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Les Nouveaux arrivants et le Sous-emploi


palmeto

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  • Habitués

LES NOUVEAUX ARRIVANTS DOIVENT COMPOSER AVEC LE SOUS-EMPLOI

TORONTO, le 27 juin 2011 /CNW/ - Près de la moitié (49 %) des nouveaux arrivants établis au Canada depuis un an ou moins s'estiment sous-employés, selon un récent sondage RBC. Même après six à dix ans au Canada, le tiers (32 %) des nouveaux arrivants estiment toujours que leur emploi actuel exige un niveau de compétence moins élevé que l'emploi qu'ils occupaient ou auraient occupé dans leur pays d'origine.

Selon le sondage, pour la majorité (52 %) des nouveaux arrivants, la réussite se définit en fonction de la carrière, c'est-à-dire un emploi bien rémunéré dans son domaine de compétence. En outre, les hommes (43 %), beaucoup plus que les femmes (28 %), estiment qu'ils occupent actuellement un emploi de niveau moins élevé que celui qu'ils occupaient ou auraient occupé dans leur pays d'origine.

« Une fois certains défis professionnels surmontés, les nouveaux arrivants apportent une remarquable contribution à la productivité et à la diversité du pays, a déclaré Camon Mak, directeur général, Marchés multiculturels, RBC. Le Canada se construit grâce à l'immigration ; les compétences et les ressources qu'apportent les nouveaux arrivants demeurent l'un des éléments moteurs de la réussite du pays à l'échelle mondiale. Voilà pourquoi il est important que nous aidions les nouveaux arrivants à s'établir rapidement, sur les plans personnel et professionnel. RBC est là pour leur offrir des conseils financiers pertinents qui contribueront à leur réussite. »

Malgré l'importance accordée à l'obtention de l'emploi rêvé, seulement 42 % des immigrants ont indiqué qu'ils avaient cherché de l'information sur les possibilités de carrière au Canada avant d'émigrer. Vingt-neuf pour cent ont tenté de déterminer s'il existait des débouchés correspondant à leur expérience professionnelle, et 24 % se sont renseignés sur le besoin éventuel de passer des examens de certification afin de satisfaire aux normes canadiennes. Cependant, bien qu'ils n'occupent pas encore leur emploi rêvé, seulement 12 % des répondants se sentent coincés dans un emploi qui ne mènera pas nécessairement à l'emploi souhaité.

Les répondants offrent les conseils suivants en matière d'emploi :

Soyez prêt à occuper un emploi intermédiaire en attendant l'emploi souhaité.

Déterminez s'il faudra procéder à une mise à niveau des compétences ou passer des examens de certification afin de satisfaire aux normes canadiennes.

Renseignez-vous au sujet des débouchés correspondant à votre niveau de compétence.

M. Mak offre les trois conseils suivants pour aider les nouveaux arrivants à prospérer au Canada :

1.Faites des recherches - Déterminez à l'avance ce dont vous aurez besoin. RBC offre aux nouveaux arrivants des conseils et des outils, notamment des conseils sur la rédaction d'un curriculum vitæ et la recherche d'emploi, qui les aideront à s'établir au Canada. Vous pourriez ainsi décrocher un bon emploi dans votre domaine, plutôt qu'avoir à vous contenter d'un emploi dans un autre domaine.

2.Recherchez les occasions d'apprentissage - De nombreux séminaires à l'intention des nouveaux arrivants sont offerts, tels que 7 Success Secrets for Canadian Immigrants (www.prepareforcanada.com). Ce sont d'excellentes occasions d'obtenir de précieux conseils, d'établir des liens et de rencontrer d'autres nouveaux arrivants.

3.Établissez un budget et faites le suivi de vos dépenses - Tirez parti d'outils bancaires en ligne pour établir votre budget et pour gérer vos dépenses mensuelles à votre arrivée au Canada. Par exemple, l'outil maGestionFinancière de RBC (www.rbcbanqueroyale.com/magestionfinanciere) classe automatiquement les opérations, permet de faire le suivi des dépenses et offre des possibilités d'établissement de budget complexe en ce qui a trait aux opérations bancaires personnelles et aux comptes de cartes de crédit.

Sondage sur les nouveaux arrivants au Canada - En bref :

Éléments de la réussite - Pour la majorité (52 %) des nouveaux arrivants, la réussite se définit surtout en fonction de la carrière ; toutefois, pour ceux qui sont établis au pays depuis plus longtemps (de six à dix ans), la famille (47 %) et la santé (30 %) sont plus importants que la carrière.

Emploi - Moins du tiers (31 %) des répondants occupent un emploi dans leur domaine, et plus du tiers (36 %) occupent un emploi de niveau moins élevé que celui qu'ils occupaient ou auraient occupé dans leur pays d'origine.

Carrière - Plus du tiers (39 %) des répondants affirment que leur manque d'expérience sur le marché du travail canadien a eu une incidence sur leurs possibilités de carrière au Canada. Parmi les autres facteurs ayant eu une incidence sur leurs possibilités de carrière, ils ont cité le manque de débouchés dans leur domaine (30 %) et les obstacles sur le plan des compétences linguistiques (28 %). Dans l'éventualité où ils pourraient ne pas trouver d'emploi dans leur domaine, la vaste majorité des répondants ont affirmé qu'ils songeraient à retourner aux études (82 %), à revoir leurs objectifs (75 %) ou à démarrer une entreprise (73 %).

http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/June2011/27/c9138.html

Modifié par palmeto
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  • Habitués

une experience canadienne, est un grand obstacle pour les newcommers.

je ne sais pas pour quelle raison?

tous le monde avait eu son experience , je ne sais pas comment !

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  • Habitués

une experience canadienne, est un grand obstacle pour les newcommers.

C'est quoi les "newcommers" ?

Mmm je dirais les "nouveaux arrivants" , non?

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  • Habitués

une experience canadienne, est un grand obstacle pour les newcommers.

C'est quoi les "newcommers" ?

Mmm je dirais les "nouveaux arrivants" , non?

Exact, mais cela s'écrit avec un "m" seulement: Newcomers. On voit aussi "newcombers".

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  • Habitués

une experience canadienne, est un grand obstacle pour les newcommers.

C'est quoi les "newcommers" ?

Mmm je dirais les "nouveaux arrivants" , non?

Exact, mais cela s'écrit avec un "m" seulement: Newcomers. On voit aussi "newcombers".

Ben voilà. C'est pas plus simple de le dire tout naturellement en français? :rolleyes:

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  • Habitués

une experience canadienne, est un grand obstacle pour les newcommers.

C'est quoi les "newcommers" ?

Mmm je dirais les "nouveaux arrivants" , non?

effectivement c est le bon sens.

Modifié par devdel
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  • Habitués

une experience canadienne, est un grand obstacle pour les newcommers.

C'est quoi les "newcommers" ?

je sais que tu sais bien ce que ça veut dire.

tu veux passer le temps ? tu te moque de moi ?

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  • Habitués

une experience canadienne, est un grand obstacle pour les newcommers.

C'est quoi les "newcommers" ?

Mmm je dirais les "nouveaux arrivants" , non?

Exact, mais cela s'écrit avec un "m" seulement: Newcomers. On voit aussi "newcombers".

je me trempe souvent devant les deux voyelle

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une experience canadienne, est un grand obstacle pour les newcommers.

C'est quoi les "newcommers" ?

Mmm je dirais les "nouveaux arrivants" , non?

Exact, mais cela s'écrit avec un "m" seulement: Newcomers. On voit aussi "newcombers".

je me trempe souvent devant les deux voyelle

Bonjour!

C'est drôle que vous vous éloignez du sujet, du probleme posé.

Continuer vos cours de grammaire ou d'orthographe.

On est ici pour repondre aux problemes, se donner la main et non pour se tirer les pâttes.

Soyons concentrés sur les sujets et les problemes posés s'il vous plait.

Vous ne pouvez pas savoir comment ce forum sauve des milliers de membres tout simplement via vos soutiens et vos reponses pertinentes.

Merci

Modifié par risto
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  • Habitués

une experience canadienne, est un grand obstacle pour les newcommers.

C'est quoi les "newcommers" ?

Mmm je dirais les "nouveaux arrivants" , non?

Exact, mais cela s'écrit avec un "m" seulement: Newcomers. On voit aussi "newcombers".

je me trempe souvent devant les deux voyelle

Bonjour!

C'est drôle que vous vous éloignez du sujet, du probleme posé.

Continuer vos cours de grammaire ou d'orthographe.

On est ici pour repondre aux problemes, se donner la main et non pour se tirer les pâttes.

Soyons concentrés sur les sujets et les problemes posés s'il vous plait.

Vous ne pouvez pas savoir comment ce forum sauve des milliers de membres tout simplement via vos soutiens et vos reponses pertinentes.

Merci

tu aurais du faire la remarque à cherrybee qui a détourné mon message.

cependant, je vois pas du mal pour ceux qui veulent faire corriger les autres.

mais pour quoi tu parle pas sur ceux qui detournent les sujets pour insulter les autres et faire montrer leur haine envers les autres .

il y en a beaucoup dans ce forum. vas y .

Modifié par devdel
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Intéressant...

Pas facile d'immigrer, mieux vaut le savoir avant d'arriver.

Belgécois,

Ce que je trouve pas normal, c'est le fait que le Canada est un pays ouvert à l'immigration, mais sur le plan du travail cela ne se reflète pas. Il est normal une telle situation dans un pays qui ne veut pas d'immigration.

A moins que ce soit un système pour garder les salaires bas de faire venir de l'immigration.

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  • Habitués

La situation est, à mes yeux, <_<

Encore ici des immigrants qui racontent son parcours, son combat.

Un parcours de combattante

Nous avons construit ce rêve selon les exigences de l'immigration. Nous avons été choisies sur la base de notre niveau d'études, de notre profession et de notre connaissance du français.

Nous sommes des intellectuelles, nous travaillions, et pour beaucoup, nous parlons français. Nous avons obtenu les points nécessaires; on nous a assuré que le Canada avait besoin de nous. Ça tombait bien, nous avions aussi besoin du Canada. De sa qualité de vie et de sa tolérance. Nous nous sommes donc lancées dans la grande aventure de l'immigration.

Après trois ans d'attente, partagées entre l'appréhension et l'enthousiasme à la perspective des grands espaces canadiens, nous avons reçu notre billet d'entrée au paradis. Nous avons vite appris que ce n'était pas une simple balade qui commençait, mais un parcours de combattante.

D'abord, nous avons assisté à la séance d'information du ministère de l'Immigration, puis nous avons été référées au centre local d'emploi qui nous a envoyées au bureau des équivalences. Trois mois plus tard, nous avons reçu une lettre nous informant que notre diplôme avait perdu une partie de ses crédits en touchant le sol québécois.

Mais, ne nous décourageant pas, nous avons décidé de retourner à l'école, afin de retrouver les crédits perdus. Lors de notre inscription à l'université, nous avons appris qu'il était probable que ce retour aux études prenne plus d'un an et que l'équivalence émise précédemment ne serait pas reconnue. Celles qui en avaient le courage et les moyens ont repris les études et obtenu leur diplôme.

Mais une fois sur le marché du travail, surprise! Quelle est la question la plus fréquente? «Avez-vous de l'expérience pertinente?» Bien sûr! J'ai travaillé plus de 10 ans dans ce domaine dans mon pays d'origine, répondons-nous, naïves. Non! Ces années de notre vie n'existent plus; rayées, oubliées, balayées! L'expérience pertinente, c'est l'expérience canadienne, seulement celle-ci.

Nous comprenons l'importance d'acquérir de l'expérience dans la société d'accueil, mais alors pourquoi nous choisir sur la base de notre profession? Pourquoi nous faire croire que nous constituons un atout? Pourquoi ne pas nous offrir la possibilité d'acquérir cette expérience?

Nous nous sommes donc résignées à chercher un emploi qui ne correspond pas à nos compétences. En plus de la nécessité d'être bilingues, nous nous heurtons aux craintes de certains employeurs qui appréhendent les différences culturelles. En attendant, nous voulons vivre la tête haute et ne pas être à la charge de la société.

De guerre lasse, nous avons demandé l'assistance-emploi. Nous, avocates, professeures, médecins, découragées, seules, à la maison, reléguées aux travaux ménagers, bénévoles dans le meilleur des cas, nous avons l'impression d'avoir perdu une partie de notre identité; nous vivons une perte d'estime et de l'angoisse vis-à-vis de l'avenir, nous nous sentons inutiles et à la charge de la société québécoise.

Et pourtant! Il y aurait peu à faire pour améliorer les choses: informer les candidats des difficultés reliées aux équivalences. Pourquoi ne pas faire les équivalences chez nous? Nous passerions les examens nécessaires à la reconnaissance de notre diplôme dans notre pays. Cela nous épargnerait argent et angoisse, et permettrait au gouvernement de jouir de nos compétences, plutôt que de nous verser des prestations.

Nous pourrions aussi améliorer notre anglais si nous connaissions son importance pour le marché du travail québécois. Ensuite, arrivées il pourrait y avoir, au moins pour celles qui ont obtenu une équivalence, des stages offerts.

Modifié par palmeto
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  • Habitués

Bonjour,

Effectivement, on a discuté ce problème à plusieurs reprises.

Il y a plein de contradictions entre :

1. Les critères d'immigration du gouvernement

2. Le marché de travail canadien

3. Les ordres et les collèges professionnels

Il semblerait qu'ils vivent tous sur des planètes différentes!

À mon avis, je pense que le Canada devrait imiter l'Australie dans le sens que l'immigrant doit faire toutes

ses démarches auprès des collèges professionnels australiens AVANT de commencer la paperasse migratoire.

Au moins, c'était le cas en 2002 quand j'hésitais entre l'Australie et le Canada.

Dans le temps, il fallait que je fasse toutes mes traductions, que je passe tous les examens de l'ordre des

ingénieurs australiens à Melbourne, et que j'approuve un examen de langue anglaise AVANT d'envoyer le

premier formulaire à l'ambassade australienne à Buenos Aires.

Évidemment, ce cheminement prend plus de temps mais, une fois accompli, on est sûr et certain que la paperasse

ne sera pas un obstacle dans le nouveau pays (il y en aura d'autres sûrement).

Pour ce qui est «l'expérience canadienne», je peux te garantir que les immigrants en Argentine passent par

le même problème. Leur expérience en Bolivie, au Liban ou en Ukraine ne sert à rien puis doivent repartir à zéro.

Si un Français décide d'immigrer en Corée du Sud, ou un Canadien s'en va en Russie il aura le même problème.

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  • Habitués

Ca fait bien de nous avertir. A la lecture de ces posts on croirait que ca ne doit pas etre aisé. Dites moi si sur ce forum il n'y a pas d'exemple d'integration reussie. tout semble si sombre...:angry2:

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  • Habitués

une experience canadienne, est un grand obstacle pour les newcommers.

C'est quoi les "newcommers" ?

je sais que tu sais bien ce que ça veut dire.

tu veux passer le temps ? tu te moque de moi ?

C'est simplement que ce site est en français. Qu'on te demande d'écrire en français. Que tu sais parfaitement ce dont on parle puisque c'est mentionné dans le titre, et, outre que c'est un peu gonflant de lire ce genre de mélanges, je trouve un peu ridicule de faire ce genre d'exercice de style, juste pour se la péter.

@ Risto, le maintien de la langue française est un travail de tous les instants au Québec. C'est important pour nous.

Modifié par Cherrybee
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  • Habitués

:mellow: palmeto, c'est correct de faire des copier/coller mais ça serait une bonne idée que tu ais le courage d'émettre une opinion sur les fils de discussion que tu crées... :whistlingb:

Pour ce qui est du sous-emploi des nouveaux arrivants, c'est partout pareil à travers le monde et les ordres professions créent effectivement des difficultés pour les nouveaux arrivants, ce qui explique en bonne partie le sous-emploi de plusieurs nouveaux arrivants.

Modifié par Peaceman
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  • Habitués

Ca fait bien de nous avertir. A la lecture de ces posts on croirait que ca ne doit pas etre aisé. Dites moi si sur ce forum il n'y a pas d'exemple d'integration reussie. tout semble si sombre...:angry2:

Bonjour Larry,

1.Immigrer n'est jamais facile, peu importe le pays que tu vas choisir.

2.C'est quoi une «immigration réussie» pour toi? Chacun de nous a une vision différente du bonheur

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  • Habitués

argentino2003

À mon avis, je pense que le Canada devrait imiter l'Australie dans le sens que l'immigrant doit faire toutes

ses démarches auprès des collèges professionnels australiens AVANT de commencer la paperasse migratoire.

+1 :thumbsup: Effectivement ce serait une très bonne idée, le Canada devrait imiter l'Australie sur ce point.

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