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Produits Halal au Canada...


futurquébecois

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  • Habitués

Excusez ma question de athée : Ça veut dire quoi Hallal?

Cela veut dire "permis", "licite", dans l'islam. Le contraire est "haram".

Par exemple, battre sa femme est "halal", alors que se marier avec un infidèle est "haram".

Vois-tu ?

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Le haram goûte pareil, donc ne te casse pas la tête avec cette certification.

Si tu es pieux à ce point-là, je te le dis tout de suite: tu seras très malheureux au Canada.

Non Belgécois c pas le mm goût ,c'est pas moi que le dit c'est les Québecoise :spiteful:

Excusez ma question de athée : Ça veut dire quoi Hallal?

Pour que la viande soit halal :

il faut que l'animal soit égorgé vivant sans être préalablement étourdi,

il faut qu'il ait la tête tournée vers La Mecque pour qu'il se vide de son sang[2],

il faut qu'un musulman lui coupe la carotide et les jugulaires, tout en prononçant des paroles sacrées[2].

Le Coran et la sunna spécifient les aliments haram, tel le porc, ainsi que les conditions sous lesquelles certains aliments deviennent halal.

Excusez ma question de athée : Ça veut dire quoi Hallal?

Cela veut dire "permis", "licite", dans l'islam. Le contraire est "haram".

Par exemple, battre sa femme est "halal", alors que se marier avec un infidèle est "haram".

Vois-tu ?

C'est ça ,tu as tous compris . :whistlingb:

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La dhabiha (arabe: ذَبِيْحَة dhabīḥah) est la méthode d'abattage rituelle prescrite de tous les animaux, à l'exception des poissons et fruits de mer, par la loi islamique. Elle se pratique par une incision profonde et rapide avec un couteau effilé sur la gorge, de façon à couper les veines jugulaires et les artères carotides bilatéralement et rapidement, mais en laissant la moelle épinière, afin que les convulsions améliorent encore le drainage. Le but de cette technique est de drainer plus efficacement le sang du corps de l'animal, afin que la viande soit plus hygiénique. Les détails de la méthode proviennent largement de la tradition islamique, plutôt que du Coran. Toutefois, c'est du Coran que la prescription est tirée :

« Vous sont interdits la bête trouvée morte, le sang, la chair de porc, ce sur quoi on a invoqué un autre nom que celui de Dieu, la bête étouffée, la bête assommée ou morte d'une chute ou morte d'un coup de corne, et celle qu'une bête féroce a dévorée - sauf celle que vous égorgez avant qu'elle ne soit morte -. (Vous sont interdits aussi la bête) qu'on a immolée sur les pierres dressées, ainsi que de procéder au partage par tirage au sort au moyen de flèches. Car cela est perversité. Aujourd'hui, les mécréants désespèrent (de vous détourner) de votre religion : ne les craignez donc pas et craignez-Moi. » -- Sourate 5 (Al-Mâ'ida La table servie):3 (Traduction de Muhammad Hamidullah)

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Excusez ma question de athée : Ça veut dire quoi Hallal?

Cela veut dire "permis", "licite", dans l'islam. Le contraire est "haram".

Par exemple, battre sa femme est "halal", alors que se marier avec un infidèle est "haram".

Vois-tu ?

Arrête tes clichés stp ;)

Pour que la viande soit halal :

il faut que l'animal soit égorgé vivant sans être préalablement étourdi,

il faut qu'il ait la tête tournée vers La Mecque pour qu'il se vide de son sang[2],

il faut qu'un musulman lui coupe la carotide et les jugulaires, tout en prononçant des paroles sacrées[2].

Le Coran et la sunna spécifient les aliments haram, tel le porc, ainsi que les conditions sous lesquelles certains aliments deviennent halal.

Excusez ma question de athée : Ça veut dire quoi Hallal?

blink.gif Ça y est, je suis végétarien

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  • Habitués

Quand un acte commercial ( car il s'agit bien de ceci , l'aspect religieux est ici secondaire...) se déroule dans un pays , ce dernier a des règles qui régissent ces pratiques commerciales et est totalement responsable du respect ou non des normes.

Futurquébécois, un État laïque ne peut pas commencer à légiférer dans des domaines qui relèvent de la croyance strictement personnelle, et encore moins à dépenser des fonds publics pour contrôler ce genre de chose, à moins que la santé/salubrité/sécurité du public soient compromises. Sinon, ce serait ouvrir la porte à du grand n'importe quoi, surtout dans une société aussi plurielle que la nôtre.

Vous déplacez le débat... la laïcité n'a absolument rien à voir là dedans ! si par exemple, un fabricant s'amusait à inscrire que le produit alimentaire qu'il fabrique est, par exemple, light ou sans gluten, ou exempt d'arachides , et qu'il s'avérait que cela soit faux ( avec tous les risques qu'il ferait courir au consommateur, qui pourrait être diabétique ou éventuellement allergique à l'un des ingrédient s'il se trouvait dans la composition du produit ) , les services de répression des fraudes du département du commerce auront failli !!!! et il me semble que leur mandat n'est établi ni par l'église, ni par la mosquée... mais qu'ils sont bien sous la coupe de l'administration étatique qui par conséquent aura elle failli ! cela suffit - il ou est ce encore creux pour vous ?

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Quand un acte commercial ( car il s'agit bien de ceci , l'aspect religieux est ici secondaire...) se déroule dans un pays , ce dernier a des règles qui régissent ces pratiques commerciales et est totalement responsable du respect ou non des normes.

Futurquébécois, un État laïque ne peut pas commencer à légiférer dans des domaines qui relèvent de la croyance strictement personnelle, et encore moins à dépenser des fonds publics pour contrôler ce genre de chose, à moins que la santé/salubrité/sécurité du public soient compromises. Sinon, ce serait ouvrir la porte à du grand n'importe quoi, surtout dans une société aussi plurielle que la nôtre.

Vous déplacez le débat... la laïcité n'a absolument rien à voir là dedans ! si par exemple, un fabricant s'amusait à inscrire que le produit alimentaire qu'il fabrique est, par exemple, light ou sans gluten, ou exempt d'arachides , et qu'il s'avérait que cela soit faux ( avec tous les risques qu'il ferait courir au consommateur, qui pourrait être diabétique ou éventuellement allergique à l'un des ingrédient s'il se trouvait dans la composition du produit ) , les services de répression des fraudes du département du commerce auront failli !!!! et il me semble que leur mandat n'est établi ni par l'église, ni par la mosquée... mais qu'ils sont bien sous la coupe de l'administration étatique qui par conséquent aura elle failli ! cela suffit - il ou est ce encore creux pour vous ?

oui sauf que les critères Halal dépendent d'une croyance religieuse et non d'une question de santé publique.

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Quand un acte commercial ( car il s'agit bien de ceci , l'aspect religieux est ici secondaire...) se déroule dans un pays , ce dernier a des règles qui régissent ces pratiques commerciales et est totalement responsable du respect ou non des normes.

Futurquébécois, un État laïque ne peut pas commencer à légiférer dans des domaines qui relèvent de la croyance strictement personnelle, et encore moins à dépenser des fonds publics pour contrôler ce genre de chose, à moins que la santé/salubrité/sécurité du public soient compromises. Sinon, ce serait ouvrir la porte à du grand n'importe quoi, surtout dans une société aussi plurielle que la nôtre.

Vous déplacez le débat... la laïcité n'a absolument rien à voir là dedans ! si par exemple, un fabricant s'amusait à inscrire que le produit alimentaire qu'il fabrique est, par exemple, light ou sans gluten, ou exempt d'arachides , et qu'il s'avérait que cela soit faux ( avec tous les risques qu'il ferait courir au consommateur, qui pourrait être diabétique ou éventuellement allergique à l'un des ingrédient s'il se trouvait dans la composition du produit ) , les services de répression des fraudes du département du commerce auront failli !!!! et il me semble que leur mandat n'est établi ni par l'église, ni par la mosquée... mais qu'ils sont bien sous la coupe de l'administration étatique qui par conséquent aura elle failli ! cela suffit - il ou est ce encore creux pour vous ?

Justement, dans les exemples que tu donnes, il y a un risque pour la santé, donc il est normal que le gouvernement mette son nez là-dedans. Dans le cas de nourriture qui n'est pas hallal, il n'y absolument aucun risque. Ce ne sont que des superstitions n'ayant aucun fondement scientifique.

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  • Habitués

Quand un acte commercial ( car il s'agit bien de ceci , l'aspect religieux est ici secondaire...) se déroule dans un pays , ce dernier a des règles qui régissent ces pratiques commerciales et est totalement responsable du respect ou non des normes.

Futurquébécois, un État laïque ne peut pas commencer à légiférer dans des domaines qui relèvent de la croyance strictement personnelle, et encore moins à dépenser des fonds publics pour contrôler ce genre de chose, à moins que la santé/salubrité/sécurité du public soient compromises. Sinon, ce serait ouvrir la porte à du grand n'importe quoi, surtout dans une société aussi plurielle que la nôtre.

Vous déplacez le débat... la laïcité n'a absolument rien à voir là dedans ! si par exemple, un fabricant s'amusait à inscrire que le produit alimentaire qu'il fabrique est, par exemple, light ou sans gluten, ou exempt d'arachides , et qu'il s'avérait que cela soit faux ( avec tous les risques qu'il ferait courir au consommateur, qui pourrait être diabétique ou éventuellement allergique à l'un des ingrédient s'il se trouvait dans la composition du produit ) , les services de répression des fraudes du département du commerce auront failli !!!! et il me semble que leur mandat n'est établi ni par l'église, ni par la mosquée... mais qu'ils sont bien sous la coupe de l'administration étatique qui par conséquent aura elle failli ! cela suffit - il ou est ce encore creux pour vous ?

Justement, dans les exemples que tu donnes, il y a un risque pour la santé, donc il est normal que le gouvernement mette son nez là-dedans. Dans le cas de nourriture qui n'est pas hallal, il n'y absolument aucun risque. Ce ne sont que des superstitions n'ayant aucun fondement scientifique.

écoutez, je n'allais pas non plus établir une liste exhaustive de tous les produits devant être contrôlés par des organisme étatiques...

Je pourrais, pour que vous ne focalisiez pas que sur les produits alimentaires, vous citez des marques, des modèles, des logiciels, des vêtements,... qui pourraient être commercialisés et être non conformes, sans pour autant porter atteinte à la santé du consommateur...

Des organismes d'état ( et je répète que ce n'est ni l'église, ni la mosquée... ) ont pour mission de contrôler l'origine, l'authenticité des mentions apposées, le respect des droits d'auteur,... car se retrouvant sur le marché, et doivent sévir en cas de vice de forme ! tout comme les produits alimentaires et les produits halal dont nous parlons ici, ne peuvent échapper aux règles commerciales car , acheter et vendre, c'est un acte commercial et non religieux.

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  • Habitués

tout comme les produits alimentaires et les produits halal dont nous parlons ici, ne peuvent échapper aux règles commerciales car , acheter et vendre, c'est un acte commercial et non religieux.

Sauf que dans le cas des produits halal on parle de conformité à des préceptes religieux...et l'État n'a pas à se mêler de préceptes religieux !

Faut-il leur demander aussi de vérifier si les "médailles miraculeuses" le sont réellement ? Si l'eau bénite l'est bel et bien ? On n'en finirait plus...

Modifié par bencoudonc
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  • Habitués

Quand un acte commercial ( car il s'agit bien de ceci , l'aspect religieux est ici secondaire...) se déroule dans un pays , ce dernier a des règles qui régissent ces pratiques commerciales et est totalement responsable du respect ou non des normes.

Futurquébécois, un État laïque ne peut pas commencer à légiférer dans des domaines qui relèvent de la croyance strictement personnelle, et encore moins à dépenser des fonds publics pour contrôler ce genre de chose, à moins que la santé/salubrité/sécurité du public soient compromises. Sinon, ce serait ouvrir la porte à du grand n'importe quoi, surtout dans une société aussi plurielle que la nôtre.

Vous déplacez le débat... la laïcité n'a absolument rien à voir là dedans ! si par exemple, un fabricant s'amusait à inscrire que le produit alimentaire qu'il fabrique est, par exemple, light ou sans gluten, ou exempt d'arachides , et qu'il s'avérait que cela soit faux ( avec tous les risques qu'il ferait courir au consommateur, qui pourrait être diabétique ou éventuellement allergique à l'un des ingrédient s'il se trouvait dans la composition du produit ) , les services de répression des fraudes du département du commerce auront failli !!!! et il me semble que leur mandat n'est établi ni par l'église, ni par la mosquée... mais qu'ils sont bien sous la coupe de l'administration étatique qui par conséquent aura elle failli ! cela suffit - il ou est ce encore creux pour vous ?

oui sauf que les critères Halal dépendent d'une croyance religieuse et non d'une question de santé publique.

Oui, tout à fait d'accord.

Sauf qu'entrant dans le domaine commercial, vous n'êtes pas sans savoir que ce dernier est fortement réglementé et que l'apposition d'une mention telle Halal ( ou autre... ) , sur un emballage quelconque, est soumise à dépôt de dossier et vérifications régulières de conformité ( allant jusqu'au prélèvement d'échantillons réguliers aux fins d'analyses ) .

Et qui s'en charge ? les organismes étatiques, qui peuvent certes mandater des opérateurs, mais la mission de contrôle leur est, et à eux seuls, dévolue.

Modifié par futurquébecois
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  • Habitués

Il y a des lois en matière d'abattage d'animaux, qui sont faites, notamment, pour empêcher la barbarie. Personnellement, je ne sortirais, sous aucun prétexte, de ces pratiques édictées par nos lois.

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Quand un acte commercial ( car il s'agit bien de ceci , l'aspect religieux est ici secondaire...) se déroule dans un pays , ce dernier a des règles qui régissent ces pratiques commerciales et est totalement responsable du respect ou non des normes.

Futurquébécois, un État laïque ne peut pas commencer à légiférer dans des domaines qui relèvent de la croyance strictement personnelle, et encore moins à dépenser des fonds publics pour contrôler ce genre de chose, à moins que la santé/salubrité/sécurité du public soient compromises. Sinon, ce serait ouvrir la porte à du grand n'importe quoi, surtout dans une société aussi plurielle que la nôtre.

Vous déplacez le débat... la laïcité n'a absolument rien à voir là dedans ! si par exemple, un fabricant s'amusait à inscrire que le produit alimentaire qu'il fabrique est, par exemple, light ou sans gluten, ou exempt d'arachides , et qu'il s'avérait que cela soit faux ( avec tous les risques qu'il ferait courir au consommateur, qui pourrait être diabétique ou éventuellement allergique à l'un des ingrédient s'il se trouvait dans la composition du produit ) , les services de répression des fraudes du département du commerce auront failli !!!! et il me semble que leur mandat n'est établi ni par l'église, ni par la mosquée... mais qu'ils sont bien sous la coupe de l'administration étatique qui par conséquent aura elle failli ! cela suffit - il ou est ce encore creux pour vous ?

oui sauf que les critères Halal dépendent d'une croyance religieuse et non d'une question de santé publique.

Oui, tout à fait d'accord.

Sauf qu'entrant dans le domaine commercial, vous n'êtes pas sans savoir que ce dernier est fortement réglementé et que l'apposition d'une mention telle Halal ( ou autre... ) , sur un emballage quelconque, est soumise à dépôt de dossier et vérifications régulières de conformité ( allant jusqu'au prélèvement d'échantillons réguliers aux fins d'analyses ) .

Et qui s'en charge ? les organismes étatiques, qui peuvent certes mandater des opérateurs, mais la mission de contrôle leur est, et à eux seuls, dévolue.

Hum, je crois que tu vas te prendre une grosse débarque en arrivant au Québec avec ces idées. Pour être clair, l'état et la majorité des citoyens (dont moi) se fichent de savoir si un produit est vraiment Halal, même si c'est marqué sur l'étiquette et que c'est faux. Ça m'arrive d'en acheter, et tu ne peux pas t'imaginer à quel point je me fiche de savoir si c'est vrai ou pas.

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Quand un acte commercial ( car il s'agit bien de ceci , l'aspect religieux est ici secondaire...) se déroule dans un pays , ce dernier a des règles qui régissent ces pratiques commerciales et est totalement responsable du respect ou non des normes.

Futurquébécois, un État laïque ne peut pas commencer à légiférer dans des domaines qui relèvent de la croyance strictement personnelle, et encore moins à dépenser des fonds publics pour contrôler ce genre de chose, à moins que la santé/salubrité/sécurité du public soient compromises. Sinon, ce serait ouvrir la porte à du grand n'importe quoi, surtout dans une société aussi plurielle que la nôtre.

Vous déplacez le débat... la laïcité n'a absolument rien à voir là dedans ! si par exemple, un fabricant s'amusait à inscrire que le produit alimentaire qu'il fabrique est, par exemple, light ou sans gluten, ou exempt d'arachides , et qu'il s'avérait que cela soit faux ( avec tous les risques qu'il ferait courir au consommateur, qui pourrait être diabétique ou éventuellement allergique à l'un des ingrédient s'il se trouvait dans la composition du produit ) , les services de répression des fraudes du département du commerce auront failli !!!! et il me semble que leur mandat n'est établi ni par l'église, ni par la mosquée... mais qu'ils sont bien sous la coupe de l'administration étatique qui par conséquent aura elle failli ! cela suffit - il ou est ce encore creux pour vous ?

oui sauf que les critères Halal dépendent d'une croyance religieuse et non d'une question de santé publique.

Oui, tout à fait d'accord.

Sauf qu'entrant dans le domaine commercial, vous n'êtes pas sans savoir que ce dernier est fortement réglementé et que l'apposition d'une mention telle Halal ( ou autre... ) , sur un emballage quelconque, est soumise à dépôt de dossier et vérifications régulières de conformité ( allant jusqu'au prélèvement d'échantillons réguliers aux fins d'analyses ) .

Et qui s'en charge ? les organismes étatiques, qui peuvent certes mandater des opérateurs, mais la mission de contrôle leur est, et à eux seuls, dévolue.

Hum, je crois que tu vas te prendre une grosse débarque en arrivant au Québec avec ces idées. Pour être clair, l'état et la majorité des citoyens (dont moi) se fichent de savoir si un produit est vraiment Halal, même si c'est marqué sur l'étiquette et que c'est faux. Ça m'arrive d'en acheter, et tu ne peux pas t'imaginer à quel point je me fiche de savoir si c'est vrai ou pas.

Même pas par respect aux gens pour qui cela pourrait avoir de l'importance ?

Occultant les produits Halal, je déposerais personnellement, par principe, plainte si une indication, sur un produit quelconque, s'avérait être fausse !!!

Je ne m'en foutrais pas du tout , ce serait de la tromperie et je la dénoncerais car la tromperie doit être , à mon sens, sanctionnée.

Modifié par futurquébecois
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  • Habitués

C'est bien, les questions de principe.

Moi, je ne bouffe jamais halal, par principe... Sauf là où c'est normal que ce soit halal.

Je respecte tes principes et ceux des autres , par principe aussi.

Modifié par futurquébecois
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Même pas par respect aux gens pour qui cela pourrait avoir de l'importance ?

Occultant les produits Halal, je déposerais personnellement, par principe, plainte si une indication, sur un produit quelconque, s'avérait être fausse !!!

Je ne m'en foutrais pas du tout , ce serait de la tromperie et je la dénoncerais car la tromperie doit être , à mon sens, sanctionnée.

Écoute, faut que tu sois logique, je comprend tes convictions mais il y a 2 raisons principales pour lesquelles ta demande n'aboutira pas, ou devrais-je dire, ne commencera même pas :

1. Il s'agit d'une croyance religieuse, impossible donc à prouver (l'animal était-il vraiment en direction de la Mèque ??).

2. L'état n'utilisera pas de fonds publics pour faire ce genre de démarches

N'immigre pas au Québec si tu ne comprend pas le fondement même de ce principe.

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Sauf qu'entrant dans le domaine commercial, vous n'êtes pas sans savoir que ce dernier est fortement réglementé et que l'apposition d'une mention telle Halal ( ou autre... ) , sur un emballage quelconque, est soumise à dépôt de dossier et vérifications régulières de conformité ( allant jusqu'au prélèvement d'échantillons réguliers aux fins d'analyses ) .

Et qui s'en charge ? les organismes étatiques, qui peuvent certes mandater des opérateurs, mais la mission de contrôle leur est, et à eux seuls, dévolue.

Non, ce ne sont pas des services étatiques qui s'en chargent mais bien des "cellules" communautaires. La raison, tout simplement parce que ce n'est pas un service pour la communauté (= la nation) mais pour une seule partie de cette dernière, comme cela pourrait être le cas pour des services de santé publique par exemple.

En tout cas, c'est ainsi que cela se passe pour la communauté juive tant en France (via le Beth Din) ou à Montréal (via le MK). Ils se sont organisés comme des grands sans compter sur les pouvoirs public puisque ne vivant pas dans un état juif.

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Oui, tout à fait d'accord.

Sauf qu'entrant dans le domaine commercial, vous n'êtes pas sans savoir que ce dernier est fortement réglementé et que l'apposition d'une mention telle Halal ( ou autre... ) , sur un emballage quelconque, est soumise à dépôt de dossier et vérifications régulières de conformité ( allant jusqu'au prélèvement d'échantillons réguliers aux fins d'analyses ) .

Et qui s'en charge ? les organismes étatiques, qui peuvent certes mandater des opérateurs, mais la mission de contrôle leur est, et à eux seuls, dévolue.

Dans la mesure où "Halal" signifie "licite", cette notion est très subjective et ne peut par conséquent pas être soumis à un contrôle rigoureux par l'état. Ce qui est licite dépend des croyances et superstitions de chacun. L'état n'a pas à encourager ce genre de superstitions et n'a comme rôle qu'à s'assurer que les principes scientifiquement reconnus, c'est-à-dire les normes en matière de santé et d'hygiène, soient respectées. Pour le reste, puisque chacun a sa propre définition de ce qui est licite ou non, l'état ne peut simplement pas privilégier la notion d'un groupe religieux et non celle des autres. L'Islam n'est qu'une religion parmi des milliers d'autres n'a absolument aucune supériorité morale ou légale sur les autres.

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Même pas par respect aux gens pour qui cela pourrait avoir de l'importance ?

Occultant les produits Halal, je déposerais personnellement, par principe, plainte si une indication, sur un produit quelconque, s'avérait être fausse !!!

Je ne m'en foutrais pas du tout , ce serait de la tromperie et je la dénoncerais car la tromperie doit être , à mon sens, sanctionnée.

Écoute, faut que tu sois logique, je comprend tes convictions mais il y a 2 raisons principales pour lesquelles ta demande n'aboutira pas, ou devrais-je dire, ne commencera même pas :

1. Il s'agit d'une croyance religieuse, impossible donc à prouver (l'animal était-il vraiment en direction de la Mèque ??).

2. L'état n'utilisera pas de fonds publics pour faire ce genre de démarches

N'immigre pas au Québec si tu ne comprend pas le fondement même de ce principe.

Avec tout le respect que je dois à mes interlocuteurs,, je dirais que, dans une affaire aussi personnelle, personne d'autre que moi n'est en mesure de juger si je dois ou pas immigrer ; cela ne tient pas un un point aussi basique, relatif à la panse ; tous les aspects ont étés soigneusement passés en revue, sous toutes les coutures, jusqu'à même l'idée d'un mariage mixte pour mes enfants ( ... ) alors, je ne vous dis pas... . Immigrer ne se décide pas sur un coup de tête, y renoncer surtout pas sur des caprices du ventre... pour ma part, je deviendrai végétarien s'il le faut, pas de soucis !

Juste que : Problème du label Halal : la loi doit être respectée et les organismes accrédités chargés du contrôle de ce label doivent faire ce pour quoi ils ont étés crées . Les citoyens concernés par ce volet leurs font confiance.

N.B. : l'état doit faire ce genre de démarches...

je cite :

4.1 Agence canadienne d'inspection des aliments

L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) a pour mandat d'appliquer les normes de qualité et de sécurité les plus strictes pour garantir la salubrité de l'approvisionnement alimentaire. L'ACIA, qui compte quatre secteurs opérationnels, 18 bureaux régionaux et 151 bureaux locaux, doit voir à faire respecter les normes établies par Santé Canada pour assurer la salubrité et la qualité nutritive des aliments, établir et appliquer des normes en matière de santé animale et de protection des végétaux, et procéder à des inspections.

in :

http://www.ats.agr.gc.ca/ase/4282-fra.htm

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