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Trouver un travail à partir du pays d'origine


optik

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  • Habitués

Bonsoir à tous

Beaucoup vont trouver cette question un peu bete, mais je m'interroge vraiment sur les chances de trouver du travail à partir de son pays d'origine, que ca soit pour un travail temporaire ou bien pour accelerer le processus d'immigration.

Alors pour ceux qui connaissent bien le marché du travail québecois, y a t-il des chances pour qu'un ingenieur en génie civil trouve du travail ( en relation avec le domaine, pas forcément en qualité d'ingenieur dont la discipline est régit par un ordre) à partir de son pays d'origine avant de faire les equivalences.

Y a t-il des gens qui ont essayé ou trouvé du travail à distance ?

Je fais appel à vos differentes experiences en vous remerciant d'avance !

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  • Habitués

Bonsoir à tous

Beaucoup vont trouver cette question un peu bete, mais je m'interroge vraiment sur les chances de trouver du travail à partir de son pays d'origine, que ca soit pour un travail temporaire ou bien pour accelerer le processus d'immigration.

Alors pour ceux qui connaissent bien le marché du travail québecois, y a t-il des chances pour qu'un ingenieur en génie civil trouve du travail ( en relation avec le domaine, pas forcément en qualité d'ingenieur dont la discipline est régit par un ordre) à partir de son pays d'origine avant de faire les equivalences.

Y a t-il des gens qui ont essayé ou trouvé du travail à distance ?

Je fais appel à vos differentes experiences en vous remerciant d'avance !

Rappelle-moi d'où tu viens? Malheureusement tu verras que c'est vraiment impossible. Actuellement on est en plein dans une impasse. Visite un peu tous les messages à ce sujet.

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  • Habitués

merciii pour ta réponse, à vrai dire je m'en doutais un peu.

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  • Habitués

merciii pour ta réponse, à vrai dire je m'en doutais un peu.

Ceci dit, puisque tu sais qu'il va te falloir passer une paire d'examens avant de pouvoir faire partie de l'ordre des ingés, tu pourras demander ton évaluation des diplômes. Ca te fera gagner du temps. Parce ça aussi, c'est un parcours du combattant. On en est actuellement à 6 mois de délai.

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  • Habitués

Tu as tout à fait raison, je compte le faire bien entendu mais vu les délais interminables je préfere laisser à plus tard !

merci pour tes conseils en tout cas !

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  • Habitués

Tu as tout à fait raison, je compte le faire bien entendu mais vu les délais interminables je préfere laisser à plus tard !

merci pour tes conseils en tout cas !

Malheureusement, je ne peux rien faire de plus. On s'est aperçus que les employeurs québécois ont une curieuse façon de rechercher leurs ressources. Ils ont besoin d'un certain nombre de compétences pour un poste, et ils vont chercher ici, ailleurs, un profil qui a exactement TOUTES les compétences qu'ils recherchent. Au lieu de cibler une personne d'évaluer sa capacité à compléter son cursus en allant lui donner ce qui lui manque sous forme de formation ou de mentorat, non, il leur faut tout. C'est pour cela qu'on arrive à des situations ubuesques ou des postes ne sont pas comblés pendant des mois alors que des immigrants, intelligents, jeunes qui possèdent 80 % de ce qui est demandé ne sont même pas retenus. Évidemment, si tu es exactement l'oiseau rare (ça peut arriver aussi), tu trouves très facilement. Et même les employeurs se bousculent à ta porte. Mais ça c'est aussi le boulot des chasseurs de têtes. Ils sont légion ici.

D'ailleurs, j'ai remarqué que chez nous,(dans notre organisation) c'est devenu un sport national. Le jeu des chaises musicales. On essaie d'aller piquer les ressources à Montréal ou dans les régions voisines. Le bagage des immigrants. Ah ah . Le quoi ? de qui ? . En tout cas, bonne chance.

Modifié par Cherrybee
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  • Habitués

Bonsoir à tous

Beaucoup vont trouver cette question un peu bete, mais je m'interroge vraiment sur les chances de trouver du travail à partir de son pays d'origine, que ca soit pour un travail temporaire ou bien pour accelerer le processus d'immigration.

Alors pour ceux qui connaissent bien le marché du travail québecois, y a t-il des chances pour qu'un ingenieur en génie civil trouve du travail ( en relation avec le domaine, pas forcément en qualité d'ingenieur dont la discipline est régit par un ordre) à partir de son pays d'origine avant de faire les equivalences.

Y a t-il des gens qui ont essayé ou trouvé du travail à distance ?

Je fais appel à vos differentes experiences en vous remerciant d'avance !

J'ai tenté à plusieurs reprises avant et pendant même l'attente de mon CSQ de postuler à des postes dans mon domaine ou ayant lien avec mais en vain...j'ai jamais réussi à avoir ne se reste qu'un retour.

Après l'obtention du CSQ on était invité à publier nos profils sur le site emploi-quebec.net en introduisant le N° de dossier et on nous a dit que c'est un nouveau projet du gouvernement, donc un truc officiel qui va aider et les futurs immigrants et les employés à trouver leur bonheurs. Depuis maintenant 4 mois mon profil est en ligne mais aucune consultation de la part des employeurs.

Cette mission n'est pas impossible...mais elle reste tout de même difficile...très difficile même.

Je te souhaite bon courage :).

Ciao.

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Hello à tous !

Pour ma part, je travaille dans le domaine de l'informatique embarquée pour l'aéronautique (donc très distant du génie civil). J'ai cru comprendre qu'il y a un peu un "vide" juridique concernant l'informatique à l'OIQ.

Donc à noter que moi, je contourne le problème d'adhésion à l'OIQ puisque ma compagnie ne me le demande pas (car elle reconnait mes diplômes et ma formation, voir plus loin pourquoi) (toutefois, je n'ai pas le titre d'ingénieur OIQ, mais je compte bien l'obtenir une fois sur place)

Pour ma part, j'ai réussi à trouver un travail à distance. Les 3 contacts que j'ai eu en deux ans (2 m'ont proposés un visa temporaire, mais dans un cas c'était pour un besoin urgent ; j'avais 3 mois de préavis en France) sont à chaque fois des SSII françaises ayant une antenne/filiale à Montréal. Dû au manque de main d'œuvre dans mon domaine, ils recrutent (en partie) des français, avec des permis de travail à la clé pour les besoins urgents.

C'est ce qui m'est arrivé : j'ai une procédure d'immigration dans les tuyaux depuis maintenant 14 mois. J'attends patiemment la RP (les IVM : on part à 2). En attendant, j'ai réussi à obtenir ce fameux visa temporaire.

Pour ce qui est des annonces ou des sites type emploi-québec, moi j'ai envie de dire que oui, ça se tente, mais c'est pas là dessus qu'il faut compter. Il faut réseauter, c'est primordial, il faut pouvoir trouver des contacts locaux.

Tu peux tenter un voyage de prospection aussi. Personnellement, je suis parti au Québec en juin/juillet 2009, et j'ai été hébergé, via couchsurfing par un couple de québécois dont le gars est ingénieur, il m'a appris énormément de choses là dessus. J'ai aussi rencontré une compagnie, des associations, j'ai fait des 5@7, etc...

Donc si tu as un peu de sous, un peu de temps, un peu de congés : pourquoi pas ? Si tu fais ça, profites en pour rencontrer toutes les compagnies qui sont susceptibles de connaitre ton diplôme et ton expérience (les boîtes françaises) ainsi tu bénéficierais potentiellement :

- d'un poste correspondant à ton niveau (pas de retour à la case départ : ton expérience reconnue)

- d'une reconnaissance de ton diplôme

- d'un salaire, de facto, meilleur

Pour tous ceux qui sont ingénieurs (diplôme estampillé CTI), prenez contact avec cette association : Francogénie

Bien sûr, y'a un facteur chance énorme là dessus, car il faut trouver LA compagnie qui a LE besoin correspondant à TON profil AU MOMENT où tu recherches. On peut forcer la main à la chance, en multipliant les contacts, les rencontres... C'est un peu le jeu du chat et de la souris.

Donc ma conclusion serait ça : il faut tout tenter, remuer ciel et terre, il faut se rendre visible sur les réseaux sociaux pro (linkedin, viadeo, francogenie, etc...) prendre contact, faire les salons de recrutement, c'est à chaque fois autant de bouteilles à la mer, mais un jour, ça peut marcher. Faut être tenace ! (faut du culot).

Et si ça marche pas, tu auras appris à réseauter, tu auras compris quelles sont les techniques qui marchent et celles à éviter.

Dans tout les cas, c'est tout bénef.

En tout cas, sur le salon Destination Canada qui a eu lieu en 2010 à Paris, j'ai rencontré un mec de Montréal International qui m'a dit que c'est pas évident d'accorder du crédit à un français qui cherche du boulot mais qui n'a pas de papiers (RP). On a beau défendre notre projet bec et ongles : pas de papiers. Et pas de papiers ça signifie parfois pas au Québec avant au moins 1 an ou 2 (c'est le temps nécessaire pour obtenir une RP). Dans ce cas, c'est peine perdue.

J'espère avoir pu aider un peu. En tout cas, faut pas se décourager, c'est vraiment difficile, mais c'est formateur, ça prépare bien et puis... un peu d'optimisme bordel ! :rolleyes: C'est possible !

Si je peux t'aider, n'hésite pas à prendre contact (même si je ne suis pas dans le même domaine), on a tout à gagner à s'entre-aider !

Modifié par Raymi
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Hello à tous !

...

Si je peux t'aider, n'hésite pas à prendre contact (même si je ne suis pas dans le même domaine), on a tout à gagner à s'entre-aider !

Tout ce que tu dis est juste. Mais pour les Algériens, le voyage de prospection est souvent impossible (besoin d'un visa contrairement aux Français). Le réseautage est difficile car un immigrant n'en a pas. En général, le réseau se constitue sur place lorsqu'on est amené à rencontrer des personnes dans le cadre de son travail. Comme tu le dis, en envoyant pleins de bouteilles à la mer, avec un peu de chance... A mon arrivée, j'ai évité de dépenser mon énergie comme ça et j'ai plutôt ciblé des entreprises et des postes. C'est une autre façon de faire.

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depuis plus de six mois j'essaie de trouver un Travail au Québec depuis l'Algérie mais le résultat était zero.

c'est difficile mais n'est pas impossible.

bonne continuation.

AMKIDACHE.

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  • Habitués

Hello à tous !

Pour ma part, je travaille dans le domaine de l'informatique embarquée pour l'aéronautique (donc très distant du génie civil). J'ai cru comprendre qu'il y a un peu un "vide" juridique concernant l'informatique à l'OIQ.

Donc à noter que moi, je contourne le problème d'adhésion à l'OIQ puisque ma compagnie ne me le demande pas (car elle reconnait mes diplômes et ma formation, voir plus loin pourquoi) (toutefois, je n'ai pas le titre d'ingénieur OIQ, mais je compte bien l'obtenir une fois sur place)

Pour ma part, j'ai réussi à trouver un travail à distance. Les 3 contacts que j'ai eu en deux ans (2 m'ont proposés un visa temporaire, mais dans un cas c'était pour un besoin urgent ; j'avais 3 mois de préavis en France) sont à chaque fois des SSII françaises ayant une antenne/filiale à Montréal. Dû au manque de main d'uvre dans mon domaine, ils recrutent (en partie) des français, avec des permis de travail à la clé pour les besoins urgents.

C'est ce qui m'est arrivé : j'ai une procédure d'immigration dans les tuyaux depuis maintenant 14 mois. J'attends patiemment la RP (les IVM : on part à 2). En attendant, j'ai réussi à obtenir ce fameux visa temporaire.

Pour ce qui est des annonces ou des sites type emploi-québec, moi j'ai envie de dire que oui, ça se tente, mais c'est pas là dessus qu'il faut compter. Il faut réseauter, c'est primordial, il faut pouvoir trouver des contacts locaux.

Tu peux tenter un voyage de prospection aussi. Personnellement, je suis parti au Québec en juin/juillet 2009, et j'ai été hébergé, via couchsurfing par un couple de québécois dont le gars est ingénieur, il m'a appris énormément de choses là dessus. J'ai aussi rencontré une compagnie, des associations, j'ai fait des 5@7, etc...

Donc si tu as un peu de sous, un peu de temps, un peu de congés : pourquoi pas ? Si tu fais ça, profites en pour rencontrer toutes les compagnies qui sont susceptibles de connaitre ton diplôme et ton expérience (les boîtes françaises) ainsi tu bénéficierais potentiellement :

- d'un poste correspondant à ton niveau (pas de retour à la case départ : ton expérience reconnue)

- d'une reconnaissance de ton diplôme

- d'un salaire, de facto, meilleur

Pour tous ceux qui sont ingénieurs (diplôme estampillé CTI), prenez contact avec cette association : Francogénie

Bien sûr, y'a un facteur chance énorme là dessus, car il faut trouver LA compagnie qui a LE besoin correspondant à TON profil AU MOMENT où tu recherches. On peut forcer la main à la chance, en multipliant les contacts, les rencontres... C'est un peu le jeu du chat et de la souris.

Donc ma conclusion serait ça : il faut tout tenter, remuer ciel et terre, il faut se rendre visible sur les réseaux sociaux pro (linkedin, viadeo, francogenie, etc...) prendre contact, faire les salons de recrutement, c'est à chaque fois autant de bouteilles à la mer, mais un jour, ça peut marcher. Faut être tenace ! (faut du culot).

Et si ça marche pas, tu auras appris à réseauter, tu auras compris quelles sont les techniques qui marchent et celles à éviter.

Dans tout les cas, c'est tout bénef.

En tout cas, sur le salon Destination Canada qui a eu lieu en 2010 à Paris, j'ai rencontré un mec de Montréal International qui m'a dit que c'est pas évident d'accorder du crédit à un français qui cherche du boulot mais qui n'a pas de papiers (RP). On a beau défendre notre projet bec et ongles : pas de papiers. Et pas de papiers ça signifie parfois pas au Québec avant au moins 1 an ou 2 (c'est le temps nécessaire pour obtenir une RP). Dans ce cas, c'est peine perdue.

J'espère avoir pu aider un peu. En tout cas, faut pas se décourager, c'est vraiment difficile, mais c'est formateur, ça prépare bien et puis... un peu d'optimisme bordel ! :rolleyes: C'est possible !

Si je peux t'aider, n'hésite pas à prendre contact (même si je ne suis pas dans le même domaine), on a tout à gagner à s'entre-aider !

Faut aussi reconnaître que tu es le type même du candidat parfait, celui que tous les chasseurs de têtes recherchent. Tu cumules les 3 mots magiques : Français (ne rencontre donc pas la méfiance des employeurs québécois), informatique et aéronautique. Félicitations !!!

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  • Habitués

Moi je dis pas facile, mais pas impossible. Certains sur ce forum on trouvait du travail avant leur arrivée, mais assez peu (je dirai même très peu) par rapport aux milliers que nous sommes à immigrer. Munetta par exemple avait ,si je me souviens bien,trouvé une place avant son arrivée.Il faut tenter, au pire ça t'aura coûté quelques timbres ou quelques "clics" sur ta souris.

Mon mari avait son poste qui l'attendait en arrivant (paysagiste), on est arrivé au bon endroit , au bon moment sans doute.Sur les 20 cv envoyés, 3 retours positifs. Bonne chance pour la suitethumbsup.gif

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Bonsoir,

je pense que le réseautage et les contacts sur place sont un des meilleurs moyens de trouver un job mais comme dit plus haut cherrybee "les 3 mots magiques" sont les gens qui ont plus de facilité à trouver du taf depuis le pays d'origine. Ce n'est pas facile de prouver à un employeur notre motivation et notre capacité à immigrer en simple clics sur le pc même si tu possèdes au moins un mot magique. Pour ma part nous avons démarché durant 10 jours le Québec et même si on est un jolie couple motivé avec expérience professionnelle pas facile d'obtenir des contacts, ils restent assez méfiant et nous propose de prendre contact avec eux une fois le visa obtenu. Je suis d'accord qu'il faut persévérer même si ça vaut des clics et du temps. J'admire ceux qui ont trouvé du travail depuis leurs pays d'origine. :thumbsup:

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  • Habitués

moi j'ai trouvé aussi depuis la France mais c'est une compagnie qui a des succrusales en France. Après quelques entrevues téléphoniques, la succursale québécoise m'a demandé de passer une entrevue dans la succursale française pour valider puis j'ai reçu mon offre par courriel. auqeul courriel je n'avais qu'à répondre que j'acceptais :) ca m'a fait flipper comparer aux 30 pages de contrat qu'on doit signer en France.... :shok:

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moi j'ai trouvé aussi depuis la France mais c'est une compagnie qui a des succrusales en France. Après quelques entrevues téléphoniques, la succursale québécoise m'a demandé de passer une entrevue dans la succursale française pour valider puis j'ai reçu mon offre par courriel. auqeul courriel je n'avais qu'à répondre que j'acceptais :) ca m'a fait flipper comparer aux 30 pages de contrat qu'on doit signer en France.... :shok:

bravo et merci pour ton post j'avais pas penser à viser les succursales :thumbsup:

Modifié par nounours2811
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Faut aussi reconnaître que tu es le type même du candidat parfait, celui que tous les chasseurs de têtes recherchent. Tu cumules les 3 mots magiques : Français (ne rencontre donc pas la méfiance des employeurs québécois), informatique et aéronautique. Félicitations !!!

T'as complètement raison. Mais j'ai eu pas mal d'autres contact, pour le ferroviaire par exemple. Mais là, on m'a dit toujours sorti le fameux "rappelez quand vous serez là". Mais bon, il faut essayer, car parfois il y en a qui ont des besoins urgents et qui sont enclin à faire des visas.

Je sais aussi que certaines compagnies ont l'habitude de cette (pénible) démarche. D'autres n'y pensent même pas.

Moi je dis pas facile, mais pas impossible. Certains sur ce forum on trouvait du travail avant leur arrivée, mais assez peu (je dirai même très peu) par rapport aux milliers que nous sommes à immigrer. Munetta par exemple avait ,si je me souviens bien,trouvé une place avant son arrivée.Il faut tenter, au pire ça t'aura coûté quelques timbres ou quelques "clics" sur ta souris.

Mon mari avait son poste qui l'attendait en arrivant (paysagiste), on est arrivé au bon endroit , au bon moment sans doute.Sur les 20 cv envoyés, 3 retours positifs. Bonne chance pour la suitethumbsup.gif

Je suis pas un expert et ça dépend peut être des domaines, mais je pense que l'envoi de CV c'est pour le coup vraiment une bouteille à la mer. L'idéal à mes yeux est de se faire connaitre, s'arranger pour que les gens se rappellent de vous et qu'ils pensent à vous si jamais un de leur contact ont besoin de quelqu'un. C'est ça le réseau en fait. C'est là tout l'intérêt du voyage de prospection. Une certitude : si je n'avais pas fait ce voyage, je n'aurai pas trouvé mon job.

En toute honnêteté, je pense avoir passé des dizaines et des dizaines d'heures (peut être même plus) pour chercher des gens à peu près dans mon domaine :wacko:. C'est ce que je disais dans mon premier message, y'a une part de chance importante là dedans.

moi j'ai trouvé aussi depuis la France mais c'est une compagnie qui a des succrusales en France. Après quelques entrevues téléphoniques, la succursale québécoise m'a demandé de passer une entrevue dans la succursale française pour valider puis j'ai reçu mon offre par courriel. auqeul courriel je n'avais qu'à répondre que j'acceptais :) ca m'a fait flipper comparer aux 30 pages de contrat qu'on doit signer en France.... :shok:

C'est un bon calcul les succursales/filiales, car de culture française, ces compagnies nous regardent avec un regard français. Je sais que dans mon domaine, les français sont bien implantés au Canada donc c'est positif pour moi.

Je sais aussi, pour en revenir au message initial, que dans le génie civil, le Québec a déjà de très grosses compagnies particulièrement connue (SNC Lavalin par exemple), et donc les françaises (type Bouygues ou Eiffage, je suppose) ne sont pas trop présentes. Sur ce coup là, pas de chance.:unknw:

De toute façon, il faut tout essayer... un jour peut être...:yahoo:

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  • 2 weeks later...

Hello à tous !

Pour ma part, je travaille dans le domaine de l'informatique embarquée pour l'aéronautique (donc très distant du génie civil). J'ai cru comprendre qu'il y a un peu un "vide" juridique concernant l'informatique à l'OIQ.

Donc à noter que moi, je contourne le problème d'adhésion à l'OIQ puisque ma compagnie ne me le demande pas (car elle reconnait mes diplômes et ma formation, voir plus loin pourquoi) (toutefois, je n'ai pas le titre d'ingénieur OIQ, mais je compte bien l'obtenir une fois sur place)

Pour ma part, j'ai réussi à trouver un travail à distance. Les 3 contacts que j'ai eu en deux ans (2 m'ont proposés un visa temporaire, mais dans un cas c'était pour un besoin urgent ; j'avais 3 mois de préavis en France) sont à chaque fois des SSII françaises ayant une antenne/filiale à Montréal. Dû au manque de main d'uvre dans mon domaine, ils recrutent (en partie) des français, avec des permis de travail à la clé pour les besoins urgents.

C'est ce qui m'est arrivé : j'ai une procédure d'immigration dans les tuyaux depuis maintenant 14 mois. J'attends patiemment la RP (les IVM : on part à 2). En attendant, j'ai réussi à obtenir ce fameux visa temporaire.

Pour ce qui est des annonces ou des sites type emploi-québec, moi j'ai envie de dire que oui, ça se tente, mais c'est pas là dessus qu'il faut compter. Il faut réseauter, c'est primordial, il faut pouvoir trouver des contacts locaux.

Tu peux tenter un voyage de prospection aussi. Personnellement, je suis parti au Québec en juin/juillet 2009, et j'ai été hébergé, via couchsurfing par un couple de québécois dont le gars est ingénieur, il m'a appris énormément de choses là dessus. J'ai aussi rencontré une compagnie, des associations, j'ai fait des 5@7, etc...

Donc si tu as un peu de sous, un peu de temps, un peu de congés : pourquoi pas ? Si tu fais ça, profites en pour rencontrer toutes les compagnies qui sont susceptibles de connaitre ton diplôme et ton expérience (les boîtes françaises) ainsi tu bénéficierais potentiellement :

- d'un poste correspondant à ton niveau (pas de retour à la case départ : ton expérience reconnue)

- d'une reconnaissance de ton diplôme

- d'un salaire, de facto, meilleur

Pour tous ceux qui sont ingénieurs (diplôme estampillé CTI), prenez contact avec cette association : Francogénie

Bien sûr, y'a un facteur chance énorme là dessus, car il faut trouver LA compagnie qui a LE besoin correspondant à TON profil AU MOMENT où tu recherches. On peut forcer la main à la chance, en multipliant les contacts, les rencontres... C'est un peu le jeu du chat et de la souris.

Donc ma conclusion serait ça : il faut tout tenter, remuer ciel et terre, il faut se rendre visible sur les réseaux sociaux pro (linkedin, viadeo, francogenie, etc...) prendre contact, faire les salons de recrutement, c'est à chaque fois autant de bouteilles à la mer, mais un jour, ça peut marcher. Faut être tenace ! (faut du culot).

Et si ça marche pas, tu auras appris à réseauter, tu auras compris quelles sont les techniques qui marchent et celles à éviter.

Dans tout les cas, c'est tout bénef.

En tout cas, sur le salon Destination Canada qui a eu lieu en 2010 à Paris, j'ai rencontré un mec de Montréal International qui m'a dit que c'est pas évident d'accorder du crédit à un français qui cherche du boulot mais qui n'a pas de papiers (RP). On a beau défendre notre projet bec et ongles : pas de papiers. Et pas de papiers ça signifie parfois pas au Québec avant au moins 1 an ou 2 (c'est le temps nécessaire pour obtenir une RP). Dans ce cas, c'est peine perdue.

J'espère avoir pu aider un peu. En tout cas, faut pas se décourager, c'est vraiment difficile, mais c'est formateur, ça prépare bien et puis... un peu d'optimisme bordel ! :rolleyes: C'est possible !

Si je peux t'aider, n'hésite pas à prendre contact (même si je ne suis pas dans le même domaine), on a tout à gagner à s'entre-aider !

Bonjour à tous,

Merci pour votre commentaires que je trouve très intéressants.

Raymi, t'as dit qu'il y a un manque de main oeuvre dans ton domaine, là tu parles de l'aéronautique ou de l'informatique embarqué?

Je pose cette question car j'ai un master 2 pro en informatique industrielle et système embarqué, mais je travaille dans le domaine automobile en île de France depuis 1 an.

Et je pense sérieusement à l'immigration, mais je ne peux pas me permettre de rester plus que 6 mois sans travail dans mon domaine.

Que penses tu sur la situation de l'informatique embarqué au Québec?

Merci

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Pour ma part, je travaille dans le domaine de l'informatique embarquée pour l'aéronautique (donc très distant du génie civil). J'ai cru comprendre qu'il y a un peu un "vide" juridique concernant l'informatique à l'OIQ.

Donc à noter que moi, je contourne le problème d'adhésion à l'OIQ puisque ma compagnie ne me le demande pas (car elle reconnait mes diplômes et ma formation, voir plus loin pourquoi) (toutefois, je n'ai pas le titre d'ingénieur OIQ, mais je compte bien l'obtenir une fois sur place)

Pour ma part, j'ai réussi à trouver un travail à distance. Les 3 contacts que j'ai eu en deux ans (2 m'ont proposés un visa temporaire, mais dans un cas c'était pour un besoin urgent ; j'avais 3 mois de préavis en France) sont à chaque fois des SSII françaises ayant une antenne/filiale à Montréal. Dû au manque de main d'œuvre dans mon domaine, ils recrutent (en partie) des français, avec des permis de travail à la clé pour les besoins urgents.

C'est ce qui m'est arrivé : j'ai une procédure d'immigration dans les tuyaux depuis maintenant 14 mois. J'attends patiemment la RP (les IVM : on part à 2). En attendant, j'ai réussi à obtenir ce fameux visa temporaire.

Pour ce qui est des annonces ou des sites type emploi-québec, moi j'ai envie de dire que oui, ça se tente, mais c'est pas là dessus qu'il faut compter. Il faut réseauter, c'est primordial, il faut pouvoir trouver des contacts locaux.

Tu peux tenter un voyage de prospection aussi. Personnellement, je suis parti au Québec en juin/juillet 2009, et j'ai été hébergé, via couchsurfing par un couple de québécois dont le gars est ingénieur, il m'a appris énormément de choses là dessus. J'ai aussi rencontré une compagnie, des associations, j'ai fait des 5@7, etc...

Donc si tu as un peu de sous, un peu de temps, un peu de congés : pourquoi pas ? Si tu fais ça, profites en pour rencontrer toutes les compagnies qui sont susceptibles de connaitre ton diplôme et ton expérience (les boîtes françaises) ainsi tu bénéficierais potentiellement :

- d'un poste correspondant à ton niveau (pas de retour à la case départ : ton expérience reconnue)

- d'une reconnaissance de ton diplôme

- d'un salaire, de facto, meilleur

Pour tous ceux qui sont ingénieurs (diplôme estampillé CTI), prenez contact avec cette association : Francogénie

Bien sûr, y'a un facteur chance énorme là dessus, car il faut trouver LA compagnie qui a LE besoin correspondant à TON profil AU MOMENT où tu recherches. On peut forcer la main à la chance, en multipliant les contacts, les rencontres... C'est un peu le jeu du chat et de la souris.

Donc ma conclusion serait ça : il faut tout tenter, remuer ciel et terre, il faut se rendre visible sur les réseaux sociaux pro (linkedin, viadeo, francogenie, etc...) prendre contact, faire les salons de recrutement, c'est à chaque fois autant de bouteilles à la mer, mais un jour, ça peut marcher. Faut être tenace ! (faut du culot).

Et si ça marche pas, tu auras appris à réseauter, tu auras compris quelles sont les techniques qui marchent et celles à éviter.

Dans tout les cas, c'est tout bénef.

En tout cas, sur le salon Destination Canada qui a eu lieu en 2010 à Paris, j'ai rencontré un mec de Montréal International qui m'a dit que c'est pas évident d'accorder du crédit à un français qui cherche du boulot mais qui n'a pas de papiers (RP). On a beau défendre notre projet bec et ongles : pas de papiers. Et pas de papiers ça signifie parfois pas au Québec avant au moins 1 an ou 2 (c'est le temps nécessaire pour obtenir une RP). Dans ce cas, c'est peine perdue.

J'espère avoir pu aider un peu. En tout cas, faut pas se décourager, c'est vraiment difficile, mais c'est formateur, ça prépare bien et puis... un peu d'optimisme bordel ! :rolleyes: C'est possible !

Si je peux t'aider, n'hésite pas à prendre contact (même si je ne suis pas dans le même domaine), on a tout à gagner à s'entre-aider !

Faut aussi reconnaître que tu es le type même du candidat parfait, celui que tous les chasseurs de têtes recherchent. Tu cumules les 3 mots magiques : Français (ne rencontre donc pas la méfiance des employeurs québécois), informatique et aéronautique. Félicitations !!!

Français (ne rencontre donc pas la méfiance des employeurs québécois)

Quelle modestie, je te félicite .... !!!!

Ça veux dire que les autres candidats qui viennent des autres pays vont surement rencontrer la méfiance des employeurs Québécois ?? peut être, mais moins qu'en France.

Je dirais qu'il cumule les 3 mots magiques : Expérience, informatique et aéronautique (pénurie de main d'oeuvre qualifié)

Le traitement des dossier selon les nationalités des individus n'existe qu'en France. Actuellement tu habites au Quebec, je te conseille de changer ta mentalité d'origine, parce que ici les gens, les employés, etc ... se comportent de la même façon avec tout le monde.

D'après ce que j'ai vu et ce que j'ai entendu de la part des Québécois, je pense qu'il est inutile de dire qu'on est Français parce que ça ne change absolument rien.

les employeurs québécois s'intéressent à ta valeur ajoutée, et non pas à ton ancienne école d'ingénieur, où ta marque de chaussure, où ton prénom.

PS :

1°) Il y a quelques chose de plus haut que l'orgueil, et de plus noble que la vanité, c'est la modestie, et quelque chose de plus rare que la modestie, c'est la simplicité.

2°) Il est inutile de me corriger mes fautes de français, parce que j'ai vu que vous ne remarquez que ça chers écrivains, ce n'est pas le but de ce forum.

3°) ce que j'ai dis ci-dessus n'est pas une insulte, ni un manque de respect, ni un règlement de compte, mais plutôt un encadrement personnel qui n'est offert ni par Emploi-Quebec ni par le MICC, ni par les autres organismes.

Modifié par Toniomembre
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  • Habitués

Bonjour,

C'est très rare de dénicher un emploi à partir de ton pays d'origine.

Supposons que j'étais encore en Argentine, est-ce qu'un employeur Algérien ou Japonais me donnerait un emploi?

Forget it...

Il faut être sur place pour avoir un numéro d'assurance sociale, une adresse locale, un compte-chèques, un

numéro de téléphone local, etc.

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