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Le Québec embauche


Invité

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http://lapresseaffai...ec-embauche.php

Bien que cela puisse sembler paradoxal au vu de certaines expériences vécues ici, le Québec est en mode embauche.

Le Québec embauche

Publié le 02 février 2011 à 11h01 | Mis à jour le 03 février 2011 à 07h05

235031-selon-consultation-menee-ordre-conseillers.jpg

Photo Patrick Sanfaçon, archives La Presse

Selon une consultation menée par l'Ordre des conseillers en ressources humaines agréés, 45,9% des répondants ont affirmé que leur entreprise s'apprêtait à embaucher de nouveaux travailleurs.

(Montréal) La firme d'ingénierie Dessau a bien des projets, mais encore faut-il des gens pour les mener à bien. Sur le site internet de l'entreprise montréalaise, pas moins de 102 nouveaux postes sont offerts. Et la bonne nouvelle pour les chercheurs d'emploi, c'est que bien d'autres organisations sont prêtes à gonfler leurs rangs.

> Suivez Hugo Fontaine sur Twitter

Un sondage de l'Ordre des conseillers en ressources humaines agréés (OCRHA) révèle que le marché de l'emploi québécois offre de très bonnes perspectives pour les travailleurs. L'Ordre a sondé 485 de ses membres travaillant dans des organisations publiques ou privées. Près de 46% des répondants prévoient une augmentation du nombre d'employés dans leur entreprise au cours des trois prochains mois. Seulement 3,3% d'entre eux anticipent une baisse. À Montréal, la proportion des entreprises qui se préparent à embaucher grimpe à 53,6%.

«Ce sont des résultats très positifs pour les chercheurs d'emploi, constate Florent Francoeur, président-directeur général de l'Ordre. Le grand message, c'est que les entreprises sont en mode embauche.»

«Nous avons besoin de main-d'oeuvre spécialisée pour réaliser nos projets, tant à Montréal que dans les régions, souligne la directrice des communications de Dessau, Katia Reyburn. On regarde l'avenir d'un bon oeil. Et c'est encourageant pour les jeunes ingénieurs et jeunes techniciens.»

740 000 emplois d'ici 2014

Généralement, les entreprises en croissance vont d'abord tenter de combler leurs besoins en allongeant les heures de travail ou en faisant travailler davantage les employés à temps partiel ou les sous-traitants. Mais on ne peut étirer cet élastique indéfiniment, note Florent Francoeur.

À un certain moment, la croissance force à recruter de nouveaux employés. C'est d'autant plus vrai à une époque où les départs à la retraite sont de plus en plus nombreux. Emploi-Québec estime que 740 000 emplois seront disponibles au Québec d'ici 2014. De ce nombre, les deux tiers serviront à remplacer les nouveaux retraités.

Dans ce contexte, le besoin grandissant de main-d'oeuvre aura un effet pervers pour les entreprises. «Cela va créer une minispirale inflationniste sur le plan des salaires, explique M. Francoeur. Et dans certains cas, ce sera de plus en plus difficile de trouver la bonne personne.»

Les efforts de recrutement s'intensifieront, selon ce qu'anticipe près de la moitié des conseillers sondés par l'OCRHA.

Et pour les attirer, quoi de mieux qu'un salaire compétitif? Car 46% des répondants s'attendent à des augmentations salariales plus fortes que l'inflation dans leur entreprise en 2011. C'est plus élevé que ceux qui anticipent une baisse des salaires (18,9%) ou que ceux qui s'attendent à une stagnation (34,7%). Selon M. Francoeur, la pression à la hausse se fera sentir particulièrement dans les secteurs plus spécialisés.

240 000 nouveaux postes

Des 740 000 emplois à pourvoir d'ici 2014, 240 000 sont le résultat d'une création de postes, comme c'est d'ailleurs le cas chez Dessau. La plupart des secteurs économiques connaîtront une croissance, selon Emploi-Québec. Mais ce sont les secteurs de la santé (" 39 500), d'une part, et des services professionnels, scientifiques et techniques (" 35 600), d'autre part, qui connaîtront la plus forte croissance des emplois.

Le marché québécois de l'emploi fait très bonne figure actuellement. La province affiche 60 000 emplois de plus qu'à son sommet d'octobre 2008, juste avant la crise économique.

La première enquête de l'OCRHA sur les perspectives de l'emploi a une marge d'erreur de 4,3 points de pourcentage, 19 fois sur 20. Elle s'est déroulée entre le 20 et le 26 janvier. Les 485 membres sondés travaillent dans des organisations regroupant un total de quelque 204 000 employés. L'Ordre effectuera répétera le même coup de sonde à tous les trimestres.

EN CHIFFRES

45,9 %

Près des la moitié des conseillers en ressources humaines s'attendent à une augmentation du nombre d'employés dans leur entreprise au cours du premier trimestre

740 000

Emplois disponibles au Québec d'ici 2014(nouveaux emplois et remplacements de retraite)

240 000

Création nette d'emplois au Québec d'ici 2014

Sources : Ordre des conseillers en ressources humaines agréés, Emploi-Québec

Modifié par Ensaimada
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  • Habitués

Franchement, on a du mal à croire à ce genre d'articles quand on voit la bérézina actuelle parmi nos migrants...C'est un peu de la science-fiction que de lire ça...:mellow:

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  • Habitués

http://lapresseaffai...ec-embauche.php

Bien que cela puisse sembler paradoxal au vu de certaines expériences vécues ici, le Québec est en mode embauche.

Le Québec embauche

Publié le 02 février 2011 à 11h01 | Mis à jour le 03 février 2011 à 07h05

235031-selon-consultation-menee-ordre-conseillers.jpg

Photo Patrick Sanfaçon, archives La Presse

Selon une consultation menée par l'Ordre des conseillers en ressources humaines agréés, 45,9% des répondants ont affirmé que leur entreprise s'apprêtait à embaucher de nouveaux travailleurs.

(Montréal) La firme d'ingénierie Dessau a bien des projets, mais encore faut-il des gens pour les mener à bien. Sur le site internet de l'entreprise montréalaise, pas moins de 102 nouveaux postes sont offerts. Et la bonne nouvelle pour les chercheurs d'emploi, c'est que bien d'autres organisations sont prêtes à gonfler leurs rangs.

> Suivez Hugo Fontaine sur Twitter

Un sondage de l'Ordre des conseillers en ressources humaines agréés (OCRHA) révèle que le marché de l'emploi québécois offre de très bonnes perspectives pour les travailleurs. L'Ordre a sondé 485 de ses membres travaillant dans des organisations publiques ou privées. Près de 46% des répondants prévoient une augmentation du nombre d'employés dans leur entreprise au cours des trois prochains mois. Seulement 3,3% d'entre eux anticipent une baisse. À Montréal, la proportion des entreprises qui se préparent à embaucher grimpe à 53,6%.

«Ce sont des résultats très positifs pour les chercheurs d'emploi, constate Florent Francoeur, président-directeur général de l'Ordre. Le grand message, c'est que les entreprises sont en mode embauche.»

«Nous avons besoin de main-d'oeuvre spécialisée pour réaliser nos projets, tant à Montréal que dans les régions, souligne la directrice des communications de Dessau, Katia Reyburn. On regarde l'avenir d'un bon oeil. Et c'est encourageant pour les jeunes ingénieurs et jeunes techniciens.»

740 000 emplois d'ici 2014

Généralement, les entreprises en croissance vont d'abord tenter de combler leurs besoins en allongeant les heures de travail ou en faisant travailler davantage les employés à temps partiel ou les sous-traitants. Mais on ne peut étirer cet élastique indéfiniment, note Florent Francoeur.

À un certain moment, la croissance force à recruter de nouveaux employés. C'est d'autant plus vrai à une époque où les départs à la retraite sont de plus en plus nombreux. Emploi-Québec estime que 740 000 emplois seront disponibles au Québec d'ici 2014. De ce nombre, les deux tiers serviront à remplacer les nouveaux retraités.

Dans ce contexte, le besoin grandissant de main-d'oeuvre aura un effet pervers pour les entreprises. «Cela va créer une minispirale inflationniste sur le plan des salaires, explique M. Francoeur. Et dans certains cas, ce sera de plus en plus difficile de trouver la bonne personne.»

Les efforts de recrutement s'intensifieront, selon ce qu'anticipe près de la moitié des conseillers sondés par l'OCRHA.

Et pour les attirer, quoi de mieux qu'un salaire compétitif? Car 46% des répondants s'attendent à des augmentations salariales plus fortes que l'inflation dans leur entreprise en 2011. C'est plus élevé que ceux qui anticipent une baisse des salaires (18,9%) ou que ceux qui s'attendent à une stagnation (34,7%). Selon M. Francoeur, la pression à la hausse se fera sentir particulièrement dans les secteurs plus spécialisés.

240 000 nouveaux postes

Des 740 000 emplois à pourvoir d'ici 2014, 240 000 sont le résultat d'une création de postes, comme c'est d'ailleurs le cas chez Dessau. La plupart des secteurs économiques connaîtront une croissance, selon Emploi-Québec. Mais ce sont les secteurs de la santé (" 39 500), d'une part, et des services professionnels, scientifiques et techniques (" 35 600), d'autre part, qui connaîtront la plus forte croissance des emplois.

Le marché québécois de l'emploi fait très bonne figure actuellement. La province affiche 60 000 emplois de plus qu'à son sommet d'octobre 2008, juste avant la crise économique.

La première enquête de l'OCRHA sur les perspectives de l'emploi a une marge d'erreur de 4,3 points de pourcentage, 19 fois sur 20. Elle s'est déroulée entre le 20 et le 26 janvier. Les 485 membres sondés travaillent dans des organisations regroupant un total de quelque 204 000 employés. L'Ordre effectuera répétera le même coup de sonde à tous les trimestres.

EN CHIFFRES

45,9 %

Près des la moitié des conseillers en ressources humaines s'attendent à une augmentation du nombre d'employés dans leur entreprise au cours du premier trimestre

740 000

Emplois disponibles au Québec d'ici 2014(nouveaux emplois et remplacements de retraite)

240 000

Création nette d'emplois au Québec d'ici 2014

Sources : Ordre des conseillers en ressources humaines agréés, Emploi-Québec

Pour ma part...je ne vais plus croire à ce genre d'articles.

Bien à vous.

Ciao.

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  • Habitués

la compagne de séduction est une chose et la réalité s'en est une autre, pour ma part je me base surtout sur les récits et témoignages des immigrants et non pas sur des articles et des photos de paysages des cartes postales afin d'avoir une idée exacte de la situation d'immigrants au Québec!

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  • Habitués

Bullshit ...

Et il y a combien de finissants dans les universités, les cégeps et les CFP?

Et ils ont omis de préciser que les immigrants ne font pas partie des candidats recherchés.

Modifié par Kweli
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  • Habitués
La Presse Affaires

Nous avons besoin de main-d'oeuvre spécialisée pour réaliser nos projets, tant à Montréal que dans les régions, souligne la directrice des communications de Dessau, Katia Reyburn.

:mellow: Le maître mot ici c'est main d'oeuvre spécialisée c'est-à-dire des emplois qui exigent des diplômes, or les diplômes des immigrants sont souvent non-reconnus... Donc dans beaucoup de cas les immigrants ne peuvent aucunement appliquer pour ces postes pour cause de diplômes non-reconnus ! C'est le ridicule des politiques d'immigrations actuelles du gouvernement du Québec... Le gouvernement du Québec va devoir brasser les ordres professionnels du Québec pour une plus grande reconnaissance des diplômes acquis à l'extérieur du Québec ou alors changer ses critères de sélection des immigrants qui sont actuellement inadéquats.

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  • Habitués

La Presse Affaires

Nous avons besoin de main-d'oeuvre spécialisée pour réaliser nos projets, tant à Montréal que dans les régions, souligne la directrice des communications de Dessau, Katia Reyburn.

:mellow: Le maître mot ici c'est main d'oeuvre spécialisée c'est-à-dire des emplois qui exigent des diplômes, or les diplômes des immigrants sont souvent non-reconnus... Donc dans beaucoup de cas les immigrants ne peuvent aucunement appliquer pour ces postes pour cause de diplômes non-reconnus ! C'est le ridicule des politiques d'immigrations actuelles du gouvernement du Québec... Le gouvernement du Québec va devoir brasser les ordres professionnels du Québec pour une plus grande reconnaissance des diplômes acquis à l'extérieur du Québec ou alors changer ses critères de sélection des immigrants qui sont actuellement inadéquats.

Les ordres professionnels sont indépendants et tout-puissants. Ca va être difficile de les brasser. La main-d'oeuvre spécialisée concerne peut-être maintenant des métiers plutôt manuels, et là, oui, il va falloir peut-être changer les critères de sélection.

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  • Habitués

Bullshit ...

Et il y a combien de finissants dans les universités, les cégeps et les CFP?

Et ils ont omis de préciser que les immigrants ne font pas partie des candidats recherchés.

Voyons Kweli, que veux-tu ?

Si c'est positif c'est juste de la Bullshit, c'est ça ?

C'est des bonnes nouvelles pour tout le monde, même les immigrants !

Ça ne veut pas nécessairement dire que l'économie ira mieux, ça nous le verrons. Mais qu'au moins les entrepreneurs sont positif.

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  • Habitués

Bullshit ...

Et il y a combien de finissants dans les universités, les cégeps et les CFP?

Et ils ont omis de préciser que les immigrants ne font pas partie des candidats recherchés.

C'est des bonnes nouvelles pour tout le monde, même les immigrants !

au moins les entrepreneurs sont positif.

Pas forcément. Le gouvernement a dit qu'on a besoin des immigrants, les entrepreneurs ont dit qu'ils ont besoin de main-d'oeuvre. Tout est dans la nuance . ^_^

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Je comprends tout à fait vos réactions et suis en accord avec vos propos. Je crois en effet, comme le mentionne Socrate, qu'il y a des besoins en main-d'oeuvre spécialisée... mais ça ne semble pas couvrir la portion « immigration ».

Beaucoup l'ont souligné, et sur de nombreux forums, et même dans le livre « Ils sont fous ces Québécois », de Géraldine Woessner, dont je viens de terminer la lecture : il y a un fossé très large entre ce que dit le gouvernement aux immigrants et la réalité sur le terrain.

Cette auteur mentionne, d'ailleurs, que nous avons sans doute, au Québec, les chauffeurs de taxi les plus scolarisés du monde. Mais je pense que des gens d'expérience, diplômés, qui sont venus ici pour améliorer leurs conditions de vie, ne pensaient pas se retrouver chauffeurs de taxi...

Bref, encore une fois, le gouvernement va devoir réviser ses politiques.

Et je vous comprends de ne pas accorder beaucoup d'importance à ce genre d'article.

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Franchement, on a du mal à croire à ce genre d'articles quand on voit la bérézina actuelle parmi nos migrants...C'est un peu de la science-fiction que de lire ça...:mellow:

Je suis entièrement d'accord !!! ça me met dans une colère noire !!! :angry:

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  • Habitués

Bullshit ...

Et il y a combien de finissants dans les universités, les cégeps et les CFP?

Et ils ont omis de préciser que les immigrants ne font pas partie des candidats recherchés.

Voyons Kweli, que veux-tu ?

Si c'est positif c'est juste de la Bullshit, c'est ça ?

C'est des bonnes nouvelles pour tout le monde, même les immigrants !

Ça ne veut pas nécessairement dire que l'économie ira mieux, ça nous le verrons. Mais qu'au moins les entrepreneurs sont positif.

C'est de la bullshit. Parce que moi et toi on sait que:

1) Cette chanson-là, on nous la chante tout le temps. Depuis qu'on agite le bonhomme sept-heures des départs à la retraite des baby-boomers, or je n'en vois pas beaucoup qui partent. En fait, ils partent pour mieux revenir quelque temps après;

2) Les diplômés québécois ne sont pas tous placés, loin de là. Qui ne connaît pas une personne ayant un DEC en informatique ou un diplômé universitaire en génie qui travaille chez Tim Hortons?

3) La reconnaissance des diplômes et des expériences des immigrants par les employeurs est loin d'être acquise (je dirais même que les RH ont une grosse cote à remonter).

Ben voilà.

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Bullshit ...

Et il y a combien de finissants dans les universités, les cégeps et les CFP?

Et ils ont omis de préciser que les immigrants ne font pas partie des candidats recherchés.

C'est des bonnes nouvelles pour tout le monde, même les immigrants !

au moins les entrepreneurs sont positif.

Pas forcément. Le gouvernement a dit qu'on a besoin des immigrants, les entrepreneurs ont dit qu'ils ont besoin de main-d'oeuvre. Tout est dans la nuance . ^_^

J'abonde dans le même sens; tout est dans la nuance en effet. Le gouvernement fait une chose, les entrepreneurs et les employeurs peuvent en faire une autre; en plus, ils sont libres de choisir qui ils veulent.

Il va y avoir des embauches, c'est indéniable, mais combien d'immigrants seront touchés par cela ? Est-ce que cela aura un réel impact sur leurs recherches d'emplois ou seront-ils écartés pour toutes sortes de raison ... dont le diplôme et le manque d'expérience au Québec.

Pour un poste affiché ici, dans le domaine de la recherche, en santé, une femme (roumaine) est venue deux fois me rencontrer avec son mari pour me prouver à quel point ce poste l'intéressait. C'était son travail dans son pays et ici, elle n'arrive pas à percer ... en raison de son inexpérience du marché québécois et de sa méconnaissance du réseau de la santé. J'ai pris le temps de discuter avec elle et son mari (qui lui est sans emploi). Je leur ai dit que j'étais tout à fait au courant de cette « dichotomie », que je comprenais sa désillusion, mais que les candidats pour l'entrevue avaient déjà été sélectionnés. Je l'ai invitée à continuer à visiter notre site Web, au cas où...

De voir ces gens devant moi, pour vrai, avec les vrais problèmes dont on parle ici, je trouve cela troublant. Malheureusement, je suis secrétaire et n'ai aucun pouvoir décisionnel.

Bullshit ...

Et il y a combien de finissants dans les universités, les cégeps et les CFP?

Et ils ont omis de préciser que les immigrants ne font pas partie des candidats recherchés.

Voyons Kweli, que veux-tu ?

Si c'est positif c'est juste de la Bullshit, c'est ça ?

C'est des bonnes nouvelles pour tout le monde, même les immigrants !

Ça ne veut pas nécessairement dire que l'économie ira mieux, ça nous le verrons. Mais qu'au moins les entrepreneurs sont positif.

C'est de la bullshit. Parce que moi et toi on sait que:

1) Cette chanson-là, on nous la chante tout le temps. Depuis qu'on agite le bonhomme sept-heures des départs à la retraite des baby-boomers, or je n'en vois pas beaucoup qui partent. En fait, ils partent pour mieux revenir quelque temps après;

2) Les diplômés québécois ne sont pas tous placés, loin de là. Qui ne connaît pas une personne ayant un DEC en informatique ou un diplômé universitaire en génie qui travaille chez Tim Hortons?

3) La reconnaissance des diplômes et des expériences des immigrants par les employeurs est loin d'être acquise (je dirais même que les RH ont une grosse cote à remonter).

Ben voilà.

Je plussoie entièrement !

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Bullshit ...

Et il y a combien de finissants dans les universités, les cégeps et les CFP?

Et ils ont omis de préciser que les immigrants ne font pas partie des candidats recherchés.

C'est des bonnes nouvelles pour tout le monde, même les immigrants !

au moins les entrepreneurs sont positif.

Pas forcément. Le gouvernement a dit qu'on a besoin des immigrants, les entrepreneurs ont dit qu'ils ont besoin de main-d'oeuvre. Tout est dans la nuance . ^_^

J'abonde dans le même sens; tout est dans la nuance en effet. Le gouvernement fait une chose, les entrepreneurs et les employeurs peuvent en faire une autre; en plus, ils sont libres de choisir qui ils veulent.

Il va y avoir des embauches, c'est indéniable, mais combien d'immigrants seront touchés par cela ? Est-ce que cela aura un réel impact sur leurs recherches d'emplois ou seront-ils écartés pour toutes sortes de raison ... dont le diplôme et le manque d'expérience au Québec.

Pour un poste affiché ici, dans le domaine de la recherche, en santé, une femme (roumaine) est venue deux fois me rencontrer avec son mari pour me prouver à quel point ce poste l'intéressait. C'était son travail dans son pays et ici, elle n'arrive pas à percer ... en raison de son inexpérience du marché québécois et de sa méconnaissance du réseau de la santé. J'ai pris le temps de discuter avec elle et son mari (qui lui est sans emploi). Je leur ai dit que j'étais tout à fait au courant de cette « dichotomie », que je comprenais sa désillusion, mais que les candidats pour l'entrevue avaient déjà été sélectionnés. Je l'ai invitée à continuer à visiter notre site Web, au cas où...

De voir ces gens devant moi, pour vrai, avec les vrais problèmes dont on parle ici, je trouve cela troublant. Malheureusement, je suis secrétaire et n'ai aucun pouvoir décisionnel.

Bullshit ...

Et il y a combien de finissants dans les universités, les cégeps et les CFP?

Et ils ont omis de préciser que les immigrants ne font pas partie des candidats recherchés.

Voyons Kweli, que veux-tu ?

Si c'est positif c'est juste de la Bullshit, c'est ça ?

C'est des bonnes nouvelles pour tout le monde, même les immigrants !

Ça ne veut pas nécessairement dire que l'économie ira mieux, ça nous le verrons. Mais qu'au moins les entrepreneurs sont positif.

C'est de la bullshit. Parce que moi et toi on sait que:

1) Cette chanson-là, on nous la chante tout le temps. Depuis qu'on agite le bonhomme sept-heures des départs à la retraite des baby-boomers, or je n'en vois pas beaucoup qui partent. En fait, ils partent pour mieux revenir quelque temps après;

2) Les diplômés québécois ne sont pas tous placés, loin de là. Qui ne connaît pas une personne ayant un DEC en informatique ou un diplômé universitaire en génie qui travaille chez Tim Hortons?

3) La reconnaissance des diplômes et des expériences des immigrants par les employeurs est loin d'être acquise (je dirais même que les RH ont une grosse cote à remonter).

Ben voilà.

Je plussoie entièrement !

Moi too !!! <_<

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  • Habitués

je ne sais pas quoi dire, les articles sont des cartepostale comme dit Veniziano, mais la réalité c'est la plus part des diplomes, compétences et expérience des immigrants n'auront pas de plce au Québec, parceque les systemes au québec sont completement différents que ceux de l'europe ou de l'affrique....:innocent:

que Dieu nous bénisse.

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  • Habitués

C'est de la bullshit. Parce que moi et toi on sait que:

1) Cette chanson-là, on nous la chante tout le temps. Depuis qu'on agite le bonhomme sept-heures des départs à la retraite des baby-boomers, or je n'en vois pas beaucoup qui partent. En fait, ils partent pour mieux revenir quelque temps après;

2) Les diplômés québécois ne sont pas tous placés, loin de là. Qui ne connaît pas une personne ayant un DEC en informatique ou un diplômé universitaire en génie qui travaille chez Tim Hortons?

3) La reconnaissance des diplômes et des expériences des immigrants par les employeurs est loin d'être acquise (je dirais même que les RH ont une grosse cote à remonter).

Ben voilà.

L'étude dit que les employeurs prévoient augmenter leurs nombres d'employés. Que les babyboomers restent plus longtemps c'est une bonne nouvelle pour la société. Ça n'empêche pas que les employeurs prévoient embaucher même si les babyboomers restent, c'est ça la bonne nouvelle !

Bien sûr que les diplômés Québécois ne sont pas tous placés, le plein emploi avec un taux de chomâge de 2 ou 3 % ammènes d'autres problèmes. Mon neveu me parlait de ses amis des gars de 25 et 26 ans, très peu d'entre eux ont des études universitaires, ils sont machinistes, soudeurs travailleurs de la construction. Ils gagnent plus de 40 000$ peut-être plus de 50 000$. Si un universitaire ne trouve pas d'emploi dans sa branche qu'il se réveille, une petite année d'étude au niveau professionnel puis il pourra se trouver un bon emploi rapidement. Faut arrêter de s'apitoyer sur son sort et foncer ! Je connais des universitaires qui ne feront rien de leurs vies !!!

Pour les immigrants ce n'est pas de nier leurs problèmes de reconnaissance de diplômes, mais si le taux de chomâge diminue en général, il diminuera immanquablement pour les immigrants aussi. Si vous croyez le contraire vous êtes méchament négatif !!!

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  • Habitués

La Presse Affaires

Nous avons besoin de main-d'oeuvre spécialisée pour réaliser nos projets, tant à Montréal que dans les régions, souligne la directrice des communications de Dessau, Katia Reyburn.

:mellow: Le maître mot ici c'est main d'oeuvre spécialisée c'est-à-dire des emplois qui exigent des diplômes, or les diplômes des immigrants sont souvent non-reconnus... Donc dans beaucoup de cas les immigrants ne peuvent aucunement appliquer pour ces postes pour cause de diplômes non-reconnus ! C'est le ridicule des politiques d'immigrations actuelles du gouvernement du Québec... Le gouvernement du Québec va devoir brasser les ordres professionnels du Québec pour une plus grande reconnaissance des diplômes acquis à l'extérieur du Québec ou alors changer ses critères de sélection des immigrants qui sont actuellement inadéquats.

Les ordres professionnels sont indépendants et tout-puissants. Ca va être difficile de les brasser. La main-d'oeuvre spécialisée concerne peut-être maintenant des métiers plutôt manuels, et là, oui, il va falloir peut-être changer les critères de sélection.

c'est la que tu te trompe,

c'est qui qui a mis en place les ordres professionnels ?

le(s) gouvernement(s) du Québec.

ce qu'il a mis en place il peut le défaire...

mais bon pour ca il faut une volonté politique,

ce qui à priori n'arrivera jamais

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  • Habitués

La Presse Affaires

Nous avons besoin de main-d'oeuvre spécialisée pour réaliser nos projets, tant à Montréal que dans les régions, souligne la directrice des communications de Dessau, Katia Reyburn.

:mellow: Le maître mot ici c'est main d'oeuvre spécialisée c'est-à-dire des emplois qui exigent des diplômes, or les diplômes des immigrants sont souvent non-reconnus... Donc dans beaucoup de cas les immigrants ne peuvent aucunement appliquer pour ces postes pour cause de diplômes non-reconnus ! C'est le ridicule des politiques d'immigrations actuelles du gouvernement du Québec... Le gouvernement du Québec va devoir brasser les ordres professionnels du Québec pour une plus grande reconnaissance des diplômes acquis à l'extérieur du Québec ou alors changer ses critères de sélection des immigrants qui sont actuellement inadéquats.

ah bein la je suis sur le Cul !!!

encore une fois d'accord ca va finir comme une sale habitude

lol

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C'est de la bullshit. Parce que moi et toi on sait que:

1) Cette chanson-là, on nous la chante tout le temps. Depuis qu'on agite le bonhomme sept-heures des départs à la retraite des baby-boomers, or je n'en vois pas beaucoup qui partent. En fait, ils partent pour mieux revenir quelque temps après;

2) Les diplômés québécois ne sont pas tous placés, loin de là. Qui ne connaît pas une personne ayant un DEC en informatique ou un diplômé universitaire en génie qui travaille chez Tim Hortons?

3) La reconnaissance des diplômes et des expériences des immigrants par les employeurs est loin d'être acquise (je dirais même que les RH ont une grosse cote à remonter).

Ben voilà.

L'étude dit que les employeurs prévoient augmenter leurs nombres d'employés. Que les babyboomers restent plus longtemps c'est une bonne nouvelle pour la société. Ça n'empêche pas que les employeurs prévoient embaucher même si les babyboomers restent, c'est ça la bonne nouvelle !

Bien sûr que les diplômés Québécois ne sont pas tous placés, le plein emploi avec un taux de chomâge de 2 ou 3 % ammènes d'autres problèmes. Mon neveu me parlait de ses amis des gars de 25 et 26 ans, très peu d'entre eux ont des études universitaires, ils sont machinistes, soudeurs travailleurs de la construction. Ils gagnent plus de 40 000$ peut-être plus de 50 000$. Si un universitaire ne trouve pas d'emploi dans sa branche qu'il se réveille, une petite année d'étude au niveau professionnel puis il pourra se trouver un bon emploi rapidement. Faut arrêter de s'apitoyer sur son sort et foncer ! Je connais des universitaires qui ne feront rien de leurs vies !!!

Pour les immigrants ce n'est pas de nier leurs problèmes de reconnaissance de diplômes, mais si le taux de chomâge diminue en général, il diminuera immanquablement pour les immigrants aussi. Si vous croyez le contraire vous êtes méchament négatif !!!

Je comprends ton point de vue Éric, mais ce n'est pas tout le monde qui est féru de mécanique ou de construction. On pense que tous les hommes sont des bricoleurs dans l'âme et aiment « jouer » dans leur auto; le mien n'aime vraiment pas bricoler et n'a aucun intérêt pour les autos. Il en a une qui le mène du point A au point B et ça lui suffit. Il est facteur ...

Si tout le monde se décide tout à coup à aller étudier pour faire des boulots de terrain (mécanique, soudure, construction, etc.), il va finir par y avoir trop monde là aussi.

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La Presse Affaires

Nous avons besoin de main-d'oeuvre spécialisée pour réaliser nos projets, tant à Montréal que dans les régions, souligne la directrice des communications de Dessau, Katia Reyburn.

:mellow: Le maître mot ici c'est main d'oeuvre spécialisée c'est-à-dire des emplois qui exigent des diplômes, or les diplômes des immigrants sont souvent non-reconnus... Donc dans beaucoup de cas les immigrants ne peuvent aucunement appliquer pour ces postes pour cause de diplômes non-reconnus ! C'est le ridicule des politiques d'immigrations actuelles du gouvernement du Québec... Le gouvernement du Québec va devoir brasser les ordres professionnels du Québec pour une plus grande reconnaissance des diplômes acquis à l'extérieur du Québec ou alors changer ses critères de sélection des immigrants qui sont actuellement inadéquats.

Les ordres professionnels sont indépendants et tout-puissants. Ca va être difficile de les brasser. La main-d'oeuvre spécialisée concerne peut-être maintenant des métiers plutôt manuels, et là, oui, il va falloir peut-être changer les critères de sélection.

c'est la que tu te trompe,

c'est qui qui a mis en place les ordres professionnels ?

le(s) gouvernement(s) du Québec.

ce qu'il a mis en place il peut le défaire...

mais bon pour ca il faut une volonté politique,

ce qui à priori n'arrivera jamais

J'ai justement dit la même choser hier à quelqu'un (ou l'ai-je écrit ici ?). En effet, c'est le gouvernement qui a mis en place les différents ordres professionnels et s'il le voulait, s'il avait la volonté de le faire, il pourrait faire bouger les choses. Mais en ce moment, notre gouvernement ne semble pas se préoccuper de grand-chose.

La Presse Affaires

Nous avons besoin de main-d'oeuvre spécialisée pour réaliser nos projets, tant à Montréal que dans les régions, souligne la directrice des communications de Dessau, Katia Reyburn.

:mellow: Le maître mot ici c'est main d'oeuvre spécialisée c'est-à-dire des emplois qui exigent des diplômes, or les diplômes des immigrants sont souvent non-reconnus... Donc dans beaucoup de cas les immigrants ne peuvent aucunement appliquer pour ces postes pour cause de diplômes non-reconnus ! C'est le ridicule des politiques d'immigrations actuelles du gouvernement du Québec... Le gouvernement du Québec va devoir brasser les ordres professionnels du Québec pour une plus grande reconnaissance des diplômes acquis à l'extérieur du Québec ou alors changer ses critères de sélection des immigrants qui sont actuellement inadéquats.

ah bein la je suis sur le Cul !!!

encore une fois d'accord ca va finir comme une sale habitude

lol

:lol:

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