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3.5 ans au Québec... je suis heureux de retourner en France


lovcen

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Pour vous intégrer vraiment en Amérique du Nord, la solution de facilité n'est pas vraiment le Québec mais plutôt l'Ontario.So, let's go to Toronto rather than Montreal !

:shok: Quoi tu veux maintenir aller à Toronto, hier tu voulais retourner en France...lovcen tu donnes l'impression d'être un troll.

en francais clair et net, il dit simplement aux futurs immigrants d'aller plutot en Ontario qu'au Quebec.

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Bonjour les amis je vie ni en france ni au canada

mais la france c'est l'alcatraz surtt aprés la crise mondiale

les perspectives d'emploi sont tres interessantes au canada , y a mm la possiblité de faire des etudes mm a l'age de 60ans

une société multiculturelle et pluraliste ou le taux de rasicme est moins elevé qu'en france

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  • Habitués

Pour ce qui est le domaine informatique... quelles sont les merveilles futuristes qu'on voit en France (mais pas au Québec) en TI? Le clavier AZERTY? Le courant 220V/50 Hz? J'ai travaillé là-bas en 2003, puis je n'ai vu absolument rien de nouveau ou d'hallucinant en TI pour moi qui venait de l'Amérique du Sud. Les seules points avantageux que j'ai vu en France par rapport au Québec en TI est le moindre coût des communications (internet, cellulaires, etc) et le nombre généreux de journées de vacances et de congés que vous avez en Europe. Peux-tu me nommer des produits, des inventions, des multinationales ou des entrepreneurs en TI d'origine française?

peut un peu de tout ce que tu utilises tous les jours mais la, on va singulierement s'eloigner du sujet.

en passant le 220V serait pas mal en amerique du nord afin de diminuer la tailler des calbes electriques, la perte en ligne de par la chaleur degagee, de pouvoir bancher un simple onduleur 3000VA sur un prise normale et non pas devoir installer une prise speciale ...

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  • Habitués
Bonjour les amis je vie ni en france ni au canada mais la france c'est l'alcatraz surtt aprés la crise mondiale les perspectives d'emploi sont tres interessantes au canada , y a mm la possiblité de faire des etudes mm a l'age de 60ans une société multiculturelle et pluraliste ou le taux de rasicme est moins elevé qu'en france

Tu ne vis pas en France, tu ne peux connaitre la situation.

Tu ne vis pas au Canada, tu ne connais pas la situation.

Vis avant de comparer !

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  • Habitués

@ Lovcen,

Je crois que tu as des perceptions erronées sur l'intégration de l'économie québécoise au niveau du marché nord-américain. La langue n'a jamais été un obstacle majeur puisque les Québécois sont près de 5 fois plus bilingues que les Canadiens anglais du ROC. Les États-Unis sont le principal partenaire économique du Québec (70% des exportations du Québec), le Québec participe à l'Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) ce qui lui donne accès à un marché de 440 millions de consommateurs , le Québec est la province canadienne qui enregistre le plus haut niveau de dépenses en R&D en proportion de son PIB , côté Technologies de l'Information et des Communications, en 2005, "l'essentiel de la production québécoise des TIC (70 %) est destiné à l'exportation, principalement aux États-Unis. Ces exportations représentent 35 % des exportations canadiennes de TIC" et que sais-je encore...

Tiens, il y a les nombreuses missions commerciales à l'étranger (la Chine est dans le colimateur...), le Québec a un Ministère des affaires internationales ayant des bureaux permanents dans de nombreux pays, des chambres de commerce en lien avec celles de l'Ontario et des états américains limitrophes (voir ici: http://www.corridors...bec_economy.php), le Québec possède de grandes entreprises (Bombardier, SNC-Lavalin, etc...) oeuvrant à l'international, etc... Alors non, ta vision d'un Québec fermé et replié sur lui-même est fausse et passéiste.

Mais comme c'est pratiquement impossible pour une petite firme locale de vendre une solution d'envergure à HQ, la BNC, Desjardins ou Bombardier et que c'est tout aussi difficile pour une firme montréalaise de le faire en Ontario à cause des bisbilles inter-maudits frogs québécois et anglais ontariens... le constat est vite fait.

Quand on est petit de taille, ce n'est jamais facile de vendre aux "majors". Pourtant, ce n'est pas impossible et l'histoire est jalonné de plusieurs succès.Vite fait, je pense à deux ventes (Softimage acheté par Microsoft http://fr.wikipedia.org/wiki/Softimage et aux sandales "Croc" de conception montréalaise) et même Céline Dion est un succès commercial vendu aux USA! :biggrin2:

Par ailleurs, pour innover dans les TI, il faut un environnement ouvert sur la réalité du Monde. Le Québec, c'est un grand territoire mais un micro-marché et très peu de locaux ont l'ouverture d'esprit suffisante pour s'intéresser à ce qui se passe ailleurs, et ce, même dans de grandes entreprises avec une couverture Nord américaine.

Alors quand on arrive avec une expérience cumulée en Europe du Nord et de l'Est, de l'Asie et des USA, et qu'on est là pour partager cette expérience, tout simplement, on est un peu surpris des réactions de fermeture, de manque de curiosité, de frilosité et parfois d'hostilité de certains québécois qui ont l'impression qu'on veut leur donner des leçons alors qu'on leur dit seulement: "Voilà ce qui se passe ailleurs !" dans le Monde professionnel.

Je crois plutôt que les Québécois sont très ouverts mais aussi très sensibles à l'attitude dégagée par leurs collègues et partenaires.....

Dans un journal d'informations professionnelles de la semaine passée, les chefs de petites et moyennes entreprises québécoises sont littéralement exhortés sur la nécessité de s'ouvrir à l'International. Mais il y a un changement de mentalité majeur que l'esprit "village Québécois" a beaucoup de mal à faire.

Dans un contexte de mondialisation, cette exhortation est un impératif fondé sur la nécessité de développer de nouveaux marchés et c'est partout pareil. Au Québec ou ailleurs, le défi est le même et cela n'a rien à voir avec le fait de contrer spécifiquement un quelconque "esprit village Québécois". Ton affirmation est plus péjorative et infondée que ne l'est la réalité.

Pour beaucoup de québécois, entendre parler de compétences dans les propos d'un européen est synonyme de mépris et de volonté d'inférioriser, tout comme l'humour au second degré... les mots de plus de trois syllabes... l'orthographe comparée...

La remise en question devrait être à double sens pour que la société québécoise progresse, affermisse ses valeurs et renforce sa volonté de préserver sa langue nationale.

Je préfère passer mon tour sur cette remarque.... Tu as raison, la remise en question devrait être à double sens...

Pour vous intégrer vraiment en Amérique du Nord, la solution de facilité n'est pas vraiment le Québec mais plutôt l'Ontario.

Pas franchement convaincue que l'herbe soit plus verte en Ontario....

Bon retour quand même!

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  • Habitués

95% ? Tu peux monter jusqu'à 100% avec une mentalité comme la tienne.

C'est vraiment le zoo ici... Pas un pour rattraper l'autre.

Avec de telles mentalités, pas étonnant que vous vous plantiez.

J'ai respecté les règles, j'ai écouté et appris comment était le Québec, ce que les Québécois aimaient et n'aimaient pas, j'ai fait preuve de patience et d'humilité, j'ai retroussé mes manches, et devinez quoi ? Je suis comme un poisson dans l'eau ici !

Ce forum est vraiment devenu un endroit pour les frustrés...

Vous êtes parmi les 5% cher Monsieur :bye: .

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  • Habitués

Pour apporter un éclairage complémentaire, en venant au Québec j'avais une volonté d'entreprendre quelque chose plus facilement que dans un pays relativement fermé (du moins je le croyais) comme la France.

J'ai conçu une solution informatique de pointe et j'envisageais de réaliser une offre commerciale. Elle semblait si intéressante que mon employeur a accepté de créer une entreprise en association plutôt que de me voir partir. Qu'il ait décidé de piller plutôt que de demeurer dans le mode du partage est une autre histoire.

Mais comme c'est pratiquement impossible pour une petite firme locale de vendre une solution d'envergure à HQ, la BNC, Desjardins ou Bombardier et que c'est tout aussi difficile pour une firme montréalaise de le faire en Ontario à cause des bisbilles inter-maudits frogs québécois et anglais ontariens... le constat est vite fait.

Français de France entrepreneurs, les affaires... ce n'est pas au Québec que vous les ferez. Tout au plus vous pourrez bénéficier de subventions pour de la R&D.

Quelle est la raison à votre avis pour que 1 milliard de dollars sur 10 ans, directement lié aux immigrants francophones, ait été perdu pour le Québec au profit de l'Ontario ? (Source Ministère de l'Immigration et des affaires culturelles 2010).

Par ailleurs, pour innover dans les TI, il faut un environnement ouvert sur la réalité du Monde. Le Québec, c'est un grand territoire mais un micro-marché et très peu de locaux ont l'ouverture d'esprit suffisante pour s'intéresser à ce qui se passe ailleurs, et ce, même dans de grandes entreprises avec une couverture Nord américaine.

Alors quand on arrive avec une expérience cumulée en Europe du Nord et de l'Est, de l'Asie et des USA, et qu'on est là pour partager cette expérience, tout simplement, on est un peu surpris des réactions de fermeture, de manque de curiosité, de frilosité et parfois d'hostilité de certains québécois qui ont l'impression qu'on veut leur donner des leçons alors qu'on leur dit seulement: "Voilà ce qui se passe ailleurs !" dans le Monde professionnel.

Dans un journal d'informations professionnelles de la semaine passée, les chefs de petites et moyennes entreprises québécoises sont littéralement exhortés sur la nécessité de s'ouvrir à l'International. Mais il y a un changement de mentalité majeur que l'esprit "village Québécois" a beaucoup de mal à faire.

Je précise que "beaucoup" ne veut pas dire "tous", de même que "moins compétent" ne veut pas dire "débile".

Pour beaucoup de québécois, entendre parler de compétences dans les propos d'un européen est synonyme de mépris et de volonté d'inférioriser, tout comme l'humour au second degré... les mots de plus de trois syllabes... l'orthographe comparée...

La remise en question devrait être à double sens pour que la société québécoise progresse, affermisse ses valeurs et renforce sa volonté de préserver sa langue nationale.

En conclusion, pour moi, l'expérience québécoise n'est pas foncièrement négative, seulement décevante.

4 mois sans revenus et sans réelles perspectives me conduisent à retourner en France pour y exercer mes talents pleinement et pour rapidement résorber des dépenses qui se sont accumulées pour rien.

Le CSQ et la RP ne me serviront pas pour revenir au Québec, éventuellement à Toronto où une grande firme informatique serait ravie qu'un expert pointu, bilingue, francophone et accessoirement non québécois participe au développement de son activité.

En tout cas, je persiste et signe... Français de France, entre une vie de galère et de petits boulots dans un cadre sympa, allez à Marseille, Bordeaux ou Antibes plutôt que vous faire exploiter misérablement à vendre des sandwiches ou des popcorns à Montréal comme plusieurs jeunes et moins jeunes diplômés que j'ai rencontrés.

Pour une vie pépère et cool mais un peu limitée, Montréal est pour vous.

Pour vous intégrer vraiment en Amérique du Nord, la solution de facilité n'est pas vraiment le Québec mais plutôt l'Ontario.

So, let's go to Toronto rather than Montreal !

Ton message est déjà plus éclairant que le premier, tu aurais du commencer par celui-là ^_^

Je ne suis pas venu en investisseur donc je ne peux pas juger ton parcours mais simplement ce qui me semble bizarre c'est d'être venu sans tâter le terrain avant. Ton récit donne l'impression que tu étais persuadé de faire un carton avec ta "solution de pointe", d'arriver en terre conquise d'avance. Un produit X très au point peut très bien marcher au Québec et pas en France et vice versa. Et si ça échoue ce n'est pas forcément du à des gens fermés qui refusent de s'intéresser à autre chose (marché pas mature, modes de vie différents, mauvaise perception du produit...).

Quant à ta conclusion :

Pour une vie pépère et cool mais un peu limitée, Montréal est pour vous.

Des experts de tous horizons s'éclatent ici notamment dans les TI, j'en cotoie tous les jours et ils n'ont pas de vie "limitée". Encore une forme d'orgueil qui a du te causer du tort ici.

Pour vous intégrer vraiment en Amérique du Nord, la solution de facilité n'est pas vraiment le Québec mais plutôt l'Ontario.

Tu voyais aussi le Québec comme l'endroit idéal avant de venir donc tente d'abord ton expérience en Ontario avant de tirer des conclusions aussi hasardeuses. De plus il n'y a pas de "solution de facilité" dans l'immigration, si c'est ce que tu cherchais, seulement des parcours semés d'embuches où les plus persévérants et les mieux préparés réussissent.

Bon retour en France anyway et merci du témoignage car c'est toujours enrichissant d'avoir des retours d'immigrants.

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Pour apporter un éclairage complémentaire, en venant au Québec j'avais une volonté d'entreprendre quelque chose plus facilement que dans un pays relativement fermé (du moins je le croyais) comme la France.

J'ai conçu une solution informatique de pointe et j'envisageais de réaliser une offre commerciale. Elle semblait si intéressante que mon employeur a accepté de créer une entreprise en association plutôt que de me voir partir. Qu'il ait décidé de piller plutôt que de demeurer dans le mode du partage est une autre histoire.

Mais comme c'est pratiquement impossible pour une petite firme locale de vendre une solution d'envergure à HQ, la BNC, Desjardins ou Bombardier et que c'est tout aussi difficile pour une firme montréalaise de le faire en Ontario à cause des bisbilles inter-maudits frogs québécois et anglais ontariens... le constat est vite fait.

Français de France entrepreneurs, les affaires... ce n'est pas au Québec que vous les ferez. Tout au plus vous pourrez bénéficier de subventions pour de la R&D.

Quelle est la raison à votre avis pour que 1 milliard de dollars sur 10 ans, directement lié aux immigrants francophones, ait été perdu pour le Québec au profit de l'Ontario ? (Source Ministère de l'Immigration et des affaires culturelles 2010).

Par ailleurs, pour innover dans les TI, il faut un environnement ouvert sur la réalité du Monde. Le Québec, c'est un grand territoire mais un micro-marché et très peu de locaux ont l'ouverture d'esprit suffisante pour s'intéresser à ce qui se passe ailleurs, et ce, même dans de grandes entreprises avec une couverture Nord américaine.

Alors quand on arrive avec une expérience cumulée en Europe du Nord et de l'Est, de l'Asie et des USA, et qu'on est là pour partager cette expérience, tout simplement, on est un peu surpris des réactions de fermeture, de manque de curiosité, de frilosité et parfois d'hostilité de certains québécois qui ont l'impression qu'on veut leur donner des leçons alors qu'on leur dit seulement: "Voilà ce qui se passe ailleurs !" dans le Monde professionnel.

Dans un journal d'informations professionnelles de la semaine passée, les chefs de petites et moyennes entreprises québécoises sont littéralement exhortés sur la nécessité de s'ouvrir à l'International. Mais il y a un changement de mentalité majeur que l'esprit "village Québécois" a beaucoup de mal à faire.

Je précise que "beaucoup" ne veut pas dire "tous", de même que "moins compétent" ne veut pas dire "débile".

Pour beaucoup de québécois, entendre parler de compétences dans les propos d'un européen est synonyme de mépris et de volonté d'inférioriser, tout comme l'humour au second degré... les mots de plus de trois syllabes... l'orthographe comparée...

La remise en question devrait être à double sens pour que la société québécoise progresse, affermisse ses valeurs et renforce sa volonté de préserver sa langue nationale.

En conclusion, pour moi, l'expérience québécoise n'est pas foncièrement négative, seulement décevante.

4 mois sans revenus et sans réelles perspectives me conduisent à retourner en France pour y exercer mes talents pleinement et pour rapidement résorber des dépenses qui se sont accumulées pour rien.

Le CSQ et la RP ne me serviront pas pour revenir au Québec, éventuellement à Toronto où une grande firme informatique serait ravie qu'un expert pointu, bilingue, francophone et accessoirement non québécois participe au développement de son activité.

En tout cas, je persiste et signe... Français de France, entre une vie de galère et de petits boulots dans un cadre sympa, allez à Marseille, Bordeaux ou Antibes plutôt que vous faire exploiter misérablement à vendre des sandwiches ou des popcorns à Montréal comme plusieurs jeunes et moins jeunes diplômés que j'ai rencontrés.

Pour une vie pépère et cool mais un peu limitée, Montréal est pour vous.

Pour vous intégrer vraiment en Amérique du Nord, la solution de facilité n'est pas vraiment le Québec mais plutôt l'Ontario.

So, let's go to Toronto rather than Montreal !

Que dire de plus. Ça résume tout le mentalité québécoise et l'esprit d'entreprise. Du vécu, du vrai.

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  • Habitués

@ Lovcen,

Je crois que tu as des perceptions erronées sur l'intégration de l'économie québécoise au niveau du marché nord-américain. La langue n'a jamais été un obstacle majeur puisque les Québécois sont près de 5 fois plus bilingues que les Canadiens anglais du ROC. Les États-Unis sont le principal partenaire économique du Québec (70% des exportations du Québec), le Québec participe à l'Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) ce qui lui donne accès à un marché de 440 millions de consommateurs , le Québec est la province canadienne qui enregistre le plus haut niveau de dépenses en R&D en proportion de son PIB , côté Technologies de l'Information et des Communications, en 2005, "l'essentiel de la production québécoise des TIC (70 %) est destiné à l'exportation, principalement aux États-Unis. Ces exportations représentent 35 % des exportations canadiennes de TIC" et que sais-je encore...

Tiens, il y a les nombreuses missions commerciales à l'étranger (la Chine est dans le colimateur...), le Québec a un Ministère des affaires internationales ayant des bureaux permanents dans de nombreux pays, des chambres de commerce en lien avec celles de l'Ontario et des états américains limitrophes (voir ici: http://www.corridors...bec_economy.php), le Québec possède de grandes entreprises (Bombardier, SNC-Lavalin, etc...) oeuvrant à l'international, etc... Alors non, ta vision d'un Québec fermé et replié sur lui-même est fausse et passéiste.

Mais comme c'est pratiquement impossible pour une petite firme locale de vendre une solution d'envergure à HQ, la BNC, Desjardins ou Bombardier et que c'est tout aussi difficile pour une firme montréalaise de le faire en Ontario à cause des bisbilles inter-maudits frogs québécois et anglais ontariens... le constat est vite fait.

Quand on est petit de taille, ce n'est jamais facile de vendre aux "majors". Pourtant, ce n'est pas impossible et l'histoire est jalonné de plusieurs succès.Vite fait, je pense à deux ventes (Softimage acheté par Microsoft http://fr.wikipedia.org/wiki/Softimage et aux sandales "Croc" de conception montréalaise) et même Céline Dion est un succès commercial vendu aux USA! :biggrin2:

Par ailleurs, pour innover dans les TI, il faut un environnement ouvert sur la réalité du Monde. Le Québec, c'est un grand territoire mais un micro-marché et très peu de locaux ont l'ouverture d'esprit suffisante pour s'intéresser à ce qui se passe ailleurs, et ce, même dans de grandes entreprises avec une couverture Nord américaine.

Alors quand on arrive avec une expérience cumulée en Europe du Nord et de l'Est, de l'Asie et des USA, et qu'on est là pour partager cette expérience, tout simplement, on est un peu surpris des réactions de fermeture, de manque de curiosité, de frilosité et parfois d'hostilité de certains québécois qui ont l'impression qu'on veut leur donner des leçons alors qu'on leur dit seulement: "Voilà ce qui se passe ailleurs !" dans le Monde professionnel.

Je crois plutôt que les Québécois sont très ouverts mais aussi très sensibles à l'attitude dégagée par leurs collègues et partenaires.....

Dans un journal d'informations professionnelles de la semaine passée, les chefs de petites et moyennes entreprises québécoises sont littéralement exhortés sur la nécessité de s'ouvrir à l'International. Mais il y a un changement de mentalité majeur que l'esprit "village Québécois" a beaucoup de mal à faire.

Dans un contexte de mondialisation, cette exhortation est un impératif fondé sur la nécessité de développer de nouveaux marchés et c'est partout pareil. Au Québec ou ailleurs, le défi est le même et cela n'a rien à voir avec le fait de contrer spécifiquement un quelconque "esprit village Québécois". Ton affirmation est plus péjorative et infondée que ne l'est la réalité.

Pour beaucoup de québécois, entendre parler de compétences dans les propos d'un européen est synonyme de mépris et de volonté d'inférioriser, tout comme l'humour au second degré... les mots de plus de trois syllabes... l'orthographe comparée...

La remise en question devrait être à double sens pour que la société québécoise progresse, affermisse ses valeurs et renforce sa volonté de préserver sa langue nationale.

Je préfère passer mon tour sur cette remarque.... Tu as raison, la remise en question devrait être à double sens...

Pour vous intégrer vraiment en Amérique du Nord, la solution de facilité n'est pas vraiment le Québec mais plutôt l'Ontario.

Pas franchement convaincue que l'herbe soit plus verte en Ontario....

Bon retour quand même!

Au vu de ses explications, on comprend mieux la déception du monsieur. En fait, il n'était pas un "simple immigrant venu chercher du travail". Chaque cas est particulier et tous les immigrants qui vont arriver ou qui sont déjà arrivés ne vont pas forcément se reconnaître dans ce profil.

Monsieur mon chum, chef de projet consultant en TI n'avait rien à vendre ici à part son expertise, a su se constituer son réseau, n'a pratiquement pas eu de problèmes à travailler ici.

Modifié par Cherrybee
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Monsieur mon chum, chef de projet consultant en TI n'avait rien à vendre ici à part son expertise, a su se constituer son réseau, n'a pratiquement pas eu de problèmes à travailler ici.

Témoignage classique. Attends toi aux réponses habituelles :

- C'est de ta faute;

- tu t'es mal préparé;

- moi tout va bien avec mes lunettes roses;

- tu es un troll;

- etc.

Tu feras parti de cette moitié des immigrants français qui repartent.

Bon retour.

:laugh:

Modifié par Carmand
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:innocent: Oui, du vrai vécu de troll... :biggrin2:

C'est mieux que des gens qui parlent sans expérience ni connaissance de l'immigration (ou de la France :innocent:) mais qui viennent donner leur opinion.

Ah et ne pas oublier de cocher dans la liste des personnes à préjugés :

Témoignage classique. Attends toi aux réponses habituelles :

- C'est de ta faute;

- tu t'es mal préparé;

- moi tout va bien avec mes lunettes roses;

- tu es un troll;

- etc.

Tu feras parti de cette moitié des immigrants français qui repartent.

:lol:

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Vu que tu t'acharnes à me lire et me répondre, c'est que tu tiens comptes de la pertinence de mes propos bien plus que tu ne le dis :lol: Hein McXéno ?

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Je comprends ce qui est écrit ici.

C'est pour moi aussi un cauchemar, et j'espère pouvoir partir d'ici en vie, ce qui n'est pas garanti.

Je n'ai jamais trouvé de travail dans mon domaine ici, malgré mon expérience. J'ai dû opter pour un "job"

à la limite de mes capacités, pour 60-70 heures par semaine et 1300 euros par mois.

Ceci, après avoir rempli des centaines de pages de formulaire durant trois ans pour prouver que non,

je ne suis pas un ancien nazi et que j'ai le droit de vivre. Je suis juste un pauvre républicain (au sens

de Platon et Jaurès, bien sûr, pas au sens de Paris ou Washington ...).

Jusque là, rien d'anormal.

Quand on est reçu chez des gens, on se plie aux coutumes.

Mais à ce train là, je me suis épuisé et quelque chose s'est déréglé dans mon organisme.

Pas grave, me suis-je dit, je vais me faire soigner.

Sauf que ... on me traite pour la fatigue occasionnée par ma maladie, sans traiter la cause.

Et on (les médecins) me fait comprendre que je devrais partir.

En quelques mois ma situation a empiré. Ma maladie est toujours là, mais la fatigue me prive de ma capacité

à travailler. Quand je pense qu'en France j'aurais eu en moins d'une semaine une radio, un scanner ou un IRM !

Ici ils ne connaissent que le stéthoscope !

J'ai appelé le consulat pour mon retour éventuel. Tout est prévu (je cite) : "Faites vous héberger par une connaissance ou un membre de votre famille et inscrivez vous à Pôle Emploi". Donc en France ce serait sdf ...

Mais si je retrouve un travail là-bas je pourrai me faire soigner.

Le système Québecois est tout entier en cause : sacrifiant l'éducation sur l'autel du budget, le Québec s'est retrouvé avec une panne dans la filière de formation des médecins. On fait venir à grands frais des médecins de toute la planète pour combler cette énorme lacune. Cette cohorte de médecins, hétérogène et non structurée, comportant des individus parfois assez spéciaux, est totalement incontrôlable. Des exilés incompétents s'y cachent, mais de toute façon le groupe ne fonctionne pas. Pour couronner le tout, les Québecois sont peu protégés socialement et abandonnent assez rapidement les soins lorsque le diagnostic tarde à venir ; les défauts du système médical lui-même ne peuvent donc pas être observés. Enfin, pour un étranger ou immigrant récent il est impossible d'avoir un médecin référent. A moins d'être riche il devra aller à l'hôpital ou aux cliniques sans rendez-vous, et ne verra donc jamais deux fois le même médecin.

C'est un pays de survivants, un filtre. C'est pourquoi il n'y a ici ni vieux ni malades.

Good luck !

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  • Habitués

Je comprends ce qui est écrit ici.

C'est pour moi aussi un cauchemar, et j'espère pouvoir partir d'ici en vie, ce qui n'est pas garanti.

Je n'ai jamais trouvé de travail dans mon domaine ici, malgré mon expérience. J'ai dû opter pour un "job"

à la limite de mes capacités, pour 60-70 heures par semaine et 1300 euros par mois.

Ceci, après avoir rempli des centaines de pages de formulaire durant trois ans pour prouver que non,

je ne suis pas un ancien nazi et que j'ai le droit de vivre. Je suis juste un pauvre républicain (au sens

de Platon et Jaurès, bien sûr, pas au sens de Paris ou Washington ...).

Jusque là, rien d'anormal.

Quand on est reçu chez des gens, on se plie aux coutumes.

Mais à ce train là, je me suis épuisé et quelque chose s'est déréglé dans mon organisme.

Pas grave, me suis-je dit, je vais me faire soigner.

Sauf que ... on me traite pour la fatigue occasionnée par ma maladie, sans traiter la cause.

Et on (les médecins) me fait comprendre que je devrais partir.

En quelques mois ma situation a empiré. Ma maladie est toujours là, mais la fatigue me prive de ma capacité

à travailler. Quand je pense qu'en France j'aurais eu en moins d'une semaine une radio, un scanner ou un IRM !

Ici ils ne connaissent que le stéthoscope !

J'ai appelé le consulat pour mon retour éventuel. Tout est prévu (je cite) : "Faites vous héberger par une connaissance ou un membre de votre famille et inscrivez vous à Pôle Emploi". Donc en France ce serait sdf ...

Mais si je retrouve un travail là-bas je pourrai me faire soigner.

Le système Québecois est tout entier en cause : sacrifiant l'éducation sur l'autel du budget, le Québec s'est retrouvé avec une panne dans la filière de formation des médecins. On fait venir à grands frais des médecins de toute la planète pour combler cette énorme lacune. Cette cohorte de médecins, hétérogène et non structurée, comportant des individus parfois assez spéciaux, est totalement incontrôlable. Des exilés incompétents s'y cachent, mais de toute façon le groupe ne fonctionne pas. Pour couronner le tout, les Québecois sont peu protégés socialement et abandonnent assez rapidement les soins lorsque le diagnostic tarde à venir ; les défauts du système médical lui-même ne peuvent donc pas être observés. Enfin, pour un étranger ou immigrant récent il est impossible d'avoir un médecin référent. A moins d'être riche il devra aller à l'hôpital ou aux cliniques sans rendez-vous, et ne verra donc jamais deux fois le même médecin.

C'est un pays de survivants, un filtre. C'est pourquoi il n'y a ici ni vieux ni malades.

Good luck !

c'est quoi ton domaine exactement?

tu n'as pas trouvé ni à Montréal, ni à Québec, ni dans aucunes villes du Québec?

une radiographie, tu peux en avoir une couvert par la RAMQ, le jour même, si tu vas au bon endroit!

ensuite, j'ai travaillé dans une clinique médicale et bisarrement, tous les jours, le médecin signait la feuille de médecin de famille à des immigrants.. fraichement débarqués.. alors que je connais des Québécois qui n'ont pas de médecin de famille.. donc encore une fois, suffit de chercher et ça se trouve!

on dirait qu'il faut tout vous offrir sur un plateau d'argent...

quand on cherche, on trouve. quand on trouve pas, on cherche plus loin..

Modifié par Automne
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Invité jeanjean

"Le système Québecois est tout entier en cause : sacrifiant l'éducation sur l'autel du budget, le Québec s'est retrouvé avec une panne dans la filière de formation des médecins. On fait venir à grands frais des médecins de toute la planète pour combler cette énorme lacune. Cette cohorte de médecins, hétérogène et non structurée, comportant des individus parfois assez spéciaux, est totalement incontrôlable. Des exilés incompétents s'y cachent...."

Ah bon l'ordre des médecins du Québec accepte maintenant les médecins d'autres pays comme ça !

C'est un scoop

merci pour l'info :Crylol::biggrin2: :biggrin2: :biggrin2:

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  • Habitués

Je comprends ce qui est écrit ici.

C'est pour moi aussi un cauchemar, et j'espère pouvoir partir d'ici en vie, ce qui n'est pas garanti.

Je n'ai jamais trouvé de travail dans mon domaine ici, malgré mon expérience. J'ai dû opter pour un "job"

à la limite de mes capacités, pour 60-70 heures par semaine et 1300 euros par mois.

Ceci, après avoir rempli des centaines de pages de formulaire durant trois ans pour prouver que non,

je ne suis pas un ancien nazi et que j'ai le droit de vivre. Je suis juste un pauvre républicain (au sens

de Platon et Jaurès, bien sûr, pas au sens de Paris ou Washington ...).

Jusque là, rien d'anormal.

Quand on est reçu chez des gens, on se plie aux coutumes.

Mais à ce train là, je me suis épuisé et quelque chose s'est déréglé dans mon organisme.

Pas grave, me suis-je dit, je vais me faire soigner.

Sauf que ... on me traite pour la fatigue occasionnée par ma maladie, sans traiter la cause.

Et on (les médecins) me fait comprendre que je devrais partir.

En quelques mois ma situation a empiré. Ma maladie est toujours là, mais la fatigue me prive de ma capacité

à travailler. Quand je pense qu'en France j'aurais eu en moins d'une semaine une radio, un scanner ou un IRM !

Ici ils ne connaissent que le stéthoscope !

J'ai appelé le consulat pour mon retour éventuel. Tout est prévu (je cite) : "Faites vous héberger par une connaissance ou un membre de votre famille et inscrivez vous à Pôle Emploi". Donc en France ce serait sdf ...

Mais si je retrouve un travail là-bas je pourrai me faire soigner.

Le système Québecois est tout entier en cause : sacrifiant l'éducation sur l'autel du budget, le Québec s'est retrouvé avec une panne dans la filière de formation des médecins. On fait venir à grands frais des médecins de toute la planète pour combler cette énorme lacune. Cette cohorte de médecins, hétérogène et non structurée, comportant des individus parfois assez spéciaux, est totalement incontrôlable. Des exilés incompétents s'y cachent, mais de toute façon le groupe ne fonctionne pas. Pour couronner le tout, les Québecois sont peu protégés socialement et abandonnent assez rapidement les soins lorsque le diagnostic tarde à venir ; les défauts du système médical lui-même ne peuvent donc pas être observés. Enfin, pour un étranger ou immigrant récent il est impossible d'avoir un médecin référent. A moins d'être riche il devra aller à l'hôpital ou aux cliniques sans rendez-vous, et ne verra donc jamais deux fois le même médecin.

C'est un pays de survivants, un filtre. C'est pourquoi il n'y a ici ni vieux ni malades.

Good luck !

c'est quoi ton domaine exactement?

tu n'as pas trouvé ni à Montréal, ni à Québec, ni dans aucunes villes du Québec?

une radiographie, tu peux en avoir une couvert par la RAMQ, le jour même, si tu vas au bon endroit!

ensuite, j'ai travaillé dans une clinique médicale et bisarrement, tous les jours, le médecin signait la feuille de médecin de famille à des immigrants.. fraichement débarqués.. alors que je connais des Québécois qui n'ont pas de médecin de famille.. donc encore une fois, suffit de chercher et ça se trouve!

on dirait qu'il faut tout vous offrir sur un plateau d'argent...

quand on cherche, on trouve. quand on trouve pas, on cherche plus loin..

Il est étudiant ingénieur, c'est écrit dans son profil... et il gagne des euros en plus. Très crédible donc, surtout pour un premier message.

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Je comprends ce qui est écrit ici.

C'est pour moi aussi un cauchemar, et j'espère pouvoir partir d'ici en vie, ce qui n'est pas garanti.

Je n'ai jamais trouvé de travail dans mon domaine ici, malgré mon expérience. J'ai dû opter pour un "job"

à la limite de mes capacités, pour 60-70 heures par semaine et 1300 euros par mois.

Ceci, après avoir rempli des centaines de pages de formulaire durant trois ans pour prouver que non,

je ne suis pas un ancien nazi et que j'ai le droit de vivre. Je suis juste un pauvre républicain (au sens

de Platon et Jaurès, bien sûr, pas au sens de Paris ou Washington ...).

Jusque là, rien d'anormal.

Quand on est reçu chez des gens, on se plie aux coutumes.

Mais à ce train là, je me suis épuisé et quelque chose s'est déréglé dans mon organisme.

Pas grave, me suis-je dit, je vais me faire soigner.

Sauf que ... on me traite pour la fatigue occasionnée par ma maladie, sans traiter la cause.

Et on (les médecins) me fait comprendre que je devrais partir.

En quelques mois ma situation a empiré. Ma maladie est toujours là, mais la fatigue me prive de ma capacité

à travailler. Quand je pense qu'en France j'aurais eu en moins d'une semaine une radio, un scanner ou un IRM !

Ici ils ne connaissent que le stéthoscope !

J'ai appelé le consulat pour mon retour éventuel. Tout est prévu (je cite) : "Faites vous héberger par une connaissance ou un membre de votre famille et inscrivez vous à Pôle Emploi". Donc en France ce serait sdf ...

Mais si je retrouve un travail là-bas je pourrai me faire soigner.

Le système Québecois est tout entier en cause : sacrifiant l'éducation sur l'autel du budget, le Québec s'est retrouvé avec une panne dans la filière de formation des médecins. On fait venir à grands frais des médecins de toute la planète pour combler cette énorme lacune. Cette cohorte de médecins, hétérogène et non structurée, comportant des individus parfois assez spéciaux, est totalement incontrôlable. Des exilés incompétents s'y cachent, mais de toute façon le groupe ne fonctionne pas. Pour couronner le tout, les Québecois sont peu protégés socialement et abandonnent assez rapidement les soins lorsque le diagnostic tarde à venir ; les défauts du système médical lui-même ne peuvent donc pas être observés. Enfin, pour un étranger ou immigrant récent il est impossible d'avoir un médecin référent. A moins d'être riche il devra aller à l'hôpital ou aux cliniques sans rendez-vous, et ne verra donc jamais deux fois le même médecin.

C'est un pays de survivants, un filtre. C'est pourquoi il n'y a ici ni vieux ni malades.

Good luck !

c'est quoi ton domaine exactement?

tu n'as pas trouvé ni à Montréal, ni à Québec, ni dans aucunes villes du Québec?

une radiographie, tu peux en avoir une couvert par la RAMQ, le jour même, si tu vas au bon endroit!

ensuite, j'ai travaillé dans une clinique médicale et bisarrement, tous les jours, le médecin signait la feuille de médecin de famille à des immigrants.. fraichement débarqués.. alors que je connais des Québécois qui n'ont pas de médecin de famille.. donc encore une fois, suffit de chercher et ça se trouve!

on dirait qu'il faut tout vous offrir sur un plateau d'argent...

quand on cherche, on trouve. quand on trouve pas, on cherche plus loin..

Il est étudiant ingénieur, c'est écrit dans son profil... et il gagne des euros en plus. Très crédible donc, surtout pour un premier message.

ingénieur en quoi?

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Automne : ils ont l'air intéressants tes toubibs ! Donne moi les adresses, j'irai les voir, j'en ai déjà vu une vingtaine. Et puis les radios sans prescriptions, c'est super, je ne connaissais pas ! La RAMQ : je n'y ai pas droit.

"Il suffit de chercher, on trouve !"

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