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L'immigration et l'aliénation


hichem14

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  • Habitués

bonjours a tous

les forumistes ( les immigrants ) discutent sur tous les choses sauf l'aliénation

parler mois un peux de l'aliénation surtout les premiers jours comment vous sent

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  • Habitués

Dis donc toi, tu sembles inspiré par les ondes négatives ces temps-ci.

Tu es en train de faire une dépression?

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  • Habitués

Il faudrait savoir ce que vous entendez par « aliénation » !!!

Devenir aliéné :biggrin2: :biggrin2: :biggrin2:

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  • Habitués

Dis donc toi, tu sembles inspiré par les ondes négatives ces temps-ci.

Tu es en train de faire une dépression?

Moi j'ai eu envie de l'interpréter autrement...

L'aliénation, c'est le fait d'être étranger aussi. Pas juste fou.

Et quand t'as jamais été l'étranger, me semble que ça fait de quoi...

Ou c'est le fait d'être seul, et ça aussi, si tu viens d'un endroit où tu avais plein de monde autour de toi, te démerder seul, ça fait de quoi.

Dans tous les cas, c'est pas forcément négatif. Moi j'ai appris plus vite en venant seule que si j'étais venue en couple comme prévu au départ... Parce que j'ai pas eu le choix de me démerder pour pas me noyer ;)

Mais ça c'est mon interprétation, je n,ai jamais lu l'uluberlu alors je sais pas trop son état d'esprit réel, bisbille ou bien?

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  • Habitués

Presque tous les immigrants que je connais (moi inclus) avons passé par des étapes assez dures de dépression.

Certains font la dépression au début, d'autres après quelques années d'exil, puis d'autres vers la fin de leurs vies.

Je me souviens toujours d'une Colombienne qui m'a dit :

Qui s'en tire mieux de l'immigration?

Celui qui n'a rien à perdre

Le reste, ceux qui avons perdu quelques choses, passons souvent par des étapes de deuil : du pays, de la famille, des amis, des traditions,

de la langue, de la profession, du statut social, le climat, la bouffe, etc.

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  • 2 weeks later...

C'est clair que ça dépend de tout à chacun et de son vécut. Ça dépends aussi ou tu atterrit au Québec. Dans une grande ville comme Montréal avec ses multitudes de communautés, il est plus facile de se fondre dans la masse et de retrouver des repères culturelles que dans un village du grand nord .

Personnellement j'ai pas encore eu n'a phase déprime ou du moins c'était pas pire qu'avant donc je pourrais pas trop m'avancer la dessus mais j'imagine que pour d'autres ça doit être très différent surtout si une fois sur place les choses n'avancent pas comme on l'aurait souhaite ou même pas du tout.

Mais bon effectivement tout dépends de ce qu'on a à perdre avant de partir.

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  • Habitués

Presque tous les immigrants que je connais (moi inclus) avons passé par des étapes assez dures de dépression.

Certains font la dépression au début, d'autres après quelques années d'exil, puis d'autres vers la fin de leurs vies.

Je me souviens toujours d'une Colombienne qui m'a dit :

Qui s'en tire mieux de l'immigration?

Celui qui n'a rien à perdre

Le reste, ceux qui avons perdu quelques choses, passons souvent par des étapes de deuil : du pays, de la famille, des amis, des traditions,

de la langue, de la profession, du statut social, le climat, la bouffe, etc.

C'est correct.

J'estime pour ma part n'avoir rien à perdre, et mieux encore ...

Je crois que s'il y avait le moindre doute, je ne serais pas venu.

Je ne suis ici que depuis un mois, et j'y ai sincèrement déjà trouvé ce que je cherchais.

Il faut savoir ce que vous voulez.

Cela peut être d'ordre matériel ou idéologique.

Je me sens bien car j'ai tranché, il y a bien longtemps...

Modifié par futurquébecois
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  • Habitués

Presque tous les immigrants que je connais (moi inclus) avons passé par des étapes assez dures de dépression.

Certains font la dépression au début, d'autres après quelques années d'exil, puis d'autres vers la fin de leurs vies.

Je me souviens toujours d'une Colombienne qui m'a dit :

Qui s'en tire mieux de l'immigration?

Celui qui n'a rien à perdre

Le reste, ceux qui avons perdu quelques choses, passons souvent par des étapes de deuil : du pays, de la famille, des amis, des traditions,

de la langue, de la profession, du statut social, le climat, la bouffe, etc.

C'est correct.

J'estime pour ma part n'avoir rien à perdre, et mieux encore ...

Je crois que s'il y avait le moindre doute, je ne serais pas venu.

Je ne suis ici que depuis un mois, et j'y ai sincèrement déjà trouvé ce que je cherchais.

Il faut savoir ce que vous voulez.

Cela peut être d'ordre matériel ou idéologique.

Je me sens bien car j'ai tranché, il y a bien longtemps...

bonjour Mr

est - ce que 3000 dollard est suffisante pour les 3 premiers mois

merçi

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  • Habitués

il

Presque tous les immigrants que je connais (moi inclus) avons passé par des étapes assez dures de dépression.

Certains font la dépression au début, d'autres après quelques années d'exil, puis d'autres vers la fin de leurs vies.

Je me souviens toujours d'une Colombienne qui m'a dit :

Qui s'en tire mieux de l'immigration?

Celui qui n'a rien à perdre

Le reste, ceux qui avons perdu quelques choses, passons souvent par des étapes de deuil : du pays, de la famille, des amis, des traditions,

de la langue, de la profession, du statut social, le climat, la bouffe, etc.

C'est correct.

J'estime pour ma part n'avoir rien à perdre, et mieux encore ...

Je crois que s'il y avait le moindre doute, je ne serais pas venu.

Je ne suis ici que depuis un mois, et j'y ai sincèrement déjà trouvé ce que je cherchais.

Il faut savoir ce que vous voulez.

Cela peut être d'ordre matériel ou idéologique.

Je me sens bien car j'ai tranché, il y a bien longtemps...

bonjour Mr

est - ce que 3000 dollard est suffisante pour les 3 premiers mois

merçi

il me semble que tu as déjà eu des dizaines de fois la réponse!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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  • Habitués

bonjour Mr

est - ce que 3000 dollard est suffisante pour les 3 premiers mois

Non, c'est pas assez, il faudrait que tu viennes encore avec ta petite maman, puisque de toute évidence, tu ne peux pas survivre tout seul hors de ses jupettes :fool:

Plus sérieusement les gars, avez-vous jamais vu des filles de chez vous venir pleurnicher ici et aligner niaiseries sur niaiseries comme vous le faites? Les dingo, glycine, bouclette, bogossa, et j'en oublie en masse, se débrouillent toutes comme des grandes qu'elles sont.

Come on les gars! Vous n'avez donc aucune fierté en vous? :whistlingb:

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  • Habitués

Presque tous les immigrants que je connais (moi inclus) avons passé par des étapes assez dures de dépression.

Certains font la dépression au début, d'autres après quelques années d'exil, puis d'autres vers la fin de leurs vies.

Je me souviens toujours d'une Colombienne qui m'a dit :

Qui s'en tire mieux de l'immigration?

Celui qui n'a rien à perdre

Le reste, ceux qui avons perdu quelques choses, passons souvent par des étapes de deuil : du pays, de la famille, des amis, des traditions,

de la langue, de la profession, du statut social, le climat, la bouffe, etc.

C'est correct.

J'estime pour ma part n'avoir rien à perdre, et mieux encore ...

Je crois que s'il y avait le moindre doute, je ne serais pas venu.

Je ne suis ici que depuis un mois, et j'y ai sincèrement déjà trouvé ce que je cherchais.

Il faut savoir ce que vous voulez.

Cela peut être d'ordre matériel ou idéologique.

Je me sens bien car j'ai tranché, il y a bien longtemps...

bonjour Mr

est - ce que 3000 dollard est suffisante pour les 3 premiers mois

merçi

oui à condition que tu commence à travailler tout de suite .

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  • 2 weeks later...
  • Habitués

L'immigration est un choix personnel a 95%, et sa réussite vient en grande partie de son état d'esprit.

Une immigration qui se veux réussit passe irrémédiablement par le souhait de s'intégrer complètement dans une société qui n'est pas la notre.

Quand je dis intégration je parles de façon de vivre, de se comporter, de se faire accepter.

Personnellement, j 'ai mis de coté, ma religion, ma grande gueule, et je me suis ouvert aux critiques, sans pour cela perdre mon identité.

Ne cherchons pas à recréer Ici ce que l'on avait la bas, ce serait une grave erreur.

Louis

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