ses arguments et ses experiences, mais la veri:table question est, le Quebec est il un eldorado ou le Francais moyen en mal d aventure et d une vie meilleure peutaccomplir de belles choses pour lui et sa famille?.

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