crazy_marty

Ben bien-sûr, très bon conseil ça tiens: mens au service d'immigration! Rien de tel pour ne jamais revenir au Canada par la suite...des conseils comme ça...
Surtout que à l'ère de l'informatique, ils ont plusieurs moyens de recouper les informations si ils veulent fouiller un peu.

Ben bien-sûr, très bon conseil ça tiens: mens au service d'immigration! Rien de tel pour ne jamais revenir au Canada par la suite...des conseils comme ça...
Surtout que à l'ère de l'informatique, ils ont plusieurs moyens de recouper les informations si ils veulent fouiller un peu.

Les jobs pour "bras" dans le pétrole sont pas en ville, plutôt dans des bourgades isolées à plusieurs heures des centres urbains comme Calgary ou Edmonton - conditions de travail extrêmement difficiles, mais jobs bien payés, certes.



Beaucoup moins de besoin en IT qu'en manutention dans le pétrole. Mais peut-être, tu as qu'à postuler, tu verras bien. Faut parler anglais par contre...
Mais je croyais que tu partais là bas parce que c'est super facile de trouver une job pour un informaticien avec tes qualités et tes compétences merveilleuses?

Si tu déclares un membre de la famille installé au Québec, il faut que ce même membre de la famille remplisse un formulaire qui doit être signé par un agent assermenté. Ils veulent aussi des preuves que ce membre réside bien au Québec légalement. J'ai dû le faire pour ma soeur.

MAIS il ne s'agit que de membres de la famille directe. Oncle, tante, grande tante, cousin, etc... ne comptent pas du tout, c'est pour ça que y'a pas de cases sur la feuille



Non ils tiennent compte des règles d'immigration et c'est tout. Ils adaptent pas les règles en fonction du pays ou des traditions. Donc ton oncle rapporte aucun point, même si il est considéré comme un vrai membre de la famille chez vous.

Sur le sol canadien non, il faut sortir du pays pour faire apposer le visa une fois arrivé au Canada. Donc aller aux US et revenir, au minimum - c'est à dire le tour du poteau que je te mentionnais dans mon premier message

Sinon j'espère que tu as de grosses économies parce que ton projet me parait ben coûteux quand-même. Tout ça pour une blonde alors que y'en a plein d'autres qui sont libres

A mon avis c'est pas qu'il est peut demandé, c'est juste que c'est plus compliqué de trouver une job sans visa déjà obtenu. Si c'était facile, le visa sera épuisé depuis longtemps, comme le PVT

Techniquement oui tu pourrais postuler pour un PVT, dans l'édition 2011. Sauf que - pourquoi viser un visa sur lequel tout le monde se jette dès sa mise en dispo, alors que tu pourrais en avoir un plus "simplement" grâce à ton offre d'emploi?

Rien ne t'empêche de leur faire une petite lettre explicative. Bien-sûr en joignant aussi la lettre de ton employeur qui confirme qu'il te prend en stage. A mon avis ça posera pas de problèmes, mais faut que tu te hâtes, il reste que 358 places




Dans ton cas le "jeunes professionnels" me parait le mieux adapté. Surtout si ton employeur n'y connait rien aux procédures, au moins, avec jeunes professionnels, il a juste besoin de te donner une lettre. Par contre à ta place je me méfierais du nombre de places restantes au moment où tu demanderas ce visa-là...il peut en rester comme il peut ne plus y en avoir...
Autre point: avec les délais de traitement + le temps pour toi de faire le tour du poteau pour avoir le visa apposé dans ton passeport + petite précaution en cas d'imprévus (genre un volcan qui retarde le transport de ton courrier à l'ambassade en France ) - ça voudrait dire qu'il te fait cette lettre presque un mois après ton arrivée...est ce que ce sera suffisant pour qu'il s'engage définitivement sur ton embauche?? Aucune idée!!

Autre solution à peut-être envisager: tu fais ton stage tranquilou et au bout des trois mois ou presque, tu demandes une lettre d'embauche et tu postules au visa jeunes professionnels, mais dans la portion 2011 (soit après l'ouverture de l'édition 2011, vers mi-novembre) - en gros tu négocies le mois de décembre + éventuellement un bout de janvier en "vacances" avec ton boss Avec Noel au milieu, il devrait être suffisamment compréhensif

Peut-être qu'on pourrait aussi en profiter pour lui expliquer qu'il a pas besoin d'écrire qu'il arrive à Québec (province) et qu'il va ensuite à Québec ville à chaque fois? Qu'il lui suffirait de mettre: "j'arrive au Québec par avion à Montréal puis je vais à Québec..." pour dire exactement la même chose

Et bé, j'ai pris le temps de tout lire, et vous avez vachement dévié du sujet initial vous tous... Ca en est fâcheux, surtout quand on voit la tournure des propos...

Je trouve juste quelque peu risible de vouloir partir en Alberta alors que le niveau d'anglais est clairement insuffisant. Si les employeurs anglophones du Québec ne veulent pas le recruter avec son niveau d'anglais - pourquoi ceux d'Alberta le feraient? Vouloir s'immerger en anglais pour mieux le maitriser, c'est bien, mais là encore, aucun employeur ne l'embauchera pour qu'il puisse pratiquer son anglais...l'employeur l'embauchera uniquement si il est opérationnel de suite.
Donc à moins d'avoir plein d'argent pour tenir en attendant de se faire un réseau et de parler anglais à tous les jours, il va au devant d'un gros mur et risque de se crasher dedans, ce qui créera une autre déception, autant que son expérience québécoise.

Après un autre échec en Alberta, il ira où? En CB? En Ontario? Il existe plein d'autres provinces, mais faire un essai d'un an dans chaque, je suis pas sûr que ça avance grand chose.

Après, chacun a des raisons propres de pas trouver au Québec ce à quoi ils s'attendent. Perso, je suis ravi depuis que je suis arrivé et je n'ai pas l'intention d'aller voir dans d'autres provinces, surtout que je connais déjà la CB et que tout est loin d'être parfait là bas aussi.
Pouvoir utiliser ma langue maternelle dans la vie de tous les jours, j'adore Pouvoir rédiger des documents dans les deux langues au travail, parce qu'ici on est à Montréal, je trouve ça intéressant et courageux (d'insister pour que ce soit fait et que c'est obligatoire, même dans une entreprise à majorité anglophone) Pouvoir expliquer aux Ontariens avec qui je bosse que leur document ne sera pas diffusé à moins d'être traduit, j'adore, ça donne un certain contrôle
Je n'ai pas utilisé le Québec comme passerelle juste parce que c'est moins cher et plus facile (ce genre de messages, ça m'horripile, je trouve ça à la limite de la malhonnêteté ), mais parce que j'ai choisi en mon âme et conscience la province et que je savais à quoi m'attendre, mais surtout que je suis pas du genre à croire aux Bisounours! Si j'avais voulu retourner vivre à Vancouver, je serais passé par la procédure fédérale, ou celle de la CB, et pis c'est tout!

Et bé, j'ai pris le temps de tout lire, et vous avez vachement dévié du sujet initial vous tous... Ca en est fâcheux, surtout quand on voit la tournure des propos...

Je trouve juste quelque peu risible de vouloir partir en Alberta alors que le niveau d'anglais est clairement insuffisant. Si les employeurs anglophones du Québec ne veulent pas le recruter avec son niveau d'anglais - pourquoi ceux d'Alberta le feraient? Vouloir s'immerger en anglais pour mieux le maitriser, c'est bien, mais là encore, aucun employeur ne l'embauchera pour qu'il puisse pratiquer son anglais...l'employeur l'embauchera uniquement si il est opérationnel de suite.
Donc à moins d'avoir plein d'argent pour tenir en attendant de se faire un réseau et de parler anglais à tous les jours, il va au devant d'un gros mur et risque de se crasher dedans, ce qui créera une autre déception, autant que son expérience québécoise.

Après un autre échec en Alberta, il ira où? En CB? En Ontario? Il existe plein d'autres provinces, mais faire un essai d'un an dans chaque, je suis pas sûr que ça avance grand chose.

Après, chacun a des raisons propres de pas trouver au Québec ce à quoi ils s'attendent. Perso, je suis ravi depuis que je suis arrivé et je n'ai pas l'intention d'aller voir dans d'autres provinces, surtout que je connais déjà la CB et que tout est loin d'être parfait là bas aussi.
Pouvoir utiliser ma langue maternelle dans la vie de tous les jours, j'adore Pouvoir rédiger des documents dans les deux langues au travail, parce qu'ici on est à Montréal, je trouve ça intéressant et courageux (d'insister pour que ce soit fait et que c'est obligatoire, même dans une entreprise à majorité anglophone) Pouvoir expliquer aux Ontariens avec qui je bosse que leur document ne sera pas diffusé à moins d'être traduit, j'adore, ça donne un certain contrôle
Je n'ai pas utilisé le Québec comme passerelle juste parce que c'est moins cher et plus facile (ce genre de messages, ça m'horripile, je trouve ça à la limite de la malhonnêteté ), mais parce que j'ai choisi en mon âme et conscience la province et que je savais à quoi m'attendre, mais surtout que je suis pas du genre à croire aux Bisounours! Si j'avais voulu retourner vivre à Vancouver, je serais passé par la procédure fédérale, ou celle de la CB, et pis c'est tout!

Au lieu de te préoccuper des délais, préoccupe toi de ton anglais. Avec ce que tu dis juste au dessus, la réponse est claire: tu ne pourras pas vivre dans une province anglophone, encore pire pour ta femme. Pourquoi t'obstiner?

Le PVT est plutôt recommandé pour des séjours de 6 mois à 1 an. Comme il est donné sur quotas et que y'a nettement plus de demandes que de places, il est probable qu'ils le donnent à ceux qui veulent rester sur la durée du PVT, plutôt que juste l'été.

Ben en fait c'est surtout la flemme dont tu fais preuve qui me donne pas envie de te répondre. Tu vas sur le site officiel de l'immigration pour passer le test, mais sur ce même site t'es pas capable de creuser un peu la recherche pour trouver genre la liste des documents nécessaires pour immigrer???

Je veux bien qu'on pose des questions, même si elles peuvent paraitre naives, mais quand on a la flemme de prendre quelques minutes pour lire et explorer des pages Internet, ben je trouve qu'on est pas prêt à se prendre par la main pour immigrer! Tout est une question d'opinion

Bref quelqu'un a déjà eu la bonté de te répondre, tant mieux.

Ben en fait c'est surtout la flemme dont tu fais preuve qui me donne pas envie de te répondre. Tu vas sur le site officiel de l'immigration pour passer le test, mais sur ce même site t'es pas capable de creuser un peu la recherche pour trouver genre la liste des documents nécessaires pour immigrer???

Je veux bien qu'on pose des questions, même si elles peuvent paraitre naives, mais quand on a la flemme de prendre quelques minutes pour lire et explorer des pages Internet, ben je trouve qu'on est pas prêt à se prendre par la main pour immigrer! Tout est une question d'opinion

Bref quelqu'un a déjà eu la bonté de te répondre, tant mieux.

Il n'y a plus de places pour un PVT en 2010, le programme est déjà complet. Je suppose que celui de 2011 ouvrira en novembre 2010. Le PVT est payant, des frais de dossier, certes pas très élevés, mais ils existent quand-même. Il faut aussi rajouter une assurance privée pour un an, car pas le droit à la RAMQ pendant un PVT.
A l'époque où je l'ai fait, il m'avait coûté moins de 100 de frais de dossier, ça a dû augmenter depuis, vu le succès que ça a...une belle manne financière.
Aussi le problème du PVT, enfin il me semble, c'est qu'il faut faire chacun une demande, mais qu'il y a le risque que l'un des deux ne l'ait pas...ça peut arriver, même si je ne vous le souhaite pas.

La recherche du travail c'est plus ou moins compliquée, selon les personnes. Tout dépend de ce que vous cherchez exactement. De comment vous cherchez aussi. Un peu comme en France en somme, même si il me semble que c'est plus facile sur Montréal qu'en France.
Par exemple quand j'étais en PVT sur Vancouver, j'avais décroché une jobine en quelques jours, juste en voyant une affiche "help wanted" sur un magasin. A Montréal, en RP, j'ai trouvé en 2 semaines un boulot stable. C'est vraiment très variable.

Le coût de la vie...c'est une notion très vague, là encore ça va être différent selon les personnes et de ce qu'elles considèrent comme vital ou non, ou de là où ils viennent. Moi qui étais à Londres avant, je peux te dire que je me régale tellement les choses me paraissent pas chères.
Le gros plus par rapport à la France, je trouve, c'est le prélèvement à la source, qui enlève bien des misères (même si en PVT ça te concerne moins car les impôts sont remboursés à la fin) et les renégociations salariales régulières, qui vont avec un avancement au mérite largement plus répandu.

Vous avez quand-même la chance d'avoir de la famille sur place, c'est pas rien, et c'est une grosse aide. Ceux qui débarquent sans connaitre personne, ont sans doute plus de mal au début.

Ils demandent la référence d'un employeur précédent, où qu'il se trouve dans le monde, donc pas forcément une référence québécoise. Heureusement sinon j'aurais eu un gros problème.
C'est là qu'on voit qu'il est important de partir en bon terme avec son employeur, il se peut qu'on ait un jour besoin de sa recommandation.

Ils demandent la référence d'un employeur précédent, où qu'il se trouve dans le monde, donc pas forcément une référence québécoise. Heureusement sinon j'aurais eu un gros problème.
C'est là qu'on voit qu'il est important de partir en bon terme avec son employeur, il se peut qu'on ait un jour besoin de sa recommandation.

Comme beaucoup avant moi, j'ai décidé de conter un peu mes premiers mois au Québec, à Montréal pour être plus précis. Je m'excuse aussi par avance par la longueur du texte, mais résumer 3 mois en quelques lignes, c'est pas un exercice facile.
Non pas que mon parcours soit extraordinaire, hors du commun ou autre, mais ma foi, j'ai trouvé plein de réponses sur ce forum sans même avoir à les demander pendant la procédure, alors je trouve que c'est un juste retour des choses de donner un peu ma version d'immigration.
Je précise que je suis parti de Londres où je travaillais, que j'ai démissionné à peine l'IVM en mains (j'y croyais à fond, et avec 3 mois de préavis, j'avais le temps de voir venir) et que j'ai même fait ce qui est déconseillé, à savoir prendre mon billet d'avion au même moment, pour le mois de novembre. Je possède rien aussi il faut dire, à part quelques habits, ce qui a sans aucun doute faciliter mon débarquement et mon installation, et m'a, je suppose aussi, évité pas mal de stress. Du coup, je suis parti pour Montréal une semaine après la fin de mon contrat de travail londonien, avec une valise, l'autre repartant en France en attendant que je revienne la chercher.
Je suis un peu parti à l'arrache, sans plans précis. Je n'étais même pas sûr à ce moment que je voulais rester à Montréal...je n'en suis toujours pas sûr, mais au moins j'y vois plus clair on va dire.
J'ai débarqué à Montréal dans le gros inconnu - je ne connaissais personne, ma seule vision du Canada était un PVT à Vancouver, et des vacances qu Québec quand j'étais môme. Au début, j'ai logé dans une auberge de jeunesse, histoire de...et me laisser le temps de chercher un logement, que j'ai trouvé assez rapidement. J'ai emménagé une semaine après mon arrivée dans un appartement, sur Le Plateau, qui n'est pas forcément le quartier prioritaire dans lequel je cherchais. Mais - un tout meublé, tout inclus (chauffage, eau chaude, téléphone, câble, Internet), pour moi tout seul, pour au final 200€ de moins que ma petite chambre en colocation londonienne...disons que j'ai eu du mal à résister et que j'ai pas réfléchi longtemps pour confirmer que je le prenais. La surprise aussi de voir qu'aucune caution ni bail ne sont demandés pour avoir les clés: juste le premier mois de loyer et un papier signé d'entente mutuelle, qui me sera utile pour justifier de mon adresse auprès de la RAMQ et de la SAAQ par exemple. C'est tout, pas de questions sur mon travail (que je n'avais pas), sur mes revenus, sur le travail de mes parents, sur qui va se porter garant, pas de paperasse dans tous les sens pour avoir les clés - rien, juste une petite lettre, un petit peu de cash, et voila, je suis chez moi!
Après cela, juste un bon gros plaisir, de ne rien faire, si ce n'est profiter à fond de Montréal et de ses quartiers. Pas de recherche d'emploi, je suis "en vacances" jusqu'à 2010, alors j'ai du fun, c'est tout. Je me dis alors que les économies, après tout, c'est fait pour ça, alors je les dépense allégrement...là encore, probablement pas mon idée la plus lumineuse, ni la plus prudente, mais, ma foi, allons y gaiement. J'ai donc passé un mois à explorer ma nouvelle ville et à me lamenter quelque peu de ne pas voir de neige et de ne pas avoir froid!
J'ai bien entendu, au milieu de tout ça, ouvert un compte bancaire local, chez RBC, pour une raison très simple: c'est la banque la plus proche de chez moi. Au final, je sais pas si c'était le meilleur choix, mais il s'avère qu'ils m'ont offert le forfait maximum disponible avec la carte Interac, gratuitement pendant un an. Tant que j'y étais, j'ai aussi demandé une Visa Crédit, pour commencer à créer un historique de crédit. Visa acceptée à la seule condition de bloquer $1000 pendant un an, même sans travail, en leur avouant même clairement que je ne comptais pas en chercher avant janvier. Je signe, et voila, c'est tout. Depuis que j'ai ouvert mon compte, à part y déposer un peu de cash pour payer le crédit Visa, je n'ai encore transféré aucune économie dessus. Les taux d'intérêt que j'ai en France sont plus intéressants que ceux qu'on me propose ici, alors je conserve mon épargne en France pour le moment. Je retire tout simplement quand j'ai besoin - j'ai une CB française pour expatriés depuis mon séjour à Londres, donc je paye aucune commission, même si c'est pour $2 de retrait ou de paiement, sans doute aussi pour cela que je le fais aussi allégrement.
Le temps de fêtes en France, puis retour à Montréal avec désormais l'objectif de chercher un emploi. Je suis en marketing, pas un métier forcément en recherche, avec aucune expérience locale. Etonnament, j'ai trouvé le 14 janvier...10 jours après mon retour québécois et le début de ma recherche sérieuse d'emploi. Je dis sérieuse parce qu'avant de rentrer en France, j'avais contacté le bureau local de l'agence pour laquelle je bossais à Londres, sans vraiment croire à grand chose, mais juste pour pouvoir dire que je l'ai fait et voir ce que eux, Québécois actifs, pouvaient me dire. On s'était promis de se recontacter, et eux de me pistonner, après les vacances, en janvier. Au final, j'ai trouvé avant de prendre la peine de les recontacter, dans un univers complétement différent de celui d'une agence, certes toujours en marketing, mais vraiment dans un domaine qui m'est complétement inconnu: je suis "marketing manager" dans un grand groupe de télécoms, dont je ne veux pas faire de pub ici. Ce poste est même supérieur à celui que j'ai quitté à Londres...à ne rien y comprendre. J'ignore ce que j'ai pu dire pour les convaincre de m'embaucher, mais j'avoue avoir été très surpris lorsqu'ils m'ont rappelé pour me recruter...J'ai commencé chez eux le 1er février, et je découvre depuis les joies du télétravail et de la boite à lunch.

Je vais arrêter mon roman ici, mais j'espère que mon récit peut aider certains qui se posent des questions sur leur venue ici. Il faut de tout pour faire un monde, et je dois dire que pour le moment, je suis placé parmi ceux à qui tout a réussi depuis leur arrivée. Je suis conscient d'avoir eu pas mal de chance dans l'histoire, notamment au niveau de l'emploi.
GM a même accepté aujourd'hui de me financer une auto d'occase, sans aucun apport de ma part, sans un historique de crédit vraiment ancien (à peine un mois)...au taux et au prix que je veux, en rajoutant des pneus hiver et un an de garantie "cadeau". Il me reste à voir pour l'assurance, mais j'espère que ça se passera aussi bien que tout le reste.

Bon courage à ceux qui sont dans les démarches ou pour qui les choses ne se passent pas aussi bien.