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Le Québec se dirige vers une pénurie


Invité

Messages recommandés

j aime bien partagé avec vous la lecture de cet article que j ai lu aujourd'hui; ç'est encouragent pour les nouveaux immigrants.

source : journal de quebec 3 fev 2011.

par : CARL RENAUD

Agence QMI

MONTRÉAL | Le Québec connaîtra une pénurie de main-doeuvre qui affectera son économie dans les années à venir, car il y aura jusquà 26 fois plus doffres demploi que de diplômés, selon Jobboom.

Les étudiants québécois peuvent dormir tranquilles, car les offres demploi seront supérieures au nombre de diplômés dans plusieurs secteurs dactivité au cours des prochaines années, selon la 14e édition du Bilan des perspectives du marché du travail rendu public hier matin par Jobboom.

Selon létude, quelque 80 programmes professionnels, collégiaux et universitaires offrent une formation dans des secteurs en situation de plein emploi au Québec.

Ces programmes sont liés aux technologies de linformation et des communications, qui se classent en tête de liste. On estime que les entreprises de ce domaine devront pourvoir 7 500 postes par an dici 2014.

« Plusieurs secteurs profitent de la vigueur de notre économie, des programmes dinfrastructures et des départs massifs à la retraite » , a noté Patricia Richard, directrice des contenus chez Jobboom.

Les assureurs et les entreprises de services financiers connaîtront une croissance importante en créant 10 000 emplois dici sept ou huit ans.

Le domaine de la transformation alimentaire et le secteur minier pourraient générer chacun 6 000 postes dici cinq ans en raison de la croissance attendue de leurs affaires. Les attentes sont aussi élevées dans les secteurs de la santé et de la construction.

Le réseau de la santé devra à lui seul embaucher de 13 000 à 22 000 employés dici 2015. On évalue que le domaine de la construction devra recruter 14 000 nouveaux travailleurs par an dici 2013.

Pas assez de diplômés

Jobboom a même constaté quune trentaine de programmes de formation narrivent pas à for mer suffisamment de diplômés pour répondre à la demande des employeurs.

Par exemple, les quelque 140 diplômés en sciences biologiques de lUniversité Laval et de lUniversité de Sherbrooke ont pu choisir parmi près de 600 emplois au terme de leur parcours universitaire lan dernier.

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j aime bien partagé avec vous la lecture de cet article que j ai lu aujourd'hui; ç'est encouragent pour les nouveaux immigrants.

source : journal de quebec 3 fev 2011.

par : CARL RENAUD

Agence QMI

MONTRÉAL | Le Québec connaîtra une pénurie de main-d'oeuvre qui affectera son économie dans les années à venir, car il y aura jusqu'à 26 fois plus d'offres d'emploi que de diplômés, selon Jobboom.

Les étudiants québécois peuvent dormir tranquilles, car les offres d'emploi seront supérieures au nombre de diplômés dans plusieurs secteurs d'activité au cours des prochaines années, selon la 14e édition du Bilan des perspectives du marché du travail rendu public hier matin par Jobboom.

Selon l'étude, quelque 80 programmes professionnels, collégiaux et universitaires offrent une formation dans des secteurs en situation de plein emploi au Québec.

Ces programmes sont liés aux technologies de l'information et des communications, qui se classent en tête de liste. On estime que les entreprises de ce domaine devront pourvoir 7 500 postes par an d'ici 2014.

« Plusieurs secteurs profitent de la vigueur de notre économie, des programmes d'infrastructures et des départs massifs à la retraite » , a noté Patricia Richard, directrice des contenus chez Jobboom.

Les assureurs et les entreprises de services financiers connaîtront une croissance importante en créant 10 000 emplois d'ici sept ou huit ans.

Le domaine de la transformation alimentaire et le secteur minier pourraient générer chacun 6 000 postes d'ici cinq ans en raison de la croissance attendue de leurs affaires. Les attentes sont aussi élevées dans les secteurs de la santé et de la construction.

Le réseau de la santé devra à lui seul embaucher de 13 000 à 22 000 employés d'ici 2015. On évalue que le domaine de la construction devra recruter 14 000 nouveaux travailleurs par an d'ici 2013.

Pas assez de diplômés

Jobboom a même constaté qu'une trentaine de programmes de formation n'arrivent pas à for mer suffisamment de diplômés pour répondre à la demande des employeurs.

Par exemple, les quelque 140 diplômés en sciences biologiques de l'Université Laval et de l'Université de Sherbrooke ont pu choisir parmi près de 600 emplois au terme de leur parcours universitaire l'an dernier.

Eh ouiiii !!! Y a pas un truc qui te gêne, là? : " Les étudiants québécois peuvent dormir tranquilles" !

.... Et les immigrants peuvent aller se rhabiller !!!

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source : journal de quebec 3 fev 2011.

par : CARL RENAUD

Agence QMI

MONTRÉAL | Le Québec connaîtra une pénurie de main-d'oeuvre qui affectera son économie dans les années à venir, car il y aura jusqu'à 26 fois plus d'offres d'emploi que de diplômés, selon Jobboom.

Les étudiants québécois peuvent dormir tranquilles, car les offres d'emploi seront supérieures au nombre de diplômés dans plusieurs secteurs d'activité au cours des prochaines années, selon la 14e édition du Bilan des perspectives du marché du travail rendu public hier matin par Jobboom.

Selon l'étude, quelque 80 programmes professionnels, collégiaux et universitaires offrent une formation dans des secteurs en situation de plein emploi au Québec.

Ces programmes sont liés aux technologies de l'information et des communications, qui se classent en tête de liste. On estime que les entreprises de ce domaine devront pourvoir 7 500 postes par an d'ici 2014.

« Plusieurs secteurs profitent de la vigueur de notre économie, des programmes d'infrastructures et des départs massifs à la retraite » , a noté Patricia Richard, directrice des contenus chez Jobboom.

Les assureurs et les entreprises de services financiers connaîtront une croissance importante en créant 10 000 emplois d'ici sept ou huit ans.

Le domaine de la transformation alimentaire et le secteur minier pourraient générer chacun 6 000 postes d'ici cinq ans en raison de la croissance attendue de leurs affaires. Les attentes sont aussi élevées dans les secteurs de la santé et de la construction.

Le réseau de la santé devra à lui seul embaucher de 13 000 à 22 000 employés d'ici 2015. On évalue que le domaine de la construction devra recruter 14 000 nouveaux travailleurs par an d'ici 2013.

Pas assez de diplômés

Jobboom a même constaté qu'une trentaine de programmes de formation n'arrivent pas à for mer suffisamment de diplômés pour répondre à la demande des employeurs.

Par exemple, les quelque 140 diplômés en sciences biologiques de l'Université Laval et de l'Université de Sherbrooke ont pu choisir parmi près de 600 emplois au terme de leur parcours universitaire l'an dernier.

C'est vraiment très encourageant

Modifié par sharpp
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Ce n'est pas la premier article publié sur le forum qui vient nous narguer...

Comme le dit Cherrybee, des emplois pour les diplômés oui, mais pour les diplômés Québécois !!! Et pour les migrants, que dalle !! Et pourquoi donc me direz-vous ?

Parce que les migrants ne connaissent pas le marché du travail canadien, la façon de faire, la façon de travailler, les us et coutumes du pays, etc, etc... Ce n'est pas moi qui le dit, mais ceux qui embauchent !

Alors tant mieux pour les étudiants québécois, et pour ceux qui ont des enfants aux études : poussez les à continuer !!! Ils seront les rois dans peu de temps !!

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MONTRÉAL | Le Québec connaîtra une pénurie de main-doeuvre qui affectera son économie dans les années à venir, car il y aura jusquà 26 fois plus doffres demploi que de diplômés, selon Jobboom.

Les étudiants québécois peuvent dormir tranquilles, car les offres demploi seront supérieures au nombre de diplômés dans plusieurs secteurs dactivité au cours des prochaines années, selon la 14e édition du Bilan des perspectives du marché du travail rendu public hier matin par Jobboom.

Selon létude, quelque 80 programmes professionnels, collégiaux et universitaires offrent une formation dans des secteurs en situation de plein emploi au Québec.

Ces programmes sont liés aux technologies de linformation et des communications, qui se classent en tête de liste. On estime que les entreprises de ce domaine devront pourvoir 7 500 postes par an dici 2014.

« Plusieurs secteurs profitent de la vigueur de notre économie, des programmes dinfrastructures et des départs massifs à la retraite » , a noté Patricia Richard, directrice des contenus chez Jobboom.

Les assureurs et les entreprises de services financiers connaîtront une croissance importante en créant 10 000 emplois dici sept ou huit ans.

Le domaine de la transformation alimentaire et le secteur minier pourraient générer chacun 6 000 postes dici cinq ans en raison de la croissance attendue de leurs affaires. Les attentes sont aussi élevées dans les secteurs de la santé et de la construction.

Le réseau de la santé devra à lui seul embaucher de 13 000 à 22 000 employés dici 2015. On évalue que le domaine de la construction devra recruter 14 000 nouveaux travailleurs par an dici 2013.

Pas assez de diplômés

Jobboom a même constaté quune trentaine de programmes de formation narrivent pas à for mer suffisamment de diplômés pour répondre à la demande des employeurs.

Par exemple, les quelque 140 diplômés en sciences biologiques de lUniversité Laval et de lUniversité de Sherbrooke ont pu choisir parmi près de 600 emplois au terme de leur parcours universitaire lan dernier.

Encore un article qui ne nous dit rien de nouveau.

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  • Habitués

Des articles et des stats c'est bien........mais le Concret c'est mieux ! et on peu pas dire que le concret soit a l'image des ces articles ! :huh:

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  • Habitués

Pourrait...pourrait...de nombreuses suppositions.

Ces mêmes personnes qui n'ont pas pu prévoir le dernier krach et les problèmes economiques qui ont suivis , ont evidemment la capacité de prévoir ce qui s'en vient.

Qu'ont fumé les auteurs ??

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source : journal de quebec 3 fev 2011.

par : CARL RENAUD

Agence QMI

MONTRÉAL | Le Québec connaîtra une pénurie de main-d'oeuvre qui affectera son économie dans les années à venir, car il y aura jusqu'à 26 fois plus d'offres d'emploi que de diplômés, selon Jobboom.

Les étudiants québécois peuvent dormir tranquilles, car les offres d'emploi seront supérieures au nombre de diplômés dans plusieurs secteurs d'activité au cours des prochaines années, selon la 14e édition du Bilan des perspectives du marché du travail rendu public hier matin par Jobboom.

Selon l'étude, quelque 80 programmes professionnels, collégiaux et universitaires offrent une formation dans des secteurs en situation de plein emploi au Québec.

Ces programmes sont liés aux technologies de l'information et des communications, qui se classent en tête de liste. On estime que les entreprises de ce domaine devront pourvoir 7 500 postes par an d'ici 2014.

« Plusieurs secteurs profitent de la vigueur de notre économie, des programmes d'infrastructures et des départs massifs à la retraite » , a noté Patricia Richard, directrice des contenus chez Jobboom.

Les assureurs et les entreprises de services financiers connaîtront une croissance importante en créant 10 000 emplois d'ici sept ou huit ans.

Le domaine de la transformation alimentaire et le secteur minier pourraient générer chacun 6 000 postes d'ici cinq ans en raison de la croissance attendue de leurs affaires. Les attentes sont aussi élevées dans les secteurs de la santé et de la construction.

Le réseau de la santé devra à lui seul embaucher de 13 000 à 22 000 employés d'ici 2015. On évalue que le domaine de la construction devra recruter 14 000 nouveaux travailleurs par an d'ici 2013.

Pas assez de diplômés

Jobboom a même constaté qu'une trentaine de programmes de formation n'arrivent pas à for mer suffisamment de diplômés pour répondre à la demande des employeurs.

Par exemple, les quelque 140 diplômés en sciences biologiques de l'Université Laval et de l'Université de Sherbrooke ont pu choisir parmi près de 600 emplois au terme de leur parcours universitaire l'an dernier.

Eh ouiiii !!! Y a pas un truc qui te gêne, là? : " Les étudiants québécois peuvent dormir tranquilles" !

.... Et les immigrants peuvent aller se rhabiller !!!

cet article a été publié dans le journal de Québec, donc il s adresse aux québécois, mais nous, qui sont en voie d immigration, nous devons lire ce qui se cache derrière ces lignes ;)

je suis pas québécois et je t explique ma vision et les signes qui me rendent optimiste dans cet article: c'est clair qu'un etudiant etranger peut avoir le statut de "résident permanent" après la fin de ses études facilement et le depos de la DCSQ n'est qu'une formalité,et tu sais bien qu'un résident permanent a tous les droits d'un citoyen canadien sauf le "droit de vote"(selon la loi canadienne) donc un nouveau immigrant qui veut se faire une place dans le marché d'emploi se retrouverait dans la même situation qu'un diplômé québécois ou canadien et le seule critère qui sera pris est la compétence.

si tu te doutes de la qualification et de la valeur des diplômes non québécois, ça c'est une autre manche et autre question; et cet article nous dit que le climat générale du marché d emploi est favorable pour un quebecois par conséquent pour un immigrant permanent supposé avoir la même qualification.

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Des articles et des stats c'est bien........mais le Concret c'est mieux ! et on peu pas dire que le concret soit a l'image des ces articles ! :huh:

j arrive pas à comprendre pourquoi vous dites ça??? hii les articles et les stats reflètent les vrais perspectives et et conditions réelles du marché au quebec .

par contre les articles de nos journaux et nos medias dont le but reste toujours le "camouflage " sous pretexte de donner une bonne image qui ne reflètent jamais la situation réelle.

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  • Habitués
Colombes

Une pénurie est loin d'être la panacée. Il y a toujours des inégalités qui se créent. Il y a par exemple une pénurie de main d'oeuvre dans le corps médical. C'est bien pour celui qui travaille dans ce domaine mais merci pour les autres C'est loin d'être une bonne nouvelle.

:mellow: Et puis un surplus de main-d'oeuvre avec chômage massif c'est mieux peut-être ? :innocent: Et puis il y a des métiers moins critiques que celui de médecin, par exemple une entreprise québécoise qui exporte des boulons au États-Unis et qui se retrouverait en pénurie de main-d'oeuvre qui aurait pour effet de réduire ses exportations aux État-Unis, et bien je suis certain que des compétiteurs aux États-Unis ou ailleurs dans le monde pourrait augmenter leur production et combler

la différence... Le pire qui puisse arriver dans un pays c'est un excédent de main-d'oeuvre avec chômage massif et les possibilités d'instabilité et de révoltes que cela suppose...

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  • Habitués

Cet article c'est du déjà vu, du déjà entendu :B)

Quelque soit le nombre d'emploi, le Québec n'ouvrira pas la pompe pour ces precieux métiers protégés tel que les medecins, les avocats, les comptables agrées ... ici au Québec on crie tous les jours le manque de medecins dans les hopitaux, allez faire un tour chez les chauffeurs de taxi vous allez trouver des tas de medecins diplomés à l'étranger qui font ce boulot, sans commentaire ....

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Ce n'est pas la premier article publié sur le forum qui vient nous narguer...

Comme le dit Cherrybee, des emplois pour les diplômés oui, mais pour les diplômés Québécois !!! Et pour les migrants, que dalle !! Et pourquoi donc me direz-vous ?

Parce que les migrants ne connaissent pas le marché du travail canadien, la façon de faire, la façon de travailler, les us et coutumes du pays, etc, etc... Ce n'est pas moi qui le dit, mais ceux qui embauchent !

Alors tant mieux pour les étudiants québécois, et pour ceux qui ont des enfants aux études : poussez les à continuer !!! Ils seront les rois dans peu de temps !!

J'avoue en effet que pour ma fille, c'est très, très encourageant ! Est-ce que cela vous offusque que ma fille réussisse sa vie dans son propre pays ? :huh:

Comme l'a souligné Cherrybee, et c'est également ce qui m'avait fait sursauté en lisant l'article, c'est qu'on y parle de Québécois et de diplômes ... québécois.

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j aime bien partagé avec vous la lecture de cet article que j ai lu aujourd'hui; ç'est encouragent pour les nouveaux immigrants.

source : journal de quebec 3 fev 2011.

par : CARL RENAUD

Agence QMI

MONTRÉAL | Le Québec connaîtra une pénurie de main-d'oeuvre qui affectera son économie dans les années à venir, car il y aura jusqu'à 26 fois plus d'offres d'emploi que de diplômés, selon Jobboom.

Les étudiants québécois peuvent dormir tranquilles, car les offres d'emploi seront supérieures au nombre de diplômés dans plusieurs secteurs d'activité au cours des prochaines années, selon la 14e édition du Bilan des perspectives du marché du travail rendu public hier matin par Jobboom.

Selon l'étude, quelque 80 programmes professionnels, collégiaux et universitaires offrent une formation dans des secteurs en situation de plein emploi au Québec.

Ces programmes sont liés aux technologies de l'information et des communications, qui se classent en tête de liste. On estime que les entreprises de ce domaine devront pourvoir 7 500 postes par an d'ici 2014.

« Plusieurs secteurs profitent de la vigueur de notre économie, des programmes d'infrastructures et des départs massifs à la retraite » , a noté Patricia Richard, directrice des contenus chez Jobboom.

Les assureurs et les entreprises de services financiers connaîtront une croissance importante en créant 10 000 emplois d'ici sept ou huit ans.

Le domaine de la transformation alimentaire et le secteur minier pourraient générer chacun 6 000 postes d'ici cinq ans en raison de la croissance attendue de leurs affaires. Les attentes sont aussi élevées dans les secteurs de la santé et de la construction.

Le réseau de la santé devra à lui seul embaucher de 13 000 à 22 000 employés d'ici 2015. On évalue que le domaine de la construction devra recruter 14 000 nouveaux travailleurs par an d'ici 2013.

Pas assez de diplômés

Jobboom a même constaté qu'une trentaine de programmes de formation n'arrivent pas à for mer suffisamment de diplômés pour répondre à la demande des employeurs.

Par exemple, les quelque 140 diplômés en sciences biologiques de l'Université Laval et de l'Université de Sherbrooke ont pu choisir parmi près de 600 emplois au terme de leur parcours universitaire l'an dernier.

Eh ouiiii !!! Y a pas un truc qui te gêne, là? : " Les étudiants québécois peuvent dormir tranquilles" !

.... Et les immigrants peuvent aller se rhabiller !!!

cet article a été publié dans le journal de Québec, donc il s adresse aux québécois, mais nous, qui sont en voie d immigration, nous devons lire ce qui se cache derrière ces lignes ;)

je suis pas québécois et je t explique ma vision et les signes qui me rendent optimiste dans cet article: c'est clair qu'un etudiant etranger peut avoir le statut de "résident permanent" après la fin de ses études facilement et le depos de la DCSQ n'est qu'une formalité,et tu sais bien qu'un résident permanent a tous les droits d'un citoyen canadien sauf le "droit de vote"(selon la loi canadienne) donc un nouveau immigrant qui veut se faire une place dans le marché d'emploi se retrouverait dans la même situation qu'un diplômé québécois ou canadien et le seule critère qui sera pris est la compétence.

si tu te doutes de la qualification et de la valeur des diplômes non québécois, ça c'est une autre manche et autre question; et cet article nous dit que le climat générale du marché d emploi est favorable pour un quebecois par conséquent pour un immigrant permanent supposé avoir la même qualification.

Wisi, ce n'est pas Cherrybee qui doute de la qualité des diplômes obtenus à l'étranger ... ce sont les employeurs ! Peut-être êtes-vous nouvelle; regardez mon profil. Je suis en RH et je sais que l'on tique énormément sur les diplômes étrangers; en plus, quand la personne n'a pas d'expérience de travail québécoise dans son domaine d''études, son CV est classé dans les limbes.

Donc, diplômes étrangers et absence d'expérience québécoise sont les deux écueils sur lesquels se heurtent de nombreux immigrants.

Modifié par Ensaimada
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Cet article c'est du déjà vu, du déjà entendu :B)

Quelque soit le nombre d'emploi, le Québec n'ouvrira pas la pompe pour ces precieux métiers protégés tel que les medecins, les avocats, les comptables agrées ... ici au Québec on crie tous les jours le manque de medecins dans les hopitaux, allez faire un tour chez les chauffeurs de taxi vous allez trouver des tas de medecins diplomés à l'étranger qui font ce boulot, sans commentaire ....

Tu es ici depuis un bon moment maintenant, E-Logisticien, et tu sais de quoi tu parles. :thumbsup:

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  • Habitués

encore des articles qui entrent dans la compagne de séduction d'immigration , perso je préfère mieux lire les témoignages des immigrants !

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Comme le dit Cherrybee, des emplois pour les diplômés oui, mais pour les diplômés Québécois !!! Et pour les migrants, que dalle !! Et pourquoi donc me direz-vous ?

Parce que les migrants ne connaissent pas le marché du travail canadien, la façon de faire, la façon de travailler, les us et coutumes du pays, etc, etc... Ce n'est pas moi qui le dit, mais ceux qui embauchent !

Alors tant mieux pour les étudiants québécois, et pour ceux qui ont des enfants aux études : poussez les à continuer !!! Ils seront les rois dans peu de temps !!

J'avoue en effet que pour ma fille, c'est très, très encourageant ! Est-ce que cela vous offusque que ma fille réussisse sa vie dans son propre pays ? :huh:

Je devrais m'offusquer parce que ta fille fait des études ?? :huh: Heu, ben non, tant mieux pour elle au contraire. Ma réflexion n'avait rien d'ironique, bien au contraire. Moi, je n'ai jamais fait d'études, et je trouve ça très bien que les parents poussent leurs enfants à en faire, parce qu'au moins, ils ne se retrouveront pas dans la même galère que moi qui suis obligée de justifier mes compétences (très vastes) parce que je n'ai justement pas les diplômes qui le prouvent... Et puis je pense aussi à mon fils, qui, s'il fait ses études au Québec, pourra s'enorgueillir de connaitre le marché même si ce n'est qu'un "migrant".

Comme l'a souligné Cherrybee, et c'est également ce qui m'avait fait sursauté en lisant l'article, c'est qu'on y parle de Québécois et de diplômes ... québécois.

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  • Habitués

Ensaimada

et c'est également ce qui m'avait fait sursauté en lisant l'article, c'est qu'on y parle de Québécois et de diplômes ... québécois.

:rolleyes: A partir du moment où beaucoup de diplômes étrangers sont non-reconnus c'est à se demander ce qui te fais "sursauter" ? :wacko: Mais ça les immigrants le savent ( ou devraient le savoir ) avant d'immigrer au Canada...

Modifié par Socrate80
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Comme le dit Cherrybee, des emplois pour les diplômés oui, mais pour les diplômés Québécois !!! Et pour les migrants, que dalle !! Et pourquoi donc me direz-vous ?

Parce que les migrants ne connaissent pas le marché du travail canadien, la façon de faire, la façon de travailler, les us et coutumes du pays, etc, etc... Ce n'est pas moi qui le dit, mais ceux qui embauchent !

Alors tant mieux pour les étudiants québécois, et pour ceux qui ont des enfants aux études : poussez les à continuer !!! Ils seront les rois dans peu de temps !!

J'avoue en effet que pour ma fille, c'est très, très encourageant ! Est-ce que cela vous offusque que ma fille réussisse sa vie dans son propre pays ? :huh:

Je devrais m'offusquer parce que ta fille fait des études ?? :huh: Heu, ben non, tant mieux pour elle au contraire. Ma réflexion n'avait rien d'ironique, bien au contraire. Moi, je n'ai jamais fait d'études, et je trouve ça très bien que les parents poussent leurs enfants à en faire, parce qu'au moins, ils ne se retrouveront pas dans la même galère que moi qui suis obligée de justifier mes compétences (très vastes) parce que je n'ai justement pas les diplômes qui le prouvent... Et puis je pense aussi à mon fils, qui, s'il fait ses études au Québec, pourra s'enorgueillir de connaitre le marché même si ce n'est qu'un "migrant".

Comme l'a souligné Cherrybee, et c'est également ce qui m'avait fait sursauté en lisant l'article, c'est qu'on y parle de Québécois et de diplômes ... québécois.

Ok, je comprends mieux; j'avais ressenti une pointe d'amertume dans votre message, mais visiblement je m'étais trompée. :)

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