Aller au contenu

L'intégration est-elle si difficile? besoin d'être rassurée


frip1969

Messages recommandés

  • Habitués

Bonjour à tous,

En lisant tous les messages de uns et des autres, je me rend compte que ce qu'il ressort le plus de vos expériences c'est combien il est difficile pour beaucoup de trouver un emploi à Montréal et que l'intégration est vraiment difficile sur place.

J'ai moi même vécu pendant 8 ans Pays Bas et franchement en terme d'intégration la bas c'est zéro et c'est pas faute d'avoir essayé. Après je m'en fiche un peu de me faire des amis canadiens ou étrangers. J'aime la diversité et je sais m'adapter.

Ce qui me fait le plus peur dans vos récits, c'est le travail. Je suis seule avec mon fils et j'ai besoin de travailler. Je n'ai plus 20 ans, mais le double et je n'aurai pas de budget pour étudier à nouveau...chose que je n'ai pas envie de faire d'ailleurs.

Est ce que vraiment tout le monde a du recommencer à zéro et partir du bas de l'échelle? Est ce que c'est si difficile de trouver un emploi? Le problème que vous avez rencontré c'est quoi? que vous ne parliez pas anglais? autre chose?

Est il vraiment difficile de faire valoir son expérience professionnelle?

Il y a t'il des expériences heureuses de gens qui ne repartent pas et ont trouvé un bon job?

Dans mon cas, j'ai des diplômes et je suis dans la conception digitale et je parle couramment anglais. Ai je une chance? La reconversion c'est obligatoire? (moi j'aime ce que je fais...)

Aussi j'ai entendu dire mais je n'ai pas les chiffres que 80% des retours étaient du au climat? vrai? parce que d'après ce que je lis ici, ca à plutôt l'air du au taff

Merci de vos retours.

F

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Vous devriez essayer de vous trouver un emploi par le biais de linkedin. Ça semble très efficace d'après les récits que j'ai pu lire ici. Comme ça, lorsque vous vous installez, un emploi vous attend, ce qui est un bon moyen de s'intégrer.

Si vous ne débarquez pas ici en ayant des attitudes de « je sais tout » et en donneuse de leçons faisant constamment des comparaisons avec la France, comme certains de vos compatriotes, que l'on qualifie ici de « maudits Français », le font, tout devrait bien se passer. Les Québécois sont des gens ouverts, mais ils détestent ceux qui se prennent trop au sérieux, ils ne supportent pas la prétention et ceux qui critiquent tout et tout le temps à tort et à travers. Un peu d'ouverture, d'humilité et d'auto-dérision, et on vous appréciera.

Le climat n'est pas aussi désagréable qu'on le dit. Première chose qu'il faut savoir: le Québec jouit d'un ensoleillement comparable à celui du sud de la France. Normal, Montréal, par exemple, se trouvant à la latitude de Bordeaux. Les hivers sont un peu long - il commence à neiger en décembre, jusqu'en mars -, certaines journées d'hiver peuvent être très froides - jusqu'à -30"C - mais les températures l'hiver se maintiennent plus autour de -10, et il fait beau le plus souvent, à part quelques tempêtes qui laissent beaucoup de neige, et qui donnent cette luminosité éclatante des belles journées d'hiver. Rien à voir avec les hivers gris et déprimants du nord de l'Europe, à part peut-être les mois de novembre et de mars. Le beau temps revient en avril, et il fait chaud, et même parfois très chaud, de mai à octobre. Suffit de bien s'habiller l'hiver et d'avoir un air climatisé pour l'été. Les maisons québécoises sont construites pour êtres confortables en toute saison. Par contre, toute cette neige, ça peut être vraiment chiant parfois - faut dégager son entrée, sa voiture, racler la glace sur les pare-brises, conduire sur des routes glissantes. Il tombe en moyenne 2 mètres de neige par hiver. C'est très joli, mais plutôt compliqué à gérer parfois.

Côté emplois, les employeurs sont parfois frileux face aux candidats n'ayant pas d'expérience de travail nord-américaine. Faut les comprendre.Ça n'a rien à voir avec de la xénophobie, comme certains tristes représentants de la faune locale vont venir vous le dire. Ils ne savent pas si vous saurez vous adapter à un contexte de travail nord-américain, forcément différent du vôtre, et surtout travailler en équipe - on accorde ici une très grande importance à l'atmosphère de travail et on déteste les conflits. Faut apprendre à faire passer ses messages avec tact, par le biais de l'humour si possible. Les relations hiérarchiques sont beaucoup plus horizontales ici: on n'appelle pas son patron par son titre, mais par son prénom, et on le tutoie. Si vous êtes chef d'équipe, on n'appréciera pas que vous vous montriez trop autoritaire et on en vous considérera pas comme étant d'une classe à part. Tout le monde est dans le même bateau.

Par ailleurs, vous engager et vous former selon les pratiques de l'entreprise représente un investissement. Si vous êtes nouvellement arrivée, rien ne dit que vous ne repartirez pas, ou que vous ne déciderez pas de migrer ailleurs. Bref, on ne sait pas si vous serez stable, parce que votre situation n'est pas stabilisée. C'est pour ça que je vous conseille de vous faire connaître par l'intermédiaire de linkedin. C'est un bon moyen de rassurer un éventuel employeur.

Peut-être devrez-vous, dans les premiers temps, vous constituer une expérience de travail ici. Ce qui veut dire se trouver un emploi qui ne correspond pas à vos qualifications. Si vous êtes en informatique, on engage beaucoup d'immigrants dans les centres de dépannage informatique chez Bell.

En ce qui concerne l'anglais, ça peut être, malheureusement, indispensable dans certains secteurs. Ne pas savoir suffisamment l'anglais va vous restreindre à des emplois moins intéressants.

Modifié par Ungeduld
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Merci Ungeduld,

Je suis quelqu'un de très ouverte et qui n'a jamais voulu retourner en France et d'ailleurs je ne supporte pas les français à l'étranger...c'est vrai qu'ils se plaignent tout le temps. Ou m'a souvent dit que j'étais la moins nationaliste des françaises qu'ils aient rencontré. Et en vivant à l'étranger je m'excusais souvent de ma nationalité...Mes amis étaient plutôt étranger que francais.

Je parle anglais couramment et je bosse pour une boite anglaise donc l'anglais ne sera pas un problème au contraire.

Le climat non plus car je viens de la montagne et j'adore la neige. Au Pays Bas il fait froid mais gris et donc qu'il fasse froid et beau c'est le pied! Ca me rappellera mes Alpes...sans les montagnes.

Je pense que le challenge sera en effet le travail et de se faire accepter comme experte dans son domaine. Je ne suis pas informaticienne et je n'ai pas envie de faire du dépannage informatique, je préfèrerais travailler dans une ferme plutôt que ca...La différence c'est que je sais m'adapter, rire de moi et que j'aime apprendre des autres...après il faut les convaincre. Je suis déjà sur LinkedIn (le web c'est mon métier) et bon après se faire remarquer par des boites canadiennes c'est pas facile mais je vais tenter le coup.

Merci en tout cas de ces remarques...

Est ce que les immigrants francophones non français on les même problèmes?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Salut,

Concernant l'intégration, je n'ai pas de souci. Il est vrai qu'il existe une méfiance de prime abord vis-à-vis des maudits Français, mais comme je ferme ma gueule et que je ne parle jamais de la France sauf quand on me pose des questions (ce qui arrive très rarement), bah j'ai pas de soucis d'intégration.

Un seul gars au boulot qui m'a dit qu'il aimait pas les Français alors qu'on ne s'était jamais parlé, c'est tout. Mais bon, des gens bizarres ou tout simplement cons t'en as partout.

Pour le boulot, je vois que tu es manager aujourd'hui, je pense qu'il est raisonnable de dire qu'il y a peu de chances que tu trouves direct un boulot de ce niveau-là en débarquant au Québec surtout sans aucune expérience québécoise.

Tu es maman solo, ta démarche est vraiment courageuse, mais je m'interroge: comment vas-tu faire pour chercher un travail tout en ayant un enfant à t'occuper? les garderies à 7 $ par jour existent, mais les places sont très rares, donc il faut prévoir un budget dans les 25 ou 30 $ par jour pour une garderie. Je ne sais pas quel âge a ton petit bout, mais ici l'école commence à 5 ans. Tu peux demander un crédit d'impôt anticipé pour les frais de garderie (uniquement si tu as le statut de résident permanent), mais il faudra quand même compter un budget conséquent pour la garderie. Je te parle de ça au cas où tu serais obligée de prendre une jobbine pour vivre... comme le font une grosse partie des immigrants (pas mal en ont même deux).

Je n'ai pas trop compris en quoi consistait ton taf, mais c'est sûr que si tu pouvais décrocher un boulot avant de partir ce serait quand même plus confortable pour toi et ton petit. LinkedIn est effectivement une bonne idée, mais comme je ne connais pas ton profil je ne sais pas s'il est recherché. As-tu essayé de participer aux Journées Québec? Il me semble qu'il va y avoir une nouvelle session cet hiver.

Enfin, pour le climat, je ne parlerai pas de l'hiver car je ne le connais pas (encore), mais Ungeduld a raison pour l'ensoleillement: il est fantastique ici, et c'est bien agréable tous ces jours de ciel bleu :smile:

Modifié par Vero_31
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Merci pour ton retour. Mon fils à 20 mois et je paye en France beaucoup plus cher pour le faire garder. Mais bon tu as raison c'est à prévoir dans le budget.

Je ne prétend pas arriver directement manager mais comme j'ai déjà de l'experience à l'internationale ça peu peut être aider. Si par contre il n'y a que l'expérience québécoise qui compte alors oui ça va être difficile.

Je ne me fait pas de soucis pour le climat aussi. ;-)

Tu fais quel métier?

Merci pour ton retour. Mon fils à 20 mois et je paye en France beaucoup plus cher pour le faire garder. Mais bon tu as raison c'est à prévoir dans le budget.

Je ne prétend pas arriver directement manager mais comme j'ai déjà de l'experience à l'internationale ça peu peut être aider. Si par contre il n'y a que l'expérience québécoise qui compte alors oui ça va être difficile.

Je ne me fait pas de soucis pour le climat aussi. ;-)

Tu fais quel métier?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Est-ce qu'il n'y a que l'expérience québécoise qui compte ici? j'avoue que je suis un peu surprise qu'ici on ne me demande pas ce que j'ai fait en France, les gens s'en foutent. D'un autre côté, c'est aussi cette expérience qui a construit mon CV, et c'est mon CV qui m'a permis d'avoir un travail. C'est un peu paradoxal... mais d'une manière générale, oui ici un an d'expérience québécoise vaut plus que dix ans d'expérience française. Mais là encore, ça dépend des domaines: en informatique il y a pénurie, ils sont bien contents de trouver des informaticiens expérimentés, même si l'expérience sent le camembert.

Pour répondre à ta question, je suis architecte techno, c'est le domaine de l'informatique.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Est-ce qu'il n'y a que l'expérience québécoise qui compte ici? j'avoue que je suis un peu surprise qu'ici on ne me demande pas ce que j'ai fait en France, les gens s'en foutent. D'un autre côté, c'est aussi cette expérience qui a construit mon CV, et c'est mon CV qui m'a permis d'avoir un travail. C'est un peu paradoxal... mais d'une manière générale, oui ici un an d'expérience québécoise vaut plus que dix ans d'expérience française. Mais là encore, ça dépend des domaines: en informatique il y a pénurie, ils sont bien contents de trouver des informaticiens expérimentés, même si l'expérience sent le camembert.

Pour répondre à ta question, je suis architecte techno, c'est le domaine de l'informatique.

Ce paradoxe s'explique quand on se met du point de vue de l'employeur. Engager quelqu'un représente un investissement, donc un risque. À moins de secteur en pénurie, vous faites la ligne. Votre manque d'expérience québécoise représente un risque supplémentaire: saurez-vous vous adapter au contexte de travail nord-américain. On a des récits de gens ici qui démontre que ce n'est pas toujours le cas... Surtout que rien n'indique que vous avez immigré pour de bon; Beaucoup d'immigrants français ne parviennent pas à s'adapter et retournent chez eux.

Dans un tel contexte, on veut savoir si vous êtes sérieux et si vous savez vous adapter. Rien de plus normal.

On pourrait par contre faciliter la reconnaissance des diplômes. Les associations professionnelles sont à blâmer ici, faisant preuve d'un protectionnisme qui n'est pas à leur honneur, se comportant comme si elles avaient un fief à protéger. En même temps, il est aussi un peu compréhensible que l'on craigne que les jeunes diplômés ici soient mis en concurrence avec des gens expérimentés et bardés de diplôme venus d'ailleurs qui viennent leur souffler leur emploi sous le nez. Faut trouver un équilibre là-dedans.

Bref, si vous venez d'ailleurs, il faut être conscient que ça veut dire parfois repartir de zéro - ou changer de carrière, comme certains le font. Si on émigre en se disant que nos diplômes et notre expérience vont nous permettre de retrouver une position semblable à celle que l'on avait dans son pays d'origine, c'est très mal barré. C'est une illusion trop commune, qui explique bien des échecs et des rancoeurs.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Merci pour ton retour. Mon fils à 20 mois et je paye en France beaucoup plus cher pour le faire garder. Mais bon tu as raison c'est à prévoir dans le budget.

Je ne prétend pas arriver directement manager mais comme j'ai déjà de l'experience à l'internationale ça peu peut être aider. Si par contre il n'y a que l'expérience québécoise qui compte alors oui ça va être difficile.

Je ne me fait pas de soucis pour le climat aussi. ;-)

Tu fais quel métier?

Merci pour ton retour. Mon fils à 20 mois et je paye en France beaucoup plus cher pour le faire garder. Mais bon tu as raison c'est à prévoir dans le budget.

Je ne prétend pas arriver directement manager mais comme j'ai déjà de l'experience à l'internationale ça peu peut être aider. Si par contre il n'y a que l'expérience québécoise qui compte alors oui ça va être difficile.

Je ne me fait pas de soucis pour le climat aussi. ;-)

Tu fais quel métier?

Vous partez avec de trop grandes attentes... Si j'étais vous, je tâterais le terrain avant de partir. Si vous ne pouvez pas vous faire des contacts ici dans les entreprises qui pourraient vous engager, et vous décrocher un emploi à partir de la France, je dirais que vous prenez un gros risque. Rien n'indique que vous retrouverez ce que vous avez laissé derrière. Si vous étiez plus jeune, peut-être, mais dans la quarantaine avec un jeune enfant...

Si vous n'êtes pas prête à recommencer à zéro et à peut-être retourner sur les bancs d'école, je crains que votre expérience tourne mal. Ce n'est pas forcé remarquez, vous pourriez avoir de la chance et décrocher un emploi qui vous convienne une fois sur place, mais vous n'êtes pas seule dans le bateau... Les récits de success story que j'ai pu lire ici montrent le plus souvent des gens qui étaient prêts à repartir de rien - et qui ont suivi un parcours souvent imprévu.

Modifié par Ungeduld
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Je ne peux qu'être d'accord avec ce que vient d'écrire Ungeduld.

J'ai 39 ans et une famille à charge (mon petit dernier a le même âge que ton enfant), jamais je ne serais venue si je n'avais pas décroché ce poste depuis la France. Mon mari, par contre, n'a pas eu cette chance, et doit passer par la case "jobine". Pas tous les jours facile pour lui, mais ça fait partie de la règle du jeu. Il est entouré d'immigrants tous plus diplômés et expérimentés les uns que les autres, et qui repartent à zéro. Le Canada ou du moins le Québec (je ne connais que cette province) a les manutentionnaires les plus diplômés du monde, ah ah.

Sans mon job et sans une réserve d'argent conséquente, on n'aurait pas fait le grand saut: pas à notre âge avec des enfants.

Maintenant... comme le dit Ungeduld il est possible que tu aies de la chance et que tu décroches un bon job ici dès le début. Je ne connais pas ton segment de marché.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Concernant les garderies a 7$, pour en avoir écumer beaucoup pour notre fils de 20 mois depuis le mois de mai, l'attente est de deux ans, lors de la visite d'une de ces garderies, la dame était en train d'appeller des gens s'étant inscrit en mars 2010! budget actuel, entre 700 et 800 $ dollars par mois, on est dans une garderie privée à 35$ par jours, dans notre quartier, difficile de trouver a mois.

Linkedin est effectivement un très bon terrain pour la recherche d'emploi, je suis ingenieur en télécom, après avoir fait un long travail de ciblage des entreprises m'intéressant, un travail de premiers contact avec des éléments clés, j'ai réussi depuis la france a avoir une dizaine d'entretien, 3 offres de contrats fermes, ce qui as fait que je suis déjà arrivé avec le boulot, mais il vrai que je suis dans un créneau porteur, le management c'est plus chaud.

Concernant la reconnaissance des diplomes, je m'y suis même pas intéressé encore et cela ne m'empeche pas d'etre dans la moyenne salariale de mon profil ici.

Il est vrai aussi qu'il faut faire un minimum d'au moins 1 voyage de reperage pour se faire une idée sur la vie ici, l'emploi, l'endroit ou on veut vivre, etc etc, sinon, le fossé peut paraitre tres grand quand on arrive (2 voyages de reperage pour nous, un projet muri pendant 2 ans.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Oui, les garderies à 7 $ je suis en attente depuis presque un an (je m'étais inscrite depuis la France), je ne compte plus dessus. On a trouvé une garderie à 30 $, mais c'est un peu la galère car sans voiture il faut jongler pour aller chercher l'un à la garderie, l'autre à l'école. Le top aurait été que je prenne une garderie à côté de mon boulot (dans le centre d'affaires), mais là il n'y a rien en-dessous de 60 $ la journée (gloups hein).

Pour la reconnaissance des diplômes, je n'ai pas eu besoin de demander une équivalence, mon employeur connaissait les diplômes français et les a acceptés tels quels. Ils m'ont demandé des scans et zou.

Mais comme le dit Christophe, on est dans un marché porteur, pas forcément représentatif de la réalité professionnelle du marché québécois dans son ensemble.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

La solution, c'est de retirer le métropole en ruine (Montréal) de son esprit et de venir dans la capitale nationale (provinciale en fait): Québec. La ville de Québec va à merveille, chômage très bas notamment, et avec l'anglais tu as un gros avantage sur beaucoup. Je me demande pourquoi les gens se bornent à Montréal alors que c'est vraiment pas ce qui se fait de mieux ici... Québec trône dans le peloton de tête un peu partout au pays (Canada), alors que Montréal traîne la patte à chaque fois.

Côté garderie, deux ans d'attente aussi, mais une garderie à 25$ coûte, en bout de ligne, sensiblement le même prix avec les crédits d'impôts, sauf qu'ils sont remboursés anticipativement en plus.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Merci à tous pour vos messages c'est très enrichissant. Sachez que je n'ai pas d'idée arrêté sur mon projet qui n'est d'ailleurs qu'a l'état de projet car même si je rassemble les documents et tout pour le CSQ je planifie d'aller au journée du Québec si toute fois ils acceptent que j'y participe.

Je sort de la réunion d'information sur le Québec et tous vos messages ont fait leur chemin dans ma tête. Je vais donc regarder les options d'étude mais avant tout si je trouvais un travail ca serait top. En fait, je travaille dans la conception de site web et je suis manager d'une équipe de Business Analyst. Je suis donc dans le coté IT de ma boite qui est une boite internationale d'origine anglaise et je m'occupe de la restructuration des sites mondes inclus le Canada...mais aussi mobile, apps... mais aussi de l'intégration CRM...enfin des trucs techniques

Donc je travaille énormément avec les architectes (métier en pénurie en France aussi) et dev mais aussi le marketing. Je sais que les offres d'emploi ne manquent pas la dessus et je postule. Après je n'ai jamais été bonne pour chercher du travail et je ne sais pas comment vous avez approché les entreprises pour lesquels vous travaillez.

Aviez vous le CSQ en main lorsque vous les avez approché?

J'ai bossé pour les US et pour les Nations Unies...et je ne suis en France que depuis 5 ans. Donc ce n'est pas comme si j'avais vécu toute ma vie en France et que je partais pour la première fois...En même temps vous avez raison rien ne dit que les entreprises seront sensible à ca.

EN ce qui concerne les crèches hum...ca va être chaud mais je paye 950 euro par moi en France et j'ai un peu d'aide mais sans plus. Donc je dois prévoir un bon budget pour ca. Dans la réunion d'information il disait que l'école ne commençait qu'à 6 ans? 5? il n'y a pas de maternelle?

Sinon pour répondre sur la destination, je suis ouverte...la ville de Québec, Montréal, à voir suivant l'opportunité qui se présentera.

Il est claire que je partirais lorsque j'aurais un projet qui tient la route.

Merci de vos avis éclairés.

F

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

ha et j'oubliais...je serais à Montréal du 1 janvier au 5 janvier...court mais c'est déjà ca.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Merci à tous pour vos messages c'est très enrichissant. Sachez que je n'ai pas d'idée arrêté sur mon projet qui n'est d'ailleurs qu'a l'état de projet car même si je rassemble les documents et tout pour le CSQ je planifie d'aller au journée du Québec si toute fois ils acceptent que j'y participe.

Je sort de la réunion d'information sur le Québec et tous vos messages ont fait leur chemin dans ma tête. Je vais donc regarder les options d'étude mais avant tout si je trouvais un travail ca serait top. En fait, je travaille dans la conception de site web et je suis manager d'une équipe de Business Analyst. Je suis donc dans le coté IT de ma boite qui est une boite internationale d'origine anglaise et je m'occupe de la restructuration des sites mondes inclus le Canada...mais aussi mobile, apps... mais aussi de l'intégration CRM...enfin des trucs techniques

Donc je travaille énormément avec les architectes (métier en pénurie en France aussi) et dev mais aussi le marketing. Je sais que les offres d'emploi ne manquent pas la dessus et je postule. Après je n'ai jamais été bonne pour chercher du travail et je ne sais pas comment vous avez approché les entreprises pour lesquels vous travaillez.

Aviez vous le CSQ en main lorsque vous les avez approché?

J'ai bossé pour les US et pour les Nations Unies...et je ne suis en France que depuis 5 ans. Donc ce n'est pas comme si j'avais vécu toute ma vie en France et que je partais pour la première fois...En même temps vous avez raison rien ne dit que les entreprises seront sensible à ca.

EN ce qui concerne les crèches hum...ca va être chaud mais je paye 950 euro par moi en France et j'ai un peu d'aide mais sans plus. Donc je dois prévoir un bon budget pour ca. Dans la réunion d'information il disait que l'école ne commençait qu'à 6 ans? 5? il n'y a pas de maternelle?

Sinon pour répondre sur la destination, je suis ouverte...la ville de Québec, Montréal, à voir suivant l'opportunité qui se présentera.

Il est claire que je partirais lorsque j'aurais un projet qui tient la route.

Merci de vos avis éclairés.

F

Pour le genre d'emploi que vous recherchez, je vous dirais que vous feriez mieux de viser Montréal que Québec.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

C'est ce que je pensais mais je suis flexible. Vous aviez le CSQ en poche avant de démarcher les entreprises? Ou ils ont fait la demande pour vous?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Merci à tous pour vos messages c'est très enrichissant. Sachez que je n'ai pas d'idée arrêté sur mon projet qui n'est d'ailleurs qu'a l'état de projet car même si je rassemble les documents et tout pour le CSQ je planifie d'aller au journée du Québec si toute fois ils acceptent que j'y participe.

Je sort de la réunion d'information sur le Québec et tous vos messages ont fait leur chemin dans ma tête. Je vais donc regarder les options d'étude mais avant tout si je trouvais un travail ca serait top. En fait, je travaille dans la conception de site web et je suis manager d'une équipe de Business Analyst. Je suis donc dans le coté IT de ma boite qui est une boite internationale d'origine anglaise et je m'occupe de la restructuration des sites mondes inclus le Canada...mais aussi mobile, apps... mais aussi de l'intégration CRM...enfin des trucs techniques

Donc je travaille énormément avec les architectes (métier en pénurie en France aussi) et dev mais aussi le marketing. Je sais que les offres d'emploi ne manquent pas la dessus et je postule. Après je n'ai jamais été bonne pour chercher du travail et je ne sais pas comment vous avez approché les entreprises pour lesquels vous travaillez.

Aviez vous le CSQ en main lorsque vous les avez approché?

J'ai bossé pour les US et pour les Nations Unies...et je ne suis en France que depuis 5 ans. Donc ce n'est pas comme si j'avais vécu toute ma vie en France et que je partais pour la première fois...En même temps vous avez raison rien ne dit que les entreprises seront sensible à ca.

EN ce qui concerne les crèches hum...ca va être chaud mais je paye 950 euro par moi en France et j'ai un peu d'aide mais sans plus. Donc je dois prévoir un bon budget pour ca. Dans la réunion d'information il disait que l'école ne commençait qu'à 6 ans? 5? il n'y a pas de maternelle?

Sinon pour répondre sur la destination, je suis ouverte...la ville de Québec, Montréal, à voir suivant l'opportunité qui se présentera.

Il est claire que je partirais lorsque j'aurais un projet qui tient la route.

Merci de vos avis éclairés.

F

Hello,

J'ai trouvé mon job par les Journées Québec. J'ai également eu des touches par LinkedIn. Mais le boulot concret, c'est avec les Journées Québec. J'avais effectivement déjà le CSQ en poche quand j'y ai participé, mais l'employeur n'a pas voulu attendre que j'aie le Fédéral, il m'a donc fait bénéficier d'un permis de travail temporaire. Je suis donc arrivée ici en avril, et pendant ce temps-là le dossier au Fédéral a continué son bonhomme de chemin, et vient d'aboutir fin août.

950 € par mois pour une crèche en France? mais c'est une crèche Montessori ou quoi? je payais la moitié quand j'étais en France (et c'était il y a moins de 6 mois).

La maternelle existe ici, mais il n'y a qu'une année de maternelle, voilà pourquoi ça commence à 5 ans.

@+,

Véro.

Modifié par Vero_31
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

J'oubliais: certaines écoles ont une classe de pré-maternelle à partir de 4 ans, mais les places sont limitées, et toutes les écoles ne le font pas.

Nop nounou...j'ai pas eu le droit à la crèche....

Et la PAJE ne te rembourse pas une bonne partie de ces frais?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

169 euro. plus une aide de 88 euro d'aide au parent isolé

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.




×
×
  • Créer...
Ouvrir un compte bancaire avant mon départ
© 2024 immigrer.com

Advertisement