Angel-fr

@jayj je l'ai reçu il y a 12 jours donc votre réponse est sans rapport.
 
 
C'était bien un Bug.

J'en suis au niveau Hybride, si l'on considère que j'ai eu le temps de basculer complètement vers un accent purement québécois, malgré que j'entre quasiment dans la catégorie ainé.
Avec le recul et parce que j'appartiens à plusieurs cultures, l'envie d'intégration et la peur de perdre son identité culturelle influencent grandement sur l'accent que nous avons.
Je me rappelle encore que, de retour en France du pays qui m'a donné le jour, j'avais conservé pour quelques semaines un accent hispanique sud-américain fortement prononcé (donc après un séjour de 3 semaines 1/2). J'avais un accent authentique français avant le départ.
L'acceptation culturelle me semble donc un élément fort, qui, peut-être inconsciemment, influence notre accent.

Bref ...... c'est pas gagné

Bonjour tout le monde, 
 
Aujourd'hui il y a 25 ans, le 8 mars 1999, nous avons ouvert le site immigrer.com. Nous voulions informer et rejoindre des francophones et francophiles du monde entier afin de leur parler du Québec et du reste du Canada.
Ce n'est qu'en juin 1999 que le forum de discussions a été ouvert mais comme vous pouvez imaginer il a été un franc succès. Merci à toutes et à tous d'avoir faire de ce site de l'informations, mais aussi des rencontres, des échanges et beaucoup d'émotions et surtout du succès pour plusieurs! 
 
Merci 

https://www.immigrer.com/immigrer-com-celebre-25-ans-de-succes-une-reference-incontournable-pour-les-nouveaux-arrivants/

Possible, mais eux sauront sûrement vous dire. 

1-855-861-5750
https://www.caaquebec.com/fr/pour-vos-assurances

Grand Merci aux deux illustres fondateurs de ce site. Pour moi, c'est LE site incontournable pour migrer vers l'amérique du nord.
 
J'y ai trouvé tant de messages bienveillants de gens résolus qui ont cru et croient encore en ce concept innovateur.
 
 

Cette information est inexacte :
https://www.etias.ca/fr/nouvelles-conditions-dentree-citoyens-voyageant-europe/
 
 

Et puisque nous sommes entre nous, voici une photo inédite prise un jour de novembre 2001, où Laurence avait pris le téléphone pour essayer de raisonner un troll qui sévissait sur le forum.
Sur l'écran du iMac on peut voir la liste des messages en file d'attente de modération. 
Dans l'étui bleu il y a un PDA (PalmPilot), les plus anciens doivent se rappeler de ce que c'est, et en arrière on remarque un téléphone cellulaire antique
 

Bonsoir Madame.
 
Tout dépend de la complexité de votre dossier et  de:
* si vous répondez correctement aux questions,
* si vous fournissez tous les documents demandés, 
* si vous leur envoyez les dernières versions des formulaires,
* si vous n'oubliez pas de signer là où c'est exigé, vous et votre parrain/répondant,
* si vous payez les sommes demandées intégralement avant examen de votre dossier et en joignez la preuve officielle...

Merci du message
Mon dossier est arrivé, plus complet tu ne pourras pas.
J'ai fait 2 rétroactions par téléphone et une par courriel, je ne peux pas plus en ayant donné tous les bugs et points techniques et erreurs dans les formulaires (Anglais / Français) du CIT 002 à ce jour.
J'ai eu un agent très longuement pour la dernière rétroaction, il a été parfait, comme il dit les bugs ne risquent pas de se faire corriger rapidement, bienvenue au Gouvernement.
Ca peut se comprendre, tout est long et il y a une pandémie.
 
Alors pour chaque futur Candidat, AYEZ DU bon sens, ne stressez-pas avec les bugs ou doute que vous allez avoir dans votre demande Papier, vous expliquez les points et le Ministère est totalement au courant maintenant, donc s'ils n'agissent pas, c'est très mal mais le Candidat doit s'adapter.
Expliquez par un courrier tout ça quand ça sera votre tour.
 
Si ce n'est pas le cas, tant mieux tout sera arrangé et tout le monde gagnera du temps.
Car des bus ou des doutes, ça fait des dossiers qui risquent d'être incorrect, ça fait retourner et les Agents refaire des procédures déjà effectuées et les candidats perdre beaucoup.
Les candidats font souvent de grossières erreur ou alors c'est "tout croche" comme on dit.
Le Ministère fait aussi des erreurs.
 
Alors, candidat, faites des rétroactions et pensez aux agents qui peuvent aussi se tromper, encore plus en pandémie !
 
Ma situation n'est pas bonne mais mon dossier triplement complet est au Ministère ou j'ai expliqué tous les bugs et les répercussions dans de mauvaises situation de vie (parfois) que ça peut avoir sur des futurs Citoyens.
Je participerai moins à ce topic et bonne chance à tous  

@Koffigo vous l'aurez compris, les services d'immigration serviront avant tout les intérêts des canadiens, et il ne s'agit donc pas de faire son marché comme si l'on partait acheter 1 kilo de millet.
Le parrainage est une démarche où les sentiments doivent être préalables et réels.
Bonne soirée.

@Koffigo vous l'aurez compris, les services d'immigration serviront avant tout les intérêts des canadiens, et il ne s'agit donc pas de faire son marché comme si l'on partait acheter 1 kilo de millet.
Le parrainage est une démarche où les sentiments doivent être préalables et réels.
Bonne soirée.

Tiens, j'ai une rivale !!! ?
Mais j'y pense, Automne, je pourrais divorcer mon mari actuel, épouser le tien pour avoir des papiers français puis le divorcer et me remarier avec mon ex, non ?  En voilà un plan intéressant !

oui moi!! 
 
je vais domper mon mari actuel et en prendre un autre, je les collectionne moi les parrainés. 

Est-ce qu’elle va lui appartenir?
 
?

Les délais semblent normaux mais il y a quelque chose qui m'étonne : vous dîtes que vous avez envoyé la demande de CSQ le 16 mai et que vous avez reçu une réponse positive 2 jours plus tard, le 18 mai. Il semble qu'il y ait une erreur sur vos dates.
 
On ne connait pas la date à laquelle vous avez passé votre visite médicale : celle-ci détermine aussi la date d'expiration de votre futur visa, sauf si celle-ci a déjà expiré. Dans ce cas, vous seriez invité à repasser la visite médicale.

C'est sûr que cela donne le temps de se poser des questions par rapport à notre place dans la vie de l'un et de l'autre ; parce que de toute manière, il faut d'abord regarder ou du moins visualiser où sera notre place, et comment on arrivera à vivre l'un avec l'autre.
 
Il semble que, malgré tout, tout le monde ne prenne pas le temps de se poser tant de question. "je l'aime", "il/elle m'aime", "marions-nous". Cette démarche tout ce qu'il y a de plus romantique et qui semble faire de l'éloignement, un seul pas, ne permet pas forcément de se faire une idée précise de tout ce que cela implique.
 
Il faut bien se dire que, quand on a décidé de parrainer quelqu'un, et que d'un autre côté, on a décidé de tout quitter, le tout par amour, il faudrait se poser quelques questions basiques avant de foncer tête baissée.
Des exemples  ?
- est-ce que j'aimerai ça, pelleter de la neige par moins 30 °C en ressenti ?
- est-ce que j'aime le sirop d'érable ?
- si je vis actuellement à la montagne et que mon futur se trouve au milieu des champs : vais-je pouvoir supporter cette situation ?
- pareil si, actuellement je vivais en bord de mer et que l'eau est à 30°C : est-ce que le climat risque de me pousser à dépérir et à déprimer ?
-...
- est-ce que tout cela en vaut vraiment la peine ?
 
Une fois que le temps nous a permis de se faire une bonne idée, et que l'éloignement est quasiment devenu insoutenable, se demander si on est prêt à mener des démarches pour se retrouver ensemble.
 
A l'époque où je me posais ces questions, je me rendais compte de 2 choses : 
- je n'avais pas fait les bonnes études
- je commençais à être trop vieux.
 
S'il n'est donc pas possible de venir rejoindre l'amour de sa vie en tant que travailleur qualifié (ou comme investisseur fortuné), il ne reste plus que la solution "parrainage" : celle-ci me déchirait le coeur. Comment pouvais-je oser imposer le poids de ma présence à ma bien-aimée ? Dans quelle situation d'homme presque "arriviste" cela me plaçait donc ??
Le temps a fait son affaire, et je me le suis fait dire par un représentant d'emploi Québec à Paris : "Il faut savoir mettre de côté une fierté mal placée" "les cimetières sont pleins de gens qui moururent pour leurs principes". Cette idée a fait son chemin et le temps, émoussé cet égo disproportionné.
 
Quand j'y repense, je me dis que j'aurais pu arriver plus tôt mais d'un autre côté, je me dis que ça m'a permis de mieux connaître ma douce, et pour elle de se poser la question de savoir si elle pouvait supporter l'homme que je suis, avec ses défauts compris. Cela nous a soudé plus fort.
 
J'invite donc chaque candidat au parrainage à cette introspection essentielle pour que des lendemains qui chantent existent.

C'est sûr que cela donne le temps de se poser des questions par rapport à notre place dans la vie de l'un et de l'autre ; parce que de toute manière, il faut d'abord regarder ou du moins visualiser où sera notre place, et comment on arrivera à vivre l'un avec l'autre.
 
Il semble que, malgré tout, tout le monde ne prenne pas le temps de se poser tant de question. "je l'aime", "il/elle m'aime", "marions-nous". Cette démarche tout ce qu'il y a de plus romantique et qui semble faire de l'éloignement, un seul pas, ne permet pas forcément de se faire une idée précise de tout ce que cela implique.
 
Il faut bien se dire que, quand on a décidé de parrainer quelqu'un, et que d'un autre côté, on a décidé de tout quitter, le tout par amour, il faudrait se poser quelques questions basiques avant de foncer tête baissée.
Des exemples  ?
- est-ce que j'aimerai ça, pelleter de la neige par moins 30 °C en ressenti ?
- est-ce que j'aime le sirop d'érable ?
- si je vis actuellement à la montagne et que mon futur se trouve au milieu des champs : vais-je pouvoir supporter cette situation ?
- pareil si, actuellement je vivais en bord de mer et que l'eau est à 30°C : est-ce que le climat risque de me pousser à dépérir et à déprimer ?
-...
- est-ce que tout cela en vaut vraiment la peine ?
 
Une fois que le temps nous a permis de se faire une bonne idée, et que l'éloignement est quasiment devenu insoutenable, se demander si on est prêt à mener des démarches pour se retrouver ensemble.
 
A l'époque où je me posais ces questions, je me rendais compte de 2 choses : 
- je n'avais pas fait les bonnes études
- je commençais à être trop vieux.
 
S'il n'est donc pas possible de venir rejoindre l'amour de sa vie en tant que travailleur qualifié (ou comme investisseur fortuné), il ne reste plus que la solution "parrainage" : celle-ci me déchirait le coeur. Comment pouvais-je oser imposer le poids de ma présence à ma bien-aimée ? Dans quelle situation d'homme presque "arriviste" cela me plaçait donc ??
Le temps a fait son affaire, et je me le suis fait dire par un représentant d'emploi Québec à Paris : "Il faut savoir mettre de côté une fierté mal placée" "les cimetières sont pleins de gens qui moururent pour leurs principes". Cette idée a fait son chemin et le temps, émoussé cet égo disproportionné.
 
Quand j'y repense, je me dis que j'aurais pu arriver plus tôt mais d'un autre côté, je me dis que ça m'a permis de mieux connaître ma douce, et pour elle de se poser la question de savoir si elle pouvait supporter l'homme que je suis, avec ses défauts compris. Cela nous a soudé plus fort.
 
J'invite donc chaque candidat au parrainage à cette introspection essentielle pour que des lendemains qui chantent existent.

C'est sûr que cela donne le temps de se poser des questions par rapport à notre place dans la vie de l'un et de l'autre ; parce que de toute manière, il faut d'abord regarder ou du moins visualiser où sera notre place, et comment on arrivera à vivre l'un avec l'autre.
 
Il semble que, malgré tout, tout le monde ne prenne pas le temps de se poser tant de question. "je l'aime", "il/elle m'aime", "marions-nous". Cette démarche tout ce qu'il y a de plus romantique et qui semble faire de l'éloignement, un seul pas, ne permet pas forcément de se faire une idée précise de tout ce que cela implique.
 
Il faut bien se dire que, quand on a décidé de parrainer quelqu'un, et que d'un autre côté, on a décidé de tout quitter, le tout par amour, il faudrait se poser quelques questions basiques avant de foncer tête baissée.
Des exemples  ?
- est-ce que j'aimerai ça, pelleter de la neige par moins 30 °C en ressenti ?
- est-ce que j'aime le sirop d'érable ?
- si je vis actuellement à la montagne et que mon futur se trouve au milieu des champs : vais-je pouvoir supporter cette situation ?
- pareil si, actuellement je vivais en bord de mer et que l'eau est à 30°C : est-ce que le climat risque de me pousser à dépérir et à déprimer ?
-...
- est-ce que tout cela en vaut vraiment la peine ?
 
Une fois que le temps nous a permis de se faire une bonne idée, et que l'éloignement est quasiment devenu insoutenable, se demander si on est prêt à mener des démarches pour se retrouver ensemble.
 
A l'époque où je me posais ces questions, je me rendais compte de 2 choses : 
- je n'avais pas fait les bonnes études
- je commençais à être trop vieux.
 
S'il n'est donc pas possible de venir rejoindre l'amour de sa vie en tant que travailleur qualifié (ou comme investisseur fortuné), il ne reste plus que la solution "parrainage" : celle-ci me déchirait le coeur. Comment pouvais-je oser imposer le poids de ma présence à ma bien-aimée ? Dans quelle situation d'homme presque "arriviste" cela me plaçait donc ??
Le temps a fait son affaire, et je me le suis fait dire par un représentant d'emploi Québec à Paris : "Il faut savoir mettre de côté une fierté mal placée" "les cimetières sont pleins de gens qui moururent pour leurs principes". Cette idée a fait son chemin et le temps, émoussé cet égo disproportionné.
 
Quand j'y repense, je me dis que j'aurais pu arriver plus tôt mais d'un autre côté, je me dis que ça m'a permis de mieux connaître ma douce, et pour elle de se poser la question de savoir si elle pouvait supporter l'homme que je suis, avec ses défauts compris. Cela nous a soudé plus fort.
 
J'invite donc chaque candidat au parrainage à cette introspection essentielle pour que des lendemains qui chantent existent.

Si vous avez constaté qu'il y avait une erreur sur un acte civil (comme c'est le cas pour votre acte de mariage) de votre pays d'origine ou un pays autre que le Canada, et que vous avez tout de même utilisé cet acte dans le cadre d'une procédure d'immigration au Canada, vous devriez en informer C.I.C. en envoyant la copie du document concerné, et indiquer qu'il y a une erreur sur ce document, tout en précisant la nature de l'erreur, et leur mentionner qu'une action juridique est en cours dans le pays où a été rédigé l'acte.
 
Si, en même temps, vous avez adressé un acte de naissance de votre époux, C.I.C. ne peut retenir comme preuve que vous auriez délibérément présenté une pièce d'état civil comportant une erreur, tout simplement parce que, dans ce cas, vous en aviez une qui atteste de l'âge de votre époux.

Salut,
Finalement après avoir reçu des résultats d'analyses médicales suite à un retard de cycle de ma copine,c'est avéré qu'elle est pas enceinte!! malgré ça on va tout de même poursuivre notre route pour être ensemble, peut importe les obstacles.
Merci pour vos réponses!!
Bon journée à tous..

On va considérer qu'elle n'est pas enceinte ou du moins, je vous souhaite qu'elle ne le soit pas parce que vous ne le verriez sans doute pas arriver au monde.
Toute démarche d'immigration précipitée a peu de chance d'aboutir. Il vous faudra donc prendre "votre mal" en patience.
 
S'il s'agit d'une stratégie pour arriver au Canada, il y a peu de chances qu'une procédure de parrainage aboutisse.
 
S'il ne s'agit pas de stratégie mais d'un désir profond et partagé d'être ensemble, le temps que vous avez devant vous devrait servir à mieux vous connaître, à vous assurer que vous avez des points communs, et à vous rendre compte si autre chose que le simple désir vous conduit à avoir envie de partager le reste de vos jours avec une canadienne que vous semblez malgré tout peu connaître : une relation à distance via internet est parfois sans comparaison avec une vie ensemble dans la vie réelle.
 
Culturellement, vous ne semblez pas connaître le Canada et de ce fait, ça ne peut pas jouer favorablement en votre faveur.
 
 

On va considérer qu'elle n'est pas enceinte ou du moins, je vous souhaite qu'elle ne le soit pas parce que vous ne le verriez sans doute pas arriver au monde.
Toute démarche d'immigration précipitée a peu de chance d'aboutir. Il vous faudra donc prendre "votre mal" en patience.
 
S'il s'agit d'une stratégie pour arriver au Canada, il y a peu de chances qu'une procédure de parrainage aboutisse.
 
S'il ne s'agit pas de stratégie mais d'un désir profond et partagé d'être ensemble, le temps que vous avez devant vous devrait servir à mieux vous connaître, à vous assurer que vous avez des points communs, et à vous rendre compte si autre chose que le simple désir vous conduit à avoir envie de partager le reste de vos jours avec une canadienne que vous semblez malgré tout peu connaître : une relation à distance via internet est parfois sans comparaison avec une vie ensemble dans la vie réelle.
 
Culturellement, vous ne semblez pas connaître le Canada et de ce fait, ça ne peut pas jouer favorablement en votre faveur.
 
 

On va considérer qu'elle n'est pas enceinte ou du moins, je vous souhaite qu'elle ne le soit pas parce que vous ne le verriez sans doute pas arriver au monde.
Toute démarche d'immigration précipitée a peu de chance d'aboutir. Il vous faudra donc prendre "votre mal" en patience.
 
S'il s'agit d'une stratégie pour arriver au Canada, il y a peu de chances qu'une procédure de parrainage aboutisse.
 
S'il ne s'agit pas de stratégie mais d'un désir profond et partagé d'être ensemble, le temps que vous avez devant vous devrait servir à mieux vous connaître, à vous assurer que vous avez des points communs, et à vous rendre compte si autre chose que le simple désir vous conduit à avoir envie de partager le reste de vos jours avec une canadienne que vous semblez malgré tout peu connaître : une relation à distance via internet est parfois sans comparaison avec une vie ensemble dans la vie réelle.
 
Culturellement, vous ne semblez pas connaître le Canada et de ce fait, ça ne peut pas jouer favorablement en votre faveur.